Enquête sur La Coruscant Impériale

Rappel du premier message :

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Derrière une grande porte anti-explosion en similidiorite trempée, gardée en permanence par 4 padawans armés qui tiennent lieu de portiers, se trouve la nouvel salle du Conseil des 12.

La pièce est sombre comme sombre sont les temps de l’exil et de la dissimulation. Douzes sièges, équipés de nombreux systèmes électroniques de communication, de commandes et de détection, sont disposés, autour d'un système d’holoécrans, en demi cercle, de manière à ce qu’aucune place ne se distingue d’une autre. Dans le Conseil, il peut y avoir des plus sages mais pas des plus importants.

Seul 5 sièges sont actuellement occupés :

Maître [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] est elle aussi d'une beauté excepotionnelle, celle de sa race, les mirialans. Elle arbore sous sa toge-robe noir une silhouette svelte et féminine tandis que sa coiffe haute encadre un admirable visage triangulaire et des yeux bleus, aussi profonds que des océans. Sa peau, couleur lagon, n'a aucune imperfection. Les tatouages en forme de diamants qu'elle porte au-dessous de sa bouche, indiquent sa spécialité, à savoir, les disciplines physiques.

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Maître [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] est une belle humaine, très grande avec la peau brune et de magnifiques yeux d'un bleu perçant. Une coiffure Tholoth rehausse encore sa beauté exotique.



Maître [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] est un grand kiffar très massif dont le visage brun est encadré d'une abondante chevelure brune et barré du tatouage clair de son clan.



Maître [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] est un homme d'une cinquantaine d'année au visage de rapace et aux yeux bleus, arborant une longue chevelure blonde.

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Enfin maître [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] est un jeune homme à peine plus âgé que Q'Yahar, aux épaules larges, aux traits durs et au regard gris sincère. Il porte les stigmates d'une vie rude.
D'après son âge, il devait être novice avec lui au temple de Coruscant mais elle ne se souvient pas de l'avoir jamais vu. Des yeux pareils, ça ne s'oublie pourtant pas.



Le padawan doit traditionnellement se placer debout au centre de la pièce circulaire.

Dernière édition par MJ 5 le Sam 20 Sep 2008 - 16:44, édité 1 fois

Les répulseurs du petit transport civil stabilisent l'appareil au-dessus d'une plateforme à ciel ouvert, battue par les vents agitant les hautes couches de l'atmosphère de Bespin, sur lesquelles flotte la majestueuse toupie que forme la Cité des Nuages.

Les intercepteurs qui ont escortés le classe II depuis l'orbite de la géante gazeuse regagnent l'espace tandis qu'il se pose en crachant bruyamment les épaisses vapeurs blanches de la purge des systèmes.
En haut de la passerelle qui descend doucement, se tiennent les deux silhouettes encapuchonnées des pélerins qui viennent se joindre comme tant d'autre, de tous les coins de La galaxie, aux Frères de La Clarté en voyage vers le coeur de l'univers connu : Coruscant.

Deux sous-officiers du service de sécurité de l'astroport, armés de pistolet blaster, se présente au bas de la rampe pour contrôler les nouveaux arrivants. Ils sont accompagnés d'un gros rodien richement vêtu.

L'un des pélerins murmure discrètement à l'oreille de l'autre :

- C'est un acheteur. Tire un bon prix du vaisseau : pas en dessous de 30 000 crédits. Il en vaut 40 000 mais nous sommes impatient de nous joindre au pélerinage.

Kuriin descend en sortant un cube d'identité d'un repli de son manteau et tend l'objet à l'un des sous-officiers.

Le contrôle d'identité est rapide mais consciencieux.
Après s'être assurer que les deux pélerins n'avaient rien à déclarer, le sous-officier donne l'autorisation aux deux pélerins d'entrer dans la Cité des Nuages.

Kuriin, le visage dissimulé dans l'ombre de son capuchon, s'incline et se retrourne vers son compagnon qui termine sa négociation avec le marchand rodien sur un accord à 40 000 crédits.
Il fait un léger mouvement de tête à l'adresse de son compagnon. L'affaire est conclu et Selika reçoit de la main à la main un précieux cube de 40 kilocrédits.

Les deux pélerins prennent doucement la direction du terminal de l'astroport. Lorsqu'ils sont seuls à déambuler dans les couloirs de La Cité des Nuages, Kuriin murmure :

- Méfiance jeune Selika. Le marchand finira par réaliser qu'il est peut-être aller un peu vite sur cette négociation et le trouble pourrait le rendre soupçonneux. Quant aux hommes de la sécurité, cette vente éclair à ton bénéfice, a pu éveiller leur curiosité. Ne mésestime personne.

Les deux hommes prennent lentement le chemin du temple temporaire installé dans la banlieue de l'astroport pour accueuillir Les Frères de La Clarté.

Seleka se tourna vers Kuriin. Il lui dit dans un murmure:

―J'ai joué le même jeu que lui, Kuriin. J'ai, disons, une certaine expérience avec ce genre de marchands. Il l'aura revendu au moins 50 000, voire plus, d'ici peu. Je n'ai pas altéré son esprit, ne l'ai pas menacé, tout était normal. Nous n'avons rien à craindre à ce propos.

Ils poursuivirent leur chemin. Ral-Seleka arrêta un pélerin et lui demanda des infos sur le départ des Fidèles pour Coruscant. Celui-ci lui indiqua vaguement une direction et lui expliqua qu'ils devaient s'enregistrer auprès d'un moine dont le nom était quasi-impossible à prononcer. Ral le remercia poliment et poursuivit son chemin, Ayud à ses côtés.


Plus ils se rapprochaient du temple de fortune, plus il y avait de pélerins.

Ral indiqua à Ayud un stand ou des pélerins s'entregistraient. Ils s'y dirrigèrent et s'enregistrèrent . Ils déclinèrent leurs identités fictives, payèrent une quelconque redevance de quelques crédits et on leur donna un numéro et l'heure du départ.

―Il semble que notre transport pour Coruscant parte dans un peu moins d'une heure. Nous devrions peut-être nous prendre de quoi manger, la tambouille sur ces vols n'est pas géniale...


HRP: pardonnes-moi d'avoir pris quelques libertés...
"Dernier appel pour le vol JE d1 en partance pour Coruscant." LOL

Ral Vorna a écrit:

―Il semble que notre transport pour Coruscant parte dans un peu moins d'une heure. Nous devrions peut-être nous prendre de quoi manger, la tambouille sur ces vols n'est pas géniale...

Kuriin sourit dans l'ombre de son capuchon mais répond, toujours en murmurant, sur un ton dénué de tout humour :

- L'immonde tambouille des pélerins galactiques fait partie intégrante du pélerinage, Seleka. Que penserais-tu d'un pélerin qui tenterait de se soustraire au lot commun pour arrondir les rudesses de son voyage initiatique vers les lieux saints ?

Il laisse une pause puis ajoute :

- Je vais aller parler à nos frères pour nous présenter. Fais ce que tu veux pendant ce temps mais ne nous attire pas d'ennui et soit de retour avant que le transport ne parte.

Le jeune homme, de quelques années seulement l'ainée de son compagnon, se détourne et se dirige vers l'une des silhouettes encapuchonnées qui attend les derniers pélerins devant la passerelle d'un antique transport rendili.

Dernière édition par le Lun 15 Oct 2007 - 1:52, édité 1 fois

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Depuis des millénaires, la foi en La Force, fluide universel qui sous-tendrait toute Réalité, unit tous les mondes de La Galaxie jusque dans les confins de la Zone Sauvage. Les Jedi ou les Sith ne sont que des aspects très marquants de cette religion qui adoptent bien d’autres visages.

Les pèlerins galactiques sont un de ces visages. Ils amalgament des êtres de toutes espèces et de toutes origines qui consacrent de quelques jours à plusieurs années de leur existence à retisser inlassablement les fibres de La Force en parcourant les chemins de La Galaxie pour entretenir la consubstantiation galactique. Il voyage seul, par deux ou en groupe, dans des transports de ligne ou sur des vaisseaux privés. Ils portent de longs manteaux de bure qui habillent aussi les chevaliers jedi, qui ne sont finalement, que des pèlerins eux-même.

Les frères de La Clarté est un groupe constitué de fidèles qui rassemblent sur leur chemin des pèlerins en route pour Coruscant, le centre de La Galaxie. Ils acquiert à bas prix des vaisseaux de transports désaffectés qu’ils remettent en état pour conduire un maximum de croyant à destination. Une fois sur Coruscant, les appareils sont revendus au profit d’œuvres, autrefois républicaines, aujourd’hui impériales, et les pèlerins se dispersent, trouvant seuls leur chemin pour rentrer chez eux et ainsi finir leur pèlerinage.

Kuriin et Selika embarque, avec plusieurs milliers de pèlerins venant de toute la Bordure Extérieure, à bord du Edeguinn Redemption, un antique croiseur rendili de classe Neutron datant de la guerre des Segments. Désarmé et réhabilité, avec des bouts de ficelles, en transport de passager, le vaisseau quitte La Cité des Nuages pour gagner les plus hautes couches de l’atmosphère puis l’orbite de la géante gazeuse de Bespin et se prépare à passer en hyperespace pour commencer son voyage vers le cœur de l’Empire.



Les conditions de vie à bord du Edeguinn sont précaires : les systèmes de survie et les générateurs du croiseur sont surannés et dépassés par le surnombre des pèlerins. Les pannes de courant, les anomalies de gravité ou les incendies électriques sont monnaies courantes. Les pèlerins qui se sont portés volontaires pour assurer la maintenance et la sécurité du vaisseau sont débordés. A cela s’ajoute les pénuries d’eau, de nourriture et de dioxygène, les maladies, les vols, les rixes…

Kuriin semble très à l’aise dans cet ambiance étouffante. Il est une vrai lumière dans les ténèbres qui. Partout où il passe, il apporte avec simplicité et dévouement des solutions pratiques a des problèmes complexes, ce qui lui vaut vite une place particulière parmi les moins nantis des pèlerins qui viennent lui demander conseils et jugements. Il rassure et guide sans jamais avoir à s’imposer en meneur. Il raconte aux enfants des histoires fabuleuse qui exaltent le courage, la hardiesse et la détermination des colons de la Bordure Extérieure, à savoir leur parents et eux-mêmes. Il leur confie des tâches d’hommes dont ils s’acquitte consciencieusement avec fierté. Le jeune homme ne rechigne pas à mettre lui-même la main dans le cambouis et les machines comme les êtres vivants du Edeguinn trouvent un nouveau souffle en sa présence.

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Le croiseur edillis de classe neutron Ediguinn Redemption est entré dans l’espace de contrôle de Coruscant et a atterrit sur le Westport avec toutes les autorisations nécessaires. Les frères de La Clarté sont une manne financière pour l’Empire. L’immense bâtiment de guerre transformé en vaste vaisseau de transport déverse son flot continu de pèlerins galactiques dans le terminal de l’astroport puis vers les trains anti-grav bondés sous la surveillance vigilante des patrouilles de clones impériaux.

Kuriin et Selika suivent le mouvement. Aucun détecteur ne repère les poignées des sabres-lasers désactivé et leur papier passe les nombreux points de contrôle. Le Temple jedi n’est plus sur le chemin du pèlerinage depuis la disgrâce de l’Ordre. Il est remplacé sur le circuit par les cours du somptueux palais impérial. Les deux hommes s’éclipsent à un arrêt et empruntent de discrets transports de seconde zone dans les sombres bas-fonds de la planète-capitale jusqu’à la limite du quartier du Temple, aujourd’hui bouclé à tous les niveaux par des postes de garde, des barrières de haute-énergie, des droïdes espions et de nombreuses patrouilles clones à pieds ou mécanisés.

Dernière édition par le Lun 5 Nov 2007 - 17:05, édité 1 fois

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Dans les bas-fonds de la ville, nous passions presque inaperçus. Les mendiants et la vermine ne s'intéressaient pas vraiment à nous.

Les sens aux aguets, je marchais aux côtés d'Ayud. Plus nous approchions du Temple, plus il y avait de patrouilles impériales. Le meilleur moyen de passer inaperçus étant d'avoir l'air d'être à sa place, nous ne tentions pas d'éviter les patrouilles, qui eux, ne s'intéressaient pas vraiment à nous non plus. Les soldats n'attendaient que la fin de leur patrouille pour pouvoir rentrer à la caserne et prendre quelques verres.

Cette partie de notre périple était assez facile. Lorsque nous arrivâmes près de la limite du périmètre interdit, nous nous dissimulâmes dans une boutique abandonnée.

Je murmurai:

―C'est là que la partie commence, Kuriin... Il nous sera très difficile d'entrer. Le mieux serait d'en avoir l'autorisation, non? À moins que j'y entre en éclaireur et que je t'ouvres un passage.

HRP: c'est un peu précipité, mais lorsque nous serons prets à entrer, c'est là que ça va commencer pour vrai.
#1 On trouve le moyen d'entrer par la porte principale
#2 Un de nous deux entre discrètement en premier ( disons moi, vu les capacités de Ral, toi si ça te chante)
#3 On trouve une diversion et on entrer pendant que c'est la pagaille. :combat01:

Ou #4 c'est toi qui propose, tu es quand même le maîtren et celui en charge des ejdi d'une certaine manière...

Selika a écrit:

―À moins que j'y entre en éclaireur et que je t'ouvres un passage.

Dissimulés au premier étage d'un bâtiment désaffecté du quartier attenant à celui du Temple, les deux pélerins regardent par une holofenêtre, en contrebas, dans la direction d'un poste de garde au dispositif de sécurité digne de l'entrée des appartements de l'Impératrice.
Kuriin tourne doucement la tête vers son compagnon, manifestement peu convaincu par son allant. Il demande d'un ton sévère :

- Tu penses y entrer comment ?

Tu penses y entrer comment?

*Voila la question...*

Il s'adressa à Ayud, sans détourner son regard du Temple:

―Les gardes, je peux faire en sorte qu'ils ne perçoivent pas ma présence, mais les caméras me verront. Il faudra donc trouver le moyen de les brouiller. Quant aux senseurs, je me débrouillerai...

Il ajouta, se tournant vers lui:

―La Force est avec nous. Pour le reste, je te ferai passer ce barrage en détournant les caméras. Il ne te restera qu'à passer outre les gardes. Il faudra faire quelques acrobaties...

Ce n'était que le début, le poste de garde passé, il leur faudrait parcourir le Temple pour trouver ce qu'ils cherchaient... Heureusement, ils connaissaient bien le Temple, ces impériaux ne se contentaient que d'en patrouiller les couloirs.


HRP: voila mon plan...

Kuriin, le visage à moitié dissimulé dans l'ombre de son capcuchon, écoute patiemment puis sourit et dit de sa voix toujours tempérée, le plus sérieusement du monde :

- Je dois dire que je suis assez curieux de te voir faire tout ça, jeune Sélika. Montre-moi.

Il l'invite de la main à descendre dans la rue qui grouille de clones autour du poste de garde.

Il répondit:

―Erreur, maître, vous vouliez dire nous si je ne m'abuse... Nous travaillons en équipe, du moins j'espère...



HRP: pourquoi le MJ?

Kuriin baisse la tête comme pour tenter d'appercevoir ses pieds sous le lourd manteau de bure et cite de mémoire, posément, les paroles de Sélika :

- Je peux faire en sorte qu'ils ne perçoivent pas ma présence... Quant aux senseurs, je me débrouillerai... je te ferai passer ce barrage en détournant les caméras.

Il relève la tête et plonge son regard gris ineffable dans les yeux de son compagnon :

- Tu ne laisses pas beaucoup de place au nous d'une équipe jeune Sélika. Et puis ton humble serviteur est impatient de voir ce fabuleux phénomène dont parle ce je qui revient si souvent dans tes paroles.

Il invite à nouveau son compagnon à descendre vers le poste de garde.

Ral baisse la tête, il saisit ce que veut dire Maître Godmamon.

― Désolé maître, je suis dans l'erreur. Nous devrions plutôt établir un plan ensemble.

Il contemple le corps de garde en contrebas.

Kuriin penche la tête et demande doucement :

- Tu mentais lorsque tu me disais que Je allait faire tout ça ?

Je me tournai vers lui, et lui répondis, fermement:

―Non. Mais nous sommes une équipe, un duo, il faut travailler de concert.

J'ajoutai:

―J'aurais pu le faire, mais ça aurait été difficile. Alors que nous aurions pu le faire ensemble, établir un plan ensemble et l'exécuter ensemble. On appele cela du travail d'équipe. Il faut mettre en commun nos idées et nos capacités.

HRP: Voila. Vos idées, je vous prie, nous sommes un duo...

Ayud hésite. Son maître, le missionnaire Varna, lui a toujours laissé faire ses erreurs et parfois cela a payé contre toute attente. Il répugne à limiter Ral.

Finalement Kuriin dit :

- Il n'était pas dans mes intentions de forcer un barrage comme celui-là. Je gage que l'Impératrice a déployé de tels moyens en prévision du retour de jedi, comme nous, au Temple. C'est une souricière et même si elle nous sous-estime, je crois que ce serait une erreur d'en avoir autant à son endroit.

Ral lui répond:

―Alors, que faisons-nous? Il n'y a pas vraiment de solution autre que d'entrer dans le Temple pour accomplir notre mission. La question est: comment? Si on essaie d'entrer discrètement, on passera les gardes, mais les systèmes électroniques... si on bousille l'électronique, et bien, les gardes, eux, ne nous raterons sûrement pas, et il faudra alors entrer de force. La solution serait, bien sûr, de faire les deux...

Kuriin, agenouillé dans son large manteau brun, à l'abri du rebord de la fenêtre, invite son jeune compagnon à développer d'un signe évocateur de la main.

Le padawan expose alors ce qu'il croit être une solution:

―Et bien, l'un de nous deux devra faire en sorte de brouiller les capteurs d'une entrée dérobée, un conduit quelconque, pour que l'autre puisse passer. Ensuite, celui qui est entré doit trouver le moyen de faire passer l'autre. Il y a d'autres variables, entre autres les patrouilles incessantes des impériaux, dont il faudra prendre compte. Qu'avez-vous à proposer, maître?

HRP: on se croirait à l'Assemblée Nationale...on dirait un gouvernement démocratique...