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descriptionLe journal de Cailloux ! EmptyLe journal de Cailloux !

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Ceci est la version originale de la fiche de présentation de Cailloux, parce qu'il ne faut pas oublier :
Nom : Lisez, vous le découvrirez.

Autres comptes : Arthas Menias

Age : Inconnu, plus de 3000 ans

Race : Apparence humaine, race réelle inconnue

Sexe : Masculin, en apparence.

Planète d'origine : Inconnue, provenance Régions Inconnues

Métier : Ermite, faiseur de ragoûts.

Groupe : Rebellion.

Apparence :

Il ressemble ni plus ni moins à un vieillard sénile de 80 ans qui n'a plus toute sa tête. Toujours avec la même robe grise sale qui n'est jamais nettoyée mais ne se salit jamais plus, un bâton de marche en sorbier indestructible et un chapeau gris tout moisi aussi. Il est chauve, a une barbe hirsute mal arrangée, et des souliers gris tout pourris. Le vieil homme ressemle davantage à un vieil ermite complètement timbré plutôt qu'un être doué de la force.

Histoire :

L'homme encapuchonné traversait le blizzard depuis un bon moment déjà. Il marchait, sans vraiment faire attention en fait. Le geste était plus machinal qu'autre chose. Il marchait depuis exactement 15 heures, 37 minutes et 3 secondes. Il regardait devant lui, ne voyant rien d'autre que des flocons tombant par torrents. "Un nouveau s'est pointé. Occupe t-en." Ils étaient marrant, à la compta, ils envoyaient les grouillots faire le sale boulot. Accepter les fiches des nouveaux, quelle connerie ! Des fois ça valait le coup, mais des fois, fallait s'y reprendre à plusieurs fois avant de s'aperçevoir que... oh ! Machin est parti et reviendra pas. Ceux-là, ils étaient mal-aimés en général.

Dans la nuit, toutefois, l'homme vit des lumières transperçer les ténèbres de la nuit enneigé. Les lampes d'une taverne éclairait le blizzard dans un flou jaune qui faisait tâche dans ce blizzard éternel. L'homme poussa la porte située entre les deux lampes et enleva sa capuche. La première chose qu'il vit fût une table centrale, et à cette table étaient attablés quinze hommes qui riaient de bon coeur, blaster à la ceinture, et chopes à la main. En leur centre, un homme chauve et vieux tenait lui aussi une chope, mais en lieu et place d'un blaster se trouvait un bâton de marche taillé grossièrement dans un tronc de sorbier. L'homme se retourna mine de rien vers la porte et parut heureux de voir l'individu.

    - Ah ! Invité, enfin, nous vous attendions !

    - Mais, comment vous connaissez mon...

    - Oui, tout à fait ! Asseyez-vous !


L'homme envoya valser un chapeau gris à l'apparence moisi et tapota la place libérée.

    - Excusez-le, il aime prendre de la place.

    - Mais, c'est un chapeau.

    - Ah, ne le défendez pas en plus ! Alors, vous voulez savoir quoi mon ami ?

    - Et bien, j'ai l'apparence, la planète, même si c'est pas clair...

    - je suis frappé d'amnésie, mon ami. je ne sais absolument pas d'où je viens.

    - Bah, ça, on s'arrangera... mais l'âge c'est gênant quand même, c'est encore moins clair...

    - Je ne sais rien sur ma naissance, ni où je suis né ni quand précisément. Mais ça fait plus de 3000ans, c'est sûr.

    - Du coup, ça fait pas de vous un humain ?

    - Bah, mon chapeau m'avait dit ça une fois, et honnêtement, je sais pas s'il fallait que je le crois.

    - Okay... sinon, il me faudrait l'histoire.

    [color
    =grey]-

    - Okay, il me faudrait juste l'histoire maintenant.

    - D'accord. Accrochez-vous, mon ami, c'est trépidant ! Il faudrait juste que je m'en souvienne... Attendez, j'en tiens une bonne !

    Alors, je suis né le jour de ma naissance. Ce jour là, il y avait des nuages gris. Bien gros, et tout et tout. Donc, ma mère a accouché, et j'ai demandé à boire. Mon père a refusé de me voir, parce que je l'aidais pas assez dans son travail. Alors du coup, je me suis énervé, et, du coup, bah il a fait beau. Non, c'est pas du tout ça.

    Bon, alors, le jour de ma naissance, deux jours avant que je naisse, il n'y avait pas de nuages déjà. Ma mère a refusé d'accoucher, alors je suis venu la voir en m'énervant... non, attendez, je m'emmêle les pinceaux.

    Le jour de ma naissance, je suis né, certes. Ce jour là, il pleuvait du sang. Je suis monté sur ma grosse moto, prenant au passage ma mère à l'arrière afin de perpétrer l'espèce, sauf que mon chapeau l'a dégagé et...


    - Non mais oh, STOP !


L'homme à la capuche avait frappé sur la table, mettant fin aux rires de la table, et de la taverne entière. Tout regard se posa sur lui, certains sans comprendre, d'autres en colère.

    - Tu me racontes des conneries depuis cinq minutes maintenant, et j'ai pas que ça à faire, hein ! Alors tu vas...


L'homme fut interrompu par la poigne du vieil homme, qui maintenant le toisait d'un regard mauvais, qui avait perdu toute la folie d'auparavent. Les yeux froids et gris de l'homme semblaient sonder l'âme de Invité, perçant à jour ses plus noirs secrets. L'homme à la capuche tenta de se libérer, sans succès. La poigne de cet homme était beaucoup plus sérieuse que ne le laissait penser son apparence sénile.

    - Je suis qui je suis, et je fais ce pourquoi je suis fait. On m'a fait comme il fallait au départ, mais, hélas, une mésaventure m'a rendu fou à mi-temps. N'y voyez aucune offense, mais si vous me parlez une fois de plus sur ce ton, je vous assure que vous le regretterez amèrement.

    Voilà, maintenant que vous êtes calme, je peux vous lâcher. Mon histoire vous interesse ? La voici.

    En toute franchise, je ne sais quand je suis né. On me dit plus tard qu'on me trouvât au milieu d'un champ de maïs, en plein centre d'une construction géométrique fait avec des plans couchés, représentant une sorte de dragon krayt avec des ailes. Personne ne sait de quoi il s'agit en soit, mais là n'est plus la question. On m'a abandonné sur Corullag, dans une zone entièrement agricole. Je ne sais pas quand c'était.

    Mes parents adoptifs étaient un humble couple de fermier, à le tête de la plus petite exploitation du comté. Ils avaient d'ailleurs à peine de quoi se nourrir euh, imaginez avec un enfant en plus... Mais leur bonté d'âme prit le dessus et ils me prirent sous leur aile. Cela ne leur déplut pas finalement.

    Je grandis, trop vite et trop mal. A cinq ans, on m'aurait donné 15 ans, à 15 ans, on m'en aurait 30, et quand j'eus 20 ans, j'avais le corps d'un vieil homme de 80 ans, celui que vous voyez là. Je ne me l'explique pas, c'est ainsi. Toujours est-il que, très vite, je m'aperçevais d'une chose : que je le voulais, ma force grandissais, prolongeant mes activités, en retardant ma fatigue. J'attrapais des objets, comme des binettes, sans les toucher. Mon côté fainéant fut la cause de cela : ma volonté était d'avoir tout à portée de main sans me fatiguer. Ainsi, après quelques années de pratiques, 4 exactement, j'arrivais à attirer à moi de tout petits objets. C'est bizarre, mais c'est vrai.

    Ma fainéantise partie avec l'âge, je m'affairais aux champs pendant des semaines entières sans faim et sans fatigue, quadruplant les bénéfices de la ferme. Mes parents purent mieux se nourrir, être plus efficaces, investir dans du matériel plus sophistiqué, dans de plus grandes exploitations... en 30 ans de travail, nous avions mangé les concurrents locaux, fournissant même le pain du gouverneur en personne.

    Quand les yeux de mes parents se refermèrent, je vendis les exploitations et le donnait aux habitants du bourg. Je partis visiter le monde quand je recontrais mon premier ami, mon chapeau, assorti à ma robe. Je taillais également un bâton dans un tronc coupé de sorbier qui traînait sur la route. Ainsi, je mis plusieurs mois, années voire décennies à parcourir le monde de fond en comble, le connaissant dans ses moindres recoins. J'ai discuté avec chaque arbre, chaque buisson... Et bien sûr, quelques centaines d'années après, je revins à mon bourg d'adoption. Il venait d'être brûlé. Un homme vêtu de noir se tenait en son centre, quand il me vit arriver. Je lui demandait des comptes, mais il se contenta de reculer et de dire "La force est infiniment puissante en toi". Je savais pas ce que c'était, aussi je lui ait sourit et j'ai aussitôt sortit une blague sur les feuilles. Il m'a supplié de le laisser "m'enseigner les voies du Côté Obscur", aussi je lui ai dit que mon chapeau et moi, on devait discuter. Discussion que le chapeau remporta à 3 contre 1.


    - Bon, et après ?

    - Après, le pauvre bougre m'a prit sous son aile et m'a emmené sur un autre monde, Korriban. Il avait un truc qu'il appellait un sabre laser, un machin tout rouge et tout translucide, dont la "garde" était reliée à un gros câble qui était branché à une batterie accrochée à sa ceinture. Enfin, bref, il m'enseigna ce qu'il nommait le "Côté Obscur de la Force" pendant 15 ans. 15 ans pendant lesquels j'ai brûlé trois fois son vaisseau, détruit ses fauteils en cuir, et fait s'écrouler sa baraque. Pendant ces 15 ans, je me suis bâti un sabre laser aussi, tout blanc, comme de la crème fouettée, et sans batterie ! C'était un nouveau modèle, je l'ai baptiisé le modèle "nomade". Je l'ai plusieurs fois battu en duel en lui jetant des couverts en bois, et une fois un restant de soupe de poisson. Il était jamais content, mais je m'énervais suffisamment pour le calmer. Un jour, j'ai compris qu'il voulait me rendre mauvais, je suis parti, non sans lui voler son vaisseau.

    - Vous saviez piloter ?

    - Absolument pas. Son vaisseau s'est écrasé sur la maison voisine. J'ai alors demandé à retourner à Corullag pour terminer ma formation. Il m'y a conduit, et a voulu me tuer une fois arrivés. Je l'ai humilié en esquivant tout ces coups, mine de rien, et je l'ai achevé avec mon bâton. Un grand coup sur la nuque, BAM ! Il est tombé, raide mort. Enfin, je le croyais. Je lançais une blague sur les poids chiches quand il m'a agrippé la cheville, et alors j'ai vu déferler en moi un flot si intense de connaissances... et aussi une sorte de maladie... visiblement, le côté obscur m'avait joué un mauvais tour. Il m'avait rendu encore plus fou qu'avant, ne m'accordant que de rares moments de lucidité extrême.

    - Tu vas me faire croire que tu as tué un chevalier Sith, comme ça ?

    - Objectivement... c'était un mauvais combattant, mauvais sorcier... J'étais plus doué que lui au bout de la septième année. Il m'a appris à lancer des éclairs, à lancer mon sabre, à prendre le contrôle des gens, et à créer une grosse bulle... rage de force, un truc comme ça. Il me voyait comme un muvais élève parce que je foirais quasiment tout.

    - Développez.

    - Mes sorts étaient très aléatoires. Quand je voulais lancer des éclairs, soit : ça ratait. Rien ne partait DU TOUT. A recommencer. Soit, je me le prenais dans la gueule, les éclairs partaient du mauvais côté de mes doigts. Ca me faisait rien, je ne sais pourquoi, je m'en tirais sans trop de dommages, mais ça me foutait un mak de crâne horrible qui durait deux jours après m'avoir assomé. Autrement, au lieu de lancer des éclairs, je faisais pousser des fleurs, j'envoyais de la merde au mannequins ou je projetais une bille enflammée, ou plein de choses bizarres... Mais quand ça marchait... ça marchait du feu de Dieu.

    - C'est à dire ?

    - Bah, en fait, quand je voulais balancer deux trois éclairs, c'était carrément une tempête électro-magnétique qui sortait de mes doigts. J'ai foutu le feu à un baraquement complet en moins de trente secondes une fois tellement c'était puissant.

    Bref, je le tuais, et je partis vivre en solitaire. Des centenaires complets, des millénaires même, je m'entraînais au pouvoir de la Force lumineuse, sans mauvaiseté, devenant plus fort, mais toujours aussi "maladroit". J'ai monté mon sabre laser blanc dans l'extrémité épaisse de mon bâton, créeant le seul exemplaire de bâton de marche laser de tout les temps. Bâton que j'ai consolidé grâce à l'alchimie Sith, venue de mon maître, le rendant totalement indestructible. Et en plus, je sais pas, il s'est attaché à moi comme un vrai chien.


    - Hein ?

    - Bah ouais, une fois, il m'avait trop soûlé, je l'ai mis à la porte toute la nuit... le lendemain matin, il était revenu à côté de moi. Comme un chien qui suit son maître.

    - Euh... les chiens passent pas à travers les murs.

    - Tout dépend du chien. Bref, il lui arrivait aussi de me bouder quand je lui portais pas trop d'attention. Il voulait pas activer sa lame. J'ai vécu comme ça pendant des millénaires, dans une caverne aménagée en petite maisonnette, quand vinrent des bonhommes en blanc et noir, me disant "on réquisitionne cette caverne au nom de l'Empire Galactique". C'était ma maison, alors on n'y touchait pas ! J'ai voulu balancer des éclairs à ses pieds, pour lui faire peur... toute la garnison est partie en fumée. Trois heures plus tard, des gars qui s'appellaient "Rebelles" sont venus.

    - Vous pouvez prouver que vous avez détruit toute une garnison tout seul ?

    - Pour sûr ! Les gars, c'est faux ce que j'ai dit ?

    - C'est vrai ! On était là !


Hilarité générale. La boisson coula dans les gosiers, et une chope fût offerte à l'homme à la capuche, qui l'accepta de bon coeur.

    - Bon, sinon, votre nom, c'est quoi ?

    - Oui, ah oui, c'est... c'est... euh, les gars, c'était quoi déjà, mon nom ?

    - Cailloux.

    - Cailloux ! C'est ça, Cailloux !

    - Hein ? C'est pas possible !

    - Ah bon ? Dommage, je l'aimais bien ce nom.

    - Réfléchissez, Cailloux, c'est pas un nom !

    - Parce que Invité c'en est un peut-être ?


Hilarité générale à nouveau. Les chopes se vidèrent, et Invité raya de sa liste "HISTOIRE". Restait encore deux trois trucs, et il pourrait se soûler...



Psychologie :

Vivre au jour le jour, avec les moyens du bord, discuter avec son chapeau, son bâton... C'est pas dur : Cailloux est FOU. Que dire de plus ? Il croit qu'un arbre qui lui fait de l'ombre est un arbre qui le fait exprès. Son chapeau s'envole ? Il voulait juste s'enfuir. Une bataille importante à lieu sous ses yeux ? Il demandera un tournevis et des boulons, car la plaque en métal à ses côtés est mal vissée...

Aversion : Les gens mauvais, les pistolets, enfin, ce qui fait du bruit, et les bûcherons.

Affection : Les gens gentils, le silence, la nature, les pierres et les papillons.

Inventaire : 0 crédit, une robe grise toute pourrie, des souliers et un chapeau assorti (ce n'est pas une armure) ; un bâton de marche laser qui revient au bout d'un certain temps. (ceci est une arme)



Fuseau horaire : GMT + 1 Paris

Dispo : Quand je peux. En semaine, principalement.

Indispo : Quand je peux pas. Quand je dors/vais en cours/peints mes figs. Le week-end surtout.


PS : Le personnage de Cailloux est space. Pour représenter son utilisation de la Force, cette règle serait tout indiquée :

Sur un d100 : 1-25 le sort réussi du feu de Dieu

26-50 : le sort rate simplement

51-75 : le sort revient sur lui

76-100 : le sort lancé est différent de celui voulu.

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Jour 1, ou jour 287 + 3 - (( 289 x 2 ) / 5,7 / 2,35 )

J'ai marché aujourd'hui. J'ai cueilli une fleur nommée Andromède. Elle était gentille, mais honnêtement, je préfère Marguerite, une fleur gaillarde que j'ai connu de sa naissance à sa mort, il y a 2 jours.

J'ai mangé et dormi. Journée épuisante !

descriptionLe journal de Cailloux ! EmptyLa guerre des pétales.

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La Guerre des Pétales

C'était une journée ensoleillée, comme tant d'autres sur Aldera. Cailloux marchait tranquillement sur le chemin de terre qui n'existait pas, vu que c'était une route pavée. Pieds chaussés de guenilles grises toutes moisies, il s'accroupit soudain, tenant son bâton fermement dans sa main gauche, son chapeau vissé sur son crâne dégarni, et ainsi tapit, il attendait...

    - On attend... on attend...


Il serra un peu plus son poing droit, fermé sur un composant encore inconnu de tous... Et soudain, il s'écria :

    - MAINTENANT !


Il jeta le contenu de sa main droite en direction de son adversaire, courut vers lui, et lui asséna une série de coup de bâtons en suivant toujours la même direction, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas, de haut en bas,... sans discontinuer... Quand il s'arrêta, la nuit était tombée depuis une heure déjà, et il s'écroula, exténué. Il se redressa, et ramassa son adversaire.

    - C'est bon Pétunia, on l'a eut, ce pissenlit !


Cailloux jeta à terre la fleur jaune, arrachée du sol mais encore intacte, Cailloux ayant visé à côté durant ses 5 dernières heures. Il ramassa les pétales de sa rose Pétunia, lancés en pleine figure au provocateur qui, hier, n'avait pas enlevé son chapeau pour saluer la dame comme il se devait. C'était fini maintenant.

La Guerre des Pétales étaient une victoire Rocheuse.

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Jour 3.

8h23 J'ai croqué un cafard et terminé une carotte. C'était bon.

8h25 Je suis retourné me coucher. Je me lèverais demain matin.

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