Rappel du premier message :
Détruit ce que tu veux ; prends ce que tu veux ; tue qui tu veux ; mais ne bafoue jamais ton honneur.
Le Kaïn était dans sa Frégate Interceptor. Il balaya l'espace où il se trouvait des yeux : la cabine de pilotage. Il venait de repenser au saint livre de sa famille, celui qui transmettait toutes les croyances Kaïn. La Mort lui avait aujourd'hui imposer une nouvelle mission et, pour l'aider, lui avait rappeler cette phrase. C'était ce qu'il croyait, ce n'était pas forcément vrai ; dans cette galaxie, toutes les croyances peuvent être considérées comme vraie. "Pourquoi cette phrase ? En quoi va-t-elle m'aider ?"
-Nous allons bientôt sortir d'hyperespace monsieur.
-Très bien. Mettez-vous en orbite stable immédiatement après avoir quitter l'hyperespace.
Les rayons qui zébraient l'espace, signe de l'hyperpropulsion, s'arrêtèrent subitement, laissant place au vide absolu de l'univers. Ce noir composant l'espace était si... Étrange, si attirant. Hein ? Un bruit ?
-Y a quelqu'un ?S'écria John.
-Non monsieur, personne à part nous.
-Il ne vous parler pas à vous imbécile !
Orvax IV. La planète de l'esclavage dans la Passe Corellienne. John avait besoin de contrôler les actions criminelles et esclavagistes de ce monde. Mais sur le moment, il était prit d'une irrésistible envie de tuer. Il sortit de la cabine de pilotage en signalant au pilote qui revenait.
L'endroit où il se trouvait était gigantesque. C'était l'une des parties du vaisseau où l'on plaçait les canons. L'un des hommes d'équipage, qui n'était pas un tireur, bâillait aux corneilles.
-Alors soldat, vous ne faites rien ?
-He bien en fait monsieur...
BAM BAM ! John avait dégainé son blaster et avait tirer deux fois dans la tête du soldat. Le sang coulait lentement depuis son crâne. Le Vigo posa deux doigts sur la plaie, et quand ses doigts furent imbiber de sang, il les portas à sa bouche.
Ton sang à le goût de la peur.
Faisant un large demi-tour sur lui-même, John retourna dans la cabine de pilotage. Celui-ci tremblait comme une feuille morte. Malgré tout, il obéit lorsque le Vigo lui ordonna de contacter le spatioport local.
-John Kaïn appel astroport d'Orvax. Demande de se poser pour traiter une affaire de la plus haute importance.
Détruit ce que tu veux ; prends ce que tu veux ; tue qui tu veux ; mais ne bafoue jamais ton honneur.
Le Kaïn était dans sa Frégate Interceptor. Il balaya l'espace où il se trouvait des yeux : la cabine de pilotage. Il venait de repenser au saint livre de sa famille, celui qui transmettait toutes les croyances Kaïn. La Mort lui avait aujourd'hui imposer une nouvelle mission et, pour l'aider, lui avait rappeler cette phrase. C'était ce qu'il croyait, ce n'était pas forcément vrai ; dans cette galaxie, toutes les croyances peuvent être considérées comme vraie. "Pourquoi cette phrase ? En quoi va-t-elle m'aider ?"
-Nous allons bientôt sortir d'hyperespace monsieur.
-Très bien. Mettez-vous en orbite stable immédiatement après avoir quitter l'hyperespace.
Les rayons qui zébraient l'espace, signe de l'hyperpropulsion, s'arrêtèrent subitement, laissant place au vide absolu de l'univers. Ce noir composant l'espace était si... Étrange, si attirant. Hein ? Un bruit ?
-Y a quelqu'un ?S'écria John.
-Non monsieur, personne à part nous.
-Il ne vous parler pas à vous imbécile !
Orvax IV. La planète de l'esclavage dans la Passe Corellienne. John avait besoin de contrôler les actions criminelles et esclavagistes de ce monde. Mais sur le moment, il était prit d'une irrésistible envie de tuer. Il sortit de la cabine de pilotage en signalant au pilote qui revenait.
L'endroit où il se trouvait était gigantesque. C'était l'une des parties du vaisseau où l'on plaçait les canons. L'un des hommes d'équipage, qui n'était pas un tireur, bâillait aux corneilles.
-Alors soldat, vous ne faites rien ?
-He bien en fait monsieur...
BAM BAM ! John avait dégainé son blaster et avait tirer deux fois dans la tête du soldat. Le sang coulait lentement depuis son crâne. Le Vigo posa deux doigts sur la plaie, et quand ses doigts furent imbiber de sang, il les portas à sa bouche.
Ton sang à le goût de la peur.
Faisant un large demi-tour sur lui-même, John retourna dans la cabine de pilotage. Celui-ci tremblait comme une feuille morte. Malgré tout, il obéit lorsque le Vigo lui ordonna de contacter le spatioport local.
-John Kaïn appel astroport d'Orvax. Demande de se poser pour traiter une affaire de la plus haute importance.