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Mandalore. La planète mère des Mandaloriens. Elle était à l’image de ses défenseurs : sombre, froide et dangereuse. Les jungles de la planète, habitées par de nombreuses créatures plus redoutables les unes que les autres, n’étaient un endroit sûr pour personne, pas même pour les guerriers en armure. Pourtant, cette planète fut le berceau de l’une des civilisations les plus connues de l’histoire de la Galaxie : la culture Mandalorienne. Même si les Mandaloriens n’étaient plus que l’ombre de leur gloire passée, Mandalore regroupait encore un bon nombre de guerrier. Et Corbro cherchait justement à rencontrer l’un de ses frères.
Même s’il avait reçu un entraînement aux techniques mandaloriennes ainsi qu’une éducation à la culture des Mando’ade, Corbro n’était pas un vrai Mandalorien. Du moins pas pour l’instant. Toute la culture de ce peuple reposait sur un règlement, un code que chacun, s’il voulait être Mandalorien à part entière, devait suivre à la lettre, ce que faisait scrupuleusement Corbro. Sauf en ce qui concernait le premier point et le plus important : porter la beskar'gam, la célèbre armure mandalorienne. Cette cuirasse forgée en beskar, un minerai rare se trouvant sur Mandalore, ne pouvait être crée que par un Mando’ade, un vrai. D’autant que l’armure que voulait Corbro était un peu particulière.
Même s’il avait reçu un entraînement aux techniques mandaloriennes ainsi qu’une éducation à la culture des Mando’ade, Corbro n’était pas un vrai Mandalorien. Du moins pas pour l’instant. Toute la culture de ce peuple reposait sur un règlement, un code que chacun, s’il voulait être Mandalorien à part entière, devait suivre à la lettre, ce que faisait scrupuleusement Corbro. Sauf en ce qui concernait le premier point et le plus important : porter la beskar'gam, la célèbre armure mandalorienne. Cette cuirasse forgée en beskar, un minerai rare se trouvant sur Mandalore, ne pouvait être crée que par un Mando’ade, un vrai. D’autant que l’armure que voulait Corbro était un peu particulière.
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Et pour trouver un homme capable de lui forger cette armure, quoi de mieux que de commencer ses recherches dans la capitale. Keldabe était une grande ville issue de la grandeur passée de l’Empire Mandalorien. A cette époque désormais lointaine, elle fourmillait d’activités en tout genre : marchés, spectacles de rues, fêtes publiques, etc etc. Mais désormais, bien que toujours énormément fréquentée, la citée avait perdue de sa superbe. Pourtant, le jeune Mandalorien savait qu’il trouverait ce qu’il cherchait dans cette ville.
Il commença ses recherches le plus simplement du monde : en entrant dans une cantina. Beaucoup de gens seraient étonnés de trouver ce genre de bâtiment sur Mandalore… Car beaucoup ignorent que les Mando’ade sont friands d’alcool forts.
La première chose qui frappa le jeune Corbro quand il fut entré, était l’incroyable diversité d’armure : des bleues, des rouges, des vertes, des jaunes, des noires, des grises, de toutes les couleurs et de toutes les formes. Mais pas une seule pareil à celle qu’il voulait.
Il s’approcha du comptoir et, bousculant un vieillard ivre-mort, tapa du poing sur la table puis fit signe au patron de venir. Il se sentait bien seul, lui, l’homme sans armure, perdue au milieu de guerriers ainsi cuirassés.
Il commença ses recherches le plus simplement du monde : en entrant dans une cantina. Beaucoup de gens seraient étonnés de trouver ce genre de bâtiment sur Mandalore… Car beaucoup ignorent que les Mando’ade sont friands d’alcool forts.
La première chose qui frappa le jeune Corbro quand il fut entré, était l’incroyable diversité d’armure : des bleues, des rouges, des vertes, des jaunes, des noires, des grises, de toutes les couleurs et de toutes les formes. Mais pas une seule pareil à celle qu’il voulait.
Il s’approcha du comptoir et, bousculant un vieillard ivre-mort, tapa du poing sur la table puis fit signe au patron de venir. Il se sentait bien seul, lui, l’homme sans armure, perdue au milieu de guerriers ainsi cuirassés.