• [Atmosphère de Barab Prime]
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | Une inquiétante trainée de fumée opaque et noire commençait à se dessiner dans le ciel déjà très nuageux et pluvieux de Barab Prime. La nuit était tombée depuis un petit moment et la température étouffante baissait graduellement. Vous vous demandez surement comment il était possible de distinguer une fumée noire et opaque alors que la nuit était tombée depuis quelques temps et qu'il pleuvait comme bantha qui pisse. J'en conviens...il n'était peut être pas si évident de dénoter l'obscure fumée provenant des réacteurs du Pandora, du reste de la couverture nuageuse dont la dominante tirait entre le gris plus ou moins clair et l'anthracite. Cependant il n'y a pas de fumée sans feu et la vive luminosité des flammes ne laissait planer aucun doute sur le sort dont ce vieux vaisseau déglingué allait être victime. Tout comme le raffut de tous les diables qui déchirait la relative quiétude de cette planète aux allures inhospitalières. Si vu de l'extérieur, les carottes semblaient déjà bien cuite...à l'intérieur du Pandora, ce n'était pas vraiment la joie non plus. |
Avec le temps, piloter le vaisseau de feu son maitre était devenu comme une seconde nature pour Dalek Sarcken mais comme toute vieillerie volante qui se respecte...il suffisait d'un rien pour que la mécanique parte en quenouille. Si la plupart des décollages se déroulaient sans la moindre anicroche, par là je voulais dire ceux qui n'avaient pas lieu sous une pluie de tir de blaster, les atterrissages eux...étaient nettement plus périlleux. Quand il ne s'agissait pas du bouclier déflecteur qui faisait des siennes lors de l'entrée dans l'atmosphère, c'était le tableau de bord qui devenait un véritable feu d'artifice, claquant, scintillant, brulant et pétant ici et là. On se serait cru dans un véritable show sons et lumières ou dans l'un des bouges sordides des bas fonds des Coruscant. Épilepsie en vue, chaud devant! Le Miraluka était habitué au saute d'humeur du vieil appareil et la plupart du temps, il suffisait de taper où cela déconnait pour rectifier le tir. Mais pas cette fois, non. La bonne vieille carlingue avait fait son temps apparemment et elle ne comptait pas s'éteindre silencieusement. La Pandora voulait se crasher en beauté et avec de la compagnie. Et cette compagnie était nulle autre que son pilote Dalek Elm Sarcken, premier du nom et visiblement le dernier. Un capitaine ne quitte jamais son navire, disait l'expression. Mais le mirakula n'était pas capitaine et il ne voulait pas crever dans cette carcasse de ferraille...même s'il l'appréciait énormément cette vieille dame. Elm avait encore envie de profiter de la vie, enfin un petit peu...si c'était possible.
L'intérieur du cockpit était plongé dans une lumière rouge et angoissante qui clignotait comme si elle signalait au malheureux pilote que son temps était compté et qu'il s'écoulait seconde après seconde. Tic Tac, Tic Tac...autrement dit, Tu vas mourir, tu vas mourir. Pour en rajouter une couche, si jamais la perspective de mourir écrasé comme une daube vulgaire entre plusieurs tonnes de ferraille et de plastacier ne vous suffisait pas, que la lumière rouge vous rappelant avec insolence que vous allez y passer, ne vous atteignait même pas. Laissez moi vous présenter l'alarme stridente et casse burne au plus haut degré. Comment se concentrer convenablement avec un potin pareil. Pourtant Sarcken faisait de son mieux pour mettre à profit l'enseignement jedi que son maitre,Perfl Varis, lui avait enseigné mais lorsqu'un vaisseau en perdition à decidé de se désintégrer en embrassant d'un peu trop près et avec un peu trop de vitesse le sol d'une planète...il n'y a pas énormément d'alternatives. Il n'y avait qu'une chose à faire à vrai dire. Limiter la casse en tachant d’atterrir le mieux possible. L'incendie à l'intérieur du cockpit était partiellement maitrisé, cela laissait au Miraluka suffisamment de visibilité pour voir ce qui se trouvait devant lui et par conséquent, ne plus manœuvrer à l'aveugle. Les réacteurs étaient toujours en flamme, après tout il n'y avait pas de raison qu'ils s'éteignent tout seul ces cons là. Le pandora scinda l'immensité nocturne d'une plaie embrasée. Le vaisseau filait comme une étoile vers ce qui serait sa dernière demeure, le sol de Barab Prime...un linceul de roche.
L'impact aurait lieu dans ce qui n'était plus qu'une poignée de seconde, Dalek faisait tout ce qui était en son pouvoir pour ralentir la chute du vaisseau, faisant appel à la Force pour atterrir sur le "ventre" du Pandora et ainsi glisser jusqu'à son arrêt total, qu'il soit naturel ou forcé...si par malheur il rencontrait un bâtiment civil. D'après ce que Sarcken avait pu constater, aucun signe de vie ou d'une quelconque ville n'était visible pour l'instant. Oh bien sur il avait bien repéré le relief étrange environnant les crevasses et autres canyon mais rien de comparable au building gigantesque des planètes dites "écumenopolis". Gloups Tiens, il les avait oublié ces crevasses et canyons. Cela ne suffisait il pas d'éviter un crash?!? Ce n'était pas assez sensationnel comme ça? Fallait en plus rajouter des canyon de la mort un peu partout sur la planète. Et des montagnes...également. "Tu as bien choisis ton moment pour tomber en rade toi. C'est pas possible ça..." dit Dalek d'une voix emplie de reproche.
Quelques minutes après, c'est un Miraluka solidement cramponné qui laissa échapper un charmant: Merde...MERDE...MEEEEERDE! Ensuite le Pandora s'écrasa. Le bruit terrible d'un vaisseau se froissant en percutant la roche se fit entendre à des kilomètres à la ronde, les rochers volèrent en éclat, le sol se creusa sous le passage de l'appareil et un cratère se forma lorsque finalement il stoppa sa course. Dans le cockpit, des fils électriques se suspendaient et crépitaient un peu partout. Dalek était allongé sur le sol, franchement secoué il était complétement dans le brouillard. Un choc au niveau du front lui avait fait perdre connaissance pendant quelques minutes. Il s'était probablement mangé le tableau de bord en pleine tête, qui pouvait bien le savoir après tout. Le Pandora venait de prendre sa retraite, ce vaisseau dans lequel il avait tant de souvenir tirait sa révérence...tout comme Perfl il y a plusieurs années. L’atterrissage bien que chaotique avait rempli son objectif avec brio, Dalek était toujours en vie et en un seul morceau. Par contre il allait très certainement avoir un mal de crane pas possible pendant les prochains jours. Après une petite fouille, il posa finalement la main sur son sac. C'était tout ce qu'il possédait à présent. Il s'extirpa de la carcasse du vaisseau, non sans s'écorcher superficiellement les avants bras ainsi que la cuisse droite. Puis une fois avoir reprit ses esprits., une pluie diluvienne sur le coin du museau ça a le don de réveiller, il se dirigea vers ce qu'il identifia comme étant un astroport. Il en avait vu une flopée de ces derniers depuis le temps qu'il pilotait et ils se ressemblaient tous de près ou de loin. Bien que celui ci se trouvait dangereusement proche d'une crevasse.
L'intérieur du cockpit était plongé dans une lumière rouge et angoissante qui clignotait comme si elle signalait au malheureux pilote que son temps était compté et qu'il s'écoulait seconde après seconde. Tic Tac, Tic Tac...autrement dit, Tu vas mourir, tu vas mourir. Pour en rajouter une couche, si jamais la perspective de mourir écrasé comme une daube vulgaire entre plusieurs tonnes de ferraille et de plastacier ne vous suffisait pas, que la lumière rouge vous rappelant avec insolence que vous allez y passer, ne vous atteignait même pas. Laissez moi vous présenter l'alarme stridente et casse burne au plus haut degré. Comment se concentrer convenablement avec un potin pareil. Pourtant Sarcken faisait de son mieux pour mettre à profit l'enseignement jedi que son maitre,Perfl Varis, lui avait enseigné mais lorsqu'un vaisseau en perdition à decidé de se désintégrer en embrassant d'un peu trop près et avec un peu trop de vitesse le sol d'une planète...il n'y a pas énormément d'alternatives. Il n'y avait qu'une chose à faire à vrai dire. Limiter la casse en tachant d’atterrir le mieux possible. L'incendie à l'intérieur du cockpit était partiellement maitrisé, cela laissait au Miraluka suffisamment de visibilité pour voir ce qui se trouvait devant lui et par conséquent, ne plus manœuvrer à l'aveugle. Les réacteurs étaient toujours en flamme, après tout il n'y avait pas de raison qu'ils s'éteignent tout seul ces cons là. Le pandora scinda l'immensité nocturne d'une plaie embrasée. Le vaisseau filait comme une étoile vers ce qui serait sa dernière demeure, le sol de Barab Prime...un linceul de roche.
L'impact aurait lieu dans ce qui n'était plus qu'une poignée de seconde, Dalek faisait tout ce qui était en son pouvoir pour ralentir la chute du vaisseau, faisant appel à la Force pour atterrir sur le "ventre" du Pandora et ainsi glisser jusqu'à son arrêt total, qu'il soit naturel ou forcé...si par malheur il rencontrait un bâtiment civil. D'après ce que Sarcken avait pu constater, aucun signe de vie ou d'une quelconque ville n'était visible pour l'instant. Oh bien sur il avait bien repéré le relief étrange environnant les crevasses et autres canyon mais rien de comparable au building gigantesque des planètes dites "écumenopolis". Gloups Tiens, il les avait oublié ces crevasses et canyons. Cela ne suffisait il pas d'éviter un crash?!? Ce n'était pas assez sensationnel comme ça? Fallait en plus rajouter des canyon de la mort un peu partout sur la planète. Et des montagnes...également. "Tu as bien choisis ton moment pour tomber en rade toi. C'est pas possible ça..." dit Dalek d'une voix emplie de reproche.
Quelques minutes après, c'est un Miraluka solidement cramponné qui laissa échapper un charmant: Merde...MERDE...MEEEEERDE! Ensuite le Pandora s'écrasa. Le bruit terrible d'un vaisseau se froissant en percutant la roche se fit entendre à des kilomètres à la ronde, les rochers volèrent en éclat, le sol se creusa sous le passage de l'appareil et un cratère se forma lorsque finalement il stoppa sa course. Dans le cockpit, des fils électriques se suspendaient et crépitaient un peu partout. Dalek était allongé sur le sol, franchement secoué il était complétement dans le brouillard. Un choc au niveau du front lui avait fait perdre connaissance pendant quelques minutes. Il s'était probablement mangé le tableau de bord en pleine tête, qui pouvait bien le savoir après tout. Le Pandora venait de prendre sa retraite, ce vaisseau dans lequel il avait tant de souvenir tirait sa révérence...tout comme Perfl il y a plusieurs années. L’atterrissage bien que chaotique avait rempli son objectif avec brio, Dalek était toujours en vie et en un seul morceau. Par contre il allait très certainement avoir un mal de crane pas possible pendant les prochains jours. Après une petite fouille, il posa finalement la main sur son sac. C'était tout ce qu'il possédait à présent. Il s'extirpa de la carcasse du vaisseau, non sans s'écorcher superficiellement les avants bras ainsi que la cuisse droite. Puis une fois avoir reprit ses esprits., une pluie diluvienne sur le coin du museau ça a le don de réveiller, il se dirigea vers ce qu'il identifia comme étant un astroport. Il en avait vu une flopée de ces derniers depuis le temps qu'il pilotait et ils se ressemblaient tous de près ou de loin. Bien que celui ci se trouvait dangereusement proche d'une crevasse.
[Alater-Ka - Cantina de l'astroport]
Quel merveilleux soulagement que de poser enfin un cul en sécurité. Dalek n'en revenait vraiment pas de s'en être sorti indemne ou presque. Il avait bien quelques égratignures par ci par là, peut être des bleus également mais comparé à la collision, à l'épreuve même qu'il venait de vivre. Etre vivant à cette table relevait du miracle. Il lui fallu quelques minutes supplémentaire pour digérer tout cela. Sarcken subissait de plein fouet ce qu'on appelle le contre coup. Quelle tarte en pleine trogne. Il resta là, assis...les yeux fermés. Se concentrant juste sur sa respiration et sur les conversations alentours. Les sujets étaient aussi divers que variés, allant d'une partie fine pas si fine que ça en compagnie de plusieurs danseuses Twi'leks, en passant par une discussion animée à propos d'un pari perdu aux courses de podracer de Malastar. Le Miraluka laissait trainer ses oreilles ici et là sans accorder énormément d'attention à ce qu'il pouvait bien entendre. Cependant...une conversation l'intrigua et l'intéressa en même temps. Elle parlait d'une légende à propos des Hommes Rouges. Qui étaient ils donc? Mystère...
Dernière édition par Dalek Sarcken le Mar 20 Déc 2011 - 6:07, édité 1 fois