Depuis deux jours, Arcadessa se demandait bien quel allait
être la réponse du conseil à sa demande. Elle avant demandé à la force mais celle-ci
ne lui avait rien répondu. Après tout c’était normal puisque cette question la
concernait elle-même. Etre chevalier Jedi n’était pas son but ultime.
Seulement, le fait qu’être padawan l’obligeait à être perpétuellement avec
quelqu’un lui était désagréable. Depuis la mort de son maitre lors de l’ordre
66, elle avait toujours eu du mal à s’acclimater. Après tout, ne lui avait il pas dit quelques
jours avant la purge qu’il comptait en faire la demande ? le Nautolan n’était
pas un menteur et il avait confiance en elle. Depuis son retour, il y a deux
ans, elle n’avait jamais fait de demande, pensant avoir perdu quelques
capacités durant ses quatre ans d’inactivité sur Naboo. Elle avait comprit
rapidement que les diverses séances de méditations qu’elle se forçait à faire n’avait
pas été vaine. La Padawan se sentait plus proche de la force qu’elle ne l’avait
jamais été auparavant.
La Twi Lek n’était pas vraiment sociable et affronter le
conseil n’était pas une chose facile pour elle. Après tout, ils pourraient lire
en elle. Jamais la colère ou la haine n’étaient entrés en elle. En faite c’était
l’inverse, Arcadessa respectait le code à la lettre et peut être même trop. A ses
yeux tuer n’était pas contraire au code. La mort faisait partie de la vie et
rejoindre la force était la plus belle des choses. Envoyer quelqu’un auprès de
la force n’était il pas lui rendre service ? Personne n’avait vu la jeune
fille s’énerver ni répondre avec insolence à quiconque.
Ce matin, un jeune homme était venu la voir, lui annonçant
que son audience avec le conseil aurait lieu ce midi. La demoiselle se prépara, portant son sabre à
la ceinture comme à l’accoutumée, elle déposa doucement sa bure sur son dos et
mit la capuche. Arcadessa était assez timide et n’aimait pas qu’on la remarque.
Elle marcha d’un pas rapide jusqu’à l’antichambre, attendant tranquillement qu’ils
la fassent entrer, elle ferma les yeux et commença à méditer.
être la réponse du conseil à sa demande. Elle avant demandé à la force mais celle-ci
ne lui avait rien répondu. Après tout c’était normal puisque cette question la
concernait elle-même. Etre chevalier Jedi n’était pas son but ultime.
Seulement, le fait qu’être padawan l’obligeait à être perpétuellement avec
quelqu’un lui était désagréable. Depuis la mort de son maitre lors de l’ordre
66, elle avait toujours eu du mal à s’acclimater. Après tout, ne lui avait il pas dit quelques
jours avant la purge qu’il comptait en faire la demande ? le Nautolan n’était
pas un menteur et il avait confiance en elle. Depuis son retour, il y a deux
ans, elle n’avait jamais fait de demande, pensant avoir perdu quelques
capacités durant ses quatre ans d’inactivité sur Naboo. Elle avait comprit
rapidement que les diverses séances de méditations qu’elle se forçait à faire n’avait
pas été vaine. La Padawan se sentait plus proche de la force qu’elle ne l’avait
jamais été auparavant.
La Twi Lek n’était pas vraiment sociable et affronter le
conseil n’était pas une chose facile pour elle. Après tout, ils pourraient lire
en elle. Jamais la colère ou la haine n’étaient entrés en elle. En faite c’était
l’inverse, Arcadessa respectait le code à la lettre et peut être même trop. A ses
yeux tuer n’était pas contraire au code. La mort faisait partie de la vie et
rejoindre la force était la plus belle des choses. Envoyer quelqu’un auprès de
la force n’était il pas lui rendre service ? Personne n’avait vu la jeune
fille s’énerver ni répondre avec insolence à quiconque.
Ce matin, un jeune homme était venu la voir, lui annonçant
que son audience avec le conseil aurait lieu ce midi. La demoiselle se prépara, portant son sabre à
la ceinture comme à l’accoutumée, elle déposa doucement sa bure sur son dos et
mit la capuche. Arcadessa était assez timide et n’aimait pas qu’on la remarque.
Elle marcha d’un pas rapide jusqu’à l’antichambre, attendant tranquillement qu’ils
la fassent entrer, elle ferma les yeux et commença à méditer.