Suites des invités du palais

Le Neimoidien ainsi que ses garde entrèrent dans la salle qui charma la délégation de la FDC. Suivant Syuila
d'une démarche longue et élancée, le Neimoidien prit place face a la
terrasse.Croisant ses jambes, il prit la mallette des mains du garde qui
se tint près de la porte. Le représentant di vice-roi fixa alors les deux femmes de ses yeux sombres avant de commencer les négociations.

--Neimoidien--Carida possède un charme architectural hors du commun! Les grattes-ciels de
Coruscant
ont l'air de vulgaires bâtiments face à votre Cité. Cependant, je ne
suis pas venu ici pour discuter d'art mais bien pour des ententes
commerciale au nom de la Fédération du Commerce.

Puis regardant ensuite cette femme twi-lek,il pris parole:
--Neimoidien--Bien bonjours,malgré que nous nous sommes jamais vue,j'ai l'honneur de vous offrir un moment avec la Fédération du commerce pour discuté affaire,bien sur s'il vous voulez,et q8ue vous avez le temps,sinon j'attendrais le moment de votre venu,maintenant je vais plus loin,si cela vous enchante je vous attendrait a ma table.

HJ : Comme dit plus haut Nute, j'essaye d'obtenir un VRAI RP diplomatique, avec de VRAI visite (comme du temps ou Wei'Okuni jouait Gwa, ça faisait plaisir à lire). Donc soit moins direct. Rentre dans l'esprit du RP : sur Carida, des soirées comme celle-ci, t'en aura plein.

Si aucun d'entre vous ne souhaite ce genre de RP, les MP sont vos amis, mais je trouverai ça vraiment trés dommage.

Du beau RP ! du beau RP !

Edit : Mauvais compte, c'est bien Veers

PNJ : Syuila Yitreas.

Syuila observait la scène. Les diplomates, ambassadeurs et industriels de la galaxie se livraient à de multiples joutes verbales, d'influences et de pouvoir, cherchant à gagner ses faveurs ou à gravir les echelons de la société. Mais Syuila avait déja prévu qu'ils n'obtiendraient pas grand chose de plus. Elle prevoyait déja de faire arréter la moitié de ceux qui s'étaient présentés à cette assemblée. Pour elle, ces soirées étaient le summum du controle et de la sécurité : des agents du double I s'étaient en effet infiltrés partout dans la reception et observaient les attitudes de tout les convives. Ici, ne pas respecter l'etiquette, c'etait refuser le regime, se rebeller et s'y opposer. Le salut que venait d'adresser Livia avait déja été rescencé, et d'autres événements de la soirée devait permettre de tester les convives. Ainsi, l'empire prendrait progressivement le controle de toute l'économie, et de toute les affaires politiciennes de Carida.

Syuila observa d'ailleurs avec l'air d'une proie qui surveille sa cible les gardes neimodiens du vice-roi de la fédération se faire reconduire à la porte. Seul devaient être visibles les soldats de l'empire et les gardes de sécurité du Parti, pour la propagande ... La présence de gardes autres que des soldats de l'empire était également notée par les membres du Double I.

La recrudescence de la présence de ces soldats vetus de noir, portant ostensiblement leurs blasters E-11 lorsqu'ils étaient en faction, et arborant des DH-17 rangés dans leurs holster à la ceinture lorsqu'ils patrouillaient dans la fête, commença progressivement à se faire remarquée par les convives qui ne réspèctaient pas l'étiquette impériale. La crainte s'empara de la foule et les attitudes exemplaires vis-à-vis de l'empire se multiplièrent : on savait, parmis les convives politiques, que Syuila avaient de nombreux contacts au sein du Double I, la police politique impériale, et qu'elle disposait aussi de contacts étroits avec le Colonel Veers et le Commodore Piett. La seule évocation de ces noms, officiers en charges de l'escadre Main de l'Impératrice, suffisait à faire trembler l'échine de nombreux diplomates. La seule perspective de voir arrivé au dessus de sa planète une flotte ayant carte blanche pour éradiquer la Rebellion, suffisait à calmer les ardeures Republicaines de certains. Et sur Carida, ces ardeurs Republicaines n'étaient pas les bienvenues ...

Ainsi, Syuila se delectait de ces scènes de craintes, de propagande, et de peur, et observait la foule devenir progressivement l'exemple même d'une foule pro-impériale. Elle observa ainsi de loin la représentante Sullusteenne se faire abordée par Alexander : un exellent reporter et un véritable fan de la Moff Impériale.

- Je suis reporter au "Peuple de Carida", responsable de la section politique. Et nous aimerions pouvoir publier une interview de vous dans l'edition de demain. Il nous semble un effet important que le peuple Caridan soit pleinement conscient de sa place dans la galaxie et donc des relations que nous entretenons avec d'autres mondes. Accepteriez-vous de répondre à quelques questions ?

Ce genre d'interview, se deroulant en public, écoutées et écoutables par tous, se multipliaient depuis l'accession au pouvoir de Syuila : pour deux raisons bien simples. La première, c'est que cela permettait au Double I de surveiller ostensiblement les convives et les reporters. La seconde, c'est que le reporter n'aurait pas à retravailler son interview : l'interviewé ayant déja caressé l'empire dans le sens du poil de peur des regards des autres et de leurs oreilles. Car ici, le fait d'être pro-républicain, ou pro-impérial, n'avait plus de sens. Seul comptait la lutte de pouvoir que se livraient tout les convives. Seul comptait Syuila et la place que l'on avait auprés d'elle. Cette moralité s'ancrait progressivement dans la tête des citoyens et des militaires de l'empire. Syuila était la messagère de l'impératrice. Être bien vu, et être écouté par elle, c'était être écouté par l'impératrice. Un regard, un sourire, pouvait faire de vous l'homme (ou la femme) le (la) plus puissant(e) de Carida, ou au contraire le (la) dernier(ère) des mendiant(e)s ...

Ainsi Syuila se retrouva donc face au representant de la fédération du commerce. Elle l'observa droit dans les yeux, sure qu'il aurait compris qu'il n'y avait pour lui, pas de meileure opportunité de tisser des liens avec Ryloth que pendant cette soirée.

- Carida possède un charme architectural hors du commun! Les grattes-ciels de Coruscant ont l'air de vulgaires bâtiments face à votre Cité. Cependant, je ne suis pas venu ici pour discuter d'art mais bien pour des ententes commerciale au nom de la Fédération du Commerce.

Syuila s'amusa de cette Réplique. Elle aurait été toute autre si la personne en face du Neimodien aurait été un Grand Moff Impérial, ou l'impératrice elle-même.

- Vous devriez surveiller vos paroles Neimodien. Carida est certainement une belle cité, mais rien ne vaut la splendeur de Coruscant, de la cité impériale et de la planète de l'impératrice. Car l'impératrice nous guide tous. Je ne suis ici que sa messagère, et ne serrait jamais plus puissante qu'elle.

Syuila avait user de la force pour manipuler l'esprit du Neimodien et y introduire la crainte et la peur. Elle constata derrière qu'un homme vetu d'un complet noir venait de se détourner en se grattant l'oreille. Elle le salua avec l'air de quelqu'un qui rencontre un amis. Celui-ci lui répondit de manière égale. Ce petit manège avait suffit pour introduire le doute dans l'esprit u Neimodien ...

Syuila se tenait néanmoins non loin de la représentante de Ryloth. Et sans doute pour échapper au manège que la Moff et ses sbires faisait peser sur ses épaules, comme autant de vautours surveillant leur proie, le Neimodien se detourna pour s'adresser à la Twi'lek.

- Bien bonjours,malgré que nous nous sommes jamais vue,j'ai l'honneur de vous offrir un moment avec la Fédération du commerce pour discuté affaire,bien sur s'il vous voulez,et q8ue vous avez le temps,sinon j'attendrais le moment de votre venu,maintenant je vais plus loin,si cela vous enchante je vous attendrait a ma table.

Un garde lui tapa à l'épaule sur un signe de la Moff. Il chuchota :

- On ne se détourne pas ainsi du Guide de Carida. Vous feriez mieux de négocier ce que vous avez à négocier avec le Moff plutôt que de déranger une interview d'un journal gouvernemental officiel.

Le garde mena une nouvelle fois le Neimodien en face de Syuila, qui n'avait toujours pas ouvert la bouche. Elle fit signe à un serveur de lui apporter deux verres. Celui-ci se detourna des deux personnes dont il venait de s'occuper pour s'empresser de servir la maitresse de soirée.

Syuila était d'ailleurs, bel et bien la maitresse. Elle avait décidé d'imposer son style ce soir-là. Contrairement à toute les autres, elle portait son habituelle robe noire, trés sobre et simple, conformément à la volonté de son ancien maitre : l'Empereur Palpatine. Elle faisait et defaisait la mode ici, et la robe qu'elle avait décidé d'arborer ce soir-là, ne manquerait pas d'éveiller l'interêt des femmes présentes : leurs tenues criardes et joyeuses étaient déplacées, et déja, plusieurs d'entre elles, honteuses, s'eclipsaient sous des excuses mensongères pour se représenter une demi-heure plus tard vétu de tenue sobre et peu luxueuse. Lydia perpetrait ainsi la volonté de son tout puissant maitre, qu'elle esperait voir s'imprimer également à l'impératrice. Néanmoins, elle redoutait le jour ou celle-ci déciderait de rendre visite à la haute société Caridanne, tout comme elle s'impatientait de voir le destroyer personnel de l'impératrice venir sur Carida. D'un coté, sa présence la releguerait à un rang secondaire, pour peu qu'elle vienne accompagnée de Moff et Syuila ne serrait plus rien, d'un autre, la venue de l'impératrice serrait pour elle l'occasion d'illustrer la grandeur de Carida. Et le fait que Byss ai déja copié ses réformes l'assurait de sa puissance.

Syuila quitta cependant bientôt ses refléctions pour se concentrer sur le president de la fédération, qui semblait attendre qu'elle n'ouvre la bouche depuis trente bonne secondes.

- Vous avez donc déja rencontré la représentante de Ryloth, commença Syuila. Qu'en pensez-vous ?

Elle le testait, la encore. Syuila connaissait déja tout ce qu'il y avait à savoir de la représentante de Ryloth. Mais elle savait aussi que controler le peuple commence par communiquer. Elle jetta un oeil à sa montre. La soirée ne faisait que débuter. En effet, d'abord l'apéritif, au milieu duquel ils se trouvaient, ensuite la parade, le repas, le dessert et pour finir, son discours, annonçant les prochaines réformes éfféctuées dans l'empire. Le verre qu'elle buvait à présent n'était donc pas le moins du monde alcoolisé, même si sa texture était celle d'un exellent vin blanc correlien. Ainsi Syuila entretenait-elle le mythe de l'impassible dirigeante que rien n'arrète. Car bien sur, personne ne savait ce que buvait la Guide de Carida ...

La parade se terminait. La Moff Syuila Yitreas se dirigea ainsi vers une estrade qui dominait le reste de la terrasse. Plusieurs micro y étaient disposés. Pendant que resonnait l'hymne national Caridan, et que tout les convives, le regard dirigé sur la grand étendard de Carida, Syuila achevait la préparation de son discours.

Un message lui parvint de Coruscant, ou Veers lui signalait que le conseil des moffs débuterait dans une dizaine d'heure. Elle dormirai à bord du Conqueror.

- Faites affréter mon destroyer ! Lança-t-elle à un garde du parti qui, aussitôt, s'éloigna en courant et franchi les portes de la terrasses vers les plateformes de décollage.

Syuila grimpa sur l'estrade, l'hymne et les chants prirent fin. Elle observa pendant plusieurs Minutes les citoyens devant elle. En début de soirée, on se serrait crut en pleine République : les femmes portaient des vétements luxueux et colorés, étaient surmaquillées, s'arrgoeait de dizaine de chales et de froufrous. Syuila avait imposé SA mode, les femmes s'habillaient désormais de noir ou de bleu marine. Il leur avait fallu quelque secondes pour se rendre dans les vestiaires et louer une autre robe, ou rejoindre leur demeure lorsque celle-ci était proches. Les vétements étaient à présent sombre et modestes, ceux d'une noblesse qui ne s'affiche pas et ne se différencie pas de la classe.

Syuila observait. Tout se mettait en oeuvre. Sa politique du groupe social homogêne ne tarderai pas à s'appliquer toute seul lorsque les chefs d'entreprise ferront progressivement faillite et ne tarderont plus à donner à Scilla leurs titres et actions. Il y aurait alors l'élite de l'élite, les plus impérialistes de Carida, les compagnons du guide ! L'armée, et ses généraux et stormtroopers qui maintiendront l'ordre, et le peuple, d'un niveau de richesse à peu prés égal, qui enrichira l'empire et serra la base de son avancée dans le temps et la science.

Elle se decida enfin à commencer aprés s'être déléctée pendant plusieurs minutes de cette vision d'avenir :

- Citoyens, Citoyennes.

Une caméra d'holovision touranait autour de la terrasse pour retransmettre la scène au peuple.

- Sur Carida à ce jour, beaucoup de chose ont changé. Tout changera progressivement. Ne vous avais-je pas promis richesse et pouvoir ? Ne vous avais-je pas promis une outre façon de voir votre planète ? Na vous avais-je pas promis une grande armée ? Carida commence à se doter de tout ce qui doit faire d'elle un joyau de la couronne impériale. Un peuple fidèle et serviable lui est plus que jamais nécéssaire.

Mais, je ne suis pas ici pour faire le bilan de ces 4 premiers mois de labeur. Car il y a encore beaucoup de travail. Beaucoup de chose restent à achever pour que l'empire, à travers Carida, brille de milles feux. La société Caridanne présente encore à ce jour des inégalités. Inégalités intélorables et qui tendent à se creuser. Laissez au gouvernement le temps d'achever ses réformes et ces inégalités disparaitront comme elles sont apparue.

En effet, citoyens, citoyennes. Ces inégalités, ce n'est pas à l'empire que vous les devez. Elles sont la conséquence de dizaine d'années d'un règne Républicain qui n'a causé que la ruine des peuples qui l'avaient choisis. Aujourd'hui, sur Carida, nous corrigerons ces inégalités, pour révéler un peuple parfaitement uni et solidaire.

C'est pourquoi nous allons commencer par l'oeuvre économique de Carida. En effet, dans le système que nous avons aujourd'hui, la bonne santé économique de chacun dépend de la bonne santé économique de tous. C'est pourquoi, nos réformes viseront à améliorer la puissance de l'économie Caridanne, pour faire circuler capitaux et marchandises par notre planète. Ainsi, nous avons simplifier fortement l'accés à notre orbite, nous simplifierons fortement l'accés à la planète elle-même. Un grand Astroport Caridan serra construit à Spinara City et nous relierons notre capitale aux autres villes de Carida, en tenant compte de la nature et de la splendeur de notre planète. Des voies sous-terraines rellieront nos villes entre-elles.

Voila citoyens, comment je compte améliorer la vie sur Carida pendant ce prochain mois. Mais je vous l'ai dit. Le travail n'est pas terminé, nous en avons encore beaucoup. Aussi, je vous demanderai de faire preuve de patience et de nous laisser oeuvrer à votre bien-être.

Un tonnerre d'applaudissement accueilli ce qui n'était que pure langue de bois. Syuila descendit de l'estrade, et le premier ministre et Haut-Général de la première armée Kussel Morvik s'approcha.

- Moff Yitreas, nous avons une communication du Colonel Veers, depuis l'Accuser, en approche de Coruscant. Il demande à vous parler.
- Jugez-vous que ma présence ne soit encore nécéssaire ?
- Non. De toute façon, tout ce que nos ministres déclareront, vous l'avez déja lut et approuvé, et tout ce que les chefs d'entreprises et autres nobliaux diront serra effacé des registres, et eux avec s'ils se montrent trop entreprenant.
- Bien. Vous ferrez savoir à Livia Krait, la représentante de Ryloth, que des affaires urgentes me conduisent sur Coruscant, et vous prendrez un rendez-vous avec le Neimodien de la Fédération du Commerce pour dans un mois environ.
- A vos ordres.
- Promenez la Twi'lek dans Carida s'il le faut. Elle m'attendra.

Le général hocha la tête. Syuila fit volte-face et se dirigea vers la salle des communications, déserte à cette heure-ci. Seul quatre stormtroopers se trouvaient aux quatres coins de la piece. Syuila s'avança vers l'hologramme du colonel Veers, au milieux de la piece.

- Qui y'a-t-il d'aussi important colonel ?
- Brandeï. Il prend du pouvoir, et présentera dans quelques heures, un projet au sénat : le projet Umbrella. Ce projet, je l'ai lut, prévoit entre autre une douane sur les marchandises voyageant au sein de l'empire, et ce avec une aide impériale et Kuatis. Vous savez ce que ça veux dire ?
- J'aurrai crut Adirith plus subtil. Oui, je vois ce que ça veux dire. Le contrôle totale de la Umbrella sur les voies commerciales. Même la FdC dépendrai de Umbrella Corporation.
- Et vous connaissez la valeur de cette douane ?
- Non.
- Malheureusement moi non plus. Mais Brandeï compte sans doute faire de ce programme l'un de ses premiers centres de gain monétaire. L'impératrice n'a sans doute pas bien vu et considéré les repercussions de ce projet.
- Lui en faire part directement vous conduirai à la potence, Colonel. Je prendrai contact avec le Grand Moff Oron Fel. Mon supérieur direct de l'ordre des chevaliers Impériaux. Si l'empire veut éviter de perdre le contrôle partout, il vaut mieux qu'il envoit ce genre de procéder par le fond : là ou il devrait se trouver.
- Cela ne protégera pas de la piraterie. C'est Piett qui me l'a affirmé : les pirates cherchent des ports Franc. Ils ne se promènent pas dans les astroports impériaux. Et un commerçant faisant de la piraterie revendra ses marchandises dans des ports Franc. Quand aux Rebelles : Ils ont leur propre flotte, et n'ont pas pour coutûme de franchir les portes de douanes des astroports.
- En clair, Brandeï pisse dans un violon pour jouer du trombonne et menace grandement toute l'économie impériale. Je vois ce que vous voulez dire. Qui fait quoi ?
- Je me rend sur l'heure au conseil des Moffs.
- Donc je prendrai le Sénat et notre lord un peu trop ambitieux.
- Yotas peut aider ?
- Sa voie et sa parole n'ont pas de crédit au sénat. Je me met immédiatement en route.

Syuila éteignit la communication et en alluma immédiatement une autre. Elle envoya un message court au grand moff Oron Fel :

- Paladin Obscur Syuila Yitreas, au rapport.

Votre Seigneurerie, excusez mon impertinence. Il est plusieurs choses dont j'aimerai vous faire cas. Tout d'abord, il sagit du projet Umbrella. Il nous faut rapidement obtenir un véto sénatorial pour sa suspension, afin que je puisse vous entretenir, une fois le conseil des Moffs terminé, de ce qui m'en effraie. La seconde, est tout simplement, la volonté pour moi d'obtenir la poursuite de ma formation à l'ordre des chevaliers impériaux sur Bastion. J'ose éspérer, votre Seigneurerie, une réponse rapide et favorable.

Quelques minutes plus tard, Syuila s'élança dans les couloirs du palais, suivit par une douzaine de Stormtroopers. Elle mena sa troupe jusqu'à une navette qui ne manqua pas de décoller vers le Conqueror, qui attendait toujours au dessus de Cliffside, alors que le reste de la flotte se trouvait déja sur orbite.

Une fois le Moff à bord, le StarDestroyer s'éleva lentement dans les airs, il monta jusqu'à l'orbite et bondit en hyperespace à destination de Coruscant.

Couleur plus tard.