La cellule du padawan Tuvok

Alya s’éveille dans sa cellule de l’Académie Jedi fondée sur la quatrième lune sanctuaire de Yavin, dans les caves d’un antique et cyclopéen temple Massassi au cœur d’une jungle tropicale étouffante et brumeuse.

La petite pièce dont les murs sont construits en grosses pierres noires très précisément ajustés, sans mortier, ne mesure pas plus de 3 m sur 3. Elle est fermée par une lourde porte de cristacier commandée par un panneau électronique. Le seul mobilier est une paillasse de plastiforme épaisse et une cantine de duracier sans verrou.

Depuis son arrivée à l'Académie, on attend de la padawan qu'elle se prenne en charge comme c'est désormais une obligation pour tous les membres de l'Ordre face au manque cruel de chevaliers.

[Alya a passé presque toute sa vie au temple de Coruscant. Elle a appris l'essentiels des méditations, des exercices d'endurcissent et des [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] qui doivent être répété sans cesse pour entretenir la condition physique et mentale exceptionnelle d'un jedi. A toi de dresser l'emploi du temps de la journée type du padawan sur Yavin.]

Dernière édition par MJ 5 le Mar 22 Avr 2008 - 17:00, édité 1 fois

La jeune Alya, assis sur un gradin de l’antique maçonnerie noire des ruines Massassi qui abrite l'Académie, regarde autour d’elle aussi loin que porte sa vue. La petite lune sanctuaire de Yavin est recouvert par une étouffante et impénétrable jungle tropical, baignés dans une brume perpétuelles, peuplés d’une kyrielle de créatures mortelles et de pièges assassins.
Le climat, chaud et humide, détraque la plupart des systèmes mécaniques et électroniques. Le sol, marécageux et traître, demande une attention de tous les instants pour celui qui s’aventurent sous la frondaison, dans la pénombre perpétuelle de cet enfer vert où il est bien facile de disparaître corps et âme.
Les jedi arpentent parfois la forêt-galerie montés sur des swoops mais ils vont plus généralement à dos de xénarthe, une espèce de paresseux géant élevé comme monture.

Alya reconnaît le pas familier du chevalier jedi [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].

La silhouette humanoïde familière de presque 2 mètres du [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] emmitouflés sous l'ample manteau de pélerin galactique qu'affectionnent les jedi s'arrète derrière l'adolescente. Il demande :

- Padawan Tuvok, quelque chose te trouble ?

C'est plus un constat qu'une question.

Alya se dépêcha de se faire une figure plus avenante en voyant le maître Kit Fisto apparaître comme venant de nul part.

-Ne vous inquiétez pas pour moi, maître Fisto. Tout va bien.

Bon, elle mentait très mal mais, elle ne voulait pas d'une leçon de philosophie Jedi. Elle était en deuil et ne pensait pas qu'un discours sur la nécessité de retrouver la paix et l'harmonie l'aiderait énormément. Elle aimait bien le maître Fisto mais, il ne verrait peut-être pas son point de vue.

Elle s'approcha du bord du toit et observa la jungle belle et dangereuse. L'endroit était très beau mais, il ne parvenait pas à lui faire oublier le passé. Elle retint ses larmes encore une fois. Par chance, elle était dos au maître. Elle voulu alors changer de sujet pour éviter qu'il lui pose d'autres questions.

-C'est un très bel endroit ici, maître Fisto. Calme et loin de tout. La cachette idéale. Personne ne viendra nous chercher ici.

Alyak a écrit:

- Ne vous inquiétez pas pour moi, maître Fisto. Tout va bien.

Le chevalier Fisto ne dit rien.

Alya a écrit:

-C'est un très bel endroit ici, maître Fisto. Calme et loin de tout. La cachette idéale. Personne ne viendra nous chercher ici.

Le nautolan dit finalement doucement :

- Ils nous trouveront, même ici. C'est le destin de l'Ordre. Les maîtres l'ont préssenti. Nous avons un répit qu'il faut mettre à profit pour apporter de bonnes réponses à de mauvaises questions, padawan Tuvok.

Alya se retourna et fixa le maître, curieuse. Ainsi donc, ce n'était qu'un répit. Allaient-ils un jour retrouver leur position de gardiens de la paix dans cette galaxie? L'Ordre était si proche de sa fin?

-Alors, que devons-nous faire, Maître Fisto? Devons-nous nous battre ou accepter et nous laisser détruire?

Pour sa part, trop enfoncée dans sa dépression, Alya se serait bien couché et aurait attendu la mort. En l'accueillant comme une amie. Elle continua de fixer la jungle. La jeune femme ne savait pas ce que le maître avait voulu dire plus tôt.

-Que vouliez-vous dire par apporter de bonnes réponses à de mauvaises questions, Maître?

Aliana Tuvok a écrit:

-Alors, que devons-nous faire, Maître Fisto? Devons-nous nous battre ou accepter et nous laisser détruire?

Le chevalier laisse filtrer un sourire de la petite fente qui lui sert de bouche :

- Se battre ou accepter. Ne voit tu que ces deux réponses ?

Fuir? Elle avait fui la dernière fois et ses amis étaient morts. Elle s'était trouvé dans l'impossibilité de les rejoindre.Elle voulait les rejoindre mais, des soldats lui avaient bloqués la voie. Quand elle pu enfin y aller, il était trop tard. Ses amis gisaient au sol, morts. Elle avait donc fui aussi loin qu'elle le pouvait. Elle revoyait encore le tunnel des Bas-fonds qu'elle avait prit pour s'enfuir.

Aucune des créatures qui y vivait ne l'attaqua. Elle s'assit donc dans un coin et pleura tout ce qu'elle pouvait pleurer. Ces pleurs avaient attiré les mercenaires et leur chef l'avait prit sous sa protection en voyant qu'elle n'était pas l'un des déchets qui fréquentait d'ordinaire la zone.

Ses souvenirs avaient remonté si vite que des larmes coulaient encore de ses yeux. Elle détourna la tête pour que le Maître ne la voit pas pleurer. Elle parla et sa voix resta ferme malgré ses larmes.

-Quel autre choix avons-nous, Maître Fisto?

Alya a écrit:

-Quel autre choix avons-nous, Maître Fisto?

Le chevalier nautolan pause un silence puis répond avec malice :

- Danser avec nos adversaires.

Fisto ajoute :

- Ne t'atarde pas en conjecture sur l'avenir et concentre ton attention sur le présent que tu peux toucher. Tu auras tout le temps de réfléchir à tout cela en reprenant le cours des tâches qui t'incombent ma jeune padawan.

Alya essuya discrètement ses larmes et regarda le Maître. Ses yeux étaient légèrement rougis. De quelle tâche parlait-il? Elle avait été incapable de sauver ses amis sur Coruscant lors de l'attaque alors, elle ne voyait pas ce qu'elle pouvait faire de bien sur Yavin si même les maîtres avaient vu la fin de l'Ordre.

-Quelles sont mes tâches, Maître Fisto? Je ne vois pas en quoi je pourrais être utile.

Elle regarda l'horizon et sentit une pointe d'amertume en elle. Elle la chassa. La colère ne pourrait qu'envenimer les choses, l'empêchant de penser calmement et de prendre une décision sensée.

-J'ai été incapable de sauver mes amis sur Coruscant. Qui vous dit que je serai à la hauteur cette fois-ci?

Alya a écrit:

- J'ai été incapable de sauver mes amis sur Coruscant. Qui vous dit que je serai à la hauteur cette fois-ci ?

Le chevalier répond doucement :

- Il n'y a que toi qui pourrait répondre à cette question Alya.

Puis ajoute :

- Il y a des novices qui compte sur toi pour leur montrer ce qu'il y a à faire. Contente-toi d'être un exemple pour les plus jeunes.

[Les padawan ont en charge les novices qui ont réchappé du massacre de Coruscant. Ils doivent s'assurer des nombreuses tâches d'intendance de l'Académie : culture de champignons dans les caves, élevage des xénarthes, cuisine, entretien des machines, patrouilles dans la jungle à dos de xénarthes ou en swoop... Auquel il faut ajouter les méditations, les exercices d'endurcissement, l'entrainement au sabre, les dulons... Tu as le choix. Laisse couler ton imagination et profites de ces instants de liberté (pour le joueur) où tu peux jouer un peu le quotidien d'un jedi.]

Un exemple? Comment pouvait-elle être un exemple? Déjà, quand elle était au temple, les maîtres disaient d'elle qu'elle était un bon exemple comme quoi la Force avait le sens de l'humour. Tout ce qu'elle entreprenait finissait en catastrophe et, pourtant, elle-même n'était jamais blessée. Quand l'attaque du temple était survenue, elle était parvenue à se débarrasser des soldats en faisant accidentellement tomber une statue géante sur eux.

-Maître, comment pourrais-je être un exemple pour les plus jeunes? Vous savez très bien ce que les autres maîtres disent de moi. Je suis maladroite et vous le savez.

Elle se rapprocha du bord du toit et regarda au loin. Elle pourrait aller s'occuper des animaux. Au moins, eux, ne la jugeaient pas.

-C'est par miracle que j'ai réussis à survivre. Mes amis le méritaient plus que moi. J'étais toujours en retard sur les autres tant dans le maniement du sabre que dans mes autres pouvoirs et je n'arrêtais pas de provoquer des catastrophes. Je doute que ma propension à provoquer des catastrophes ait changé depuis Coruscant.

Aliana Tuvok a écrit:

-Maître, comment pourrais-je être un exemple pour les plus jeunes? Vous savez très bien ce que les autres maîtres disent de moi. Je suis maladroite et vous le savez.

Fisto met sa main squameuse sur l'épaule d'Alya.

- Fais confiance à La Force jeune padawan et fais nous confiance aussi : si les maîtres ont estimé que tu pouvais être formée, c'est que tu représentes un potentiel. Il ne tient qu'à toi de le trouver et de l'exploiter pour faire ce qu'ils attendent de toi. En attendant, fais ce que je t'ai demandé s'il te plaît.

D'un geste il invite la jeune femme à passer devant.

hj: Désolée pour le retard, j'étais occupé.

Alya leva des yeux larmoyants vers le maître et eut un triste sourire en hochant la tête. Elle partit devant le maître. Peut-être aurait-on besoin d'aide à la cuisine. Elle salua poliment le maître.

-Au revoir maître Fisto.

Elle partit ensuite vers la cuisine pour aider les jeunes novices dans leurs tâches quotidiennes.

Le chevalier Fisto regarde Alya descendre les gradins de l'antique Temple Massassi avec une lueur indéchiffrable dans ses grands yeux de nautolan.

[Alya doit faire face à ses responsabilités tout en poursuivant sa formation. Poursuis la description d'une journée type de la jeune padawan à l'Académie.]

hj: Désolée de ma longue absence. Je suis tellement occupée ces temps-ci que c'est un miracle que j'aie encore une tête sur les épaules.

Alya descendit les marches du temple jusqu'aux cuisines. Elle n'avait pas encore mangé et son corps d'adolescente en pleine croissance ne la laisserait sûrement pas sauter un repas. En mangeant, elle réfléchit tranquillement aux propos tenus par le Maître Fisto. D'un certain côté, cette petite conversation l'avait un peu calmé. Comme il était encore tôt, la plupart des apprentis n'étaient pas encore réveillés. Seuls certains maîtres et chevaliers se levaient aux aurores. Le long réfectoire était très calme et les tables étaient à peu près vide. Elle se mit ensuite à penser à son deuil. Ses amis avaient toujours été là pour la soutenir et l'aider à chaque fois qu'elle éprouvait des difficultés avec les exercices. D'après eux, elle travaillait plus dure qu'aucun d'entre eux. Sans doute à cause de sa grande maladresse. Elle se souvint en souriant doucement de ce que le maître Yoda lui avait dit quand elle s'était découragée. Des fois, un grand potentiel était autant un défaut qu'une qualité. Car, il pouvait à la fois nuire et aider. Elle n'avait pas tout compris à ce moment-là mais, elle commençait à comprendre maintenant. C'était son propre pouvoir qui l'arrêtait. Elle en avait peur. Voilà pourquoi elle stagnait alors que les autres avançaient. Était-ce cela que les maîtres avaient vus en elle?

Elle devrait méditer là-dessus. Elle termina de manger et retourna doucement sur le toit. Elle devait finir son deuil et dire au revoir à de vieux amis. Elle s'installa et se concentra. Cette fois, elle ne laissa pas sa peur prendre le dessus sur elle. Les images qui la terrorrisaient revinrent mais, au fur et à mesure qu'elle les regardaient, elles devinrent plus floues. De moins en moins nettes. Sans qu'elle s'en aperçoive, elle lévitait de quelques centimètres dans les airs. La Force l'envahissait et la guidait. Il était maintenant temps pour elle de continuer à vivre.

-*Adieu mes chers amis. Nous nous reverrons un jour. J'ai enfin compris que, tant que vous serez dans mon coeur, vous continuerez à vivre en moi. Il me faut maintenant suivre ma voie. Merci pour toute l'aide que vous m'avez apportée. Que la Force soit avec vous et avec moi aussi. J'aurai grand besoin de sa présence avec les temps difficiles que nous vivons en ce moment mais, je garderai toujours espoir.*

Elle redescendit en douceur sur terre. Ce fut une main sur son épaule qui la ramena à la réalité. Elle regarda alors de qui il pouvait s'agir. Ces yeux exprimaient enfin une nouvelle confiance en elle. Ainsi que la paix auquelle elle avait toujours aspirée.

PNJ: Bene



Une jeune femme à peine plus agée qu'Alya se tenait devant cette dernière. C'était elle qui l'avait ramenée à la réalité en posant sa main sur ses épaules. De son regard profond et doux, elle semblait lire dans les pensées de la padawan. L'inconnue demanda tout d'abord:

-Que faisais-tu à léviter ainsi ? Nous avons tous rejoint le réfectoire.

Effectivement, Alya s'était plongée plusieurs heures dans la lévitation sans s'en rendre compte. A présent, il était presque midi. Mais l'Inconnue sembla honteuse, comme si elle n'aurait pas du aborder la padawan de cette façon. Elle tendit une main sincère à Alya tout en disant:

-Excuse-moi, je ne me suis pas présenté. On me nomme Bene, et je suis padawan moi aussi. Je passais par ici pour me rendre au réfectoire, et ton attitude m'a intrigué. Et toi, qui es-tu ?

Derrière ses apparences sereines, il semblait qu'un voile sombre, contre lequel elle devauit lutter en permanence, se terrait dans quelque recoin de l'ame de Bene. Alya pouvait le sentir à travers la force, comme son interlocutrice avait senti la paix qui l'habitait.

Une jeune femme un peu plus âgé qu'elle était celle qui avait calmement arrêté sa méditation. C'était une padawan comme elle mais, elle ne se souvenait pas de déjà l'avoir rencontré. Elle se releva tranquillement et fit face à sa visiteuse.

-J'ai déjà mangé. Je me suis levé assez tôt ce matin. Et puis, c'est plus calme quand le réfectoire n'est pas plein.

Le coeur d'Alya battait de joie. Elle avait réussie. Elle était parvenue à méditer et, elle s'était même mise à léviter. Ce qui n'était pas arrivé depuis Coruscant et les évènements précédent la venue de l'Empire. Elle se sentait d'ailleurs beaucoup mieux. Son esprit était calme et posé. Chose qui ne lui était pas arrivé depuis un bon bout de temps. Dans les mêmes temps, elle remarqua que quelque chose n'allait pas avec Bene. Ce qui n'était pas vraiment étonnant car, la majorité des padawans ayant survécus à Coruscant s'étaient retrouvés avec des séquelles du genre choc post-traumatique. La plupart des survivants avaient vu beaucoup de leurs amis tombés au combat.

-Moi c'est Alya. Ravie de te rencontrer. Tu es sûre que tu vas bien? Quelque chose semble te chagriner. Tu sais que tu peux m'en parler si tu en as besoin.

Si c'était encore le choc de Coruscant, elle comprenait parfaitement les réserves de Bene. Elle-même en avait souffert pendant longtemps. Pendant sa réflexion sur le toit, elle en était venu à prendre une décision importante. Elle complèterait sa formation puis, rejoindrait la Rébellion contre l'Empire. Pas par haine ou par colère contre l'Empire mais, bien parce qu'elle le devait. Les Jedis devaient garantir la paix et la sécurité dans la République. Il va sans dire que leur mission n'avait pas été un franc succès dans l'immédiat. Ils s'étaient montrés arrogant et ils en avaient payés le prix fort. Il était maintenant temps de rétablir un peu l'équilibre des choses.

En plongeant son regard dans celui d'Alya, Bene fut frappée par la quiétude et l'assurance qui l'habitait. Effectivement, la padawan possédait un passé chargé. Durant le sac du temple de Coruscant, elle avait vu ses amis tomber les uns après les autres, avant d'etre étranglée et laissée pour morte par Dark Vador en personne. A la suite de cet épisode sinistre, elle n'avait pu empecher une part d'elle-meme de succomber à la haine, de vouloir précipiter Vador et ses serviteurs dans la mort et la désolation pour ceux qu'ils avaient fait. Elle se voyait souvent terrassant en duel le seigneur noir, avant que ce dernier en se transforme en padawan innocent au moment de porter le coup de grace. La haine était l'ennemie des jedis, et Bene devait lutter constamment contre le monstre qui dormait en elle. Malgré cela, elle avait réussi à rejoindre l'académie de Yavin IV et à se faire accepter au sein de l'Ordre Déchu.

Chassant avec forces ses souvenirs néfastes, Bene répondit à son interlocutrice:

-Nous portons tous avec nous un fardeau de souffrances, qu'il est nécessaire d'oublier.

Espérant sans doute changer le cours de la conversation, elle ajouta aussitot:

-Le bruit court que Maitre Fisto aurait pris une nouvelle padawan depuis peu. Serait-ce toi ? Dans ce cas tu as de la chance, on dit que son enseignement est des meilleurs...

Alya sourit à Bene. Oui, ils portaient tous un fardeau mais, là où Bene se trompait, c'était qu'ils ne devaient pas oublier cette part d'eux-mêmes car, cela reviendrait à ignorer une partie de leur âme. Elle se leva et fit face à Bene.

-C'est là que tu as un peu tort, Bene. C'est vrai que nous avons tous un fardeau à porter mais, l'oublier n'est pas la solution. Seule l'acceptation de la réalité permet la guérison. Ça m'a prit du temps pour le comprendre. Mais, maintenant que je l'ai compris, je me sens mieux. Peut-être qu'il en sera de même pour toi aussi.

Elle écouta ensuite Bene qui avait changé de sujet. Elle ignorait que Maître Fisto avait prit un nouvel apprenti. Si c'était elle que le maître avait prit comme apprenti, il ne lui en avait pas encore parlé. Si c'était le cas, elle en serait honorée.

-J'ignorais que le Maître Fisto avait un nouvel apprenti. En tout cas, si c'est moi qu'il a choisi, il ne m'en a pas encore informé. Je suppose que nous en saurons plus dans quelques heures.