La Flotte sortit d'hyperespace à une bonne distance de la planète-capitale. Seul un giganteste destroyer de classe Impérial se rendit sur la planète par les canaux réservé au engins militaire.
Le destroyer se posa sur la piste qui, habituellement, ne voyait passer rien de plus gros que des Victoire ou des Venator.
Une vingtaine de minutes plus tard, un lieutenant arrivait sur la passerelle entouré d'une escouade de soldat.
- Commodore ? dit le lieutenant en s'approchant.
- Allez chercher le Commissaire Général Moch et des escouades pour escorter des prisonniers, répondit Ardrar en n'acordant aucun regard à l'officier.
- Le Commissaire, monsieur ? Peut-être que sa ne sert à rien de le déranger, nous pouvons nous en occuper.
- Et peut-être que vous pourriez faire ce qu'on vous ordonne, lieutenant ! répondit Ardrar d'un ton aussi froid qu'un glacier de Hoth.
Il se retourna et regarda l'officier. Ce dernier devint un instant blanc comme un linge. Puis il salua et quitta aussi rapidement que possible la passerelle.
Keark croisa le regard intérogateur de son second.
- Le Commissaire Général est sans doute un homme très pris, colonel, répondit Ardrar à la question silencieuse du colonel Orson. Il viendra quand il aurra du temps à nous accorder... Ou alors il nous renvérra cet abrutit de lieutenant avec un ordre direct
- Bien que la remise de contrebandier ne prenne pas extrémement de temps, commodore, répondit Orson.
- L'Impératrice a dit, colonel. Alors obéissons.
Puis le commodore Keark Ardrar se dirigea vers son bureau. Il s'assit sur son fautueil et attendit, calmement.
Le destroyer se posa sur la piste qui, habituellement, ne voyait passer rien de plus gros que des Victoire ou des Venator.
Une vingtaine de minutes plus tard, un lieutenant arrivait sur la passerelle entouré d'une escouade de soldat.
- Commodore ? dit le lieutenant en s'approchant.
- Allez chercher le Commissaire Général Moch et des escouades pour escorter des prisonniers, répondit Ardrar en n'acordant aucun regard à l'officier.
- Le Commissaire, monsieur ? Peut-être que sa ne sert à rien de le déranger, nous pouvons nous en occuper.
- Et peut-être que vous pourriez faire ce qu'on vous ordonne, lieutenant ! répondit Ardrar d'un ton aussi froid qu'un glacier de Hoth.
Il se retourna et regarda l'officier. Ce dernier devint un instant blanc comme un linge. Puis il salua et quitta aussi rapidement que possible la passerelle.
Keark croisa le regard intérogateur de son second.
- Le Commissaire Général est sans doute un homme très pris, colonel, répondit Ardrar à la question silencieuse du colonel Orson. Il viendra quand il aurra du temps à nous accorder... Ou alors il nous renvérra cet abrutit de lieutenant avec un ordre direct
- Bien que la remise de contrebandier ne prenne pas extrémement de temps, commodore, répondit Orson.
- L'Impératrice a dit, colonel. Alors obéissons.
Puis le commodore Keark Ardrar se dirigea vers son bureau. Il s'assit sur son fautueil et attendit, calmement.