Khatsun - alias - The Crimson Derviche[V]

Identité
• Nom : Nuruodo
  
• Prénom : Khatsun
  
• Nom véritable : Ikh'Atsu'Nuruodo
  
• Autre Comptes : Nada
  
  
  Profil
• Race : Chiss
  
• Sexe : Féminin
  
• Âge : 27 ans (age physiologique) / près de deux millénaires d'existence passés sous carbonite.
  
• Planète d'origine : Csilla
  
  
• Apparence :
  L'aspect physique de Khatsun est criant quand à sa nature Chiss. En effet, la peau bleue trahit aisément son patrimoine génétique. Cet épiderme, cependant, est plus sombre que la moyenne de sa race, lui donnant des allures de princesse obscure. Ses yeux, également, attestent de son appartenance à cette mystérieuse espèce : intégralement rouge, sans blanc, pupilles ou iris, un chouilla plus ténébreux que les canons de son espèce. Un tel regard, bien que commun sur Csilla, reste peu répandu dans la galaxie et a de quoi être intimidant... d'autant qu'on ne peut jamais réellement savoir si la demoiselle vous scrute avec insistance ou si elle regarde ailleurs. Enfin, dernière marque raciale, sa chevelure d'un noir abyssal qui tombe jusqu'au milieu de son dos, frisant légèrement et dont la seule variante réside dans les reflets châtains que révèlent parfois les jeux de lumière. Une Chiss, en définitive.
  
  Mais la dame n'a que ça de réellement commun à ceux de son espèce et elle peut se venter d'être une très, très belle femme. Son corps, né des rêves d'un artiste génial, semble sculpté pour être utilisé. Toute la sensualité de ses courbes - cuisses, hanches, poitrine, lèvres - est un violent appel à la luxure pour les esprits les plus faibles. En effet, comment résister à l'envie de toucher, de caresser, le galbe parfait de ses cuisses, le doux plat de son ventre, l'indécente courbure de ses reins, la fermeté de ses seins... Ne nous y trompons pas, la donzelle n'arbore pas non plus un pare-chocs à en avoir des problèmes de dos. Ses seins sont visibles, de taille appréciable, mais relativement modestes. Bien entendu, le genre de faible qui bavera devant pareille beauté n'a pas tendance à regarder le visage des dames car, dès lors, son enthousiasme risque d'être sévèrement douché. Non pas que le faciès de la demoiselle soit horrible, bien au contraire. Ses traits sont harmonieux, mais son expression reste figée dans une froideur distante, qui semble déjà condamner les pensées qu'éveillent son corps (et ce, sans compter sur l'écarlate peu répandu de son regard). Il faudra alors faire montre de trésors d'imagination pour se représenter cette si appétissante bouche s'arquer en un sourire. Cette silhouette irrémédiablement féminine est également dans la moyenne des tailles, arborant tout de même un bon mètre soixante-dix. Outre sa plastique, on notera quelques tatouages sous son œil droit, descendant à la verticale tout le long de sa joue, pour s'arrêter à la courbure de sa mâchoire étroite... pointe de mystérieux mysticisme, évoquant quelques écritures mythiques et inconnues. En vérité, ce sont là des inscriptions chères à la secte dont elle fait partie. Les plus observateurs d'entre nous noterons deux-trois autres trucs, comme des sourcils non épilé, naturellement fins, sans être pour autant maigres comme la mode le veut sur un certain monde, dans une galaxie lointaine, très lointaine.
  
  Bien sûr, la plastique ne fait pas tout et, comme chacun, il est préférable de s'habiller, sous peine de se faire arrêter pour attentat à la pudeur. En ce qui concerne sa tenue vestimentaire, Khatsun est très friande des longs manteaux, style parka, qui tombent minimum jusqu'à ses chevilles. La couleur est toujours la même : Ecarlate... et elle ne s'en sépare jamais. La raison est simple, c'est le seul véritable uniforme qui signale sa nature et son rang, au sein de la galaxie. Du reste, à part des gants de cuir, la garde-robes de la demoiselle reste très sobres et "fonctionnelle" - si l'on entend par fonctionnel le fait qu'ils soient souples et légers. Bien sûr, souple et léger implique aussi une notion de "cruellement moulant".
  
  
• Métier : Leader des Derviches Seyugi
  
• Groupe : Neutre
  
  
  Informations
• Histoire :
  Criiiiii...Clac !
  Yosun sursauta quand la porte métallique se referma en claquant derrière lui. Jamais il ne se serait douté que le temple pouvait renfermer pareils souterrains. Quel genre d'endroit était-ce donc, une crypte ? Les restes d'une structure plus ancienne encore ? Pour tout dire, le prêtre se sentait assez mal à l'aise en avançant dans ce couloir froid et obscure. Mais, malgré sa peur, la curiosité était plus forte. Si le temple vivait sa petite vie depuis si longtemps, il n'y avait aucune raison qu'un monstre prêt à tout raser se cache là dessous. Pas vrai ? Il se trompait, pourtant. Et il ne le réalisa même pas, alors qu'il entrait dans la grande salle. Tout était sombre, on n'y voyait goutte. Cherchant instinctivement, le jeune homme trouva le point lumineux de l'interrupteur, appuyant dessus. Pareil système était vieux de plusieurs millénaires, mais un pauvre prêtre comme Yosun n'était pas assez cultivé pour le savoir. Sous une pression du doigt, l'immense pièce s'illumina d'une lueur blafarde, glauque. Se retournant, le pauvre resta bouche bée. Sous ses yeux ébahis, s'étendaient plusieurs rangées, plusieurs étages de plaques de carbonites. Dans les plus proches, on pouvait deviner des formes humanoïdes... Si chacune de ces plaques renfermait quelqu'un, cette pièce devait bien renfermer, à vue de nez, un bon millier d'individus. Le prêtre fit une courte prière. Pourquoi diable des gens étaient ils congelés sous le temple ?
  
  Le bonhomme ne tarda pas à repérer la console de sécurité, d'un modèle vétuste, recouverte d'une épaisse couche de poussière. N'écoutant que sa stupide curiosité, il s'assit sur le fauteuil miteux, qui grinça sinistrement sous ses fesses. Après une courte hésitation, il sacrifia sa manche, la couvrant de cette couche grise et infâme, libérant l'écran à la vue. Puis il fronça les sourcils... le clavier aussi était couvert, tant et si bien qu'on voyait à peine les interstices entre les touches. Avec la plus grande délicatesse, il commença à essuyer. Quelques secondes plus tard, des projecteurs rouges s'allumèrent dans une rangée de blocs de carbonite.
  
  - Attention... Attention... processus de décongélation en cours...
  - Que... quoi ?
  - Sujet numéro... Sept cent... soixante... neuf... processus de décongélation en cours...
  Décongélation dans...
  10...
  9...
  8...
  7...
  6...
  Affolé, le maladroit se leva finalement, courant en direction du bloc brillant. Si quelqu'un était à l'intérieur, il ne pouvait pas se résoudre à le laisser seul dans cet endroit... Malgré le fait que tous ses sens lui hurlaient de fuir, il brava sa terreur pour observer la fin du processus. Peu à peu libérée de sa gangue, une jeune femme nue, ravissante, reprenait vie. Ses doigts bougèrent, puis sa bouche... et ce fut le tour de la poitrine, si succulente poitrine nue... Trop obnubilé par ce détail, Yosun ne réagit pas lorsque la pauvre tomba à la renverse, n'ayant plus de carbonite pour la retenir, pour s'écraser le nez dans la poussière. Sortant de sa contemplation, le prêtre retira sa toge cérémoniale, pour en draper le corps bleu nuit de la Chiss. Cette dernière souffla d'une voix tremblante :
  
  - Je... je ne vois rien...
  - Détendez vous... vous êtes sûrement prise du mal de l'hibernation, votre vue reviendra en temps voulu.
  La demoiselle sembla hésiter un moment, fermant les yeux, respirant à fond. Puis elle reprit la parole, sur un ton plus calme et serein que précédemment. En quelle année sommes nous ?
  - Heu... Cela fait 16 ans que l'Empire règne sur la galaxie. Par la Grande Contemplation, qu'est ce que c'est que cet endroit ?
  - L'Empire ? Je... vous y croyez vraiment, vous ne savez rien de ce lieu ?
  - Bien sûr que non, je...Crack.
  
  Le corps de Yosun s'écroula, sans vie, dès que la jeune femme lui lâcha la gorge. Kathsun se releva, clignant des yeux. Sa vue reviendrait et, alors, elle consulterait le journal de la console de sécurité. Depuis combien de temps dormait elle ? Dans quel genre de galaxie s'était elle réveillée ? Ces questions trouveraient des réponses et, alors, les Derviches Seyugi pourraient renaître.
  
  
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  Kathsun Nuruodo, Ikh'Atsu'Nuruodo de son nom véritable, est née sur Csilla, comme la plupart des Chiss, il y a de cela déjà plus de deux millénaires. Elle appartenait à la maison Nuruodo et se trouvait, de ce fait, promise à une grande carrière militaire au sein de son peuple. Malheureusement - ou heureusement - pour elle, le destin en jugea autrement. Alors qu'elle était encore toute jeune, elle accompagnait son père lors des manœuvres militaires au large du système Chiss, afin de parfaire son apprentissage en matière de stratégies et commandement de troupes spatiales. La plupart des individus à peau bleue sont d'une grande froideur, mais d'une extrême loyauté envers les leurs. Il existe toujours des exceptions et, ce jour là, ce fut une exception qui changea irrémédiablement le cours du destin de la jeune fille. Le vaisseau amiral de la flotte Chiss fut prit d'assaut par un chasseur inconnu qui, après avoir été tracté dans la baie, libéra deux assassins vêtus de rouge. Ces deux individus massacrèrent tout l'équipage rencontré avec une facilité déconcertante, remontant jusqu'au pont supérieur, où le commandant se trouvait, accompagné de son enfant. Le duo meurtrier entra dans la pièce, véritable tornade pourpre, ne laissant derrière eux que cadavres. Mais ils épargnèrent Kathsun.
  
  En effet, l'un d'eux sentit le potentiel de la jeune fille. La Force était puissante en elle et même un meurtrier dont l'usage de la Force se résumait au meurtre pouvait le percevoir. Ils l'emmenèrent au sein de leur chapitre, où elle fut intronisée aux arts des Derviches Seyugi.
  
  Sa vie fut relativement simple, finalement. Dès l'age de 10 ans, l'enfant reçut tous les enseignements chers à la secte d'assassins, qui lui apprirent non seulement l'art du combat, du tir, mais également l'art de l'évasion, la concoction des poisons et bien d'autres techniques d'assassinat. Mais le plus important fut probablement la manière dont ils lui apprirent à faire usage de la Force. La plupart des Derviches Seyugi ont une sensibilité limitée à la Force et l'utilisent afin d'augmenter leurs capacités physiques : force, résistance, rapidité, agilité... faisant d'eux de véritables machines à tuer. Leur enseignement n'égale toutefois pas celui des Jedis ou des Sith qui, eux, apprennent à utiliser cette énergie mystique de bien d'autres manières. Certains Derviches, ceux qui accèdent au titre de recruteur, ont une perception de la Force plus étendue que le reste, savent repérer ceux qui pourraient bénéficier de ces enseignements. Kathsun était, sans nul doute, la plus douée des assassins à manteau pourpres. Si les Derviches ne l'avaient pas repérée, le potentiel de la belle aurait très certainement intéressé les Jedis. Elle gravit rapidement les échelons de l'organisation, au sein même de son chapitre, ne détrônant toutefois pas les doyens.
  
  Puis vint la chute des Seyugis. Leurs capacités améliorées dépendant d'un usage de la Force et leur ordre faisant finalement trop parler de lui, les Jedis de l'ancienne république finirent par les traquer et les éliminer un par un. Parfois certains jedis tombaient mais, la plupart du temps, les capacités supérieurs de ces derniers leur permettaient de mener leur mission à bien. Effrayé, les Derviches survivants se regroupèrent sur Recopia où ils décidèrent de se cryogéniser, hibernant dans la carbonite, pour ne se réveiller qu'à des temps plus propices. Tous les blocs de carbonite furent entreposer sous leur forteresse, transformée en temple d'une fausse religion et placé sous la garde de novices de l'ordre. Mais, au fil des générations, le but véritable du temple fut oubliée. Et la religion, d'abord factice, devint véritable. Les Derviches auraient pu dormir encore bien des siècles, voire des millénaires, si Yosun n'avait pas découvert l'entrée secrète vers la crypte...
  
  Etait ce le fruit du hasard, ou bien le Destin ?
  Certains Jedis vous diraient qu'il n'y a pas de hasard, seulement la Force. Quoi qu'il en soit, ce fut Kathsun qui fut réveillée la première, celle là même qui était la plus puissante dans la Force, au sein de la secte... héritière de la maison militaire des Chiss et combattante la plus talentueuse des manteaux pourpres.
  
  
  Mais, malgré la doctrine quasi-fanatique inculquée, malgré les enseignements sur la loyauté Chiss, le premier réflexe de la jeune ne fut pas de réveiller ses supérieurs de l'Ordre. La première chose qu'elle fit, fut d'analyser sa situation. D'abord, elle explora le temple, se familiarisa avec les prêtres, pour finalement explorer la planète sur laquelle ils se trouvaient. Puis elle se mit à voyager dans le reste de la galaxie, afin de pouvoir préparer au mieux le retour des Derviches Seyugis. Cette exploration ne dura pas moins de deux années, durant lesquelles la meurtrière resta observatrice, sans influer d'aucune sorte sur les grands évènements de la galaxie. Les choses changeaient et changeaient vite... elle aurait pu passer le reste de sa vie en spectatrice, à attendre le moment le plus propices au retour des siens. Mais elle n'avait pas le temps. Rentrant chez elle, la jeune femme prépara la resurrection de sa secte. Mais cette fois, elle saurait tirer parti au mieux de la situation. Elle ne serait plus le pion le plus destructeur de son ordre, mais l'Ordre lui même.
  
  Son premier acte de trahison envers les siens, qui devrait la hisser au rang de leader, fut de saboter les blocs de carbonites des doyens et autres figures d'autorité, ainsi que de quelques autres novices de faible rang. Ainsi, la mort des dirigeants serait le fruit d'un malheureux hasard et de quelques défauts techniques. Puis l'armée d'assassins fut réveillée. D'abord déboussolés, ils furent rapidement guidés et mis au parfum par la plus forte d'entre eux. Ce fut Khatsun qui leur enseigna les rudiments à savoir au sein de cette galaxie nouvelle, elle qui maintint leur couverture. Les pauvres prêtres furent éliminés sans pitiés, pour être remplacés par ceux sur lesquelles ils devaient veiller, ceux qu'ils ont oublié, dans le plus grand secret. L'ordre se rétablissait, peu à peu et, bientôt, il saurait reprendre la place qu'il occupait autrefois.
  
  
  
  
  
• Inventaire :
  - Une Vibro-dague
  - Un Comlink
  - Manteau des Derviche Seyugi
  - 200 credits
  
  
  
• Psychologie :
  Khatsun est une tueuse froide et sans merci. Simple, clair et net. Il faut dire qu'à la base, c'est une Chiss et que les Chiss sont réputés pour afficher excessivement peu leur émotions et disposer d'un sang froid remarquable, presque effrayant. En plus, notre donzelle a été élevée par des assassins d'élites, depuis l'age de dix ans. La vie a une valeur monétaire, autant que la mort et la pitié n'est rien de plus qu'une gêne dans le travail. Bien entendu, notre meurtrière n'est pas en pierre et elle sait profiter des bonnes choses de la vie. Depuis qu'elle est devenue le leader des Derviches Seyugi, c'est elle qui fait la loi de la secte et, donc, dispose d'infiniment plus de libertés qu'auparavant. Explorer les relations sociales reste assez compliqué et factice, pour elle, mais il est possible qu'elle s'attache, ou rejette totalement quelqu'un, en se basant sur ses émotions.
  
  Parallèlement, Khatsun est une excellente stratège, fruits de son enseignement au sein de la maison Nuruodo. Elle aime analyser les situations, pour en tirer le meilleur pour elle et le pire pour ses ennemis. Son enseignement Chiss lui a inculqué un certain sens de la loyauté, également. Lorsqu'elle donne sa parole, la donzelle tient ses engagements, la plupart du temps... sauf si un profit trop juteux pour passer à côté implique le parjure. Mais, paradoxalement, elle sait parfaitement mentir et manipuler son voisin pour arriver à ses fins. D'ailleurs, si sa loyauté va aux Derviches Seyugi, qu'elle essaiera de faire prospérer malgré tout, c'est son profit personnel qui lui importe en premier. La preuve en est qu'elle n'a pas hésité à assassiner ses supérieurs hiérarchiques pour devenir leader de la secte.
  
  En définitive, Khatsun est une sournoise meurtrière, froide et impitoyable, loyale autant que traitresse, sachant malgré tout bien vivre. N'est elle pas compliquée ? Eh, c'est une femme, après tout...
  
  
  
• Lien avec la Force :
  La Force est puissante en Khatsun. En fait, elle a le potentiel pour devenir chevalier Jedi ou guerrière Sith talentueuse, ce qui la place au dessus des autres Derviches Seyugi. Bien sûr, elle a subit leur entrainement et n'use pas des arts Jedis. Au lieu de ça, elle décuple sa force, sa résistance et sa rapidité à des niveaux surhumains, dépassant même ceux des Jedis ou des Sith dans ce domaine. En effet, la doctrine des Seyugi ne perçoit pas la Force de manière classique en opposition du Côté Obscure face au Côté Lumineux, mais plutôt comme l'art de maitriser son propre corps à la perfection afin d'en faire une arme.
  
  Ceci étant dit, elle a une perception suffisante pour capter les troubles dans la Force, pourvu qu'ils soient assez proches et, ainsi, ressentir la présence d'autres êtres qui ont la Force avec eux. Par extension, elle est capable de repérer ceux qui ont le potentiel en eux et qui pourraient faire de bonnes recrues pour sa secte. Là encore, la doctrine Seyugi altère son sens de la perception. Comme tous les assassins de cet ordre, elle se sert de la Force pour repérer et traquer ses proies plus facilement.
  
  Son instinct est aussi très aiguisé, à peu près autant que celui d'un Jedi ou d'un Sith.
  
  
  
• Affection :
  - Les plans tordus
  - Les plans tordus qui aboutissent
  - Son métier (l'assassinat et le combat)
  - Les gens manipulables.
  - Les gens assez malins pour ne pas se laisser duper.
  - S'amuser de peu de choses...
  
  
• Aversion :
  - Les accrocs aux plans.
  - L'imprévu.
  - Les Jedis.
  
  
  
  Disposition
• Fuseau Horaire : France
  
• Disponibilité : Régulière (plusieurs fois la semaine)
  
• Indisponibilité :

Au cas par cas.

J'ai bien aimé ta fiche, très bien décrite et je m'en suis délecté. Toutes choses considéré, je te laisse garder l'aspect sur la Force, mais par contre tu devras me prouver en rp que tu le mérites, sinon ses validé.