Défenses de Bastion
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Turbolasers Lourds:
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Localisés sur les endroits stratégiques de Bastion et plus particulièrement dans sa capitale, Ravelin, les turbolasers lourds sont d'immenses canons protégeant une grande partie de la planète fortifiée.
Nombre:
400 ( Ravelin )
500 ( totalité de la planète )
Couts: 10.000.000 Cr
Turbolasers Légers:
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Localisés sur des bâtiments secondaires, souvent dans des caches non localisables aux scanners, elle se trouvent redoutables pour protéger la planète, surtout avec sa très fine atmosphère donnant un paysage sans précédent sur l'espace environnant, donnant aux artilleurs impériaux un avantage certains par rapport à d'autres planètes.
Nombre:
400 ( Ravelin )
500 ( totalité de la planète )
Couts: 5.000.000 Cr
Batteries Ioniques:
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Usant de la technologie des canons à ion des vaisseaux, les batteries ioniques sont plus lourdes et pour des cibles beaucoup plus importantes. Leurs dégâts sont les même si ce n'est plus.
Nombre:
200 ( Ravelin )
300 ( totalité de la planète )
Couts: 8.000.000 Cr
Turbolaser Planétaire W-165:
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Spoiler :
D'aprés l'Holonet:
Arme complémentaire du
canon ionique planétaire v-150 et également dédiée à la défense des
planètes, le turbolaser planétaire est une arme très efficace pour
détruire les vaisseaux capitaux situés dans des orbites basses, et ce
grâce aux décharges d'énergies surpuissantes qu'il est capable de
tirer. À l'époque de la Guerre Civile Galactique, le modèle le plus
puissant de turbolaser planétaire était sans conteste le w-165 des
Chantiers Navals de Kuat, qui avaient également conçu et fabriqué le
canon ionique v-150. Lorsque les turbolasers planétaires sont déployés
en nombre suffisant à la surface des planètes qu'ils doivent protéger,
ces pièces d'artillerie gigantesques sont capables de réduire une
flotte en débris stellaires en moins de quelques heures, réussissant
ainsi à maintenir un état de siège et à briser des blocus instaurés par
l'ennemi.
Évidemment, avec une puissance de tir quatre fois
supérieure à celle de son homologue ionique qu'est le v-150, il n'est
pas étonnant que le w-165 soit capable de telles prouesses en matière
de défense. Un seul de ces turbolasers possède suffisamment de
puissance générée par son réacteur pour désintégrer un destroyer
stellaire de l'Empire, les salves tirées mettant à bas en quelques
minutes les boucliers déflecteurs et pénétrant les blindages les plus
solides jusqu'à toucher le réacteur du vaisseau visé, engendrant de ce
fait une explosion titanesque qui met hors d'état de nuire un des plus
gros mastodontes impériaux. Pour un fonctionnement optimal, un
turbolaser de type w-165 ne nécessite pas moins de cinquante personnes,
l'équipe comprenant des soldats, des opérateurs informatiques, des
techniciens et bien sûr des artilleurs. Tout ce petit monde est
stationné en permanence, sauf lors des relèves, dans des postes et des
salles de contrôle incluses dans la structure même de l'arme, cette
dernière, sans les jambes stabilisatrices disséminées sur son pourtour,
faisant tout de même cinquante mètres de diamètre. Évidemment, avec une
taille si colossale, un équipage si important, sans parler de son coût
exorbitant de dix millions de crédits, un turbolaser se doit d'être
équipé de tout ce qui se fait de mieux en matière de système
d'autoprotection.
Ainsi, le canon de l'arme, qui constitue la
partie mobile de la structure complète, ainsi que la base contenant le
noyau réacteur, sont protégés par un blindage de permacite de quatre
mètres d'épaisseur, sans compter les douzaines de projecteurs d'écrans
déflecteurs, conçus pour repousser les tirs de turbolasers, les bombes
protoniques et tout autre désagrément. Pour lui permettre d'atteindre
des cibles éloignées dans l'espace, le turbolaser planétaire w-165
était équipé de plusieurs batteries de senseurs, installées directement
sur la plate-forme de l'arme. Toutefois, pour une plus grande précision
de tir, les systèmes de visée du w-165 peuvent utiliser les données
récoltées soit par des stations de communications planétaires, soit par
les satellites en orbite. Mais avec le poids que représente le tube du
canon à lui seul, les données ont intérêts à être fiables concernant la
trajectoire des vaisseaux ennemis, car la rotation de l'arme prend
assez de temps avant d'arriver dans la bonne position, et encore, des
calculs de dernière minute obligent souvent le canon à être en
mouvement perpétuel pour garder son objectif verrouillé. Une fois
positionné, le turbolaser w-165, grâce à son réacteur massif qui lui
fournit même un excédent d'énergie, possède un ratio honorable d'un tir
toutes les dix secondes.
À vrai dire, la puissance qui est
transférée dans l'activateur du w-165, sorte de bulbe situé à la base
du tube du canon, pour être ensuite tirée peut suffire à fournir en
électricité une grande ville pendant une journée complète. Lors de la
phase d'amorçage, la bouche du canon est un élément absolument vital,
car contenant près de trois kilomètres de circuits pour concentrer la
puissance des décharges et les envoyer dans l'espace. Pour prévenir
tout risque d'explosion, dû à une telle concentration d'énergie ou
alors à un dysfonctionnement de l'arme au moment le plus critique, plus
de quatre douzaines de tubes de dispersion énergétiques sont installés
tout le long du canon afin d'absorber la puissance excédentaire. Par
ailleurs, juste au-dessus de l'activateur du w-165, un circuit de
refroidissement cerne le tube du canon afin de garder l'arme à une
température de sécurité suffisante pour l'utiliser en continu. Si le
blindage, dont les plaques se concentrent surtout au niveau de
l'activateur, est si épais, c'est tant pour protéger l'arme d'une
surchauffe causée par le feu ennemi que pour limiter les dégâts au cas
où une surcharge d'énergie viendrait à endommager l'activateur.
Bien que les turbolasers planétaires w-165 soient effectivement
capables de pivoter sur 360 degrés, une seule de ces pièces
d'artillerie ne peut pas assurer la défense d'un monde. C'est pourquoi,
les w-165 sont généralement déployés par centaines à la surface des
mondes qu'ils doivent protéger, créant ainsi un réseau défensif
optimal, notamment lorsque les gouvernements planétaires leurs
adjoignent les services des canons ioniques v-150 et ceux des boucliers
planétaires. Lorsque la Nouvelle République est devenue la nouvelle
puissance dominante de la galaxie, son gouvernement installa de
nombreux turbolasers w-165 sur plus de 300 mondes clés afin de protéger
la jeune démocratie d'une attaque des Vestiges de l'Empire ou de tout
autre groupe hostile, et ce en dépit du prix plus qu'onéreux de chacune
de ces pièces d'artillerie. En fait, les membres du gouvernement
crurent qu'il était plus sage d'armer autant de mondes pour protéger la
Nouvelle République : en effet, si jamais un ennemi venait à attaquer
la Nouvelle République, les pertes pour celle-ci seraient ainsi moins
importantes au niveau matériel et de celui des vies que si ses mondes
n'avaient pas été armés. Pourtant, malgré cette politique de
militarisation défensive, cela n'empêcha aucunement les Yuuzhan Vong de
s'emparer d'une bonne partie de la galaxie, ni de faire tomber
Coruscant, pourtant dotée de ce qui se faisait de mieux en matière de
défenses avec ses boucliers et ses turbolasers planétaires.
Arme complémentaire du
canon ionique planétaire v-150 et également dédiée à la défense des
planètes, le turbolaser planétaire est une arme très efficace pour
détruire les vaisseaux capitaux situés dans des orbites basses, et ce
grâce aux décharges d'énergies surpuissantes qu'il est capable de
tirer. À l'époque de la Guerre Civile Galactique, le modèle le plus
puissant de turbolaser planétaire était sans conteste le w-165 des
Chantiers Navals de Kuat, qui avaient également conçu et fabriqué le
canon ionique v-150. Lorsque les turbolasers planétaires sont déployés
en nombre suffisant à la surface des planètes qu'ils doivent protéger,
ces pièces d'artillerie gigantesques sont capables de réduire une
flotte en débris stellaires en moins de quelques heures, réussissant
ainsi à maintenir un état de siège et à briser des blocus instaurés par
l'ennemi.
Évidemment, avec une puissance de tir quatre fois
supérieure à celle de son homologue ionique qu'est le v-150, il n'est
pas étonnant que le w-165 soit capable de telles prouesses en matière
de défense. Un seul de ces turbolasers possède suffisamment de
puissance générée par son réacteur pour désintégrer un destroyer
stellaire de l'Empire, les salves tirées mettant à bas en quelques
minutes les boucliers déflecteurs et pénétrant les blindages les plus
solides jusqu'à toucher le réacteur du vaisseau visé, engendrant de ce
fait une explosion titanesque qui met hors d'état de nuire un des plus
gros mastodontes impériaux. Pour un fonctionnement optimal, un
turbolaser de type w-165 ne nécessite pas moins de cinquante personnes,
l'équipe comprenant des soldats, des opérateurs informatiques, des
techniciens et bien sûr des artilleurs. Tout ce petit monde est
stationné en permanence, sauf lors des relèves, dans des postes et des
salles de contrôle incluses dans la structure même de l'arme, cette
dernière, sans les jambes stabilisatrices disséminées sur son pourtour,
faisant tout de même cinquante mètres de diamètre. Évidemment, avec une
taille si colossale, un équipage si important, sans parler de son coût
exorbitant de dix millions de crédits, un turbolaser se doit d'être
équipé de tout ce qui se fait de mieux en matière de système
d'autoprotection.
Ainsi, le canon de l'arme, qui constitue la
partie mobile de la structure complète, ainsi que la base contenant le
noyau réacteur, sont protégés par un blindage de permacite de quatre
mètres d'épaisseur, sans compter les douzaines de projecteurs d'écrans
déflecteurs, conçus pour repousser les tirs de turbolasers, les bombes
protoniques et tout autre désagrément. Pour lui permettre d'atteindre
des cibles éloignées dans l'espace, le turbolaser planétaire w-165
était équipé de plusieurs batteries de senseurs, installées directement
sur la plate-forme de l'arme. Toutefois, pour une plus grande précision
de tir, les systèmes de visée du w-165 peuvent utiliser les données
récoltées soit par des stations de communications planétaires, soit par
les satellites en orbite. Mais avec le poids que représente le tube du
canon à lui seul, les données ont intérêts à être fiables concernant la
trajectoire des vaisseaux ennemis, car la rotation de l'arme prend
assez de temps avant d'arriver dans la bonne position, et encore, des
calculs de dernière minute obligent souvent le canon à être en
mouvement perpétuel pour garder son objectif verrouillé. Une fois
positionné, le turbolaser w-165, grâce à son réacteur massif qui lui
fournit même un excédent d'énergie, possède un ratio honorable d'un tir
toutes les dix secondes.
À vrai dire, la puissance qui est
transférée dans l'activateur du w-165, sorte de bulbe situé à la base
du tube du canon, pour être ensuite tirée peut suffire à fournir en
électricité une grande ville pendant une journée complète. Lors de la
phase d'amorçage, la bouche du canon est un élément absolument vital,
car contenant près de trois kilomètres de circuits pour concentrer la
puissance des décharges et les envoyer dans l'espace. Pour prévenir
tout risque d'explosion, dû à une telle concentration d'énergie ou
alors à un dysfonctionnement de l'arme au moment le plus critique, plus
de quatre douzaines de tubes de dispersion énergétiques sont installés
tout le long du canon afin d'absorber la puissance excédentaire. Par
ailleurs, juste au-dessus de l'activateur du w-165, un circuit de
refroidissement cerne le tube du canon afin de garder l'arme à une
température de sécurité suffisante pour l'utiliser en continu. Si le
blindage, dont les plaques se concentrent surtout au niveau de
l'activateur, est si épais, c'est tant pour protéger l'arme d'une
surchauffe causée par le feu ennemi que pour limiter les dégâts au cas
où une surcharge d'énergie viendrait à endommager l'activateur.
Bien que les turbolasers planétaires w-165 soient effectivement
capables de pivoter sur 360 degrés, une seule de ces pièces
d'artillerie ne peut pas assurer la défense d'un monde. C'est pourquoi,
les w-165 sont généralement déployés par centaines à la surface des
mondes qu'ils doivent protéger, créant ainsi un réseau défensif
optimal, notamment lorsque les gouvernements planétaires leurs
adjoignent les services des canons ioniques v-150 et ceux des boucliers
planétaires. Lorsque la Nouvelle République est devenue la nouvelle
puissance dominante de la galaxie, son gouvernement installa de
nombreux turbolasers w-165 sur plus de 300 mondes clés afin de protéger
la jeune démocratie d'une attaque des Vestiges de l'Empire ou de tout
autre groupe hostile, et ce en dépit du prix plus qu'onéreux de chacune
de ces pièces d'artillerie. En fait, les membres du gouvernement
crurent qu'il était plus sage d'armer autant de mondes pour protéger la
Nouvelle République : en effet, si jamais un ennemi venait à attaquer
la Nouvelle République, les pertes pour celle-ci seraient ainsi moins
importantes au niveau matériel et de celui des vies que si ses mondes
n'avaient pas été armés. Pourtant, malgré cette politique de
militarisation défensive, cela n'empêcha aucunement les Yuuzhan Vong de
s'emparer d'une bonne partie de la galaxie, ni de faire tomber
Coruscant, pourtant dotée de ce qui se faisait de mieux en matière de
défenses avec ses boucliers et ses turbolasers planétaires.
Nombre:
1 ( totalité de la planète )
Couts: 40.000.000 Cr
Canon à Hypervélocité Planétaire HVs-2:
Spoiler :
Le canon à Hypervélocité HVs-2 était une arme de défense planétaire développée par le Département [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] des Recherches Militaires. Lorsque les plans furent conçus, la fabrication des canons fut confiée à la société [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], déjà renommée pour être à l’origine de nombreuses armes.
La fonction primaire de cette batterie défensive était le ciblage
et la destruction de vaisseaux lourds en orbite. Le HVs-2 était
installé à la surface même de la planète qu’il devait défendre, et
était ainsi bien à l’abri pendant une escarmouche spatiale. C’était un
véritable géant de métal, alimenté par un puissant générateur. S’il
pouvait lutter contre les vaisseaux massifs et lents, son ordinateur de
visée n’était pas assez précis pour cibler les appareils rapides tels
que les corvettes.
La longue chambre de tir du canon envoyait des projectiles
métalliques enrobés d’énergie, et ceux à une vitesse déconcertante,
d’où le nom « Hypervélocité ». Une fois la cible acquise par
l’ordinateur, c’était donc des matériaux solides qui venaient percuter
de plein fouet le vaisseau malchanceux. Le tir puissant traversait sans
frémir les [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
et s’attaquait directement à la coque. Ainsi, la carlingue se
désagrégeait sous les coups répétés du HVs-2, et le vaisseau perdait
ses défenses. Lorsqu’un bâtiment était atteint de nombreuses fois, sa
superstructure était tellement fragilisée qu’il arrivait parfois qu’un
dernier tir coupe littéralement l’appareil en deux.
Mais s’il se révélait donc très utile dans un combat spatial, le
canon à Hypervélocité laissait un espace de temps relativement élevé
entre chaque coup. Cette durée de recharge permettait à la flotte
adverse d’organiser une contre-attaque, ou même d’envisager une
tactique plus efficace : précipiter leur propre flotte contre celle de
l’Empire, afin que les vaisseaux lourds soient suffisamment proches les
uns des autres pour que les artilleurs du HVs-2 abandonnent l’idée de
tirer, de peur de toucher leurs appareils par la même occasion.
Malgré ces quelques défauts, le canon à Hypervélocité était un atout non-négligeable au cours d’un combat.
La fonction primaire de cette batterie défensive était le ciblage
et la destruction de vaisseaux lourds en orbite. Le HVs-2 était
installé à la surface même de la planète qu’il devait défendre, et
était ainsi bien à l’abri pendant une escarmouche spatiale. C’était un
véritable géant de métal, alimenté par un puissant générateur. S’il
pouvait lutter contre les vaisseaux massifs et lents, son ordinateur de
visée n’était pas assez précis pour cibler les appareils rapides tels
que les corvettes.
La longue chambre de tir du canon envoyait des projectiles
métalliques enrobés d’énergie, et ceux à une vitesse déconcertante,
d’où le nom « Hypervélocité ». Une fois la cible acquise par
l’ordinateur, c’était donc des matériaux solides qui venaient percuter
de plein fouet le vaisseau malchanceux. Le tir puissant traversait sans
frémir les [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
et s’attaquait directement à la coque. Ainsi, la carlingue se
désagrégeait sous les coups répétés du HVs-2, et le vaisseau perdait
ses défenses. Lorsqu’un bâtiment était atteint de nombreuses fois, sa
superstructure était tellement fragilisée qu’il arrivait parfois qu’un
dernier tir coupe littéralement l’appareil en deux.
Mais s’il se révélait donc très utile dans un combat spatial, le
canon à Hypervélocité laissait un espace de temps relativement élevé
entre chaque coup. Cette durée de recharge permettait à la flotte
adverse d’organiser une contre-attaque, ou même d’envisager une
tactique plus efficace : précipiter leur propre flotte contre celle de
l’Empire, afin que les vaisseaux lourds soient suffisamment proches les
uns des autres pour que les artilleurs du HVs-2 abandonnent l’idée de
tirer, de peur de toucher leurs appareils par la même occasion.
Malgré ces quelques défauts, le canon à Hypervélocité était un atout non-négligeable au cours d’un combat.
Nombre:
2 ( Ravelin )
3 ( totalité de la planète )
Couts: 40.000.000 Cr
Tourelles légères semi-automatiques:
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Usant de la technologie de la visée automatique ainsi que de l'intelligence d'un être humain, les tourelles légères S-A sont réparties partout sur la planète Bastion ainsi que sur les imposants murs de la capitale pour assurer à la fois une surveillante organique ainsi qu'un rempart face à des bug informatiques centralisés.
Nombre:
1.650( Ravelin )
5.000( totalité de la planète )
Couts: 500.000 Cr
Bouclier Planétaire:
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Énormes antennes de plusieurs mètre de haut, elles permettent, grâce à un puissant générateur d'énergie de canaliser celle-ci pour la distribuer au niveau de toute la planète pour la protéger contre une menace extérieure.
Nombre:
1( Ravelin )
2( totalité de la planète )
Couts: 150.000.000 Cr
Station Golan III
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Nombre: 3
Couts: 70.000.000 Cr