Un chasseur de Prime sur Ord Mantell

[PNJs : Escouade Infiltrée]

Le soldat qui était le capitaine de l'escouade réfléchit quelques instants avant de répondre à Arnor sur le ton de la plaisanterie.

Capitaine Julius : Livrez nous la fille ou on fait tout sauter avec notre bombe humaine ...

Tout l'équipage esquissa un sourire. Apparement, ils s'étaient habitué à l'humour déplacé du Capitaine Julius. Celui-ci reprit sur un ton plus sérieux et d'une voix monotone, comme-ci sa voix était celle d'un robot.

Capitaine Julius : Nous sommes l'escouade Bêta 756. Notre vaisseau de repérage s'est écrasé et nous avons dût nous en procurer un auprès des rebelles infiltrés sur Coruscant.

La véritable escouade Bêta 756 a été capturée il y a une semaine par une patrouille dans le secteur du noyau. Nous ne sommes que les clones reproduit à partir du partir de l'ADN des prisonniers. La ressemblance est extraordinaire.

Pour ce qui est du code, nous avons toujours celui de leur escouade qu'ils nous ont cédé avec plus ou moins de sympathie...

Il repensa aux tortures qui leurs avaient été faite. Un certain Lionel Silvan opérait et son proffessionalisme était effrayant car l'on pouvait imaginer qu'il avait pratiqué ce genre de choses de nombreuses fois. Après quoi, ils furent emmenés dans une chambre et leurs cris déchirèrent la nuit lorsque le gaz s'infiltrait par de minuscules ouvertures.
On appelait ce mode d'execution, L'enfer de Clersec. Par un procédé simple, on envoyait de l'acid transformé en gaz et la respiration des captifs faisaient le reste...

Le ilote avait vu l'immense bâtiment noir, à moitiè recouvert par la mousse et le lichen. On pouvait encore voir la marque de l'Ancienne République. A première vue, le bâtiment semblait complètement abandonné mais rien n'était moins sûr...

Capitaine Julius : C'est notre destination. Mais biensûr, l'entrée est plus que surveillée. L'Empire a connaissance de cette base mais aucune opération n'a été menée. D'après les généraux, ils s'enfuiraient avant notre arrivée et s'installeraient dans une autre base mieux dissimulée...
Nous devons d'abord atterir au spatioport et retrouver un des capitaines rebels devant l'entrée du spatioport. Il reste toujours là pour sirroter un petit verre mais c'est surtout pour surveiller l'arrivée des troupes impériales. Quand il nous verra, vous pourrez être sûr qu'il nous reconnaitra. Quant à vous, vous n'aurez qu'à expliquer que vous voulez devenir rebel...

Le vaisseau fit un virage et se dirigea tout droit vers le spatioport.
L'escouade de clone sortit, suivit d'Arnor. Ils allèrent sortir quand ils repérèrent le capitaine rebel, habillé en mendiant.

Capitaine Julius : Arnor, a vous d'entamer la conversation.

[MJ 5 je crois que c'est le bon moment pour le prendre comme ça tu pourras pleinement contrôler la situation. Envoie moi un MP pour confirmer à moins que tu ne veuilles que je continue.]

La grande hacienda fortifiée à flanc de falaise avait connu des jours meilleurs sur cette mesa poussiéreuse. Aujourd'hui le désert sauvage, balayé par un vent puissant, reprenait ses droits, et donner aux vieux bâtiments des airs de ville fantôme.

D'un coup d’œil, Arnor convient de l’avantage stratégique que représente la position encaissée du fort qui rend tout assaut mécanisé impossible. Il avait lui-même pu juger qu’il était difficile de faire atterrir quoique ce soit dans les canyons. Il aurait parié chère que les rebelles s’étaient dotés de petits canons lasers anti-aériens qui, disposés intelligemment, pourrait défendre les installations le temps de les évacuer. Il n’est pas étonnant que l’Empire n’ait pas voulu se jeter dans ce piège.

Le mur d’enceinte en permabéton armés’élève à plus de 5 mètres et un picotement dans le coup du chasseur de prime lui apprend l’existence d’un champ de force. Une grande porte en permacier ferme l’hacienda. Assis par terre, adossé au rempart, un homme, vêtu d’un long cache-poussière sale, la tête dissimulée sous un grand chapeau semble dormir.

Arnor a écrit:

- Bonjour, je m’appelle Deran Make.

L'homme ne bouge pas.

Arnor a écrit:

- Ces hommes m'ont dit que vous êtes dans la Rébellion et... je voudrais adhérer votre cause...

Un long silence plane, battue par des rafales de vent. Puis l'homme parle lentement :

- Tu es un rebelle toi ? Alors tu vaux une petite fortune.

Lorsqu'Arnor tente d'approcher l'homme de plus près, celui-ci sort un pistolet blaster qu'il pointe sur le ventre du chasseur de prime pour le faire reculer.

Arnor a écrit:

- Je vous semble un peut être directe et vous trouvé peut être que je parle a la légère mais voyais vous, pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple ?
Ces hommes m’on déjà questionnés et fais sûrement tous ce qu’un soldat doit faire pour avoir confiance en un autre, après avoir fait une approche sûrement moins directe.
Et pour répondre a votre question non je ne suis pas encore rebelle, mais j’ai quelque contactes qui sont de leurs cotés, c’est comme cela que j’ais rencontrés ces hommes

L'homme, sans baisser son arme, jette un coup d'oeil au commando cloné.

- Et pouquoi ils ne disent rien eux ?

Lorsqu’Arnor tenta d'approcher l'homme de plus près, celui-ci sorti un pistolet blaster qu'il pointe sur le ventre du chasseur de prime pour le faire reculer. Ce qu’il fit.

- Mmmh jolie, mais juste ; vous est stressé...Ho c’est normale avec tous ces impériaux...

Arnor sourit, avec l’aire assuré et confiant.

L'homme, sans baisser son arme, jette un coup d'oeil au commando cloné.
- Et pouquoi ils ne disent rien eux ?

- Et si vous voulez qu’il parler, adresser vous a eux. Mais ils voulaient d’abord que je « entame la discussion »

Julius s’approcha du rebelle à la même hauteur d’Arnor en voyant l’arme du rebelle.

Capitaine Julius : Ne vous inquiété pas il est avec nous, baissé votre arme.

[On m'a relégué la mission, si jamais je fais une erreure d'incohérence, indique moi]

Capitaine Julius : Ne vous inquiété pas il est avec nous, baissé votre arme.

À contre coeur, le capitaine abaissa son arme. On voyait qu'il ne faisait toujours pas confiance à l'homme en armure qui prétendait vouloir devenir rebelle, mais il ne voulait pas entamer une dispute avec le Capitaine Julius. On pouvait le lire sur son visage crispé par la tension. Il rangea son arme, mais ne boucla pas la gaine afin d'être près à dégainer au premier faux pas.

- D'accord... vous pouvez rester, mais enlever votre casque que je puisse vous regarder dans les yeux, fit-il à l'adresse d'Arnor. Je sais reconnaître les menteurs et j'ai une mémoire photographique, je vous retrouverez si jamais vous trahissez le secret de cet endroit.

Définitivement, ce capitaine n'était pas des plus agréable et il serait difficile de contourner sa méfiance. Il se plaça devant Arnor, bien près, la main sur la crosse de son blaster. il le regarda directement dans la visière, attendant qu'il retire son casque.

Il regarda Arnor longuement dans les yeux. Le silence d'Arnor ne lui avait pas plus, il aurait préféré un "Oh ne vous inquiétez pas, je ne vous trahirai pas", bien que cela aurait été improbable comme réponse provenant de quelqu'un dans le genre d'Arnor. Il passa son regard d'un oeil à l'autre, cherchant quelque chose, mais ne le trouvant manifestement pas.

-C'est bon... je vous crois, hésita-t-il à dire.

Le robot descendit la passerelle du vaisseau transport, ce qui alarma immédiatement le rebel.

-Oh non non, votre droïd de sécurité devrait rester pour surveiller votre vaisseau, suggéra-t-il sur le ton d'un ordre. Avant de débarquer tout votre arsenal, j'aimerais savoir ce qui motive vos intérêts pour la Rébellion et quels sont vos talents, car il reste une place à combler comme surveillant nocturne de la passerelle nord. Pour le moment je vois difficilement ce que vous pourriez faire d'autre.

Bien évidemment, il suggéra ce poste minable simplement pour se moquer d'Arnor. Il recula enfin d'un pas, laissant un peu d'espace à ce dernier.

Arnor regarda le rebelle hésiter d’affirmer qu’il le croyait mais le fit quand même...

Puis quand Z6 descendit de la passerelle le rebelle paniqua sans aucune raison

- Mon droïde me suit et de toute façon c’est un droïde de protocole inoffensif...

Arnor s’avait très bien que ce droïde avait était modifié, et qu’il pouvait piraté, comme un unité R2 et pouvait même tiré un rayon laser pouvant prisé un cadenas(et bien d’autre fonction)

- Pour votre surveillance nocturne vous rêver je suis un mercenaire pas un garde OK ? Ni l’un de vos jeunes soldats en formation !! Et cette escouade, c’est l’escouade 756, qui, à ce qu’il m’on expliqué, ils avait perdus contactes avec leurs base pendant un bon moment.
Je les ais aidés un prendre contacte avec des rebelles de Coruscan, puis ces rebelles leurs on donné un vaisseau !

Le capitaine Julius s’avança et pris la parole :

Capitaine Julius : En effet l’escouade ici présente est l’escouade 756, je suis le capitaine Julius. Cette homme nous a bien aidé, je comprend pas pourquoi vous n’est pas au courant de notre situation !

Il avait ajouté ces mot avec une très grande vois de supérieur hiérarchique...

Arnor resta impartiale mais toute fois avec un regard percent.

L'homme ne broncha pas et avait toujours cet air méfiant. Il dit tout de même, en toute sincérité, ce qu'il pensait.

-Nous sommes des rebels et c'est une base secrète. Il ne faut quand même pas vous attendre à ce qu'on laisse passer les inconnus et les disparus sans les "tester" un peu, surtout lorsqu'ils arrivent de Coruscant. Ce n'est qu'une mesure de sécurité. Allons, suivez-moi nous allons nous mettre à l'abri un peu pour discuter davantage.

Le capitaine se dirigea à l'intérieur et fit signe à Arnor et les autres de le suivre. Ils passèrent une porte qui était camouflée avec suffisamment de succès qu'Arnor ne l'avait même pas vu. Ils traversèrent quelques corridors garnis de gardes, et aboutirent à une grande salle de réunion où se trouvaient plusieurs tables. L'homme fit signe à Arnor et aux autres de s'asseoir. À côté d'eux il y avait un hangar où se trouvait plusieurs X-Wings et des caisses d'armement. Des hommes et des femmes de toutes sortes se promenaient dans le bâtiment. Tous semblaient d'une humeur relativement bonne.

-Alors, qu'est-ce que vous êtes capable de faire, qu'est-ce que vous voudriez faire pour servir notre cause ?

Attendons jusqu'à demain et je te répondrais.

L'homme jaugea Arnor du regard. Peut-être pourrait-il lui trouver quelque chose.

-OK. Je pense qu'on va te trouver quelque chose mais ne t'attends pas à quelque chose de bien amusant. Par contre, si jamais j'apprends que tu es un espion impérial, je te tue de mes mains.

Il avait pronconcé ces dernières paroles d'un ton aussi froid que la glace. Il emmena Arnor et l'escouade jusqu'à une navette banalisée et à moitié déglinguée. La navette fonça à vive allure jusqu'à une porte en métal dissimulée. La porte s'ouvrit et la navette pénètra à l'intérieur du bunker secret. Dès qu'ils entrèrent dans le hangar souterrain, une petite escouade de soldat rebels ainsi qu'une femme les saluèrent. La femme était la cible d'Arnor, Koryïnn Sega. Devait-il l'abattre tout de suite ou bien attendre ? La raison le poussa à attendre le moment le plus propice.

-Bien le bonjour, je suis Koryïnn Sega et je suis en charge de vous pendant votre séjour ici. Avez-vous des questions ?





[HRP : Désolé, je suis fatigué et pas très inspiré. Fairais mieux la prochaine fois.]

Arnor regarda la femme, qui avait un aire de pitié qu’elle lui adressait. Puis il écouta attentivement ce qu’elle lui dit.

*Rien d’important pour mois surement aucun projet dans cette base qui à de la valeur...*

Puis il s’aperçue qu’ils étaient à l’écart et plus aucun gardes étaient présent. Ils étaient isolés, c’est maintenant qu’il pouvait agir.
Mais il ne pouvait pas la transporté vivante... Il devait la tué, Maximilien Clersec avait dit qu’il la préférait vivante, mais la différence ne sera pas énorme, étant donnée qu’il allait toute façon cette femme par la torture. D’une façon il la sauvé d’une douleur...

Ils étaient maintenant dans une salle il pouvait agir, il s’approcha de la femme, un peut plus grand qu’elle il la tient par l’épaule avec sa main gauche, elle fut surprise mais il était trop tard, Arnor plaqua le point droit sur sont sa poitrine et laissa glissé rapidement la lame de métal de son poignait, en une fraction de seconde la lame traversa la poitrine.
Arnor retira la lame et la regarda...

- Je ne suis pas un rebelle, je suis désolé, et je ne suis pas aussi naïf que je vous est fait croire... Dite vous que...c’est de bonne guerre...

Du sang sortis de sa poitrine et tomba sur ses genoux, puis son ventre ce plaqua contre le sol. Elle ferma les yeux, et puis plus rien. Plus aucun bruit dans la salle...

Arnor sortis de la salle, et marcha vers le hangar, aucun garde ne fis attention à lui. Arrivé dans le hangar où l’attendais son robots Z6, il trottina facilement vers le vaisseau prés au décollage et si glissa facilement. Le pilote était entrain de faire des réglages sur son tableau de bord, la dernière tache qu’il fit avant de ce faire tranché la gorge. Il posa le pilote un peut plus loin au font du vaisseau, le robot arriva et actionna la fermeture de la passerelle. Arnor lui assis sur le fauteuil de Pilote, entendis la radio grésilla.

- Et Stark tes prés.

Arnor sourit et essaya de prendre une voie neutre :

- Ouai c’est bon.

- Ok j’actionne l’ouverture. Bon vole

En effet l’ouverture du hangar s’ouvrit, et il décolla. Il ignora l’homme et ce demanda si ils avaient découvert le corps, il décida de pas y penser et monta vite en haltitude.

Quand il fut dans l’espace et hors de porté de tous radar, il actionna le dispositif de communication du vaisseau et entra le Coordonnées de Clersec.

- Ici Arnor, Mission effectué avec succès !

Dernière édition par Arnor le Mer 8 Oct 2008 - 20:25, édité 2 fois

[PNJ : Nina Gunn]

Nina reçut immédiatement le message. Elle était heureuse qu'il est réussi car elle éprouvait une certaine compassion pour lui. Après tout, ils n'étaient pas si différent. Elle aussi avait été soumise au chantage de Maximilian Clersec tout comme Lionel Silvan. Elle eût un vague souvenir de son passé. Elle était libre mais elle ne le serait plus jamais.

Nina Gunn : Bien, vous avez fait du bon travail. 25 000 crédits ont été transférés sur votre compte personnel de la part de Maximilian. Il m'a également chargé de vous dire qu'aucune bombe ne vous a été implantée à l'interieur de vous. Vous pouvez disposer, il n'a plus besoin de vous, pour le moment.

La communication se coupa. Nina resta un moment sans bouger, pensant soudainement qu'elle aussi avait put être manipluée. Peut-être qu'il ne tenait pas son fiancé dans un de ses campsd'extermination. Pourtant, elle reprit son travail comme si de rien était car elle pouvait se tromper.