Marche de santé

Satisfait, Valkar progressait gaiement dans les sous-terrains de Taris. La ville planète renfermait des centaines de milliers de kilomètres d'entrailles tortueuses, si ce n'était plus, et tout cet infra-monde était le territoire de certains des êtres les moins appréciables de la galaxie.

Le Tof, arpentant un long couloir depuis quelques minutes, s'approchait du sas qui permettait de passer d'une zone à l'autre des districts de l'infra-monde, et prenant à gauche, seul choix qui se présentait à lui à moins de percer les murs, il se trouva devant un barrage de quatre clones gardant le sas, comme quoi il n'étaient pas totalement absent de cette zone de la planète.

L'un d'eux visiblement un capitaine, se retourna à l'arrivée de Valkar et l'apostropha d'un air autoritaire, le haut de son casque à peu près à la hauteur du thorax du Tof.

- Vous, citoyen, n'allez pas plus loin, cette zone est en quarantaine.

Valkar considérait la chétive copie qui contraignait sa promenade.

Valkar profitait de sa marche jusqu'à ce qu'il tombe sur 4 nabots avec l'idée suicidère de l'empècher de continuer en ligne droite... Non mais, comment pouvait-il oser interrompre un honnete citoyen comme lui pour quelque chose d'aussi vulgaire qu'une zone de quarantaine... Il se contraignit à baisser son regard jusqu'à ce qui devait être un capitaine et lui dit de sa voix "douce et mélodieuse".

Excuse moi nabot fait à la chaine mais, je n'ai pas l'intention de retourner d'où je vien. Puis sans leur laisser le temp de comprendre ce qui allait se passer le Tof expedia un genoux dans l'estomac du capitaine avec tout sa force puis se prépara à se servir de se dernier comme bouclier contre les tir blaster de ses amis(tout en sortant sa propre arme et en commencant a tirer dans le tas).

Les autres clones, tournés vers la porte et observant les écrans d'outils de contrôle branchés à l'ordinateur de la porte, avaient entendu le choc et firent volte face à dégainant leurs fusils [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], laissant tomber leur matériel qui pendaient au cables.
Il ne pouvaient pas distinguer le visage de Valkar, à cause de l'exiguïté du couloir et du clone inconscient qui, porté en bouclier par le massif Tof, cachait la partie supérieure du corps de ce dernier.

- Veuillez reposer cet officier tout de suite. Rendez vous sans résistance et il ne vous sera fait aucun mal. :stormtroop::

Un autre clone envoya la suivante transmission dans le comlink intégré à son casque.

- Base district ici WTF-242, sommes attaqués par un individu non-identifié de grande taille. Officier pris en otage. Renforts demandés. :stormtroop::

Etant donné l'endroit où ils se trouvaient il y avait peu de chance que les renforts arrivent avant un certain temps.

C'est alors que des coups se firent entendre de l'autre côté de la porte du sas. Une voix electrique, -assourdie par l'épaisseur de la porte mais que Valkar entendit clairement dans l'oreillette de casque du capitaine- se fit entendre.

- Qu'est-ce qui se passe chez vous, on a entendu du bruit. Vous avez besoin d'aide? On ne peut pas ouvrir la porte de notre côté, c'est le seul passage disponible, à vous.

Les trois clones avaient encore leurs DC-15S braqués sur le Tof...

Lorsqu'il entendit la voix confirmer que les clones ne recevraient pas de renfort de sitôt le géant se mit à rire d'un rire à en glacer le sang, gardant son bouclier avec un bras et se préparant à commencer la partie dite carnage.

-Bon et bien, je vous offre un forfait de groupe pour un voyage vers l'après vie!!

Cria t'il en commencant à tirer de gauche à droite à haute de poitrine(celle des clones pas la sienne) pour utiliser à pleine capaciter la puissance de feu dévastatrice de son arme dont il était sur de ne pas manquer de munition avant un certain bout de temps dût à son pack d'énergie dorsale... tout cela en laissant errer son regard à droite et à gauche pour se trouver un meilleur endroit où se mettre à couvert.

Le premier coup de blaster de Valkar ne fut pas très précis et ne toucha aucun des troopers. Les clones, comprenant alors que le Tof ne venait pas en paix, ouvrirent le feu mais l'épaisseur de l'armure composite et les couches successives de vêtements, d'épiderme et de tissus musculaires du capitaine-bouclier suffirent à arrêter les tirs de blaster en sauvegardant la délicate peau verte de Valkar.

C'est après cette première salve des clones que Valkar fit à nouveau feu avec son arme, cette fois dans une autre direction, plutôt imprévisible (D'où l'avantage de ne pas avoir toute sa tête). Ce second tir toucha le clone le plus proche de la porte qui s'écroula dans un râle de douleur.

Le Tof avait eu le temps d'observer les alentours et le moyen le plus simple de se mettre à couvert semblait être de reculer de quelques pas et de se cacher derrière l'angle que formait le couloir.

Deux clones étaient encore debout.

Valkar tira une douzaine de coup, ce qui suffit à abattre les deux clones restants, l'un d'un tir dans le thorax et l'autre de deux tirs au niveau de la rate.

Les clones eux, avant de passer l'arme à gauche, avaient transformé leur équipier en passoire - causant tout de même quelques brulures au Tof -, et avaient, l'un frôlé l'aisselle de Valkar, lui ouvrant une plaie généreuse, et l'autre, fait sentir le roussi à la crinière déjà rouquine du massif et joyeux personnage.

Ce dernier continua de se divertir quelques instants avant de remarquer l'absence de réplique du camp adverse, et de sentir qu'il souffrait en quelques endroits.

Ne trouvant pas de quoi arrêter les saignements de son aisselle, il se trouva obligé d'ôter l'épaulière du capitaine pour utiliser la toile extensible de la combinaison afin de creer un substitut à la bande médicale. Il fouilla les corps inanimés des clones, s'emparant des ceintures, munitions, d'une bandoulière sur laquelle il fixa deux fusil, puis il mit les deux autres dans les holsters des jambières, également récupérés pour l'occasion. Il récupéra également un carte d'accès à une caserne dans l'équipement du capitaine. Le comlink lui était indiscociable du casque, malheureusement.

Le colosse avait donc Une lance et deux fusils dans le dos, un fusil sur le torse, deux autres a chaque cuisse et deux ceintures de munissions, sans compter son pack d'energie dorsal
Il pouvait sans trop de problème soulever tout cela mais sa liberté de mouvement s'en voyait quelque peu restreinte.

Pendant ce temps, les coéquipiers des clones continuaient à emettre sur la fréquence, comme le son parvenant du casque du capitaine le laissait entendre, cependant impossible pour Valkar de savoir s'ils étaient encore derrière le sas. Les renforts, eux devaient déjà être en route.

Le Tof était face à la porte du sas. Le boitier de commande était ouvert et des appareils electroniques pendaient des cables encore branchés au boitier. Valkar n'avait aucune idée de ce qui se trouvait dans la zone de quarantaine mais rebrousser chemin n'était peut-être pas la meilleure idée sans oublier que...

... Sa promenade n'était pas encore terminée.

Valkar prit le casque du capitaine et... se rendant compte qu'il ne pouvait pas se le mettre, essaya de parler dans le commlink à l'interieur comme il avait vus les nabots le faire.

-Base district ici WTF-242, menace neutralisée, je répete, menace neutralisée, seulement un clochard qui avait trop bus. Puis il lanca le casque et retourna à son travail.

Alors que la plupart des gens font tout pour sortir des zones de quarantaine, Valkar lui commenca à s'affairer pour y entrer. Il regarda d'abord les appareils électronique branchés, cherchant celui qui pouvait ressembler le plus à une commande d'ouverture et analysant les touches (car et oui il sait lire >.>), il trouva la touche devant être celle de l'ouverture du Sas et appuya ... presque dessus, il enleva les cadavres de devant le sas avant, se placa sur le coté, arme au point(le T-11) et enfin appuya dessus... attendant de voir ce qui se passerait.

-J'espere pas avoir appuyé sur le bouton d'auto-destruction... se dit-il...

Au moment où il appuya, la première porte s'ouvrit puis la deuxième presque immédiatement. Valkar était en alerte. Il scrutait mais il ne vit personne de l'autre côté.

Avant qu'il ait pu pénétrer dans le sas, une douleur affreuse, un déchirement se fit ressentir dans son mollet. L'un des clones, le premier à s'être écroulé, n'était en fait pas fini. Il avait fait le mort puis tandis-que Valkar s'affairait, dans un dernier effort, était revenu à lui et avait sorti un couteau de sa botte et frappé à travers le pantalon du colosse. Il était toujours étendu sur le sol et avait à peine bougé.

Le Tof s'était retourné par réflèxe vers le clone qui l'avait poignardé. Son sens aigu de la souffrance lui indiquait que la lame avait pénétré de plus de quinze centimètre.

Le clone, étendu respirait de façon saccadée.

Valkar,malgré la douleur, regarda le clone avec sous sourire le plus sadique , arracha le couteau de son mollet en retenant un cris de douleur, se pencha vers le téméraire clone, lui arracha son casque, mis sa main gauche sur la bouche de sa prochaine victime(pour l'empecher de crier) et lui chuchota à l'oreil.

-Comme je vois tu n'aime pas mourir sans trop de douleur, je vais arranger ca. Le Tof enfonca alors le couteau dans le plaie faite par le tir de blaster et tourna la lame, tourna, tourna et tourna jusqu'à ce que le soldat perde connaissance. Puis il se leva et écrasa la tête de sa victime sous son pied.

-La, si tu es encore en vie, tant pis pour toi. Il allait partir mais se tourna et prit le couteau de la plaie pour le cacher dans une de ses propre botte(pas celle du coté de la plaie),il se fit ensuite un bandage avec une bandelette de tissus prise sur un cadavre, prit un blaster, enleva les munition, mit le cran de sureté le placa sur son molet blessé, prit une autre bande de tissus et s'en servit pour tenir le blaster en place.

-Je ferais un bon médecin de combat, en tout cas au rythme où je vais je finirais pas cette balade en vie... dit-il à voie basse tout en se servant de sa lance pour s'aider à marcher, puis toujours sur ses gardes et avec son T-11 dans la main qui ne tiennait pas la lance entra dans la zone de quarrantaine, il n'allait pas arreter sa ballade pour si peu...du moin l'esperait-il

Valkar souffrait quelque peu, mais il avait l'habitude. Toutes-fois il était obligé de ralentir le pas, car la blessure le lançait à chaque pas.
Il traversa le sas, qui ne faisait pas son office de sas étant donné que Valkar l'avait ouvert de façon non conventionnelle. Cela dit, quand il passa la seconde porte les deux se refermèrent dans un bruit de piston caractéristique.

S'offrait a lui un couloir dont il ne voyait le bout pour l'instant. Il était sur une passerelle et en dessous de lui des machines travaillaient, faisant aller et venir leurs imposants bras mécaniques dans un bruit presque assourdissant. Les parois étaient en biais et s'elevaient en s'écartant. Le plafond était parcourut par des cables entre lesquels brillaient de faibles lampes. La principale source de lumière se trouvait sous les machines et l'endroit était donc éclairé par le bas.

Le couloir semblait se poursuivre tout droite jusqu'a un embranchement à quelques dizaines de mètres mais Valkar ne pouvait pas voir plus en détail les choix de directions qui s'offraient à lui. De plus,il était intrigué par la disparition de la deuxieme partie de la troupe clone, qui se trouvait précédement de ce côté du sas...

Bordel où sont-ils donc tous passé? était la seule pensé qu'avait le colosse en tête alors qu'il marchait vers dans le corridor... de temps en temps elle était accompagné de: Et pourquoi mettre une usine en quarantaine?.

Il gardait tout de même tous ses sens en alerte et un coup rendu à l'embranchement, Valkar s'appuya contre le mur et tendit l'oreil, esperant entendre la moindre preuve. Après quelques secondes dans cette positions, et si il n'entendait rien, il se relevait et regardait les choix qui s'offre à lui, si il entendait un bruit... cela dépendrait de ce dernier...

Aucun bruit. C'est à croire que la zone avait été désertée. Aucun bruit mais une odeur. Une odeur piquante arrivait aux narines de Valkar. Il ne l'avait jamais sentie au part avant.

Valkar s'était avancé jusqu'à l'intersection, et plusieurs choix s'offraient à lui.
Il pouvait prendre à gauche, et la chemin disparaissait à un tournant. Il pouvait aller tout droit mais il faisait sombre et il ne voyait pas jusqu'où allait le couloir.
Enfin il pouvait aller à droite, la passerelle menait jusqu'à une porte distance que quinze mètres environs.

Et c'est de là que l'étrange odeur venait. Elle parcourait l'appareil respiratoire du Tof, et à chaque inhalation il sentait comme un poids sur sa tête...

Bordel je m'empoisonne on dirait, plus jamais je rentre dans une zone de quarantaine... Bon allons voir ce qui produit cette odeur... Puis le Tof, pour une fois inquiet, ce dirigea vers la porte d'où venait cette "agréable" flagrance...

Rendu devant la porte il l'observe, s'il peut l'ouvrir sans violence il le fait, sinon il la défonce... Valkar n'était pas vraiment patient quand sa vie en dépendait... Sa tête se fesait de plus en plus lourde...

La porte semblait fermée mais pas très solide. Valkar n'avait pas le temps ni la clarté d'esprit (A ce moment précis évidement) nécessaire à un retour en arrière destiné à aller chercher la commande d'ouverture des portes, où simplement à fuir cette situation déroutante. Un coup d'épaule douloureux permit au Tof d'enfoncer la porte.

Son élan lui fit faire quelques pas mal assurés dans la salle qu'il venait d'ouvrir. Ladite salle était emplie du bruit d'êtres en tout genre remuant dans des cages et poussant des hurlement stridents. Il eu le temps de voir des bureaux désordonnés, des tubes à essai cassés, des liquides verdâtres coulant de diverses modules d'expérimentation.

Quand il inspira pour reprendre son souffle, il eu l'effet d'un coup de masse sur la tête et vomit en tombant à genoux. Il perdit connaissance....



Non... Il luttait. La peau de ses bras rougissait et des émataumes et autres bubons se formaient à la surface de son épiderme vert.
Il se releva. Le bruit de la faune incarcérée semblait se faire de plus en plus fort. Il ne lui restait que quelques instants avant de sombrer à nouveau...

[HRP : Tu vas donc pouvoir agir puis mettre en scène ton évanouissement sachant que le laps de temps écoulé ne doit pas être estimé à plus d'une ou deux minutes. Je m'occupe du reste, bonne chance]

J'aurais dût chercher... un masque, jveux pas mourir... entourer d'animaux de ...labo... en tout cas pas maintenant... ca vas gacher... ma journée..

Les idée du colosse se brouillait, il lui restait tellement de chose à faire, de monde a découvrir.. de gens à tuer... au moin il ne mourirais pas sans avoir tué quelques clones... quel étrange satisfaction... Puis il ne vut plus rien

Pourquoi il fait tout noir! quelle derniere parole merdique...

[Vers [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]]