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Veers avaitses sources. Mais byzarrement, il ne leur accordait aucune confiance. Un mercenaire ne vaut pas un agent de l'empire, et toute cette mission n'était fondée que sur ce seul mercenaire. Il craignait même que la fameuse liste n'éxista pas.
Son speeder s'immobilisa bientôt à quelques mètres de la taverne au joyeux mercenaire. L'accoutrement du colonel et de ses deux gardes ne parraitrait aucunement tape à l'oeil dans ce refuge à truands. Il balaya la piece du regard et calcula rapidement la prime qu'il pourrait se faire avec une simple descente ici. Deux milles crédits ! C'est dire combien ce bar était mal famé. Mais le coloneln'était pas là pour ça. Ces criminels mineurs ne l'interressait pas et se comporter comme des chasseurs de prime à leur égard ne l'aiderai nullement, cela risquerait fortement de compromettre la mission.
Vétu d'une simple tunique noire, couvrant un gilet par balle assez miteux, le colonel portait son DH-17 bien en vue à se ceinture. Les deux autres portaient un vétement semblable mais avaient rajouté une cape à leur armement. L'un des stormtrooper ainsi camouflé portait un fusil blaster Firelance en bandoulière, et l'autre, deux pistolets automatiques DL-44. Arsenal disuasif au milieu d'une floppée de personnage rarement armés d'autre chose qu'un vibrocouteau ou un petit pistolet blaster. Cela ne parraissait toutefois pas trop tape à l'oeil : Veers avait remarqué une bande de chasseurs deprimes arborant fierement un pistolet blaster Renegade ou un DC-15, sans doute volé à un clone pendant la guerre noire.
Il s'avança donc dans la piece avec la démarche assurée deceux qui savent ce qu'il font. D'un signe de tête, il enjoignit les deux autres à trouver une table et s'avança vers le bar. Il lança, sur un ton badin :
- Trois jus de Juri.
Il posa ensuite un billet de 200 crédits sur le bar afin que le patron puisse le voir et chuchota :
- La monnaie est pour toi si tu me met en contact avec le soleil noir. Dit-leur que j'ai un boulot pour eux, et que jeveux parler au plus haut placé qu'ils puissent m'envoyer.
La démarche était discrète. Et Veers se comportait comme le faisait la plupart des chasseurs de primes ayant un gros contrat pour le soleil noir. Difficile de les contourner ...
MJ ?
Veers avaitses sources. Mais byzarrement, il ne leur accordait aucune confiance. Un mercenaire ne vaut pas un agent de l'empire, et toute cette mission n'était fondée que sur ce seul mercenaire. Il craignait même que la fameuse liste n'éxista pas.
Son speeder s'immobilisa bientôt à quelques mètres de la taverne au joyeux mercenaire. L'accoutrement du colonel et de ses deux gardes ne parraitrait aucunement tape à l'oeil dans ce refuge à truands. Il balaya la piece du regard et calcula rapidement la prime qu'il pourrait se faire avec une simple descente ici. Deux milles crédits ! C'est dire combien ce bar était mal famé. Mais le coloneln'était pas là pour ça. Ces criminels mineurs ne l'interressait pas et se comporter comme des chasseurs de prime à leur égard ne l'aiderai nullement, cela risquerait fortement de compromettre la mission.
Vétu d'une simple tunique noire, couvrant un gilet par balle assez miteux, le colonel portait son DH-17 bien en vue à se ceinture. Les deux autres portaient un vétement semblable mais avaient rajouté une cape à leur armement. L'un des stormtrooper ainsi camouflé portait un fusil blaster Firelance en bandoulière, et l'autre, deux pistolets automatiques DL-44. Arsenal disuasif au milieu d'une floppée de personnage rarement armés d'autre chose qu'un vibrocouteau ou un petit pistolet blaster. Cela ne parraissait toutefois pas trop tape à l'oeil : Veers avait remarqué une bande de chasseurs deprimes arborant fierement un pistolet blaster Renegade ou un DC-15, sans doute volé à un clone pendant la guerre noire.
Il s'avança donc dans la piece avec la démarche assurée deceux qui savent ce qu'il font. D'un signe de tête, il enjoignit les deux autres à trouver une table et s'avança vers le bar. Il lança, sur un ton badin :
- Trois jus de Juri.
Il posa ensuite un billet de 200 crédits sur le bar afin que le patron puisse le voir et chuchota :
- La monnaie est pour toi si tu me met en contact avec le soleil noir. Dit-leur que j'ai un boulot pour eux, et que jeveux parler au plus haut placé qu'ils puissent m'envoyer.
La démarche était discrète. Et Veers se comportait comme le faisait la plupart des chasseurs de primes ayant un gros contrat pour le soleil noir. Difficile de les contourner ...
MJ ?