[Event] Je suis la voie de l'Eclipse...

- Un problème soldat ?

Le lieutenant penché sur la console sursauta et manqua se cogner le coude dans le terminal. Son capitaine était silencieux comme une ombre, toujours discret, furtif... Un ancien commando spécialisé dans les opération de contre-espionnage. Forcément, des réflexes comme celui des pas discrets naissaient et ne partaient jamais.

Ils étaient seuls à la passerelle, les autres étant partis déjeuner. Pour la navigation dans une zone inconnue de tous où nul pirate ne rôdait, seuls le lieutenant et le commandant suffisaient.

- Commandant, vous m'avez fait peur...

- Ahah, je vois ça mon garçon. Aucun problème ?

- Non, pas grand chose, à vrai dire il n'y a rien du tout, tout est très calme...

- Allons bon, je vois bien que vous êtes perplexe, vous êtes sûr que tout va bien ?

- Et bien commandant... C'est le fait que tout soit calme qui m'inquiète...

- Oh ? Expliquez-moi votre point de vue, lieutenant...

- Et bien, d'habitude, quand on rentre de mission comme celle-là, il y a de l'animation, des jeux entre soldats, des râleurs qui se plaignent de ci, de ça... or là, regardez...

En guise de démonstration, le lieutenant alluma les terminaux face à lui, montrant quatre champs de caméras sur 3 écrans différents, sans personne dans l'objectif.

- Hum... c'est bizarre en effet. Où sont les rondes ? On les paye pas à rien foutre, après tout...

Histoire de sermonner ses hommes qui ne justifiaient pas leur salaire, il mis en route le son général, que sa voix résonne dans tout le Destroyer.

- Ici le commandant Artorius, je veux voir les responsables de sections et les patrouilleurs des coursives dans le centre de commandement immédiatement !

La discipline impériale était stricte, un soldat appelé devait répondre dans les plus brefs délais. Mais trente secondes s'écoulèrent sans qu'aucun retour ne vienne. La situation commençait à agacer le commandant quand...

- Commandant, j'ai du mouvement sur terminaux...

Le commandant se pencha pour voir ses hommes, dans leur tenues, sans arme, déambuler vers la source d'émission sonore. Les écrans réflecteurs bleu affichaient une mauvaise qualité vidéo, aussi ne purent-ils pas distinguer nettement les traces sombres sous leur cou, sur leurs bras ou sur autres parties du corps. C'était bizarre.

- Lieutenant, ouvrez la porte, je vais aller voir.

- Bien commandant.

En un pianotement sur le clavier, la porte s'ouvrit. Le commandant sortit sermonner ses hommes. Le lieutenant s'affaira à établir une cartographie précise des lieux. Ils s'étaient enfoncés très loin des les Régions Inconnues, et ils avaient trouvé une petite planète inhabitée, pleine de cadavres non identifiables, avec des containers marqués d'une langue ( du moins semblait-il ) inconnue. Le container était acheminé vers Coruscant pour expertise, avec deux cadavres, identifiés comme des individus respectivement mâle et femelle. Triste histoire qu'avait du être la leur. Le contact de ces gens et de ce container avait donné une poussée de toux sur certains membres de l'équipage.

Plus tard, environ 3 minutes après le départ du commandant, les terminaux se mirent à afficher la même neige, pleine de parasites, et à laisser filtrer des sons étranges, comme ceux de cris d'animaux, que le lieutenant attribua à un bug. Il s'affairait à le réparer quand vint le commandant à la porte.

- Fermez les portes !

- Commandant, qu'est-ce que...

- Fermez moi cette putain de porte, nom de dieu !

Le lieutenant ferma la porte par un pianotement tout aussi court que le précédent. Le commandant avait un air effrayé, et le blaster encore fumant au poing.

- C'est terrible... Mon dieu, c'est terrible...

- Quoi, qu'est-ce qui est terrible ?

- L'équipage, il... l'équipage, il est...

- Il est quoi ?

Le commandant leva des yeux apeurés vers le lieutenant...

- ...Il est mort.

Le lieutenant, comme tout être humain rationnel, eut du mal à encaisser le coup... mais dans le mauvais sens.

- Mais voyons commandant, ressaisissez-vous ! L'équipage est bien vivant, regardez, sur les terminaux, il y a 5 minutes !

- Oui... des morts-vivants...

Déclic dans le cerveau du lieutenant. Le container, la planète reculée inconnue, des cadavres non identifiables, défigurés, les toux des hommes, leur comportement...

- Mon dieu... mon père me racontait des légendes sur les "zombis"... Mais, mais... Ils vous ont mordus !

- T'inquiète, une égratignure... Mais maintenant, va falloir tenir le coup...

Et 2 minutes après, le commandant commençait à grommeler sous la douleur, quand la lumière s'éteignit, ainsi que la console, etc... Et la procédure numéro 1 sur ce vaisseau, c'était que si le courant était coupé, alors donner accès à tout les endroits sans soucis.

Les derniers souffles du générateur avaient ouvert toutes les portes électroniques, dont celle du commandement. Les grognements approchaient...

- Nous sommes des soldats de l'Empire ! Nous nous battons jusqu'à la mort ! Commandant !

Pas de réponse.

- Commandant ?

Réponse cette fois. Un grognement. Le lieutenant se tourna lentement... Et découvrit son chef, son mentor, le visage gris, mâchoire ouverte, plonger vers son cou, qu'il mordit sans vergogne, pendant que le lieutenant expulsait son dernier cri... Un long cri d'agonie.

Manger, manger... le festin pouvait commencer.

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*Le Côté Obscur requiert ton aide à cet endroit, brave seigneur...*

Telle fut la vision accordée à un prophète du côté obscur, Jaheiro, et à un seigneur sith puissant, Darth Oxious. Le Côté Obscur en personne se manifestait pour leur demander de l'aide, donc, c'était sérieux. Les coordonnées stellaires étaient imprimées dans leur esprit, et, sans se douter de la coïncidence, un vaisseau Impérial, l'Eclipse, devait revenir depuis presque un mois...

Ce même type de vision vient frapper l'esprit, non pas d'un sith, mais d'un jedi... Une jedi, pour être précis. Une pratiquante du Vaapad, frontière du Côte Sombre de la Force, était appelée à l'aide par la Force elle-même, durant un de ses séances de méditation, qu'elles soient régulières ou non. Cette même Force qui la guidait dans l'espace, dans un vaisseau impérial plus précisément...

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- Eh, hommes du Consortium ! Des pirates assez copains nous ont donner des infos sur un vaisseau impérial pommé et apparemment sans défense... Ils suggèrent qu'on y aille, récupérer du matos... voir le vaisseau tout entier ! Ca vous dit ? Des volontaires ?

Personne, évidemment. Et dans ces cas-là, des volontaires étaient souvent désignés...

- Vous deux, là, oui... Jaden Rendar et Marak Koress, ça va être marrant, tiens... Voici les coordonnées approximatives selon la dernière trajectoire connue... Vous partez dans deux heures, le vaisseau sera facile à aborder, il y a pas un pet' d'activité, rien ! Donc, prenez ces lampes au cas où...

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- Messieurs dames, asseyez-vous...

Et tous s'assirent devant l'homme encapuchonné, que tous savait Consul de la Guilde du Maelstorm.

- Des informations impériales viennent de tomber... Un destroyer stellaire inhabité vient de faire surface... L'empire n'envoie aucun homme sur place, l'occasion semble trop belle pour agrandir notre flotte, qui est pour ?

Deux mains levées. Deux.

- Bien sûr... Drake Arnor et Nala'Il... voici les coordonnées recueillies par l'Empire. Vous partez maintenant, allez chercher vos affaires, l'heure tourne.

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Sur Coruscant, un dessert se faisait tranquillement avaler par le Prince Xizor, dirigeant du Soleil Noir, organisation criminelle et huile essentielle des à-côtés impériaux. Devant lui se trouvait le, enfin, LA Vigo du Cartel Tionnais, Darth Naego.

- Nos amis impériaux ont perdu un vaisseau, sans rien ni personne dedans... C'est bête, un vaisseau en bon état, sans personne pour le défendre... Vous voulez bien m'accorder ce petit caprice et me le rapporter ? La récompense sera à la hauteur...

Et Xizor reposa sa cuiller sur la table, sans regarder Naego. C'était clair. C'était un ordre, immédiat.

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- Eh, pss, psss !

La personne interpellée qui se retourna l'air surpris, ou l'air neutre aurait pu s'appeler Dairiun Ashloveta, Han Solo, Vallac et son ami Kalen Corsh, ou bien le robotique Vylagos Teska. Avec leur manière à eux de répondre, ils écoutèrent...

- Eh, mon pote... J'ai un ami qui bosse dans les renseignements rebelles, regardent ce qu'ils ont trouvé... Des coordonnées vers un vaisseau impérial abandonné, sans personne... pour garder le putain de matos à l'intérieur ! Voilà le deal : je te file les coordonnées, tu va récupérer ce que tu peux, et on partage le fric qu'on en tire, et tu peux garder des pièces pour toi si tu veux !

Décidément, tous avaient les coordonnées de ce vaisseau, l'Eclipse...

A eux d'entrer en scène...

HRP: Sympa l'intro, bien dans l'ambiance et tout. Par contre je sens comme une référence à Dead Space, je me trompe?

C'était alors qu'il sirotait une bière corellienne comme il les aimait que le grand, le beau et le célèbre Han Solo avait été interpellé par un type un peu bizarre, encapuchonné et pas le genre à traîner avec des amis . En soi, Han avait l'habitude de croiser ce genre de type, surtout étant donné les bars louches qu'il fréquentait tout le temps. Par contre, la présence d'un Wookie armé et pas franchement sociable décourageait toujours les importuns, et si celui-là avait eu les couilles de braver le danger pour asticoter Han, il méritait peut-être un peu d'attention. L'étranger n'avait cessé de débiter à propos de coordonnées sur un vaisseau impérial abandonné qui n'attendait qu'à être pillé.

Ma foi, Han n'avait pas trop le coeur à aller piller du matos, encore moins si c'était un vaisseau impérial, mais il s'ennuyait actuellement et à dire vrai, il lui fallait renflouer ses coffres s'il voulait que le Faucon continue de voler sans qu'ils n'y perdent un réacteur à chaque fois. Donc il s'efforça de s'intéresser à l'offre du type. A dire vrai, il acquiesça sans même écouter vraiment, trop occupé qu'il était à finir son verre. Une fois cela fini, il prit congé et avec Chewie sur ses talons, partit pour le Faucon, étudia les coordonnées et resta perplexe. Un coin dans les Régions Inconnues et ne figurant sur aucune des rares cartes qu'il y avait sur ce secteur de la galaxie. Ça sentait aussi fort que la merde d'un bantha, c'est dire.

J'aime pas trop ça Chewie, ça sent l'embuscade à plein nez. Si ça se trouve ce truc est un piège pour essayer de choper des contrebandiers. Ou peut-être que c'est un des hommes de Shrike qui veut venger son capitaine? Ça fait longtemps mais avec ce genre de gars on sait jamais...
- Hrrrmm !
- Non c'est vrai, mais faut mieux être paranoïaque que stupide tu en conviendras. De toute façon c'est pas comme si on avait mieux à faire, au mieux y a des crédits faciles à se faire, au pire... eh ben des pirates ou d'autres charognards, donc rien de trop compliqué pour nous deux hein? Allez, c'est parti, espérons que cette histoire en vaudra le coup.

Et c'est ainsi que les voilà partis pour une aventure qu'ils ne seront pas près d'oublier... Quelques jours plus tard, le Faucon Millenium est alors presque en fin de phase d'hyperespace. Brusquement, il stoppe. Quelque part dans l'espace, voici que devant eux se profile la silhouette horriblement familière d'un... Destroyer Stellaire Impérial !

Chewie, freine immédiatement ! Eteins les moteurs, faut pas qu'ils nous repèrent ! Vite, grouille-toi !

Le Wookie se met à rugir et à pester contre cette malchance incroyable et bouge frénétiquement, envahi par l'urgence de la situation. Trop lentement a leur goût, les réacteurs s'éteignent, le Faucon s'immobilise, tout devient calme tandis que le Corellien observe, redoutant la vision caractéristique de TIE ou pire, d'un rayon tracteur. Finalement, au bout de plusieurs longues et angoissantes minutes, rien ne se passe, et il se permet de respirer un peu plus calmement.

On dirait qu'il y a aucune réaction. Soit ils nous ont pas vus et c'est bons, soit c'est pour bientôt, soit y a un problème avec leur système de détection. Quoi qu'il en soit, on va pas attendre de le découvrir, Chewie, allume les moteurs à 5% de leur puissance, qu'on se rapproche suffisamment lentement pour qu'ils croient que c'est un débris qui passe à côté d'eux.

Lentement, très lentement, le Faucon dérive. Au fur et à masure qu'ils s'approchent, ils constatent alors que tout le Destroyer est dans le noir, tout semble coupé à l'intérieur, aucune activité, rien. Le Corellien marmonne un juron, mais qu'est-ce qui se passe là-dedans? Finalement, décidant qu'il faut courir le risque, il prend une décision qui va marquer sa vie pour longtemps.

Chewie, fait-nous entrer dans le hangar, on y va en douceur, prépare les moteurs au cas ou ça serait un piège et qu'on doive se tirer à toute vitesse.

Le Wookie regarde Han, une expression légèrement colérique sur le visage, ne comprenant pas ce qui peut bien passer par la tête de son ami. De tels risques ne lui ressemblent pas. Se remémorant alors quelques-unes de leurs aventures passées, il songe alors qu'en fait si, c'est exactement le genre de comportement casse-cou qu'a le Corellien. Soupirant, il fait ce qu'il lui dit.

Alors le Faucon entre dans le Destroyer presque trop lentement, et ils se rendent compte qu'il n'y a rien qui semble vivant là-dedans. Il fait noir de chez noir, pas la moindre lumière n'est allumée, s'il n'y avait celles du Faucon, on pourrait croire qu'il fait nuit de manière absolue. Le Faucon se pose alors, et ce dans un bruit qui doit se répercuter assez loin dans le vaisseau, chose grave dont n'ont alors pas encore conscience nos héros évidemment. Incertain, Han regarde autour du Faucon, rien ne bouge, il n'y a pas un seul Stormtrooper ou officier impérial, aucun signe de vie. Tout cela est troublant et, inquiet, Han se demande s'il ne vaudrait mieux pas repartir.

Hélas, la curiosité et un certain appât du gain font qu'il décide de descendre pour explorer un peu les environs. Tout cela ne lui dit rien qui vaille. Il fait signe au Wookie de le suivre, et ensemble, ils descendent du Faucon, avec des lumiglobes afin d'éclairer un peu autour d'eux. Bien entendu, le DL-44 et l'arbalète wookie sont dégainés et chargés, prêts à dégommer tout ce qui bouge et pourrait leur sauter dessus. Rien. Les minutes passent et aucun bruit, aucun mouvement, aucun éclat de voix. Ça commence à sentir vraiment très mauvais tout ça. Alors, Chewie l'appelle et ils peuvent voir, au loin mais se rapprochant du hangar dans lequel ils ont atterri une lumière. Un autre vaisseau. Formidable. Au moins ne sont-ils plus seuls, mais est-ce vraiment une bonne chose? Rien n'est moins sûr.

Allez Chewie, planque-toi vite ! Faut pas qu'ils nous voient, on sait pas si c'est des impériaux ou des "amis" ! Bouge pas et rester silencieux, on se fait tout petit tant qu'on sait pas à qui on a à faire.

Ils se cachent donc dans l'obscurité derrière des caisses de chargement, protégés au cas ou une fusillade aurait lieu. D'abord ce Destroyer vide et silencieux, maintenant ça, Han commence vraiment à regretter de s'être embarqué dans cette histoire...

Nuit agitée. La Force était houleuse, et le sommeil ne voulait pas de lui. Sans cesse depuis plusieurs heures, il sombrait puis émergeait de nouveau, toujours brusquement, et toujours avec la même sensation. Une morsure.

Il finit par quitter ses draps, trouva son pantalon et ses bottes, et sortit de l'appartement pour se rendre en salle d'entraînement. S'il ne pouvait trouver le repos, autant mettre à profit ce temps inutilisé pour découvrir ce qui pouvait être à l'origine de tout ce vacarme onirique.

Il ne lui fallut pas longtemps. La Force était bavarde, bien que son discours fût un peu décousu. Quelques images, brèves et floues. Des visages anonymes, pâles et émaciés. Des silhouettes familières mais a la démarche étrangement nonchalante. Et du sang. Du sang... Le goût ferreux envahissait presque le palais du Zabrak. Il y en avait tellement. Plein les murs. Des murs, des parois, des couloirs, des hangars. Une passerelle de commandement impériale ? Que venait faire un vaisseau de guère dans une telle vision ? Son esprit déambulait dans le navire, d'une console à l'autre. Partout, sur tous les moniteurs, la même neige. Rien d'utile. Rien. À l'exception de l'écran principal du poste de commandement. Une série de chiffres, mais illisibles d'ici. Il s'approche. Encore. Encore un peu. Des coordonnées. Aucun nom de planète, de système ou de secteur. Juste trois nombres, désignant un endroit dans la Galaxie. Ce ne peut être un hasard.

Il n'en saura pas plus. Une main à la poigne écrasante lui enserre le bras. Ses yeux ne voient que des doigts décharnés aux ongles fendus et jaunis, mais ils semblent avoir plus de vigueur que ce que suggère leur apparence... cadavérique. Il n'a pas le temps de se poser la moindre question. Déjà il sent la morsure sur sa gorge.

Ses yeux jaunes s'ouvrirent soudainement. Rien n'avait de sens dans ces visions, et pourtant il avait un pressentiment. Quelque chose – la Force ? – le poussait à prendre tout ça très au sérieux. En fait, ça n'était ni un passé lointain, ni le présage d'un avenir incertain. C'était le présent. C'était non pas une mise en garde, mais un appel.

Il se leva d'un bond et revint à la chambre. Il saisit sa tunique, qu'il enfila avant d'ajuster sa ceinture. Puis il se dirigea d'un pas assuré vers la porte, attrapant au passage sa bure noire et attirant à lui l'arme posée non loin. Il en vérifia la cellule énergétique avant de la remiser dans son dos, fichée dans les plis de sa ceinture. Ce sabre laser, c'était tout ce qui pourrait se dresser entre ces choses mortes et lui. Et Darth Oxious se précipita vers les hangars.

---

Comme sortant de nulle part, le patrouilleur Firespray arriva sur les lieux. Petit coup d'œil sur la carte galactique. Au milieu de rien. Pas de système civilisé, pas même une petite route commerciale à proximité, rien. Juste le vide, et... un Destroyer impérial. Pas vraiment une surprise, mais cela corroborait les visions que le Sith avait eues, et cela n'augurait rien de bon pour la suite. L'avantage qu'avait le Creeping Death, hormis ses caractéristiques techniques, c'était la discrétion avec laquelle il pouvait être manœuvré. Sa robe noire lui permettait de passer relativement inaperçu, si son pilote savait réduire les systèmes opérationnels au strict nécessaire. C'est ce que fit Darth Oxious. Tous les systèmes auxiliaires furent désactivés, et la poussée des réacteurs stoppée, laissant l'appareil continuer sur sa lancée inertielle. C'était un phénomène amusant, et parfois utile. Sans rien pour venir le dévier de sa course, le Firespray pouvait bien continuer sur sa trajectoire et à cette même vitesse, indéfiniment. Et c'était à bord de cette carcasse inerte et sans signe d'activité que le Zabrak approchait du bâtiment impérial.

Une petite embardée dans la Force Vivante allait pouvoir renseigner le Seigneur Oxious sur l'état de la situation.

** Etrange. La Force est très perturbée. Je sens du monde à bord, mais c'est comme s'ils étaient tous absents. Incompréhensible. D'autres présences aussi. Plus ou moins puissantes. Qu'est-ce que cela signifie ? **

Bien sûr, il était parfaitement conscient que la Force avait très bien pu parler à d'autres Sensitifs. Peut-être même des Jedi, après tout... Mais il n'était pas temps de s'inquiéter de ça. Pas encore. Pour l'heure il fallait monter à bord.

Et cela s'annonçait pour le moins difficile, le destroyer ressemblant plus à une épave en dérive qu'à un navire habité. Prudemment, Oxious reprit en mains son appareil, redonnant une petite poussée pour accélérer son approche. Les systèmes auxiliaires rallumés les uns après les autres, il pût bientôt utiliser les rétropropulseurs pour ralentir un peu dans la zone de contrôle. Mais comme il s'y attendait, aucun contrôle n'eut lieu. Pas une demande d'identification, pas une transmission. N'y avait-il donc personne, finalement ?
Il mena le Firespray vers les baies des hangars, et constata qu'elles n'étaient même pas closes d'aucune façon. Ça, ça sentait mauvais. Malgré ça, il s'y engagea.

Alors qu'il se posait, il se demandait si le destroyer était si désert que ça. L'endroit était vide, mais si c'était effectivement le cas, il ne pourrait pas sortir. Le hangar devrait au moins être isolé du vide spatial, et pour cela il fallait au moins quelques systèmes de base en activité. Ce qui, semblait-il, était le cas, puisque les senseurs ne détectaient rien qui n'empêchât de débarquer...

Darth Oxious franchit la passerelle du Creeping Death, sabre éteint à la main, prêt à toute éventualité. La Force, si déséquilibrée, le mettait mal à l'aise. Oh, rien qui ne puisse l'empêcher de combattre si besoin était, mais il n'avait jamais été confronté à un tel phénomène, et cela n'était pas pour le mettre en confiance. D'un autre côté, c'était justement dans ces situations qu'il était le plus réactif, tous ses sens en éveil, l'esprit ouvert à toute manifestation de la Force.

Ainsi paré, il entreprit de gagner le cœur du vaisseau. Et pour cela, il allait devoir trouver un élévateur, dans le noir, et en espérant que le dit élévateur fonctionne.

Téméraire la donzelle. Partie pour une éclaircir les raisons pour que cet énorme vaisseau soit à la dérive totale, cette petite équipe formée rapidement n’était pas pour déplaire à Drake, les sensibles sont dans la moyenne assez utiles, et alors quand ils portent des talons aiguilles là le pirate ne pouvait encire moins piper mot.
Pendant que la demi twi’lek s’amusait dehors dans le vide spatiale, Drake s’équipa de son armure lourde [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], fabrication de la guilde, elle lui avait déjà servi dans plusieurs de ses missions, notamment lorsqu’il avait pris Tatooine. Un jour gravé dans sa mémoire. Méconnaissable de la tête au pied il serait bien protéger avec un tel équipement. Il lui fallait bien ça pour affronter une armée d’impériaux, bien que dès les premières minutes qu’ils étaient arrivés près du vaisseau il eut un doute de trouver ce genre de personne à l’intérieur. Le plus étrange était l’état extérieur, aucune trace d’impact, par de débris, au simple coup d’œil expert il avait conclu une chose ; aucune bataille n’avait eu lieu.

Arrivé à la suite de Nala après avoir fixé le vaisseau au sas, il examina à son tour les lieux. Il grimaça. La noirceur de l’endroit, les bruits de la coque semblant se refermer sur eux, il lui semblait même avoir entendu un cri, rien n’était sûr, Nala ne sembla pas réagir. Il pianota sur son holo-écran posé sur son bras gauche pour mettre en fonction le dispositif de scan des alentours. Distinguant Nala d’un point vert, et les autres échos de vie en rouge, si quelque chose bougeait dans les environs. Tout cela en vision 3D sur à l’intérieur de sa visière, un petit bijou de technologie qu’était cette armure.
« Je ne capte rien dans les environs, comme si les lieux étaient… vides. Sa me plait vraiment pas. »

Il chargea son [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] Et posa son regard vers Nala.
« Vous êtes prête ? Ho… évitez de m’appeler Monsieur. J’ai l’air si vieux que ça ? »

Dans une cantina sur Tatooine,
quelques jours avant


L'air était remplit de bruits provenant de Bith en train de jouer une musique traditionnel de leur planète ou encore des diverses discussions dans la salle qui pour certaines sont proche de la bagarre. Rien de mieux qu'une cantina pour discuter de façon discrète... ou écouter de façon discrète. Je me trouvais à une table sirotant mon traditionnel verre de bière correlienne. A la table juste devant moi, des gens discutaient :

Eh, pss, psss !

Les hommes se rapprochèrent comme s'ils ne voulaient pas qu'on les entendent.

Eh, mes potes... J'ai un ami qui bosse dans les renseignements rebelles, regardent ce qu'il a trouvé... Des coordonnées vers un vaisseau impérial abandonné, sans personne... pour garder le putain de matos à l'intérieur !

Idiot, comme il était, il fit fonctionné un petit hologramme avec les coordonnées qui s'affichait. C'était une occasion pour moi de récupérer un peu de matos tiens donc ! Peut être, qu'il y aura des armes en prime !

C'est une occasion en or ! Je connais des gens qui serait intéresser pour nous donner un coups de main.

Le troisième homme tapait celui qui venait de parler en disant :

Tu es con ou quoi !? S'il y a trop de monde, on aura rien !

Je me leva ayant mémorisé les coordonnées et alla au spatio-port où je récupérais mon L-Wing tout neuf.


Dans l'espace sauvage,
proche du vaisseau « fantôme »



[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

L'espace était calme. Un vaisseau sans âme dérivé au cours du temps quand soudain le noir de l'espace fut déchirer par une ouverture de l'espace-temps. J'étais sorti d'hyperespace. Depuis le cockpit, je pouvais voir ce qu'on pouvait maintenant appelé une épave. Certes ce n'était plus qu'un grand morceau de ferraille sans personnes à l'intérieur, mais il y avait de quoi être riche à l'intérieur ! Au faite, pourquoi l'Empire avait-il abandonné le navire ? Ce n'était pas du genre de la maison. Je me dirigeais donc vers le quai le plus proche. Les moteurs ronronnaient jusqu'à ce que le vaisseau fut posé et même encore un peu après, enfin j'avais mon propre vaisseau, c'était une bonne chose !

Le sas s'ouvrit avec un bruit de vapeur qui se dégageait. Les chasseurs impériaux étaient toujours là, l'hypothèse de la mutinerie était donc à exclure ? Certes, il vaut mieux que je reste sur mes gardes. Mon blaster attaché à la ceinture et mon fusil sniper sur l'épaule, j'avançais vers le sas de sortie du hangar. Personne n'était encore présent. Mon premier objectif serait le pont. Je pourrais lancé un diagnostic du vaisseau, mais je passerais bien par armurerie pour m'armer au cas où j'aurais des visiteurs.

Résumé :

• Atterrissage dans le sas numéro I
• Objectif primaire : Aller au pont
• Objectif secondaire : Aller à l'armurerie

Le scientifique en ingénieur se promenait dans les rues de Nar Shadda, qui détenait une population diverse et exotique de plusieurs centaines, voir millions d'individu différent et lui même ne passait pas inaperçu. Un Skakoan normal n'était pas très difficile à voir avec son respirateur, mais Vylagos était un Skakoan à part. Avec une armure mécanique et une largeur et une taille prêt de celle de Lord Vader lui même, il n'avait pas l'air d'un simple scientifique, alors qu'il tournait un coin un individu louche l'attendait. Une sorte de " clown ", mais qui semblait très différent de ce que l'on croisait normalement. Des yeux d'un bleu mécanique ressemblant à des engrenages carré une sorte d’appareil sur son chapeau, qui lui fit un signe d'avancer, qui disait individu louche, disait important ou pas quelques fois. D'un ton amusé en faisant mille sobriquet autour de Teska. Il lui narrait l'histoire d'un destroyer stellaire impérial prisonnié d'un destin affreux, avec des ombres d'un autre univers et d'autre baliverne de ce genre. Sauf que Vylagos s'imaginait bien vendre ce destroyeur stellaire et ainsi pouvoir s'empocher un max de crédits !



Pendant qu'il réfléchissait l'individu abaissa son chapeau et disparu dans une gerbe d'étincelle. Des traces de sulfure laissé sur le sol, un tour de bas étage selon le Skakoan, qui ne croyait pas à la magie, mais à la science pure. D,un pas décidé il se dirigea, donc vers la navette avec un bout de papier laissé sur le sol par le clown des coordonnés de l'endroit du croiseur.

[Espace sauvage: Éclipse]

Après un certains voyage, qui dure un moment Teska revit plusieurs algorithme complexe dût à des suites de code d'un destroyer impérial, passer une console de sécurité n'avait pas besoin d'être un slicer de génie seulement un ingénieur de choix versé dans plus de 3 science planétaire différentes. Une fois à la sortie de l'hyperespace la vue du croiseur en dérivé était magnifique. Son fuselage parfait, aucune vitre ne semblait endommager et même aucun tir de laser apparent, en faisant un scan rapide de la zone. Il pu remarquer que des trace d'énergie résiduel subsistait autour du croiseur, donc des individu devait si trouver en ce moment même, donc il devrait faire vite et rallier le centre de commandement très rapidement. Et pour ce faire il avait une idée, disons génial, mais qui ferait beaucoup de bruit.

Avec précaution la navette Nemoidienne se dirigea vers le sommet du destroyer stellaire et fini par se mettre en passe d'atterrissage entre la baie de commandement du croiseur et le dôme qui servait de bouclier au croiseur en activant le magnétisme la navette colla au croiseur et Teska enclencha le vide d'air de la navette qu'il ni ait pas de dépressurisation de celle-ci pour l'expulser dans le vide stellaire. Sa réserve d,air et son costume lui permettrait de survivre une semaine entière au vide de l'espace, mais rendrait tout ceci très inconfortable. Ainsi il avait un plan pour s'accaparer le point de commandement du croiseur rapidement et évaluer le facteur risque grâce au donné. Il marcherait sur la coque grâce à des bottes magnétique et se dirigerait vers le centre de commandement principal situé entre les deux dômes à partir de la grâce à sa main mécanique il donnerait un grand coup sur la vitre de transparacier la ferait voler en éclat et plongerait à l'intérieur avant que le double de la vitre ne se mette en place un jeux d'une minute, tout ceci dans l'exécution mathématique la plus précise et la plus parfaite possible.

À n'en point douter le bruit de la vitre du poste de commandement attirerait des invités, mais ça teska ne le savait pas encore et il était pressé de détenir les informations sur ce croiseur avant tout autre, qui était déjà dans le croiseur !

Tout ce beau monde qui se croisaient dans l'espace et dans le temps aurait pu créer un beau travail de destruction massive. Mais, heureusement, l'intervalle de temps et d'espace évitaient aux protagonistes de cette histoire de se croiser trop rapidement. Tôt ou tard, chacun ferait la connaissance de l'autre, mais pour l'heure, rien ne pressait... Si tout s'étaient rencontrés, le scénario n'était pas dur à entrevoir : une tuerie, sans nom, les murs recouverts de sang, et l'ultime survivant, ou les ultimes survivants, vu que certains se connaissaient d'avant, se seraient fait engloutir par la nuée de stormtroopers très très malades.

Pour l'heure donc, chacun suivit son petit bonhomme de chemin...

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Han Solo et Chewbacca -

Han Solo et son fidèle compagnon poilu atterrirent donc dans le hangar numéro 1, un Destroyer Stellaire ne possédant généralement que deux hangars, sur ses deux flancs, une chance sur deux de se retrouver avec d'autres compagnons. Et justement, il avait tiré une très, très bonne pioche : le vaisseau qu'il voyait, avec de faibles lumières était un vaisseau bâti pour la discrétion. Le vaisseau de celui qu'il connaîtrait plus tard comme Darth Oxious. Une pointure dans son domaine.

Mais un autre vaisseau se tenait là aussi, les lumières encore moins voyantes : il ne le savait pas, mais il s'agissait du Piolet, vaisseau de Jaheiro. Alors qu'ils étaient planqués comme des rats derrière leurs caisses, un quatrième vaisseau fit son entrée.... Un L-Wing flambant neuf... Mais déjà des bruits commençaient à venir...

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Darth Naego -

L'arrivée au hangar 2 de Naego lui évitait pour l'instant de frayer avec son maître direct du Keff Kasi, Darth Oxious. L'objectif général de se rendre au poste de commandant promettait une jolie suite à ce plan complètement fou... Mais ça, on se gardait bien de le révéler aux protagonistes, n'est-ce pas...

En tout cas, le passage du sas qui menait aux coursives principales, artères du vaisseau, devait se faire dans une bonne ambiance de lumières blanches clignotantes, qui s'allumaient sporadiquement et brièvement, quand elles ne marchaient pas du tout. La moitié des couloirs plongés dans le noir, et l'autre moitié éclairé par à-coup, la sith aurait eu bien des raisons de mouiller sa tunique malgré la présence du Côté Obscur... qui, s'il était une personne, devait bien prendre son pied à cette heure.

Puis, comme un éclair, elle décerna la présence d'un autre être sensible à la force... près de la passerelle...

Quand Naego passa le premier virage, qui la menait, selon les panneaux, vers les dortoirs des officiers supérieurs, à proximité de la passerelle donc, on put apercevoir derrière elle... une ombre furtive, passer d'un carrefour à l'autre, comme ça, sans un bruit... Un petit crissement vint se faire entendre derrière elle. Quand elle voulut observer son origine, trois stormtrooper s'approchèrent vers elle. Mais là, elle avait des raisons d'avoir vraiment peur : il ne se dégageait aucune vie d'eux... et d'ailleurs, ils semblaient vouloir sa mort.

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Nala'Il et Drake Stark -

La combinaison de Drake n'affichait aucune forme de vie... Un spectateur extérieur criait à l'évidence, mais le gars du Maëlstorm ne savait rien des évènements présents... Armé d'une belle bête qui aurait pu faire sauter de joie L'impératrice, il put, avec l'aide de Nala, parcourir brièvement les lieux où ils se trouvaient... Un endroit avec douche, lit double, lavabo et petit frigo personnel. Une chambre d'officier. Oh, pas très classieux, une chambre de 15 m² en tout, en comprenant la douche, mais c'était déjà cossu pour un Destroyer. Une chambre de capitaine, ils se situaient près de la passerelle, à pied, environ 300 mètres. Les 300 mètres les plus éprouvants de leur existence par la suite...

Quand ils sortirent pour aller de l'avant, ils purent parcourir librement un couloir, avec une lumière sur quatre bien allumée, avec de tomber sur... un officier, dos tourné. Un appel, aucune réponse. Deuxième appel, l'officier se retourne... Il a le visage à moitié écorché, la chair de la mâchoire inférieure pendant sur le côté, l'air de rien, le sang recouvrant la tunique vert kaki des impériaux. Il tend les bras devant lui et se met à avancer assez rapidement vers eux... Tendis qu'apparaissaient au loin, devant les escaliers au bout d'un très long couloir qui menait à la passerelle directement, quelques autres officiers...

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Darth Oxious et Jaheiro -

Darth Oxious avait manoeuvré son vaisseau comme pendant une phase d'infiltration. Judicieux, mais en l’occurrence, pas trop. Mais encore une fois, comment savoir ? Enfin, toujours est-il qu'il fut le premier à se trouver au hangar 1. Premier arrivé, c'est lui qui a gagné... Mais gagné quoi au juste ? En tout cas, la récompense serait à la hauteur dans ce concours de bon goût...

Devançant Jaheiro d'à peine une minute en fait, il put s'engouffrer dans les méandres du vaisseau, afin de trouver un turboflit qui accepterait de le conduire au coeur, non pas en tant que situation géographique mais en tant que lieu d'importance, du vaisseau : la passerelle. C'était logique d'y aller, non ? Un seul homme astucieux pouvait manoeuvrer une bête pareille...

Bref, il s'y engouffra, dans le noir absolu par contre. Pas même une lumière clignotante, rien. Mais le Côté Obscur était avec lui, et l'obscurité ne faisait pas peur à un si grand maître sith... Devant lui se trouvait un couloir transversal, et entre celui où il se tenait et où l'autre traversait, se dressaient des escaliers qui... montaient. Seul chemin pour se rendre au turboflit.

Jaheiro, pendant ce temps, débarquait du Piolet, et entreprit le même genre de voyage qu'Oxious : se rendre au centre névralgique du vaisseau. Pourquoi ? Mystère. Mais ce gaillard était visiblement plein de ressource. Invisible dans la force, mais pas pour des yeux humains... ou d'autres yeux, il ne s'inquiéta pas au début du passage d'un technicien, clé à molette dans la main, devant lui... Il s'en allait réparer cette panne de lumière.

Darth Oxious ne vit pas de présence dans la Force du nouvel arrivant, qui le talonnait de près, en la personne de Jaheiro. Jaheiro arrivait du couloir d'en face quand ils entendirent du bruit derrière eux... une vingtaine de types, la peau arrachée, la tunique ensanglantée s'approchaient, une clé à molette à la main, assez rapidement.

Le pire... ils n'émettaient aucun signe de vie.

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Dairiun Ashloveta -

Dairiun fût le petit dernier à se poser dans le hangar numéro un, le seul à être entouré de deux-trois intercepteurs TIE, seuls vestiges du vaisseau. Vestiges de quoi d'ailleurs ? Le spectateur qui se met à crier que c'est évident ne se rend pas compte que les personnages, eux, ne savent encore rien... Car la vérité est tout autre...

Mais maintenant, Dairiun, en sortant de son vaisseau, tomba nez-à-nez avec deux individus bizarres... Un humain, aux allures de beau gosse-mauvais garçon, et un Wookie. Rien que ça ! Mais avant qu'une querelle n'éclate, se fit entendre un bruit... Un bruit bizarre, comme un crissement... Et à sa suite, un raclement... Qu'est-ce que c'était ? Une caisse qu'on faisait glisser, les coins métalliques frottant contre le métal du sol ? Une arme qu'on utilisait pour rayer le même sol ? Ou... un type qui rampait. Il y avait un type qui rampait... La tête, un casque blanc poli de stormtrooper apparut à la lumière, une des seules encore en état. Le corps restait invisible, et quand les bras tirèrent une nouvelle fois pour que le corps rampe... Les trois se rendirent compte qu'il n'y avait qu'une moitié de corps... Plus de jambes, juste des boyaux sortis qui laissaient une marque rouge sur le sol...

Et dans la lumière apparurent d'autres stormtroopers... la démarche nonchalante, le sang recouvrant leur plastron. Joli spectacle. Pour éviter ses 6 hommes, qui avaient l'air de leur en vouloir, il restait le sas de sortie derrière eux... 7 autres hommes bloquant l'accès au Faucon...

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Marak Koress et Jaden Rendar -

Le cargo YT-2000 qui transportait Jaden se rendit au hangar numéro 2, à peine deux minutes après l'arrivé de Darth Naego. Mais ça, il fallait le savoir. Et il n'en avait aucun... Mais quand il se posa, Marak, qui attendait patiemment, enfin, aussi patiemment qu'un Zabrak le pouvait, put le rencarder sur un vaisseau déjà présent une minute avant sa propre arrivée. Heureusement, Jaden n'était pas trop en retard... Mais en retard par rapport à quoi, en fait ?

Plus tard, vu la vitesse à laquelle se précipiteraient les choses, il pourrait se faire la remarque qu'il avait bien fait de ne pas arriver une minute après... Vu ce que le bruit des moteurs de Naego avait attiré à eux...

Le duo s'avança donc dans les couloirs, tranquillement, mais prudemment... les lumières étaient toutes en état, mais tellement faible qu'on aurait cru qu'un rigolo avait baissé la luminosité à '3%'. Suffisamment faible pour distinguer les silhouettes au loin, voir à la rigueur les couloirs au loin aussi, mais pas assez pour dire avec précision la couleur de leurs mains.

Au bout d'un certain temps, ils distinguèrent une forme sombre, verte en fait, qui s'approchait, d'une démarche en crabe... et encore, un crabe boiteux pour son espèce. Quand l'homme à l'uniforme impérial cessa ses zigzags, se fut pour offrir aux deux comparses un joli grognement, avant de se projeter en avant pour agripper Marak... Derrière les deux se trouvaient dix stormtroopers en aussi bon état, et à leur droite un dépôt d'armes... tandis qu'à leur gauche se trouvaient juste un escalier, qui menait... à la cafétéria. Heureusement que les panneaux indicateurs étaient un minimum rétro-éclairés...

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Vylagos Teska -

Le plan de Vylagos tenait du génie... quand on ne savait pas à quoi s'en tenir pour la suite. Parce qu'avec des... choses qui entendaient bien mieux que le plus attentifs des humains aux sons, ce genre de boucan serait entendu quasiment dans tout le vaisseau... le coup ne fut pas suffisant, et il fallut s'y reprendre plusieurs fois. Quand la vitre se brisa, d'un centimètre à peine, toute la vitre partit sous le choc de la décompression... Sauter à l'intérieur ne fut pas facile, l'expiration de l'air équivalent à un souffle contraire de vent à force 10.

Mais quand il y parvint, les portes se refermèrent. Heureusement que le générateur de secours ne faisait pas priorité des vitres brisées, sinon, Vylagos n'aurait eu que trois secondes pour sauter, et dans ce cas, il aurait du passer sa dernière semaine d'existence sur la coque d'un Destroyer... Une fin qui relevait du comique.

Bref, Vylagos avait gagné la médaille de la rapidité pour l'accès à la passerelle... Nala'Il et Drake Stark s'approchaient à grands pas, seraient là dans quelques instants, et avaient tout entendu...

Mais déjà une horde de 4 officiers, de 35 stormtrooper et 10 techniciens s'approchaient de la passerelle, alertés par le bruit de l'air s'échappant dans le vide... Misère, Vylagos s'était foutu das un sacré pétrin... Et déjà, les zombis étaient à la porte... Quand Vylagos les vit, il pouvait bien voir qu'ils n'avaient rien... d'humain. Aussi lui fallût-il répliquer en vitesse...

La progression dans la coursive se faisait sans grande facilité. Dans le noir complet, impossible de savoir avec exactitude combien il lui restait à parcourir jusqu'à l'élévateur le plus proche. Pour se guider plus facilement, le Zabrak longeait la paroi sur sa gauche, en effleurant la surface de ses doigts composites. Les capteurs électrostatiques couplés à l'interface Synthennet lui en faisaient ressentir chaque imperfection, chaque relief. Ici, une trainée poisseuse et froide. Un bruit derrière. Oxious se retourne instinctivement mais il se souvient aussitôt qu'il n'y voyait rien. Ou du moins presque rien. À peine quelques reflets sur une surface, une ombre un peu plus claire par ici, rien de plus. Il n'aimait pas ça. Un tel bâtiment, si grand, est habituellement plein de vie et de monde, même en avarie, même au dock de maintenance. Mais là... Ça empestait le plan foireux.

Il reprit son chemin, prudemment. Encore du bruit, et une vibration dans la paroi. Des systèmes qui redémarraient ? Vu l'obscurité qui persistait, peu probable. Ça ne ressemblait pas à un générateur qui se lançait. Plus à un coup sur le mur, sans vigueur et répété. Sa main serrant la poignée de son sabre, le Seigneur Sith commençait à se dire qu'il finirait par tailler de la chair, sans tarder.

Le bruit se répéta de nouveau, plus près. Trop près. Cette fois, le couloir s'éclaira de rouge. Darth Oxious venait d'activer son arme. Et quel spectacle venait-il de révéler ! Des techniciens, à en juger par leur tenue. Des guenilles, en vérité. Mais dans quel état étaient-ils... Celui-ci avait la moitié du visage emportée par quelque fauve d'origine inconnue, celui-là trimballait ses tripes à même le sol, pendant de son ventre étant. Du sang, des chairs en lambeaux, et l'odeur... Comment ne l'avait-il pas sentie avant ? Cette odeur pestilentielle, celle de la mort.

Le bourdonnement de la lame ne couvrait pas les gémissements macabres des types, qui avançaient vers le grand cornu d'un pas lent et irrégulier.

« Hé, qu'est-ce qu'il s'est passé ici ? »

Question idiote, qui pouvait y répondre ? Ce type sans mâchoire, là ? Ou celui-là, avec l'œil énucléé et le genou démis ? En un rapide regard, il était facile de réaliser qu'aucun de ces gars ne devrait être en mesure de tenir debout. Et pourtant ils continuaient à avancer. Et ils étaient maintenant un peu trop près.

Le premier coup de sabre partit. Le premier corps toucha le sol. Combien y en avait-il ? À la lueur de la lame, une bonne dizaine. Davantage ? Difficile à dire. Quoi qu'il en fut, Oxious ne pensait pas craindre grand chose à les tailler en pièces, alors autant s'en donner à cœur joie. À chaque coup qu'il donnait, il reculait pour continuer à progresser dans le couloir. Mais après un moment, il réalisa qu'il avait décimé plus que dix... dix quoi, d'ailleurs ? Hommes ? Autre chose ?

Il arriva à un endroit moins sombre du couloir, qui lui offrit, outre la possibilité de voir combien de ces adversaires il lui restait, de repérer un escalier. Il entreprit de le gravir. Peu importait où il menait pour l'instant. Il fallait mettre de la distance entre lui et ces choses. Combien d'autres pouvait-il y en avoir ? Peut-être même y en aurait-il là-haut... Faisant appel à la Force, il appliqua un Écrasement sur une dernière victime, réduisant tout son buste déjà à moitié mutilé à l'état de charpie inqualifiable. Puis il monta les marches quatre à quatre, sans plus regarder derrière lui.

Arrivé en haut, sur quelle nouvelle atrocité allait-il tomber ?

Les vaisseaux autour du L-wing était des intercepteurs TIE. J'avais une certaine connaissance dans les vaisseaux et surtout les vaisseaux impériales. Il fallait toujours connaitre celui qui domine la danse dans la galaxie ou dans n'importe quel lieu. L'intercepteur TIE succède au Chasseur TIE/ln, il partage avec ses prédécesseurs le cockpit sphérique non pressurisé, imposant aux pilotes le port d'une combinaison spatiale pour se protéger du vide, du froid et du manque d'oxygène. Mais ses ailes ont un tout nouveau design : elles sont courbes, plus allongées et pointues. Cela lui donne une apparence menaçante, donne un plus grand champ de vision au pilote et surtout réduit le profil de l'appareil, le rendant plus difficile à toucher.

Le modèle classique possède 4 canons lasers aux extrémités avant des ailes. Deux emplacements d'armes sont situés sous le cockpit et peuvent être utilisés si l'on rajoute un générateur pour elles. Le système de visée a été amélioré, permettant un ciblage plus facile lors de manœuvres complexes.

Les moteurs ioniques jumeaux sont des modèles plus récents qui en font un chasseur très rapide, uniquement dépassé par les Ailes-A rebelles. Ces moteurs incluent un projecteur de flux ionique amélioré qui permet des manœuvres de combat plus sophistiquées.

Comme ses prédécesseurs, l'Intercepteur TIE n'a pas une coque très solide et est dépourvu de boucliers et d"hyperpropulseur. Il se repose sur sa vitesse, sa maniabilité et souvent sur le nombre.

Bien que cela peut sembler... exagéré comme connaissance sur un simple chasseur, j'avais passé du temps sur des informations collectés lors de bataille ou dans les archives de la rébellion. Après tout rien n'était exagérer pour survivre. Mais attention la connaissance ne mène pas forcément à la victoire ! Il y a aussi l'expérience et le talent bien sûr. Tout le monde n'était pas un bon pilote.

Après cette interlude "technique", je fus ramené à la réalité par un râle et réalisait que je n'étais pas seul dans le secteur. Un homme et un wookie se trouvait derrière des caisses. J'avais entendu parler de ce binome. C'était sans doute Han Solo, un fameux contrebandier. Stoppons l'admiration, après tout j'étais pas sur de ces intentions ! Soudain quelque chose de suspect se profila derrière lui. Un stroomtrooper !! Les vieux réflexes firent leur oeuvre.

Je m’accroupis, arma mon fusil sniper et regarda dans le viseur. La tête du stroomtrooper était dans mon viseur. Quelque chose clochait... ce soldat impériale n'avait pas toute sa tête. Pas que dans le fait de ne pas avoir tirer avec un blaster non ! Il n'avait pas toute sa tête dans le sens propre ! Mon souffle se régula et lorsque le monstre allait attraper Han par la gorge. Le rayon mortel vint frapper en pleine tête le stroomtrooper qui s'écroulait lourdement. Je me cachais quasi aussitôt et me déplaça discrètement à travers les caisses.

HRP : Han, j'ai une proposition à te faire si ça te gène pas bien sur . Je te propose de faire un peu ton ange gardien pendant un moment en te sauvant la vie grâce à mon fusil sniper mais sans que tu le saches .

Jaden balayait du regard de hangar, le temps que Marak se dévoile à sa vision pour aller le rejoindre et commencer cette investigation.

En s’approchant, Marak vit que Jaden était vêtu de son armure de corrupteur, d'un fusil blaster GLX Firelance, de son pistolet blaster lourd modèle 434, de quelques vibrodagues et d'un joli tas d'explosifs visibles sur lui, il paraissait fin prêt pour mener un combat féroce, probablement le dernier de sa vie, si vraiment on était tombé dans un piège, à deux contre une légion perdu dans un coin reclus de l’espace inconnu, c’était sans doute le côté “marrant” de l’histoire que le type qui nous avait élu volontaire faisait allusion !

Son fusil blaster dans son dos solidement sanglé pour ne pas qu'il le gêne, il avait son pistolet au poing, avec l’idée en tête de dégainer plus rapidement face à d’innombrables plotons d’exécution !

Tout en s’approchant, Marak ne pu s’empêcher de remarquer les deux extrêmes... il voyait Jaden, armé jusqu’aux dents... il posa son regard sur son sabre qu’il tenait dans sa main, principale et unique arme visible, vêtu d’une vieille armure Zabrakienne ajusté pour Marak, malgré tout désuette et usée, mieux que d’être flambe en nu, mais pas si loin en même temps ! Le contraste des deux hommes était frappant...

Jaden: "- Bon, on connait tout les deux la mission, il faudrait mieux nous rendre vers le centre de commandement, j'aimerais consulter le journal de bord et voir ce qu'il sait passer. Qu'un Destroyer Stellaire Impérial, qui d'habitude fleurit d'activité, soit aussi désert qu'un cimetière, c'est étrange, très étrange..."

Laissant Jaden ouvrir la marche:

Marak: “Si c’est si désert que ça comme tu dis... pourquoi insister à t’armer jusqu’au dents !?... Si ça se trouve, ça ne sera rien de plus qu’une petite promenade de santé”

Il faisait allusion à une promenade de Santé... sur Dathomir bien-sûre, là où sa propre vie peut être ravi par un prédateur, simplement parce qu’on a eu le désir d’aller se dégourdir les jambes... comme à bien d’autre lieux sûrement, mais Dathomir était la spécialité de Marak. Bref, chacun faisait selon ses moyens... Et Jaden qui travaille avec Marak depuis un certain temps maintenant, commençait à être habitué à ce genre de remarque, comprenant très bien que c’était là de l’humour à saveur Dathomirien de la part de Marak !


Au bout d'un moment à déambuler dans les différents corridors, en direction général du centre de commandement, les deux comparses arrivèrent à une intersection. Les panneaux indicateurs étaient un minimum rétro-éclairés... à leur droite s’y trouvait un dépôt d'armes... tandis qu'à leur gauche se trouvaient juste un escalier, qui menait... à la cafétéria.

Pendant que chacun examinait les options qui s’offraient à eux silencieusement, Marak s’est retrouvé à prendre le lead de la marche de deux trois pas devant Jaden... Les deux distinguèrent une forme sombre, d’allure verdâtre, qui s'approchait, dans une démarche de crabe plutôt boiteuse. Quand l'homme à l'uniforme impérial, vert, cessa ses zigzags, se fut pour offrir aux deux comparses un joli grognement. Derrière les deux se trouvaient dix stormtroopers en aussi bon état, qui firent une entrée surprise dans leur vision périphérique, tandis que le crabe accaparait toute leur attention, le temps de quelques secondes !

Le crabe, de par sa démarche unique, se projeta en avant pour agripper Marak... Le géant, se sentant “menacé” par devoir combattre sur deux fronts en même temps, bien que son crabe était seul de son côté, néanmoins le plus proche de Marak, il réagit promptement à la menace.

C’est une situation difficile à décrire tant qu’on ne l’a pas vécu soi-même une fois, et encore, on peut voir le même phénomène sous plus d’un angle ! Pour Marak, rien ne change en fait, c’est le monde alentour de lui qui semble ralentir, à un tel point que ça lui facilite la tâche afin de prodiguer des frappes chirurgicales, ou simplement de faire plusieurs choses sans que personne n’est eu le temps de pouvoir réagir adéquatement, à moins d’utiliser à son tour cette même tactique. À l’inverse, pour ceux qui en sont témoins, mais surtout victimes, rien ne change pour eux, c’est Marak qui accélère et bouge tellement rapidement, à un tel point qu’on semble parfois avoir de la misère à le suivre du regard, d’où la confusion !

Néanmoins, le crabe vert s’approchait de tout son élan, lentement... qui plus est, ralenti pendant un court laps de temps, dû au don de la force auquel Marak venait de faire appel... il aligna une main vers son assaillant, et l’autre vers Jaden... et enchaîna d’un combo de force en envoyant violemment l'officier impérial percuter le mûr d’une projection télékinétique, et d’une deuxième poussée qui compressa la tête de l’officier contre le mûr, où on pouvait clairement entendre les os de son crâne craquer, fragilisé par l’impact initial au mûr... Puis une troisième poussée renvoya le Crabe vert atterrir sur les stormtrooper, ils étaient tous maintenant du même côté... tandis que de son autre main braqué vers Jaden, il attira ce dernier vers lui afin qu’il ne se fasse pas prendre de court par la proximité soudaine des stormtroopers, et sans que Jaden n’est eu à faire quoique se soit, la vision devant lui venait de faire un “zoom out”, un peu bizarre comme feeling parfois, et les quelques pas que Marak avait d’avance sur lui n’existait plus. Puis tout revint à la normale !

Maintenant en position côte à côte... Marak invita Jaden du regard à un petit concours amical à savoir qui des deux serait le plus efficace, et avoir le meilleur “bodycount” d’ici la fin de cette aventure ! Mais Marak n’attendit pas vraiment de réponse immédiate, les actes de Jaden allait parler d’eux-mêmes sans doute ! Il activa son grand sabre laser et se dirigea légèrement en avant de Jaden, où la tactique était simple et bien assimilé entre les deux: laisser Jaden faire des ravages avec ses armes, tandis que Marak assurait la garde rapprochée et interceptait les tirs ennemis, mais comme personne ne tirait, Marak s’assurera de terminer ceux que Jaden avait laissé passé, délibérément ou pas, pour ensuite se diriger, vers la cafétéria sans doute, s’il Jaden voulait vraiment aller immédiatement au centre de commandement, bref c’était à lui de décider, car c’était le plus haut gradé des deux, pour autant qu’on est a coeur de reconnaître et respecter la hiérarchie du Consortium, ce que Marak affectionnait beaucoup !

Malgré tout, ce que Marak venait de voir, le préoccupait beaucoup, et lui rappelait de vieilles histoires racontées par son Maître, alors qu’il n’était encore qu’un enfant... des histoires de soeurs de la nuits, si puissante et si malveillante, qu’elles pouvaient contrôler les morts et ainsi avec les pertes humaines des soeurs de la nuits et de leur ennemis, elles pouvaient lever des armées et raser toute opposition dans une contre-attaque plus que dévastatrice.

Mais encore là, ce n’était que des histoires, personne d’encore vivant ne pouvait témoigner de ces contes et légendes typique Dathomirienne, visiblement destinées à amuser les enfants pour qu’ils dorment difficilement et fasse de merveilleux cauchemars!.... une histoire qui avait marqué profondément Marak... mais aujourd’hui, la question se posait... était-ce une coïncidence !? Est-ce qu’une soeurs de la nuit légendaire pouvait se trouver sur ce vaisseau, faites prisonnière par les impériaux, on ne sais comment, mais qu’elle aurait répliquer avec toute sa fureur, au point où elle aurait peut-être perdu le contrôle de ses sbires !

Une étincelle venait de naître dans le regard dénudé de compassion chez Marak, espérant naïvement avoir déjà trouvé le poteau rose !

Darth Oxious, Jaheiro et Han Solo -

Le seigneur sith, serein comme on ne savait pas quoi, avait fauché plusieurs corps avant de s'engager dans le couloir qui menait au turboflit de la zone. Seulement, un zombi, et ça il ne pouvait pas forcément le savoir, ça ne fonctionnait plus que quand le processeur principal, en l’occurrence la tête, était séparée du reste, ou du moins totalement mise hors d'état de nuire. Couper un corps en deux, c'était mignon... Au moins, les zombis mettraient plus de temps à ramper pour l'atteindre.

Pauvre Jaheiro, qui dut enjamber des cadavres qui cherchaient à lui mordre les chevilles pour passer... Le couloir emprunté par les deux types aux yeux bizarres, l'un avec des cornes qui dépassaient d'un crâne Stendhal ( rouge et noir ), et l'autre qui semblaient respirer de fortes effluves de glitterslim concentrée. Fichtre, en fait c'était naze un sith, quand on analysait leurs portraits...

Et pauvre Han Solo, qui lui suivait ce qu'il pensait être un Jedi, inconscient du danger qu'il venait de quitter pour se plonger dans un autre, tout aussi dangereux, mais d'une autre nature...

Au bout du couloir, un virage tournait. Un virage tournant, pléonasme me direz-vous ! Et bien non, parce que si je précise un virage tournant à droite, et bah ça change tout, même si rajouter 'tournant' n'est pas nécessaire, puisque un virage, à droite ou à gauche, ne va jamais tout droit. Sinon on dirait qu'un virage tourne tout droit, et on se dirait ce que vous vous dites en me lisant : "Ca finit quand ? Vous êtes sûr qu'il est bien dans sa tête ?"

Juste à ce virage droitier se trouvait un turboflit... joliment écrasé, le cylindre blanc étant éclaté deux mètres plus bas que l'étage où ils se trouvaient, dans l'espace de la cage ou se rattachaient les câbles, et toutes ces sortes de chose. Mais, tout les étages, les portes devaient sûrement être ouvertes en face des sorties de turboflit. Jaheiro, qui n'avait pas vu que le virage menait à un couloir de 4 mètres de long face à un turboflit sur lequel méditait un seigneur sith, ne put se soustraire à la vue du cornu. Puis vinrent rien de moins qu'un Wookie et un fringant humain, qu'on aurait pu prendre pour un des ces beaux gosses qui venaient chercher l'amour de leur vie dans les coursives d'un Destroyer hanté.

Et c'est alors qu'apparurent toute une petite horde dans le couloir derrière eux... Oh, juste une quarantaine de cadavres à tout casser... Et derrière eux, un mastodonte épais comme ce même couloir, 2 mètres de large pour 3 de haut les envoyait valser pour aller écraser les Sith, la peluche et le beau gosse. Deux choix : ils contre-attaquaient, face à une bestiole plus grosse, et en apparence plus méchante, ou ils fuyaient vers la cage de turboflit... Ou peut-être avaient-ils une autre option ?

Darth Naego -

La poursuite dans les coursives se fit avec les rencontres fortuites de plusieurs techniciens avec une clé à molette qui ne manquaient jamais un occasion de lui foncer dessus, dans l'optique d'un repas de cerveau, de tripes et d'autre choses délicieuses qui seraient appréciés après un bon repas copieux en famille alors que vous lisez ce texte en regardant The Voice. L'effet produit aux toilettes est garanti, et c'est du fait-maison.

Mais bref, maintenant, la togruta s'engagea dans les couloirs, pouvant faucher des zombis par ci, par là, comme on fauche les avoines. Au moins, si la togruta n'aimait plus le Côté Obscur, le Soleil Noir ou même si elle décidait d'intégrer un fan-club adepte de la philosophie utopiste "Les vilains c'est méchant", elle pourrait toujours se reconvertir dans une ferme, et pourquoi pas, planter du maïs. Ca a prit +3,720384% sur la bourse ce matin, Jeffrey a appelé, les actions vont grimper, donc on liquide dans une semaine, et... ah, on nous apprend que ça n'a aucun rapport avec le sujet actuel. Revenons à notre bulletin d'informations : "Une togruta dans les couloirs d'un Destroyer fantôme..."

Elle fût à un moment confronté à une porte, sans possibilité de tourner ( en empruntant un virage qui ne va pas tout droit, souvenez-vous ) tandis que derrière elle se pressaient cinq officiers, suivis d'une petite centaine de zombis, trop nombreux pour qu'elle puisse les retenir seule. Toutes les portes ouvertes ne lui offriraient aucune protection sauf avec un coup de pouce de la force, mais sinon...

Elle se trouvait dans un local qui contenait plein de flacons, de fioles, de microscopes et de... data-pads. Deux pour être exact. Il y avait encore trois portes, toutes ouvertes, deux donnaient sur d'autres couloirs, un de marqué "Cellules" et l'autre "Passerelle", la troisième menait sur une arrière-pièce qui contenait des tas de flacons, de souches d'études sur un virus inconnu et de data-pads.

What else ?

Dairiun Ashloveta -

La technique de l'ange gardien avait ses avantages, celui d'être tranquille et invisible des autres... Mais dans des situations pareilles, c'était UNIQUEMENT handicapant, et Dairiun l'apprendrait très vite... Déjà, être en retrait, c'est être plus près des zombis qui ouvrent la marche qui arrive, et être près de ceux qui ferment la marche des hordes qui sont partis manger les copains de devant. Bref, le hangar, lieu dans lequel tous les zombis du vaisseau avaient entendu du bruit, devint tout à coup plus fréquenté qu'un astroport en heure de pointe. Au cul de Dairiun se trouvaient près de 150 zombis, devant lui s'en trouvait une quarantaine qui suivaient les précédents. La seule issue pour le moment, c'était la sortie au nord, seul endroit duquel ne sortait rien. Cela menait à l'infirmerie, avec médicaments, matériel de soin, et tout ça...

Chose utile, or not utile ?

Nala'Il et Drake Stark -

A à peine 300 mètres en ligne droite, dans un corridor parsemé de pièces en tout genre, toute ouverte, contenant d'autres zombis adeptes du repas à la cervelle, les deux guildeux firent un trajet qui ne fut pas de tout repos, Nala'Il faillit même se faire mordre en n'ayant vu un officier qu'au dernier moment, où il se jetait sur elle pour lui dévorer le cou. Quand ils ne furent qu'à 20 mètres de l'escalier qui les mènerait vers la passerelle directement, ils entendirent un bruit sourd, un hurlement...

Du bout du couloir avait surgi trois troopers sans armure, dénudés complètement, sauf pour porter cette espèce de collant noir qu'on mettait sous les armures, qui... marchaient à quatre pattes sur le sol, et... Au mur, puis au plafond. L'un d'eux bondit d'un coup franc, et atterrit à une vitesse ahurissante 20 mètres plus loin... Quand ils furent à 10 mètres de distance des deux, qui n'arrivaient pas à les viser correctement, ils bondirent sur Drake, qui allait être mordu si Nala ne faisait rien...

Jaden Rendar et Marak Koress -

Le poteau rose n'était pas découvert... le pot-aux-roses aurait pu l'être, mais pas le poteau rose. Ahhh, ces zabraks, de sacrés bouquets misères...

Bref, ce que Marak ne savait pas, c'était qu'aucune sœur de la nuit n'était engagée dans cette transformation qui ne réussissait pas physiquement aux stormtroopers. Pour l'heure, les causes étaient encore inconnue de tous, sauf peut-être pour Naego, qui, inconsciemment, avait sous les yeux en ce moment une partie de l'histoire. Pour l'heure, ils suivaient le chemin par lequel l'officier était venu. Ironie du sort, il venait d'un endroit où l'on mangeait... la cafétéria. Mais cela dit, l'endroit n'était pas si mal foutu compte tenu de la situation générale : lieu dégagé, avec les tables renversées sur les côtés, et avec des tas d'entrées différentes... Ouh làlà, ça promettait d'être sympa à défendre si plein de zombis venaient de 10 sorties différentes.

Au milieu de la salle se tenait un technicien, qui semblait se... ronger les poings. Quand il se retourna à l'odeur des deux hommes de Zann, ils virent que là où avant se tenaient des avant-bras, ne se trouvaient qu'un os, un cubitus taillé en pointe, avec un côté qui semblait... tranchant, celui où se tenait avant le radius. Un cubitus qui faisait office de lance, et un radius qui faisait office de hache... Des armes taillées à la va-vite mais qui avaient le don de pouvoir trancher les gorges des deux gaillards. Se déplaçant à la vitesse de la lumière pour tuer Jaden et Marak, la chose possédait une tête boursoufflée qui était deux fois plus épaisses et solide, dû aux écailles, que normalement. Il faudrait plusieurs coups à la tête pour tuer la bête...

Vylagos Teska -

Le plan pour envoyer les zombis dans l'espace marcha et pas qu'un peu : aspirés par le vide spatial, les zombis, toujours en vie malgré la pression inexistante et le froid mortel, ne moururent jamais : on raconte que des fois, encore, certains vaisseaux croisent des hommes flottants dans l'espace qui essayent de s'entre-dévorer, mais qui semblent morts. Jusqu'au jour où ils atterrirent sur une planèteoù ils dévorèrent tout les colons dans une station de recherche, des milliards d'années plus tard, dans une galaxie très lointaine... Colonie sur laquelle ils mutèrent pour devenir une autre espèce nécrophage vivante étudiés par un certaine Ellen Ripley. Sacré cross-over.

Mais le froid soudain, en plus de celui d'avant acheva de geler une résistance dans le système électrique général dans la passerelle. Ceci semble sans importance pour le moment, mais vous verrez après...

Le plan "tout simplement brillant" de l'ingénieur reposait sur des théories qui ne marcheraient pas cette fois-ci... le moteur d'urgence n'avait que trois fonctions : maintenir le vaisseau à l'abri du vide ambiant, permettre d'y voir et laisser les occupants du vaisseau le loisir de se déplacer sans contrainte : pas d'énergie pour les portes, pas d'énergie pour les caméras, pas même pour l'intercom, encore que, des fois, des entorses pouvaient être faites en cas de communication urgente, mais...

A l'allumage du terminal, le composant gelé, la petite résistance dont tout le monde se fiche ( ouais ouais, niez pas ) passa de 0,1 Kelvin ( grosso-modo -237° Celsius ) à 40° toujours Celsius, du professeur Celsius qui n'existe pas encore et pas dans cette galaxie alors qu'on utilise cette unit de température, logique... Donc, le choc thermique fut insoutenable, et la résistance craqua, et explosa, lâchant 0,1 millilitre de jus électronique, coupant tout le système relié au générateur de secours.

Et donc, une minute après les aventures séparées de chacun des protagonistes, le vaisseau fut entièrement plongé dans le noir... Tandis que Dairiun échappait de peu à une dépressurisation totale avec la disparition soudaine du champ de force du hangar, laissant les gens prisonniers dans le vaisseau. Heureusement, des petits générateurs étaient rattachés exclusivement aux hangars, et un panneau blindé de ferraille ferma le hangar aux vices de l'espace...

L'escalier se réduisait petit à petit sous les pas du Seigneur Sith. Plus que quelques marches. Sur la droite, l'élévateur. Ou plutôt ce qu'il en restait. La porte béait, offrant le spectacle d'une cabine comme encastrée dans le sol, laissant à la vue la cage et ses câbles. Un bruit de pas se fit entendre derrière, poussant Oxious à se retourner vivement, prêt à découper les chairs putréfiées d'un de ces cadavres ambulants. Au lieu de ça, il vit arriver une silhouette qu'il connaissait vaguement. L'inconnu s'approchait, dévoilant son visage dans la pénombre, tout juste éclairé par la lueur du sabre et l'éclairage restant de l'élévateur.

« Jaheiro ?! Comment êtes-vous... Laissez tomber. Vous aussi vous avez vu ces choses ? Il faut gagner la passerelle. Je suis sûr que nous trouverons des indices sur l'itinéraire de ce bâtiment. Peut-être pourrons nous aussi rétablir le générateur, et mettre de la lumière dans ces couloirs. Ensuite... »

Le Zabrak s'interrompit, coupé dans son élan par un spectacle des plus incongrus. Un humain débraillé flanqué d'un Wookiee. Ils semblaient bien vivants, ce qui changeait un peu des créatures que les Sith avaient croisé depuis leur arrivée. Mais ils n'avaient guère le temps pour les courbettes : un troupeau de goules grognantes et gémissantes arrivait juste derrière le duo improbable. D'un pas traînant, elles se dirigeaient vers leurs casses-croûte du jour, talonnées par un géant dans le même état, qui saisissait quelques unes de ses congénères pour les balancer en avant comme on le ferait avec de simples pierres.

« Je ne sais pas vous, mais je suis d'avis de ne pas s'attarder ici. Ce truc ne m'inspire rien de bon, et découper des cadavres m'amuse moyennement. S'adressant à l'homme et au Wookiee : Faites ce que vous voulez, mais je crois que nous avons plus de chances si nous restons groupés. Nous sommes rompu au combat, et vu le nombre de ces créatures... »

Et sans plus attendre, Oxious s'élança vers la cage du turbolift, saisit un câble et commença à grimper. Combien d'étages ? Autant qu'il le pourrait. Son bras cybernétique était un sacré atout dans cette situation : il ne ressentait pas la fatigue, et sa force lui permettait de hisser le poids du Sith sans effort et sans risque de glisser. Il pourrait certainement monter plus haut que ses compagnons d'infortune, mais il se contenterait de les garder à proximité. Ce qu'il avait proposé une poignée de secondes plus tôt, il le pensait. En partie. Il se disait surtout qu'avoir trois êtres vivants avec lui serait utile face aux abominations qui peuplaient les coursives. Quitte à sacrifier l'homme ou le Wookiee pour couvrir sa fuite. Il avait plus de scrupules à utiliser un autre Sith comme diversion sur pieds. Mais dans la nécessité, tous les moyens étaient bons.

HRP : Sympa la modération, j'aime ! Les choses se corse, ça va être plus "drôle" maintenant

La technique de "l'ange gardien" n'était pas si malin que ça. En effet, elle obligeait à rester à distance de celui qu'on protège et donc les mouvements étaient nettement réduit. Les monstres, sans doute des amis de celui que j'avais fait exploser la tête arrivait en masse dans le hangars maintenant. Derrière moi, il était bien un centaine. Je ne pris pas le temps de compter, je vous promets ! Devant moi, la même chose, mais... mon nombreux quand même ! Je me retrouvais cerner... enfin non pas cerner car il me restait une issues : la sortie nord du hangar. Je ne savais pas trop où cela mener, ne connaissant pas les gros vaisseau aussi bien que les chasseurs impériaux. Et oui, les connaissance d'un homme sont limités après tout.

Mais comme dit un certain... Jimi Hendrix : "La connaissance parle, mais la sagesse écoute." Et là, la sagesse écoutait particulièrement les sons des râles de ses zombies qui marchaient droit vers moi. Je n'avais le temps de compter les moutons ! Non, loin de là. Si je restais ici, je me ferrais sans doute bouffer en tant que casse-croûte par ces "gentilshommes" ! Je pris donc mes affaires et partit en direction de la sortie nord. Le sas était ouvert, ce qui me facilitait la chose. Je rentrais dans le couloir qui semblait vide, mais par précaution, je sortis mon blaster que je tenais droit devant moi près à tirer "dans", vivant ou pas, ce qui approcherais trop près de moi.

Drake vit l’escalier, flanqué de sa vision amélioré du à son casque il ne perçut rien de menaçant devant. Le pirate avait décidé de passer devant étant beaucoup plus protéger avec son armure surtout que les. . . « morts », - c’était dur à admettre – cherchaient à les mordre, choses plus difficile quand les dents se resserraient sur une plaque de métal renforcé.

« Nala, vous savez, si on arrive à trouver l’origine de ces choses et les supprimer, je me verrais bien au commande de ce bâtiment… »

Il se retourna pour lancer un sourire et écouter la réponse de la demi-twi’lek quand un cri se fit entendre de derrière. Les ombres furent rapidement des hommes à quatre pattes telles des chasseurs prêts à sauter sur leur proie. Drake plaça son fusil contre son épaule et visa l’un d’eux. Mais le temps d’exercer la pression sur la gâchette, la cible avait déjà bondit pour se positionner contre un mur composant le couloir. Ils étaient trop rapides même pour lui, même pour Nala qui utilisait la force.

Il essaya bien de les toucher, en vain. Au même moment un énorme bruit venant de l’étage supérieur lui fit perdre l’attention qu’il avait sur les choses qui approchaient, provenant surement de la passerelle. Un seconde d’inattention et ces monstres étaient sur lui, perdant dans la chute son fusil et se retrouvait à les affronter une main nue.

Retenant de sa main droite la tête de l’un d’eux qui faisait claquer sa mâchoire dans le vide, les deux autres essayaient de mordre ses jambes, chose futile avec ses protection, il réussit tout de même à en projeter un en arrière et d’un geste rapide il transperça de sa lame rétractable de son poignet aucunement organique la tête du pauvre homme qui jouait au claquette avec ses dent. Un homme qui avait été un jour un respectable enfoiré d’impériale.

C’est à ce moment que la lumière se décida à s’éteindre, noir complet, arrivant encore à voir avec sa vision nocturne mais Nala allait surement avoir plus de mal même avec la force, étant donné que les ennemis-là n’étaient plus en « contact » avec la force. Il alluma donc ses deux lampes positionnées sur son casque. L’un de ces monstres était toujours sur lui quand il se releva. Il était qu’à un mètre, Drake fit sortir sa deuxième lame. Sous sa visière le pirate eu un sourire.

« Viens là mon beau.»
C’est là que le monstre sauta en direction de sa proie telle un prédateur. Un prédateur affamé, inconscient de la proie qu’il avait décidé de traquer pour son déjeuner. Un morceau beaucoup trop gros pour lui. Dans un geste rapide de ses deux bras, sa tête vola dans un volé de sang laissant un corps inerte tomber sur le côté de Drake. La tête retomba au pied de celui-ci. Un grognement y sortit, essayant encore de mordre il n’était pas mort, il n’était pas éteint… même avec la tête coupée. Seulement la tête était le point critique à viser. Au moins c’était clair. Levant la tête, Nala elle était en proie avec le dernier de « chasseur ».


Dernière édition par Drake Stark le Dim 24 Mar 2013 - 4:35, édité 1 fois