- Nom : Scott Knox
- Autre Comptes : Kyle FoxProfil
- Race : Humain
- Sexe : Masculin
- Âge : 39
- Planète d'origine : Kuat
- Apparence : 1.85m, 72kg, standards humains, cheveux bruns, yeux noisettes et du charme à cause de mon sourire aux dents bien blanches. Ma peau est claire, pas de cicatrices, ni tatouages d’aucune sorte et prend facilement un teint mat quand je suis exposé au soleil.
Identité
Je privilégie un style de vêtements plutôt élégants car j'aime paraître distingué mais les couleurs sombres ont ma préférence car elles me permettent d'échapper aux regards indiscrets. Mon uniforme est personnalisé et j'ai une casquette de commandant fatiguée de couleur noire, mes vêtements sont faits sur-mesure. Un galon jaune parcourt le tissu de mon pantalon, je porte des bottes noires hautes, un gilet de tissu, une chemise, ceinture et holster sombres.
Un blouson court noir avec des galons (impériaux) sur ma poitrine concluent mon portrait. Mes armes favorites sont un blaster westar et une épée blaster, je peux m'en servir comme arme tranchante au corps à corps ou de tir à distance.
- Métier : Ancien militaire Républicain puis ex-commandant Impérial et corsaire depuis quelques années
- Groupe : Indépendants (va peut-être rejoindre le « Maëlstrom » ou la Rebellion mais est allergique à toute forme de hiérarchie)
- Informations
- Histoire : Vivre sur Kuat est déjà un défi en soi, un défi à la vie, une compétition ! Les joies de l’enfance, qu’est-ce que c’est ? Je ne compte plus les punitions, privations et coups que j’ai reçu de la part de mon paternel, il me disait toujours « tu comprendras plus tard »…
- il faut dire que les 15 premières années, on ne comprend pas, on subit jusqu’au jour où j’ai commencé à esquiver ses coups, les seuls moments de répit, c’est quand j’étais dans son atelier, je trouvais toujours un truc à faire pour éviter qu’il m’en colle une et là aussi j’esquivais ce qu’il avait sous la main quand il n’arrivait pas à arranger une panne, heureusement qu’Ernie était là pour le modérer.
Ernie était l’associé de mon père, un vieux garçon mais inséparable du paternel, ils avaient faits les 400 coups ensemble et s’étaient rangés quand je suis arrivé au monde. C’est la seule personne que je regrette aujourd’hui, c’est grâce à son enseignement que j’en sais beaucoup sur le fonctionnement des moteurs spatiaux et sur ce que vaut une pièce détachée, ça rendait jaloux mon père d’ailleurs, Ernie était plus patient que lui, je crois qu’il l’enviait… Quand il a compris qu’il ne m’atteindrait plus, j'ai passé trois années plutôt tranquilles à l'atelier, améliorant mes connaissances mécaniques mais à mes 18 ans, je reçus une convocation pour une école militaire Impériale, ce tour pendable m'avait été joué par mon père, ainsi je n'étais plus "dans ses pattes" ! - L'Académie... !! Je suis arrivé à une période, que je qualifierai « d'étrange » aujourd'hui !
De nouvelles évaluations ont eu lieu, ils se sont rendus compte que la Marine devait me convenir et à partir de ce moment, j'ai commencé à me calmer et à prendre le pli. Mon zèle naissant adoucit les professeurs, mes notes s’améliorèrent et je bénéficiais alors d’un meilleur régime, je commençais à apprécier ce cadre de vie qui m’avait privé de ma liberté chérie car j’y trouvais mes marques. J'avais quand même une « bête noire », c'était tout ce qui avait attrait à l'éducation « politique », ce nouvel état d'esprit qu'on devait intégrer, détester, haïr ce qui n'était pas humain, quand j'y pense...Jamais je ne m'y suis fait...Heureusement que je brillais dans les matières principales car je fus la « tête de bantha » du professeur d'éducation politique, il me détestait !
Grâce à mes notes et suivant les conseils de mes instructeurs, je me présentais aux tests de sélection pour la chasse. Cela ne fut pas une mince affaire ! Sur 100 candidats, seuls 25 furent retenus, je me classais au 9ème rang car je n'étais pas assez bon en théorie mais en pratique, j'étais situé parmi les 3 premiers, je remerciai intérieurement « oncle Ernie » pour ses judicieux conseils en dépannage et maintenance car l'une des dernières épreuves fut la simulation d'un crash.
Pour le test final, on nous a largués sur une planète paumée, remplie de marais puants, aux arbres tortueux et à la faune hostile, nous n'avions que deux jours pour nous tirer de là, seuls les 5 premiers rescapés seraient retenus pour la suite et mes talents de mécanicien me sauvèrent la mise. Nous disposions d'un kit de survie et chacun d'entre nous, avions été déposés avec un chasseur en panne. On devait diagnostiquer la panne et y remédier, après une demi-journée de travail et une partie de la nuit, j'arrivais au bout de mes peines avec seulement 10 heures d'avance et en 4ème position, mes autres camarades furent comptés comme disqualifiés.
Les années suivantes, j'évoluais sur divers types de chasseurs, de l'intercepteur au chasseur-bombardier afin qu'on nous familiarise avec les différents matériels, privilège d'une élite et jalousée par nos homologues ! Une autre étape conclut cette évolution, je fus promus en tant qu'officier en second sur une modeste frégate douanière où une routine fastidieuse remplaça l'exaltation du vol dans un cockpit de combat néanmoins, j'appris beaucoup sur la tactique, la coordination et le sens du commandement.
Lutter contre la contrebande ne me posa jamais de problème de conscience, ceux qui violaient la loi, prenaient des risques et quand ils se faisaent prendre, ils devaient les assumer et cela se finissait souvent brutalement pour eux. Sentiment partagé par l'équipage car nous étions de la même promotion et j'y retrouvais certains camarades qui avaient fait le même parcours que moi.
Ma conscience professionnelle et le souci de bien faire me firent oublier les événements qui secouèrent la galaxie, la guerre des clones, le danger séparatiste dissimulèrent à ma conscience, la montée en force de l'Empire et ses exactions jusqu'au jour où, commandant un croiseur d'interception, « Le Fulgurant», nous reçûmes un ordre qui bouleversa nos vies et faillirent déclencher une guerre civile à bord, l'ordre « 66 ».
Quelques jours auparavant, nous embarquâmes quelques jedïs pour une mission de reconnaissance où leur appui s'avérait indispensable, ils avaient le don formidable de nous guider sans que l'ennemi séparatiste en soit informé, des clones étaient évidemment à bord.
Je me souviendrais toujours quand plusieurs d'entre eux furent comme saisis de malaises, troublés, angoissés, comme ressentant une douleur à la fois lointaine et proche, ils allumèrent leurs sabres et se mirent en garde tandis que la passerelle devenait un enfer de tir croisés ou déviés par leurs sabres laser jusqu'à ce que les soldats en armure blanche jonchèrent le sol.
J'ordonnais à mon équipage (non-clone) de paralyser les deux parties et y arrivait en partie, la moitié des jedïs présents furent tués et tous les clones y restèrent, curieusement les soldats ne les avaient visés qu'eux et laissèrent mon équipage vivant, soit 40 hommes. Je mis plus de 10 mn à me remettre de ce choc fratricide, les deux composantes Républicaines avaient jusque là toujours coopéré et là... !! Elles se comportaient comme des ennemis de toujours ! J'étais bouleversé ainsi que de nombreux hommes d'équipage !!
Les jedïs survivants m'expliquèrent qu'ils avaient ressentis la mort de leurs congénères à travers la galaxie et au vu de leur loyauté passée, je ne pus que les croire...examinant le système audio des armures des clones, je réussis grâce à nos techniciens du bord, à retrouve rle message diffusé par l'Empereur même ordonnant aux clones de tuer tous les jedïs sans exception et même les padawans où qu'ils se trouvent tout en épargant les équipages militaires non-jedïs.
Je pris alors une grave décision...Je ne pouvais plus continuer ainsi avec le sang de ces innocents sur les mains et demandais à mon équipage de choisir, ceux qui voulaient rester demeurer à bord, quant aux autres, ils étaient libres de rejoindre le monde de leur choix à bord d'une navette. C'est ainsi que le « Fulgurant » devint un navire indépendant, rebaptisé "Phoenix", ce croiseur léger a un armement honorable et notre ingénieur de bord « Hal » en a fait un redoutable adversaire, ne cessant de le peaufiner, de l'améliorer...Nous avons tissé depuis peu des liens avec les contrebandiers.
Certains « anciens » adversaires sont étonnés de me voir de leur côté et acceptent mes motivations même s'ils ont d'autres valeurs et quand on a un navire à entretenir et un équipage à charge, il faut bien capturer du frêt ennemi, ce dont nous nous faisons une joie bien sûr !
Ainsi, nous sommes devenus les pionniers d'une force indépendante, appelée « Corsaires », à mi-chemin entre les contrebandiers et les pirates mais dotés d'un code d'honneur, ne laisant aucun répit à la logistique ennemi et capable aussi de soutenir des bâtiments alliés contre les forces de l'Empire !
- Inventaire : 1 westar 34, ceinture holster, bandoulière chargeurs, 1 blouson court noir, pantalon noir sur-mesures et bottes noires montantes, casquette de commandant « fatiguée », 1 sac à dos règlementaire.
- Psychologie : D’une nature indépendante, j’ai appris à ne pas faire confiance facilement. Je ne compte que sur moi-même ou uniquement des ami(e)s fidèles qui ont le même genre de vie que moi, qui apprécient plus leur liberté d’action et de pensée que la triste illusion d’une sécurité qui peut nous être arrachée du jour au lendemain.
- Ceux qui font partie de mon monde peuvent bénéficier de ma loyauté et confiance, quant aux autres, il faut qu’ils fassent leurs preuves et gare à ceux qui veulent m’imposer leur volonté de force. On peut me convaincre par les mots, du moins essayer mais la « négociation armée » va susciter un autre principe « action=réaction ».
Je me sens solidaire de mon équipage car je défends mon style de vie, ce sont mes valeurs, mon gagne-pain, mon honneur aussi.- Affection : Mon vaisseau, les Corsaires, la liberté, travailler avec des contrebandiers fiables
- Aversion : l’injustice, abuser de sa force envers un plus faible, tirer dans le dosDisposition
- Fuseau Horaire : Bruxelles
- Disponibilité : tous les jours 21h> 00h
- Indisponibilité : ponctuelle et je le signale en général
Cargo YZ 775
Nom : Phoenix
Classe Navette & Transporteur
Constructeur
Corporation Technique Corellienne
Taille : 52m
Equipage : 8
Armement
1 canon turbolaser double
2 canons-laser doubles
2 lance-torpilles à proton
12 passagers
Soute : 400 tonnes métriques
Hyperpropulsion
x1
Hyperpropulsion de secours
x12
Dernière édition par Scott Knox le Dim 10 Juin 2012 - 23:08, édité 5 fois