Objectif
A partir d’un virus déjà étudié, répertorié ( type : mononegavirales ) et classé ( groupe V ) par les chercheurs en virologie qui le baptisèrent « Jébolam », développer une variante de ce virus afin de modifier son pouvoir pathogène pour le rendre spécifique à une espèce unique, à savoir l’espèce neimoidienne.
Piste de recherche
Le virus « Jébolam », comme tous les virus, ne possède qu’un seul acide nucléique qui doit être modifié de façon à ce que les nucléotides deviennent spécifiques à l’espèce neimoidienne. En effet, la séquence ADN de cette espèce n’est pas composée, comme pour l’espèce humaine, d’adénine, de thymine, de guanine et de cytosine mais d’adénine, de thymine, d’uracile et d’hypoxanthine. Une modification de ces deux dernières bases azotées dans le virus fera que celui-ci ne pourra plus se répliquer qu’au sein d’une cellule d’organisme neimoidien.
Caractéristiques du virus « Jébolam »
La période d’incubation varie de 2 à 21 jours (généralement de 5 à 12 jours). Une semaine après le début des symptômes, les virions envahissent le sang et les cellules de la personne infectée. La progression de la maladie entraîne généralement la désagrégation des organes vitaux. Ceci provoque des hémorragies internes importantes. La mort survient, peu de temps après, par choc cardio-respiratoire.Ce virus sature tous les organes et les tissus de particules virales à l’exception des os et des muscles moteurs. Il forme d’abord de petits caillots de sang dans les veines, ce qui ralentit la circulation sanguine. Les caillots se collent ensuite, aux parois des vaisseaux sanguins pour former un « pavage ». Plus l’infection progresse, plus les caillots sont nombreux, ce qui bloque les capillaires. Finalement, ils deviennent si nombreux qu’ils bloquent l’arrivée sanguine dans les divers organes du corps.
Une des particularités de Jébolam est la brutalité avec laquelle il s’attaque aux tissus conjonctifs. Il provoque aussi des taches rouges appelées pétéchies ; ce sont des hémorragies sous-cutanées. Il se multiplie dans le collagène de la structure de la peau. Les sous-couches de la peau meurent et se liquéfient ce qui provoque des bulles blanches et rouges dites maculopapulaires. À ce stade, le simple fait de toucher la peau la déchire tant elle est amollie. La bouche commence, elle aussi, à saigner. L’hémorragie s’écoule par les glandes salivaires et les gencives. La surface de la langue pèle et s’arrache au cours des vomissements.Le cœur saigne et les muscles qui l’entourent s’affaissent. Le sang s’écoule dans les cavités cardiaques et sort du muscle cardiaque à chaque battement de cœur en immergeant la cavité thoracique. Le cerveau est encombré de cellules mortes et de sang ce qui provoque un "ramollissement cérébral".
Le virus déclenche une nécrose rampante attaquant tous les organes internes. Après le décès, le cadavre se détériore très vite puisque la majorité des organes sont déjà partiellement ou complètement morts depuis au moins quelques jours. La peau et les organes sont surchauffés par la fièvre incessante des deux dernières semaines et sont parsemés de zones mortes. Endommagés par les convulsions et les tremblements ayant précédé la mort, ils commencent à se liquéfier. Ils sont saturés de particules virales du virus Jébolam.
Champ d'action : Planétaire
Temps de la recherche : 3 semaines IRL
Temps de production : 1 semaine IRL
Coût de la recherche : 30 millions de crédits
Coût d'une dose(*): 500.000 crédits
* Suffisante pour contaminer un monde
Dans la mesure où le Grand Moff Kuat ne dispose de pas de centres de recherche aptes à mener cette étude, le Grand Moff Katar Varvarona l'a autorisé à disposer de ses locaux à cette fin. [Dans l'attente de son agrément officiel]
A partir d’un virus déjà étudié, répertorié ( type : mononegavirales ) et classé ( groupe V ) par les chercheurs en virologie qui le baptisèrent « Jébolam », développer une variante de ce virus afin de modifier son pouvoir pathogène pour le rendre spécifique à une espèce unique, à savoir l’espèce neimoidienne.
Piste de recherche
Le virus « Jébolam », comme tous les virus, ne possède qu’un seul acide nucléique qui doit être modifié de façon à ce que les nucléotides deviennent spécifiques à l’espèce neimoidienne. En effet, la séquence ADN de cette espèce n’est pas composée, comme pour l’espèce humaine, d’adénine, de thymine, de guanine et de cytosine mais d’adénine, de thymine, d’uracile et d’hypoxanthine. Une modification de ces deux dernières bases azotées dans le virus fera que celui-ci ne pourra plus se répliquer qu’au sein d’une cellule d’organisme neimoidien.
Caractéristiques du virus « Jébolam »
La période d’incubation varie de 2 à 21 jours (généralement de 5 à 12 jours). Une semaine après le début des symptômes, les virions envahissent le sang et les cellules de la personne infectée. La progression de la maladie entraîne généralement la désagrégation des organes vitaux. Ceci provoque des hémorragies internes importantes. La mort survient, peu de temps après, par choc cardio-respiratoire.Ce virus sature tous les organes et les tissus de particules virales à l’exception des os et des muscles moteurs. Il forme d’abord de petits caillots de sang dans les veines, ce qui ralentit la circulation sanguine. Les caillots se collent ensuite, aux parois des vaisseaux sanguins pour former un « pavage ». Plus l’infection progresse, plus les caillots sont nombreux, ce qui bloque les capillaires. Finalement, ils deviennent si nombreux qu’ils bloquent l’arrivée sanguine dans les divers organes du corps.
Une des particularités de Jébolam est la brutalité avec laquelle il s’attaque aux tissus conjonctifs. Il provoque aussi des taches rouges appelées pétéchies ; ce sont des hémorragies sous-cutanées. Il se multiplie dans le collagène de la structure de la peau. Les sous-couches de la peau meurent et se liquéfient ce qui provoque des bulles blanches et rouges dites maculopapulaires. À ce stade, le simple fait de toucher la peau la déchire tant elle est amollie. La bouche commence, elle aussi, à saigner. L’hémorragie s’écoule par les glandes salivaires et les gencives. La surface de la langue pèle et s’arrache au cours des vomissements.Le cœur saigne et les muscles qui l’entourent s’affaissent. Le sang s’écoule dans les cavités cardiaques et sort du muscle cardiaque à chaque battement de cœur en immergeant la cavité thoracique. Le cerveau est encombré de cellules mortes et de sang ce qui provoque un "ramollissement cérébral".
Le virus déclenche une nécrose rampante attaquant tous les organes internes. Après le décès, le cadavre se détériore très vite puisque la majorité des organes sont déjà partiellement ou complètement morts depuis au moins quelques jours. La peau et les organes sont surchauffés par la fièvre incessante des deux dernières semaines et sont parsemés de zones mortes. Endommagés par les convulsions et les tremblements ayant précédé la mort, ils commencent à se liquéfier. Ils sont saturés de particules virales du virus Jébolam.
Champ d'action : Planétaire
Temps de la recherche : 3 semaines IRL
Temps de production : 1 semaine IRL
Coût de la recherche : 30 millions de crédits
Coût d'une dose(*): 500.000 crédits
* Suffisante pour contaminer un monde
Dans la mesure où le Grand Moff Kuat ne dispose de pas de centres de recherche aptes à mener cette étude, le Grand Moff Katar Varvarona l'a autorisé à disposer de ses locaux à cette fin. [Dans l'attente de son agrément officiel]