L'offensive impériale

HJ : Je te rappelle que Bastinar a été détruite. De ce fait, tu ne peux plus déplacer aucune flotte dans le secteur Ryloth, donc, tu ne peux plus apporter de ravitaillement à tes armées ... t'as intérêt à gagner rapidement là ... Et c'est mal barré

Dans le même temps, les Rebelles n'avaient évidemment pas attendus que l'Empire s'installe pour établir des complexes défensifs ultra-solides. Utilisant une méthode qui avait fait ses preuves sur Trandosha, ils avaient transformé les sous-sols boueux des marais en un solide complexe de tunnels dont les entrées restaient terriblement bien camouflées, mais toutefois peu gardée. Pour les trouver, il fallait connaitre leur éxistence. En outre, les soldats Rebelles n'avaient fortifié aucune ville. Ils n'avaient laissé aucune armée en terrains découverts, et surtout, ils étaient restés solidement cachés.

Partout dans les bois, des tireurs isolés, des mitrailleuses lourdes, des postes antichars, et des chars Rebelles, cachés sous des tissus de camouflage, attendaient l'arrivée des impériaux tandis qu'à l'arrière, le Général Fol Ken (car il était maintenant général), avait entrainé des compagnies spéciales : les UALM (unités d'artilleries légères mobiles). Ces soldats étaient rassemblés en escouade de six à bord d'un speeder flash bien protégé et employaient de larges tranchées pour déplacer leurs mortiers jusqu'aux points chauds du front afin de transformer les impériaux en bouillie.

Ligne de défense Rebelle en clair :

Première ligne : tireurs isolés armés de Sniper (descendez les officiers !), de soldats antichars (leur ravitaillement d'abords !), et de mitrailleuses lourdes (massacrez leurs escouades de troopers : total 120 000 hommes camouflés dans des "trous de souris" ou dans les arbres. Entrées de tunnels minées disséminées un peu partout.

Deuxième ligne : ensemble de postes défensifs isolés les uns les autres, reliés entre eux par des passages sous-terrains et équipés de mortiers et de mitrailleuses lourdes. Chaque poste compte 15 défenseurs. Il en a 10 000. 150 000 hommes. Sont également disposés 500 chars T-3B camouflés sous des filets de camouflage, canon orienté vers les impériaux, prêts à faire feu de leur artillerie lourde.

Troisième ligne : larges tranchées peu défendues, permettant le passage rapide de speeders gian, avec plusieurs rampes pour qu'ils puissent sortir. Speeders avec UALM. Disposition de l'ensemble des pièces de LTPM-2a sur la ligne avec protection de blindés, et de fantassins. Total 50 000 hommes.

Quatrième ligne : Entrées des tunnels sous-terrains qui permettent de rejoindre la première ligne. Equipés de détecteurs, et minés tout du long, l'Empire aura du mal à faire passer une armée par là. En revanche, les reservistes Rebelles qui trainent par ici ...

Ensemble des troupes restantes.

La Rebellion a également fait affréter l'ensemble des bongos des villes gungans des marais sous son controle à proximité de la zone de combat, ce qui lui donne une jolie armada.

HJ : hum hum ... faudrait peut-être attendre que le MJ te dise si tu les voit Parce qu'isolé, ça veut dire camouflé, bien camouflé

Nash et Ysanne attendent toujours !

HJ : Repostage parce que j'ai due me réorganiser intégralement. Evidement, si mes tirailleurs commencent à se faire tirer dessus, ils se replient en tentant de descendre quelques officiers mais limitent surtout un maximum leurs propres pertes. Par contre, qu'ils manquent leurs cible à un pourcentage de chance de 0,00001% a peu prés (le risque zéro n'éxiste pas dira-t-on) ...

Face aux bombardements impériaux, une vague de char T-1B et T-3B, bien dissimulés dans les sous-bois ouvrent un feu d'enfer de leurs batteries de missiles protonniques et de leurs canons anti-aérien. Objectif : abattre le plus de chasseurs TIE afin de devenir les maitres du ciel. Depuis le hangar Rebelle, à l'arrière des lignes, les T-47 de l'Alliance décollent enfin pour aller cribler les bombardiers Tie sans défenses de leurs puissants tirs laser, les AMAP-T impériaux étant trop loin pour riposter alors que l'Alliance bénéficie du double avantage d'être au dessus de ses lignes et de pouvoir bombarder la chasse ennemie de missiles A-A ...

De leur coté, depuis l'arrière, les mortiers, les M102 et les LTPM-2a de l'Alliance amassent leurs munitions de l'attente du signal des tirailleurs de la première ligne.

En première ligne justement, les tirailleurs, accompagnés par les régiments d'Irréguliers Gungans s'avancent jusqu'à la lisière de la forêt. Tous la connaissent parfaitement, et ils prennent donc le temps de se mettre en position au pied des fourrés, rampant discrétement jusqu'à être à portée des impériaux, là, encore protégés de leurs macrojumelles par le couverts des arbres, les tirailleurs, ces As du camouflage, prennent tout leur temps pour viser les officiers. Ils savent que c'est sans doute un de seuls coup de feu de la bataille qu'ils vont tiré car ce coup là serra fatal aux stormtroopers de l'Empire.

Le Général Bernouila, qui accompagne ses fidèles tirailleurs, est allongé dans son trou, il braque ses macro-jumelles sur les tranchées et observe la situation. Lorsqu'il juge enfin le moment opportun, il dit dans son micro :

- Tirez !

Une seule détonation résonne dans les sous-bois. Les soldats du corps des Tirailleurs sont entrainés à tirer tous en même temps. Les officiers impériaux et les unités de communication étaient visés. Beaucoup ont du mourir. Les Tirailleurs sont des soldats d'élites, des Franc-tireurs, des hommes hors pairs capable de toucher une mouche à 500 mètres sur une cloture de prés, et par n'importe quel vent. Ils sont entrainés presque exclusivement pour le type de mission qu'ils viennent d'accomplir. Cette technique fait qu'il est impossible de savoir combien il y avait de Sniper, combien ont tiré, et ou ils se trouvaient. En des mots plus simples, elle veut dire qu'en plus d'avoir totalement désorganisé les armées de l'Empire, en coupant leurs chaines de commandement et leurs communications, elle venait également de réduire à zéro le moral de toute la première ligne. Aucun soldat sensé ne voudrait plus sortir de sa tranchée aprés une telle attaque.

Calmement, tranquillement, sereinement, les tirailleurs, toujours solidement camouflés, réarment leurs fusils et attendent que se présentent de nouvelles cibles.

Troupes de l'Alliance sur ce front (avec la modification de statut due à la réorganisation) :

5 régiments de Hussards (5000 hommes, 1750 speeders légers avec mitrailleuse)
15 régiments de dragons (15 000 hommes, 750 camions, 750 mortiers ESPO, 750 canons E-Web)
5 régiments de Fusiliers Grenadiers (5000 hommes)
30 régiments d'irréguliers Gungans (30 000 hommes)
15 régiments de Tirailleurs (15 000 hommes)

10 divisions blindées légères (2000 chars T-1B, 1000 Chars T-2B, 3000 Freerunners)
6 divisions blindées moyennes (1200 chars T-2B, 600 chars T-3B, 1800 chars T-1B)
2 divisions blindées lourdes (400 Chars T-3B, 200 chars T-4B, 600 chars T-2B)

15 escadrons d'Airspeeders T-47 (720 appareils)

1 division d'artillerie Auto-tractée (600 LTPM-2a)
10 divisions d'artillerie (6000 M102 Arc-fire)

Réserves (validation MJ requise) :

1000 régiments de miliciens (1 000 000 soldats)
2000 régiments de citoyens avec fusils (2 000 000 hommes)
3000 régiments de gungans avec fusils (3 000 000 hommes)

Soumis à caution de validation par le dép Eco des forces de l'Alliance. Patience.

HJ : Je n'invente rien : mes tirailleurs viennent juste d'agir comme de bons vieux snipers, de la même façon que la détonation simultanée (c'est tout ce qui différencie un sniper d'un simple tireur d'élite ), les Tirailleurs ne sont pas des snipers dans leurs régiments, mais dispatchés dans les autres unités, c'est exactement le boulot qu'ils ferraient (ça ça veux dire que les snipers des tirailleurs rendent encore plus fou )

HJ : Tu pourra aussi me dire combien coute une rampe de roquettes balistiques ? un peu du style de celles utilisées par le Hamas dans la bande de Gaza ... légère, mais de longue portée, discrète et facilement déplaçable. Merci !

Dans le camps Rebelle, les ordres avaient changé. Au lieu de déployer leurs munitions, de s'enterrer dans les tranchées et de se préparer à recevoir l'Empire, les hommes quittent leurs tranchées, montent dans leurs camions ... en bref, ils se replient ! Plusieurs camions se sont déjà lancés sur les petites routes forestières, qui s'élèveront bientôt vers les hautes montagnes voisines. L'artillerie replie ses caisses, puis se mets bientôt elle aussi en route, les obusiers s'accrochent à leurs remorqueurs, chargent leurs munitions, et s'élancent. Les fusiliers, à pieds, prennent également la route, filant à travers les bois, lentement mais surement. Derrière eux, les irréguliers divers qui composent l'armée Rebelle sont déjà dans leurs camions et prennent le chemin de leurs comparses.

L'armée Rebelle, assez regroupée au départ, se subdivise bientôt à travers la forêt en une multitude de petits convois autonomes composées de chars, de camions de transport de troupes et de munitions, d'unités anti-aériennes, etc ... Au ras des bois, au dessous de la couverture radar impériale, les T-47 de l'Alliance éfféctuent toute une succession rapide de patrouilles au ras des arbres, prenant parfois de nombreux risques. Mais pour ces pilotes hors pairs, c'est un exercice quotidien.

Finalement, dans le camps qui se vide progressivement, l'Etat Major Rebelle quitte sa tente la mine satisfaite. Plusieurs hommes, habitués aux sermons du général Fol Ken à la suite des missions d'Etat Major se sont rassemblé là. Ils constitueront en fait, comme à chaque fois, la pierre angulaire du moral de l'Alliance ... Diffusant le message de leurs supérieur dans la troupe.

- Soldats ! Vous l'avez vu. L'ordre de la retraite a été donné, commence le général, sur le ton déterminé, fort, et puissant de ceux qui font exercice de leur autorité pour rechauffer les coeurs. Vous le savez tous. Le plus dur, pour un soldat, ce n'est pas de se battre, mais de se replier ! Mais je sais, que vous savez d'hors et déjà que cette retraite n'est qu'un sursis que nous accordons à l'Empire ! (Il fait une pause).

Soldat, aujourd'hui, la route de cette retraite serra la route de la victoire ! Montrez à vos camarades ce qu'est le courage ! Et lorsque vous marcherez sur les chemins de terre, dans les sous-bois, à travers les villages gungans, n'oubliez pas une chose. Il n'y a qu'un seul sentiment qui guide les revolutionnaires tels que nous. Un sentiment d'amour profond. L'Amour de la Liberté, l'Amour de la Démocratie, et l'Amour de la Patrie. La Liberté, c'est votre but, la Démocratie, votre cause, et la Patrie. Vous vous battez pour Naboo, pour le Peuple, et pour vos camarades. Aussi, n'abandonnez jamais un cammarade en danger de mort ! Sauvez-le toujours ! Et vous même, ne vous laissez jamais mourir (sa voix prenait en puissance), ne vous rendez jamais ! Ne laissez jamais aux impériaux le plaisir de vous obliger à vous agenouiller, à vous extorquer des aveux pour des crimes que vous n'avez pas commis par la torture. Battez vous jusqu'à la mort ! Car elle est votre probable récompense au bout de ce chemin. Je ne vous promets que du sang, des larmes et de la sueur dans les prochains jours. Mais n'oubliez jamais : La Mission ! Les Cammarades ! La Liberté ! Et la Patrie ! Ou la Mort ! Le Peuple vaincra !

Et les soldats, qui s'étaient rassemblés toujours plus nombreux autour de Fol Ken, jusqu'à atteindre la petite centaine, muèrent leur regard bas, fatigués, résignés, en un regards d'assassin, de tueurs, un regard determiné. Ils redréssèrent la tête et fixèrent droit devant eux, et d'une voix unique, puissantes, mue par la force du groupe, ils scandèrent "Le Peuple Vaincra !". Fol Ken avait réussi. Il observa chacun de ces soldats qui se dispersaient maintenant, braquant des regards déterminés autour d'eux, se tenant droits, et fiers, les armes à la mains. Leur determination, leur droiture et leur savoir faire déteindrait sur tout la troupe à présent. Et les autres, lorsqu'ils les verraient, trouveraient devant eux des modèles, des messages d'espoir, qui les tireront du fonds du gouffre. Car l'épreuve qui attendait les Rebelles était dure. Mais celle qui attendait les impériaux le serrait encore plus.

Finalement, aprés avoir aidé ses hommes à demonter la tente d'Etat Major, il la hissa dans un camion, et y monta. Laissant les tirailleurs de Bernouila en première ligne ... Les premiers à charger. Mais les derniers à tomber. Et fixant le soldat en face de lui qui tenait son arme avec une certaine crainte, jettant des regards peu rassurés sur les fusiliers-grenadiers que le convoi dépassait, il lui frappa l'épaule, lui sourit, et lui dit :

- Confiance Bonhomme ! Tu n'es qu'au début du chemin. Si tu chancelle maintenant ! Que serra-tu dans huit jours ?

Et l'homme déglutit avant de lui répondre :

- Je n'ai pas peur de mourir général. J'ai peur de la torture. J'ai peur de parler et de trahir.
- Alors promets-moi qu'ils ne te captureront pas. Tu vaux cent fois le meilleurs de leurs hommes. Ne te laisse pas avoir avant d'avoir tué cent des leurs. Ils serront obligés de te tuer au lieu de te capturer.

Le soldat hocha la tête. Son courage revenait à présent ...

Les troupes de l'Alliance poursuivaient leur retraite. Chaque jours, Fol Ken voyait ses hommes à pieds s'épuiser un peu trop à son gout. Pas assez pour que leur moral soit affecté, mais suffisamment pour que la fatigue leur empèche de combattre une fois leur objectif atteint. Aussi, lorsqu'un messager de Bernouila lui rapporta que les impériaux n'avançaient pas plus, il ordonna une pause de trois jours. C'était suffisant pour permettre à ses hommes de se reposer, et assez court pour que l'Empire ne puisse plus les rattraper vu l'avance qu'ils avaient. Ainsi, ses hommes s'installèrent autour des lacs marécageux et mirent en place des défenses sommaires, axées sur le camouflage, et l'abri à base de terre plutôt que sur des défenses solides et bétonnées. Ainsi, un débarquement des forces navales de l'Empire serrait sévèrement repoussé et bloquerait leurs offensives pour un bon moment en saignant leurs armées navales ...

Un important convoi Rebelle semblait également s'être mis en route vers l'armée Gungan afin de lui porter assistance. Dans les bois s'élevaient en effet d'important nuages de fumées noire qui laissaient présager d'une importante force de soldats Rebelles ...

Troupes de l'Alliance sur ce front (avec la modification de statut due à la réorganisation) :

5 régiments de Hussards (5000 hommes, 1750 speeders légers avec mitrailleuse)
15 régiments de dragons (15 000 hommes, 750 camions, 750 mortiers ESPO, 750 canons E-Web)
5 régiments de Fusiliers Grenadiers (5000 hommes)
30 régiments d'irréguliers Gungans (30 000 hommes)
15 régiments de Tirailleurs (14 942 hommes)

10 divisions blindées légères (1988 chars T-1B, 9992 Chars T-2B, 3000 Freerunners)
6 divisions blindées moyennes (1200 chars T-2B, 600 chars T-3B, 1800 chars T-1B)
2 divisions blindées lourdes (400 Chars T-3B, 200 chars T-4B, 600 chars T-2B)

15 escadrons d'Airspeeders T-47 (720 appareils)

1 division d'artillerie Auto-tractée (600 LTPM-2a)
10 divisions d'artillerie (6000 M102 Arc-fire)