Rappel du premier message :
Les ruelles sombres et froides des bas fonds de coruscant n’étaient pas des plus fréquentables, et surtout pas pour piquer de l’argent. Malgré cela, la veille fut assez réussite, 200 crédits de dérobés et ça par personnes, pas de trop c’est le mieux, ça passe inaperçu, enfin dans la limite du possible bien sûr. La personne agressée est souvent violentée, au moins assommée… ce n’est pas grand-chose mais le minimum syndical pour obtenir la possibilité de fouiller tranquillement. Si par malheur nous tombons sur une personne connue, on arrive toujours à le soulever par-dessus le mur de sécurité, c’est net et précis, la durée de la chute étant quasi indéterminable, le floque ne s’entend même pas. Les restes sont assez implosés et explosés, pour ne pas être du tout reconnaissable, vu que nous gardons la seule chose qui aiderai a reconnaître le corps : les papiers d’identités. C’était une charmante petite vieille, vous l’aider à porter un sac, vous la remercier gracieusement quand elle vous offre un pour boire de dix crédits et vous lui fracassez le crâne au moment où vous faites semblant de repartir une discussion chaleureuse. Elle tombe, inconsciente dans les bras de votre coéquipier, vous récupérez son argent et vous la jetez. La vieille bien sur. Mais ça c’est l’histoire de Hrafn et Ksitov.
Naturellement pour fêter cela il se retrouvèrent dans un petit bar, installé a une table, il commencèrent a converser au sujet de leur avenir…
« Aaaaaaaaaaaaah, fit-il en s’étirant, bon petit pactole la journée fut dure. Crois tu retrouver un coup pareil d’ici peu et nous restons ici encore quelque nuit, ou nous allons chercher ailleurs. Enfin … Je sais que je t’ai embarqué dans cette vie de façon assez désastreuse. Y’a peut être un moyen que tes parents acceptent de te pardonner… et que tu puisses reprendre tes études, au pire tu n’as rien fait de tout ce que nous avons fait… j’endosse tout. »
Naturellement pour fêter cela il se retrouvèrent dans un petit bar, installé a une table, il commencèrent a converser au sujet de leur avenir…
« Aaaaaaaaaaaaah, fit-il en s’étirant, bon petit pactole la journée fut dure. Crois tu retrouver un coup pareil d’ici peu et nous restons ici encore quelque nuit, ou nous allons chercher ailleurs. Enfin … Je sais que je t’ai embarqué dans cette vie de façon assez désastreuse. Y’a peut être un moyen que tes parents acceptent de te pardonner… et que tu puisses reprendre tes études, au pire tu n’as rien fait de tout ce que nous avons fait… j’endosse tout. »