En orbite...
Le Destroyer impérial « Le Porteur d’ombre » dérivait lentement en orbite de Rhen Var. Comme la majorité de la flotte dans le système, il devait assurer la sécurité du complexe. Tout était calme hormis les nombreuses frégates et navettes qui allaient et venaient de la surface du monde glacial. Le commandant Varyk restait sur le pont, regardant calmement l’étoile du système à travers le transparacier. La passerelle de commandement était calme, hormis les petits bavardage des sous officiers. Cependant plusieurs personnes s’afféraient autour du poste radar. Soucieux de savoir ce qu’il se tramait, il vint les rejoindre. Les sous officiers lui firent place pour qu’il puisse parfaitement observer la scène.
"Que se passe t-il major ?"
Un jeune homme, fraichement sortit de l’académie actionna plusieurs touche, faisant un zoom sur un objet non identifier.
"-On a capté des signaux provenant de ce truc. On scan actuellement la base de donnée pour savoir ce que c’est."
"-C’est un anneau d’hyperdrive, les chasseurs l’utilisaient pour les voyages en hyperespace durant la grande guerre. Bon sang ! Vous avez capté le signal d’un chasseur ? Comment un vaisseau a t’il put déjouer le système de surveillance ?"
"-Les Scanner ne sont pas encore tous en place commandant, il a put passer entre les mailles du filet avec un vaisseau si petit…"
Varyk était exaspéré. L’empire payait des systèmes de surveillance derniers cri, et arrivait à se faire duper par un simple chasseur. Ce type avait vraiment eut une chance insultante. Heureusement que les anneaux d’hyperdrive émettent un signal pour être vite retrouvé par leur propriétaire. Varyk s’agaça de sa propre incompétence.
"Envoyez une navette, interceptez cet anneau. Prévenez l’Amiral Bell, nous sommes infiltrés."
Varyk, voulait cet anneau. S’il avait de la chance, les techniciens arriveraient à trouver la fréquence de communication entre les deux parties du vaisseau et donc de localiser le monoplace.
Au commande sur le Poing de Rhen Var, l’amiral Bell devint fou furieux. Comment avait-on put passer le blocus ? Il poussa quelques jurons en diverses langues avant de crier sur l’officier des communications.
" -Jex ! Envoyez la chasse, je veux la flotte sur le pied de guerre dans moins d’une minute ! Prévenez la base qu’ils ont des visiteurs ! Scannez moi ce cube de glace, Un vaisseau a certainement dut laisser une empreinte thermique sur ce glaçon ! "
L’amiral fit un grand geste et débarrassa son bureau de toute la paperasse administrative. Il était vraiment fou furieux. Ses sous officiers s’afféraient à leur tache, valait mieux ne pas lui donner un motif pour qu’il puisse passer ses nerfs.
Sur Rhen Var
Dans la citadelle, la base était passée à l’alerte rouge. On entendait le claquement de bottes des centaines de soldats qui couraient dans les couloirs. Une compagnie entière de Snowtrooper dévalisa un râtelier d’arme, chaque soldat prenait son E-11 au passage. Le complexe, d’ordinaire calme était sur le pied de guerre. Plusieurs soldats montaient des E-Web à des endroits stratégique. La sécurité était vraiment prise au sérieux. La garde était vraiment renforcée. Malgré la tempête, plusieurs TR-TT étaient de sortie, scanant les alentours pour trouver la moindre forme de vie. Deux compagnie de snowtroopers, comptant chacune 300 hommes embarquèrent dans des Juggernaut Hav-w6 spécialement aménagée pour le transport. Le colonel Mell avançait dans le hangars avec quelques un de ces hommes. Le hangar sentait comme tout les hangar, une odeur mélangeant l’essence avec d’autres produits plus ou moins pestilentielle. Le colonel regarda les compagnies embarquer dans leurs engins. Il indiqua à ses hommes de monter sur la passerelle du troisième mastodonte. Ce dernier ne comportait que 50 hommes mais servirait d’unité de commandement mobile. Les snowtroopers étaient parés, certaine netterrent leur casque à l’intérieur. La grande porte en duracier s’ouvrit lentement. Dehors le climat était effroyable, on assistait à une vrai tempête de neige. Mais cela n’avait rien d’effrayant pour les soldats, ils connaissaient bien le climat capricieux du monde gelé. Ils s’étaient entraînés tous les jours à l’éventualité d’une telle opération. Les Juggernaut allumèrent leurs phares les uns après les autres tout en faisant gronder leurs moteurs. Les 10 roues gigantesque du premier engin se mirent en mouvement pour quitter la base, suivie de pres par ses deux acolytes.
En orbite...
Le bruit n’était qu’en réalité le bruit très reconnaissable d’un chasseur Tie. L’escadron de reconnaissance peinait à travers la tempête. Les chasseurs n’étaient déjà pas réputés pour leur maniabilité en condition atmosphérique à cause de ses panneaux peu aérodynamiques. En revanche dans l’espace, sa réputation n’était plus à faire. Le pilote scana la surface de Rhen var. Il finit par découvrir un appareil monoplace stationnée à l’extérieur, tout près d’un amas rocheux. Il transféra illico ses informations avant de rejoindre les vaisseaux en orbite. Il ne voulait pas risquer sa peau et celle de ses hommes plus longtemps dans un tel déluge.
Varyk reçut le rapport de ses techniciens. L’anneau était à l’abris dans sa soute. Il avait fallut envoyer deux techniciens faire une sortie dans l’espace pour pouvoir l’amarrer à une navette et le rapporter dans le ventre du super destroyer. Les Ingénieurs, assistés de droïdes étaient déjà en train de le démonter. Le Commandant reçut alors les informations transmises par le chasseur. Il n’y avait plus de doute, ses craintes étaient fondées : Un chasseur Jedi était sur la planète. Il fallait prévenir Bell…
Compagnie Alpha, désert glacé de Rhen Var...
Le colonel, reçut immédiatement les coordonnées transmises par le Poing de Rhen Var. Ils avaient repérés le chasseur, ils attendaient juste une confirmation visuelle aérienne. Le Colonel donna l’ordre à la compagnie blindée d’avancer plein pot, ils avaient une longue balade à faire. Les Trois béhémots étaient vraiment bien adaptés pour le terrain de Rhen var. Les immenses plaines enneigées ne leur posait aucun problème. Ils avançaient à une allure effrénées en file indienne. Le colonel regarda ses hommes, tranquillement harnachés à leur siège. On ne pouvait plus les distinguer, ils étaient identiques et impressionnant dans leurs armures : ils étaient les troupes de choc, parmi l’élite de l’empire. Le Colonel Mel décida de s’installer tranquillement sur le siège aux côtés du pilote. Ce dernier avait le pied lourd, la compagnie entière était lancée à pleine vitesse.