[HRP : Tous les joueurs sont autorisés à poster dans ce sujet. En partie les Nouveaux. ATTENTION ! Ce sujet n'est que le commencement de toute une histoire créée par mes bons soins dans le but de rajouter une animation autre que de la gestion de planète, de la bataille, ou de la diplomatie. Aucune information ne vous sera donnez sur ce RP, les joueurs découvrent au fur et à mesure l'histoire. Le personnage Quechua compte comme étant un personnage à part entière. Je ne joue pas le rôle d'un MJ ni d'un superman, ce qui veut dire qu'également, mon personnage peut perdre. Bon jeu !]
L'espace de la galaxie, s'étendant à perte et à perte de vue, remplissait chaque recoin du grand vide. Les étoiles, nombreuses, tournoyaient en spirale dans un balai magnifique, et les couleurs ravissantes des points blancs sur le fond noir et sombre vibraient dans toute leur grandeur. L'espace de la galaxie, infiniment grand et pouvant accueillir de nombreux vaisseaux, ayant accueillit de nombreuses guerres, contenant dans son vide absolu des milliers de morts des batailles de l'ancienne guerre des clones, se poursuivant actuelement dans les différents groupes du système galactique. L'espace, rien et tout en même temps, commença à se contortionner dans une lumière aveuglante. Il n'y avait personne aux alentours, pas un seul vaisseau de patrouille. Et un trou lumineux apparut quelque part, dans la vaste étendue d'étoiles séparant Coruscant et Ilum.
De ce trou lumineux sortit la proue d'un vaisseau. C'était une vieille carcasse qui s'agrandissait au fur et à mesure qu'elle apparaissait. Le grand vaisseau entra en entier dans le noir, et une fois son saut hyperspatial effectué, le trou lumineux blanc disparut derrière lui. Le vaisseau ressemblait fortement à un ancien model de transporteur à cargaison de l'espace extérieur. Une de ces anciennes machines de Tatooine, sûrement. De la rouille se montrait à certains endroits, et le cockpit, petit par rapport au géant mastodonte, renfermait deux silouhaites humanoïdes qui semblaient être concentrées dans des calculs de leurs engin spatial. Les moteurs firent un bruit étrange, un grésillement se fit entendre à l'arrière, et les réacteurs de l'appareil sautèrent uns à uns.
- Voilà ! Je vous l'avais pourtant bien dit espèce de vieux personnage biscornu ! Nous voilà au beau milieu de nul part, sans aucun moyen de retour et avec la cuisante impression d'avoir subit un échec dans notre mission. Comme je regrette maintenant d'avoir prit cette mission avec vous. Vous êtes un incappable, voilà tout ! La seule chose que vous sachiez faire, c'est bouger des petits cailloux et transporter des caisses à outils. Mais rien de plus ! Vieux bouc !
- Hé là ! On se calme oui ! Il n'y a pas la moindre raison pour s'énnerver ainsi, nous avons sans doute fait grillé les moteurs, rien de grave, je peux réparer cela.
Les deux hommes étaient deux personnes complètement différents. L'un portait un costume militaire vert volé à un homme de haut grade impérial, il portait une cape de couleur brune qui s'échappait de son dos et par dessus son fauteuil. L'autre avait un casque au raz de la tête vert et un uniforme en un métal assez solide et souple. Ce dernier semblait etre le plus sage et les plus calme, car il commençait à étudier la situation et à farfouiller sur son tableau de bord en appuyant sur des boutons et en tapant quelques codes. Quant à son compagnon, il s'énnervait, criait et s'enrageait sur une commande en frappant dessus, les yeux exorbités.
- Ne vous énnervez pas ainsi... Tout sera réparé dans quelques heures. Nous retrouverons votre cargaison, pas d'affolement.
- Pas d'affolement ! Parce que môsieur Quechua va peut être tout réparer avec ses pouvoirs magique de vieux Jedi ?
- Je ne suis pas un Jedi, monsieur Tod. Je suis un pirate comme vous, et loin de moi l'envie de vous faire du mal, alors : Calme !
Ainsi, Quechua et Tod tentèrent de réparer leur vaisseau. Ils avaient quitté Tatooine quelques heures avant le saut spatial qui devait les conduire sur la voie express reliant Coruscant à Corellia. Mais un accident malencontreux fit qu'ils se retrouvèrent près de la planète Ilum, à des années lumières de leur point de chute. Le vaisseau était à moitié cassé, et un second saut hyperspatial bousillerait entièrement leur carcasse. Après des heures et des heures de réparations à tenter de localiser la faille et à réparer et revoir tous les circuits du gros appareil qui contenait pas loin de 5000 t de soute, ils rejoignirent le cockpit et se concertèrent. Ils décidèrent alors de lancer un message de détresse. Quechua se leva, il appuya sur un bouton :
- Je vais lancer l'appel de détresse :
Allô ! Allô ! Ici Quechua, commerçant de débris spatiaux de Tatooine, nous nous trouvons actuelement dans une zone méconnue du système spatiale et sommes en situation de détresse ? Nos réacteurs sont endommagés, tout saut hyperspatial est impossible. Demande de renfort pour réparations immédiates. Je répète, demande de renforts pour réparations immédiates. Nous sommes commerçant et saurons satisfaire vos besoins financiers si une aide nous est apportée. Hâtez vous, nous n'aimons pas attendre...
- Et bien ! C'est chaleureux comme appel à l'aide. Au moins comme ça on est sûr qu'on ne rentrera jamais à la maison.
L'espace de la galaxie, s'étendant à perte et à perte de vue, remplissait chaque recoin du grand vide. Les étoiles, nombreuses, tournoyaient en spirale dans un balai magnifique, et les couleurs ravissantes des points blancs sur le fond noir et sombre vibraient dans toute leur grandeur. L'espace de la galaxie, infiniment grand et pouvant accueillir de nombreux vaisseaux, ayant accueillit de nombreuses guerres, contenant dans son vide absolu des milliers de morts des batailles de l'ancienne guerre des clones, se poursuivant actuelement dans les différents groupes du système galactique. L'espace, rien et tout en même temps, commença à se contortionner dans une lumière aveuglante. Il n'y avait personne aux alentours, pas un seul vaisseau de patrouille. Et un trou lumineux apparut quelque part, dans la vaste étendue d'étoiles séparant Coruscant et Ilum.
De ce trou lumineux sortit la proue d'un vaisseau. C'était une vieille carcasse qui s'agrandissait au fur et à mesure qu'elle apparaissait. Le grand vaisseau entra en entier dans le noir, et une fois son saut hyperspatial effectué, le trou lumineux blanc disparut derrière lui. Le vaisseau ressemblait fortement à un ancien model de transporteur à cargaison de l'espace extérieur. Une de ces anciennes machines de Tatooine, sûrement. De la rouille se montrait à certains endroits, et le cockpit, petit par rapport au géant mastodonte, renfermait deux silouhaites humanoïdes qui semblaient être concentrées dans des calculs de leurs engin spatial. Les moteurs firent un bruit étrange, un grésillement se fit entendre à l'arrière, et les réacteurs de l'appareil sautèrent uns à uns.
- Voilà ! Je vous l'avais pourtant bien dit espèce de vieux personnage biscornu ! Nous voilà au beau milieu de nul part, sans aucun moyen de retour et avec la cuisante impression d'avoir subit un échec dans notre mission. Comme je regrette maintenant d'avoir prit cette mission avec vous. Vous êtes un incappable, voilà tout ! La seule chose que vous sachiez faire, c'est bouger des petits cailloux et transporter des caisses à outils. Mais rien de plus ! Vieux bouc !
- Hé là ! On se calme oui ! Il n'y a pas la moindre raison pour s'énnerver ainsi, nous avons sans doute fait grillé les moteurs, rien de grave, je peux réparer cela.
Les deux hommes étaient deux personnes complètement différents. L'un portait un costume militaire vert volé à un homme de haut grade impérial, il portait une cape de couleur brune qui s'échappait de son dos et par dessus son fauteuil. L'autre avait un casque au raz de la tête vert et un uniforme en un métal assez solide et souple. Ce dernier semblait etre le plus sage et les plus calme, car il commençait à étudier la situation et à farfouiller sur son tableau de bord en appuyant sur des boutons et en tapant quelques codes. Quant à son compagnon, il s'énnervait, criait et s'enrageait sur une commande en frappant dessus, les yeux exorbités.
- Ne vous énnervez pas ainsi... Tout sera réparé dans quelques heures. Nous retrouverons votre cargaison, pas d'affolement.
- Pas d'affolement ! Parce que môsieur Quechua va peut être tout réparer avec ses pouvoirs magique de vieux Jedi ?
- Je ne suis pas un Jedi, monsieur Tod. Je suis un pirate comme vous, et loin de moi l'envie de vous faire du mal, alors : Calme !
Ainsi, Quechua et Tod tentèrent de réparer leur vaisseau. Ils avaient quitté Tatooine quelques heures avant le saut spatial qui devait les conduire sur la voie express reliant Coruscant à Corellia. Mais un accident malencontreux fit qu'ils se retrouvèrent près de la planète Ilum, à des années lumières de leur point de chute. Le vaisseau était à moitié cassé, et un second saut hyperspatial bousillerait entièrement leur carcasse. Après des heures et des heures de réparations à tenter de localiser la faille et à réparer et revoir tous les circuits du gros appareil qui contenait pas loin de 5000 t de soute, ils rejoignirent le cockpit et se concertèrent. Ils décidèrent alors de lancer un message de détresse. Quechua se leva, il appuya sur un bouton :
- Je vais lancer l'appel de détresse :
Allô ! Allô ! Ici Quechua, commerçant de débris spatiaux de Tatooine, nous nous trouvons actuelement dans une zone méconnue du système spatiale et sommes en situation de détresse ? Nos réacteurs sont endommagés, tout saut hyperspatial est impossible. Demande de renfort pour réparations immédiates. Je répète, demande de renforts pour réparations immédiates. Nous sommes commerçant et saurons satisfaire vos besoins financiers si une aide nous est apportée. Hâtez vous, nous n'aimons pas attendre...
- Et bien ! C'est chaleureux comme appel à l'aide. Au moins comme ça on est sûr qu'on ne rentrera jamais à la maison.