HJ : Merci de ne pas tricher. Je vous fais confiance, je retire les hide.
Balthazar travaillait tranquillement sur un projet de vaisseau à l'armature quasi indestructible, capable de résister à la majorité des impacts, incluant les turbolasers, quand Thraka vint le voir en personne.
Balthazar lui offrit un de ses rares visages neutres.
Balthazar releva la tête de ses schémas. Là, il était interloqué. En tant que personne qui travaillait pour l'Empire, même si cela ne faisait que quelques temps, il avait entendu parler de Vador. Vador, numéro 2 impérial, juste derrière l'Impératrice. Vador, un des sith parmi les plus puissants. Et il le sollicitait, lui, en tant qu'inventeur.
Arkhaus, en guise de toute réponse, lui tendit un datapad. Le message indiquait clairement le projet. Il fallait fabriquer quelque chose.
Le message lui était personnellement destiné, mais, après tout, Thraka se devait de filtrer les messages urgent. Il se devait d'être au courant de tels projets. Balthazar n'en croyait pas ses yeux. Il n'avait aucune morale, aucune, il se fichait pas mal de savoir que ses créations tueraient un jour... mais ça !
Mais, professionnalisme oblige, Balthazar hocha la tête en signe d'assentiment.
Arkhaus acquiesça. Il lui accordait 20 millions de Crédits par mois, 3 fois plus qu'un laboratoire de base. Synthétiser une telle chose ne mettrait pas plus d'une semaine, plus une autre... pour contrer les effets en cas de besoin.
Balthazar travaillait dur, très dur. Il avait fait parvenir à lui un échantillon de ce qu'il voulait pour parvenir à ses fins.
Balthazar se mit donc à synthétiser une variante éloignée d'une maladie assez rare dans la galaxie, la peste, pour être précis. La variante comportait le principe absolu de mutation génétique, c'est à dire que son composant cellulaire mutait environ 2 fois par heure, changeant son système immunitaire par la même occasion. Balthazar prit soin d'isoler une cellule essentielle qui ne mutait pas, afin de pouvoir tuer cette cellule, tuant le virus, créant ainsi le seul type d'antidote actuel.
Balthazar était satisfait. Les manipulations génétiques étaient fascinantes. Balthazar avait tout retranscrit sur ordinateur, en prenant soin de le couper de tout serveur sortant, pour éviter les piratages.
Le virus se développait rapidement dans un milieu minéral, mais avait la particularité de quitter son élément actuel et de s'accrocher à tout organisme vivant, de type humanoïde et insectoïde, par voie trans-cutanée. Le virus utilise le système d'acide ribonucléique formant une double chaîne double brin, la forme la plus redoutable de virus.
Les symptômes étaient semblables à la peste, mais si on pouvait voir des tâches noires apparaître au niveau de tout le corps, aucun remède actuel pour enrayer la maladie ne pourrait être efficace, pour cause que le virus mutait en permanence, changeant sa structure en permanence. Balthazar avait prit soin de laisser une seule protéine non changeant dans le virus, la protéine B675a, créée par lui en cours de biologie à l'université où son père l'avait envoyé, qu'il se devait de refaire pour le coup. Cette protéine était secondaire en apparence, mais, bien cachée dans la structure, elle était essentielle à son existence, aussi, la détruire provoquerait la mort immédiate du virus. Le destructeur du virus avait sa structure déjà prête, sa synthèse serait plus rapide à faire.
Le virus, comme tout virus, se multiplie et se reproduit, mais cette fois en "mangeant" l'écosystème présent, en détruisant les plantes, ou en tuant les planctons. La contamination d'un être vivant n'était dû qu'au contact direct d'une matière minérale. Ainsi se présentait le tableau des infections, testé sur des animaux de Bandomeer :
H+0 : Inhalation du virus.
H+1 : Mélange des structures ADN.
H+3 : Soudage des deux structures, symbiose parfaite, contamination commencée.
H+17 : Vertiges, fièvre légère, bénigne.
H+24 : Douleur intestinale, diarrhée.
H+47 : Vertiges, forte fièvre.
H+89 : Fin des douleurs, rétablissement partiel, comme après une épidémie de fièvre.
H+167 : Reprises des douleurs, paralysie des membres inférieurs.
H+235 : Paralysie générale, ralentissement des organes vitaux.
H+304 : Paralysie cérébrale, pulmonaire et cardiaque, aussitôt mort du sujet.[/hide]
(HRP : ce travail s'étale sur deux semaines. Il ne sera disponible qu'une semaine après validation RP d'un MJ/Admin. SI une chose est invalidée, préciser dans modération, rectification immédiate ensuite.)
Dernière édition par Arkhaus Thraka le Jeu 28 Mar 2013 - 3:45, édité 2 fois
Balthazar travaillait tranquillement sur un projet de vaisseau à l'armature quasi indestructible, capable de résister à la majorité des impacts, incluant les turbolasers, quand Thraka vint le voir en personne.
- - Artemis Junior ?
Balthazar lui offrit un de ses rares visages neutres.
- - Je n'aime pas qu'on m'appelle par mon nom.
- Pourtant, c'est le cas. Il est tant de vous rappeler qui est le vrai patron ici. J'ai reçu un message urgent...
- Ca, c'est vos soucis de bureaucrate !
- Il est signé du seigneur Vador, il nous demande de lui fournir quelque chose.
Balthazar releva la tête de ses schémas. Là, il était interloqué. En tant que personne qui travaillait pour l'Empire, même si cela ne faisait que quelques temps, il avait entendu parler de Vador. Vador, numéro 2 impérial, juste derrière l'Impératrice. Vador, un des sith parmi les plus puissants. Et il le sollicitait, lui, en tant qu'inventeur.
- - Que veut-il ?
Arkhaus, en guise de toute réponse, lui tendit un datapad. Le message indiquait clairement le projet. Il fallait fabriquer quelque chose.
- « Monsieur Artemis, je suis l'amiral Piett de l'Escadron de la Mort, la flotte personnelle du Seigneur Vador. Je vous confie une mission prioritaire, mes ordres émanant directement du Seigneur Vador. Votre travail va consister à mettre en place un gaz, capable de se répandre également en milieu aquatique. Cette arme chimique devra avoir un effet dévastateur sur tout écosystème planétaire, polluant les terres, l'eau, tout. Bien entendu, nous espérons qu'une telle arme cause également des dommages particulièrement importants sur la santé de ceux qui entreraient en contact avec ce gaz. Travaillez vite et bien, fournissez des résultats et vous serez récompensé. Avoir l'attention du Seigneur Vador est un honneur et nous n'hésiterons pas à faire à nouveau appel à vous pour des projets ultérieurs. Faites-nous quelque chose de dangereux et de nocif, monsieur Artemis. Mes salutations. »
Le message lui était personnellement destiné, mais, après tout, Thraka se devait de filtrer les messages urgent. Il se devait d'être au courant de tels projets. Balthazar n'en croyait pas ses yeux. Il n'avait aucune morale, aucune, il se fichait pas mal de savoir que ses créations tueraient un jour... mais ça !
Mais, professionnalisme oblige, Balthazar hocha la tête en signe d'assentiment.
- - Bien... je me met à la production. D'ici deux semaines, ça sera synthétisé.
Arkhaus acquiesça. Il lui accordait 20 millions de Crédits par mois, 3 fois plus qu'un laboratoire de base. Synthétiser une telle chose ne mettrait pas plus d'une semaine, plus une autre... pour contrer les effets en cas de besoin.
Balthazar travaillait dur, très dur. Il avait fait parvenir à lui un échantillon de ce qu'il voulait pour parvenir à ses fins.
Balthazar avait fait venir des échantillons de virus de base, trouvable dans n'importe quel écosystème, y compris sur Bandomeer. Ses recherches annexes, le temps que les virus lui soient ramenés, l'avaient fait aboutir à une chose : il était possible, scientifiquement, de re-créer un virus, par le biais de manipulations génétiques, qui possédait une variante très éloignée de la peste, s'attaquant à tout type d'espèce organique, en se reproduisant dans un milieu composé d'éléments minéraux, tels que l'eau et la terre, ainsi que la roche.
Balthazar se mit donc à synthétiser une variante éloignée d'une maladie assez rare dans la galaxie, la peste, pour être précis. La variante comportait le principe absolu de mutation génétique, c'est à dire que son composant cellulaire mutait environ 2 fois par heure, changeant son système immunitaire par la même occasion. Balthazar prit soin d'isoler une cellule essentielle qui ne mutait pas, afin de pouvoir tuer cette cellule, tuant le virus, créant ainsi le seul type d'antidote actuel.
Balthazar était satisfait. Les manipulations génétiques étaient fascinantes. Balthazar avait tout retranscrit sur ordinateur, en prenant soin de le couper de tout serveur sortant, pour éviter les piratages.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Structure ADN humaine à gauche, structure de virus à droite. les similitudes sont frappantes.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Forme du virus, nommée Yersinia pestis Artemis.
Structure ADN humaine à gauche, structure de virus à droite. les similitudes sont frappantes.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Forme du virus, nommée Yersinia pestis Artemis.
Le virus se développait rapidement dans un milieu minéral, mais avait la particularité de quitter son élément actuel et de s'accrocher à tout organisme vivant, de type humanoïde et insectoïde, par voie trans-cutanée. Le virus utilise le système d'acide ribonucléique formant une double chaîne double brin, la forme la plus redoutable de virus.
Les symptômes étaient semblables à la peste, mais si on pouvait voir des tâches noires apparaître au niveau de tout le corps, aucun remède actuel pour enrayer la maladie ne pourrait être efficace, pour cause que le virus mutait en permanence, changeant sa structure en permanence. Balthazar avait prit soin de laisser une seule protéine non changeant dans le virus, la protéine B675a, créée par lui en cours de biologie à l'université où son père l'avait envoyé, qu'il se devait de refaire pour le coup. Cette protéine était secondaire en apparence, mais, bien cachée dans la structure, elle était essentielle à son existence, aussi, la détruire provoquerait la mort immédiate du virus. Le destructeur du virus avait sa structure déjà prête, sa synthèse serait plus rapide à faire.
Le virus, comme tout virus, se multiplie et se reproduit, mais cette fois en "mangeant" l'écosystème présent, en détruisant les plantes, ou en tuant les planctons. La contamination d'un être vivant n'était dû qu'au contact direct d'une matière minérale. Ainsi se présentait le tableau des infections, testé sur des animaux de Bandomeer :
H+0 : Inhalation du virus.
H+1 : Mélange des structures ADN.
H+3 : Soudage des deux structures, symbiose parfaite, contamination commencée.
H+17 : Vertiges, fièvre légère, bénigne.
H+24 : Douleur intestinale, diarrhée.
H+47 : Vertiges, forte fièvre.
H+89 : Fin des douleurs, rétablissement partiel, comme après une épidémie de fièvre.
H+167 : Reprises des douleurs, paralysie des membres inférieurs.
H+235 : Paralysie générale, ralentissement des organes vitaux.
H+304 : Paralysie cérébrale, pulmonaire et cardiaque, aussitôt mort du sujet.[/hide]
(HRP : ce travail s'étale sur deux semaines. Il ne sera disponible qu'une semaine après validation RP d'un MJ/Admin. SI une chose est invalidée, préciser dans modération, rectification immédiate ensuite.)
Dernière édition par Arkhaus Thraka le Jeu 28 Mar 2013 - 3:45, édité 2 fois