- Nom : Koth Plott'Skra
- Autres Comptes : J'en ai eu vraiment beaucoup mais ne subsiste que celui-ci.Profil
- Race : Bothan
- Sexe : Masculin
- Âge : 46 ans
- Planète d'origine : Kothlis (Espace Bothan)
- Apparence : Koth est un géant pour les bothans, il mesure en effet près d'un mètre soixante-cinq. Sa carrure est imposante, il est plutôt musclé et robuste. Son pelage est de couleur marron clair. Il en prend grand soin et son poil est brillant et lisse. Sa crinière sur le haut de sa tête est plus claire, tirant sur la couleur noisette, quelques mèches étant même blanche, telles de minces trainées de neiges dévalant une vallée. Les poils de sa face et de son museau sont plus clairs, et ceux de sa moustache et de ses pommettes sont ébouriffés. Sa crinière indique qu'il est respecté par ses pairs et l'ensemble des Bothans.
Ses yeux sont ambrés et perçants. Ils sont semblables à deux perles d'or. Scrutant chaque recoins, ils sont très mobiles et sans cesse en alerte. Lorsque Koth est en colère, ils s'embrasent alors, un torrent de lave les traversant d'un coup, mieux vaut ne pas trainer dans les parages. Ce sont deux flammes glaçant le sang de quiconque les croise.
Son museau est assez allongé et se termine par deux petites narines noires ornées d'une moustache beige. Ses crocs sont petits mais acérés et dépassent légèrement de sa mâchoire robuste comme de petites stalactites blanches accrochées à une montagne de poils. Ils les montrent volontiers lorsqu'il est en colère ou bien lorsqu'il rit.
Ses oreilles sont assez grandes et pointues. Tout en étant mobiles et souples, elles lui permettent d'entendre facilement au loin et de distinguer avec efficacité les différentes intonations de la voix de son interlocuteur. C'est un atout non négligeable pour espionner les conversations. Il les braque sur l'endroit à d'où provient le son et entend distinctement chaque nuance, chaque bruit, chaque son qui peut être émis à partir de là.
D'une manière générale, son visage est amical et bienveillant. Il sourit assez souvent, même lorsque la situation est catastrophique. Il conserve sa bonne humeur, ses petits yeux se plissant alors en de minces traits ornés de sourcils blonds. Son rire est caverneux et rauque mais entraine souvent ses interlocuteurs à le rejoindre. En le regardant on peut facilement voir la sagesse et la bonté de Koth.
Il a quelques cicatrices sur les bras, souvenirs d'une rencontre malheureuse avec une créature sauvage et féroce. On distingue alors une peau claire, couleur caramel. On peut aisément la distinguer sur ses mains calleuses et larges. Ses doigts sont longs et épais et ses ongles sont semblables a de petites griffes acérées.
Il porte régulièrement un habit orange et bleu. Un habit assez singulier mais qui n'est pas sans rappeler celui que portent les ouvriers bothans dans les usines. Il porte également une tunique noire plus discrète lors de ses déplacements. Cette tunique est assez pratique et lui permet de dissimuler aisément un blaster et de petites grenades fumigènes ou lacrymogènes. Il possède également une tenue de combat noire renforcée par des plaques le protégeant aux endroits vitaux. Il dissimule cette armure par un capuchon noir en tissu ignifugé. Cette cape est légèrement râpée, mais il ne s'en sépare jamais. En effet, il doit souvent fuir ou se cacher et doit donc l'enfiler au plus vite pour ne pas être reconnu.
Il n'est pas très grand par rapport aux humains et autres créatures de la galaxie. On le prend facilement pour une boule de poils hargneuse et féroce. Il se distingue alors par une voix rauque et grave aux accents rocailleux.
Il dégage une grande sagesse et une intelligence rusée. Il semble fin tacticien. Il est en effet un fin maitre de guerre, formé au fil des ans par la pratique et non par les études. C'est un Bothan fier et respecté. - Métier : Résistant / Leader Rebelle.
- Groupe : Neutre Informations
- Histoire : Koth est né huit ans avant la guerre des clones sur Kothlis. Son père était un ouvrier dans une mine de la planète et sa mère était enseignante. Il eut une enfance marquée par la mort de sa mère alors qu’il n’avait que onze ans. Lui et son père vécurent seuls de façon modeste. Le travail d’ouvrier de son père ne lui rapportait pas beaucoup et son fils dût arrêter ses études à l’âge de seize ans pour aider son père et gagner un peu d’argent non pas pour vivre mais pour survivre.
Tous les travailleurs de la mine étaient du même clan. Un clan faible et qui était la risée de tous. Ils n’étaient soit disant que des bons à rien. Tout juste capable de casser des cailloux.
Le travail à la mine était pénible. Il faisait une chaleur étouffante dans les tunnels et la tâche était harassante. Les accidents étaient fréquents malgré les mesures de sécurité drastiques. C’est dans cette mine que Koth rencontra plusieurs de ses camarades. Ils se plaignaient tous chaque soir au bar après leurs dures journées de travail. Ils discutaient de tout et refaisaient le monde autour d’une bière fraîche. C’est là que leur idée de changer le régime de l’Espace Bothan germa. Ils en avaient assez de la domination des clans. Ils voulaient un monde plus libre, un monde meilleur. La Guerre des Clones était bien loin d’eux et ils s’en souciaient peu. A quoi bon participer à une guerre pour « libérer » la Galaxie alors qu’ils ne se sentaient déjà pas libre chez eux ? Ils étaient contraints par un système poussiéreux et rouillé. Traités comme des moins que rien par leurs pairs simplement car ils étaient au bas de l’échelle sociale. Le père de Koth n’approuvait que peu les engagements de son fils, mais il ne le dissuada jamais. Le travail lui donnait vingt ans de plus qu’il n’en avait et son esprit était brouillé par l’alcool. Il mourut d’une cirrhose avant de voir son fils prendre la tête du groupe.
Koth et ses compagnons voulaient prendre le contrôle de la mine pour permettre aux ouvriers d’avoir de meilleures conditions de travail et un meilleur salaire. Ensuite, avec l’appuie de tous ces travailleurs, ils pourraient sans problème faire entendre leurs revendications.
Leurs idées se diffusèrent rapidement dans la mine où les conditions étaient épouvantables. Une grève ? Une révolte ? Pourquoi pas. Le petits groupes de Bothan s’était agrandit et comptait une majorité des travailleurs de la mine. La tension était palpable dans la mine. Une sourde colère grondait dans les galeries. Mais pendant des mois, rien ne se passa. Le directeur de la mine semblait ne pas se préoccuper de ses ouvriers. Il vivait confortablement, bien loin des revendications de ses ouvriers. C’était le fils du chef du clan le plus puissant de Kothlis, le clan Alya. C’était un Bothan pragmatique mais qui ne pensait qu’à son ascension sociale. Il voulait grimper, par tous les moyens possibles. Et l’Argent était un moyen pour lui de se hisser dans la société. Il réduisit le salaire des travailleurs pour diminuer ses coûts et donc gagner plus d’argent. Si seulement il s’était préoccupé de ses travailleurs…
La grève fut décrétée. Mais le directeur ne changea pas d’avis. Plusieurs ouvriers entamèrent une grève de la faim, d’autres bloquèrent l’accès à la mine, et bientôt plus personne ne travailla. Le directeur envoya alors sa garde personnelle, des Bothan du clan Alya, robustes, massifs et sans pitié. Ils se jetèrent dans la foule des travailleurs rassemblés devant la mine. Ils frappaient, écrasaient, cassaient et arrachaient tout ce qu’ils pouvaient, appuyés par des tirs de blaster d’autres gardes derrière eux.
Les ouvriers comprirent que leur simple grève n’était plus un combat pour leur salaire, mais un combat à mort contre la tyrannie. Ce fût l’émeute générale. Un chaos indescriptible. Une colère aveugle, une volonté de liberté, un puissant désir de reconnaissance animèrent les travailleurs. « A mort ! A mort ! A mort ! Pour la liberté ! » Tous les ouvriers criaient. Ils se battaient avec tout ce qu’ils pouvaient trouver. Ils étaient incontrôlables. Le bruit de la bataille était assourdissant. Les yeux des travailleurs étaient flamboyants de rage et de haine. Leur seul but était d’éliminer l’ennemi.
Finalement, ils abattirent chacun des soldats venus briser la grève et capturèrent le directeur. Il fut froidement abattu par la foule et sa dépouille fut souillée les milliers de crachats des ouvriers. Koth, leur chef, se désola de la mort du directeur. C’était un affront face au clan Alya et il redoutait leur réaction.
Il décida de prendre lui-même en charge le contrôle de la mine et d’ériger un camp pour protéger la mine contre une éventuelle contre-attaque du clan Alya. Accompagné par quelques-uns de ses plus fidèles camarades, il s’installa dans l’ancien bureau du directeur qui avait accumulé une immense fortune. Il fut décidé que cette fortune serait confiée à Koth en attendant que la situation se calme à la mine.
Malheureusement, la situation ne se calma pas. En pleine nuit, des mercenaires du clan Alya, appuyé par des bombardiers attaquèrent la mine. Ils ne laissaient que feu et sang derrière eux. Leur objectif n’était pas de récupérer la mine mais bien de venger la mort du fils du Chef et de laver l’affront que les ouvriers avaient fait.
Koth fut un des premiers réveillé, il prit autant d’argent qu’il put et disparut accompagné de ses plus fidèles camarades. Ils marchèrent à travers la forêt qui bordait la mine et se terrèrent dans une grotte en attendant la levée du soleil. Ils étaient choqués. Ils ruminaient leur cuisante défaite dans leur trou, chassés comme des rats en préparant déjà leur vengeance.
Le lendemain quand ils retournèrent à la mine, il ne restait rien à part des cendres et des cadavres. Tout avait été rasé, détruit, brûlé, tué. Il ne restait rien des ouvriers fiers de leur victoire. Le clan Alya avait, dans sa rage, exterminé les ouvriers du clan de Koth.
Koth et ses camarades se rendirent à la ville la plus proche à pied. Ils marchèrent durant de longues heures. Leurs yeux étaient mouillés par des larmes de colères. Leurs voix étaient éraillées par la colère et un désir de vengeance. Ce fut une véritable épreuve pour eux. Ils entendaient au dessus d’eux les vaisseaux patrouillant à leur recherche. Ils étaient considérés comme des criminels, des agitateurs, des terroristes et devaient fuir. Le voyage était long et éprouvant mais ils en sortirent plus fort. Ils étaient certains désormais que leur devoir était de renverser les clans.
Ils arrivèrent dans la petite ville de Sogg’Era. Ici, personne ne les connaissait. Ils étaient juste de simples voyageurs de passage. Sogg’Era possédait un spatioport. Les compagnons décidèrent qu’il était temps de quitter la planète et de rallier Bothawui au plus vite pour diffuser leurs idées et ainsi rallier la population à eux.
Mais avant de partir, ils avaient besoin de se reposer. Ils se dirigèrent vers une cantina proche du spatioport, pour profiter d’un repas bien mériter et évacuer le stress des deux journées précédentes. Ils entrèrent confiants, sûrs que personne ne les reconnaitrait. Et pourtant … Un bothan les pointa du doigt et cria « C’est eux ! C’est eux qui ont provoqué la révolte ! Attrapez-les ! ». Les compagnons s’enfuirent de la cantina en renversant plusieurs tables pour bloquer le passage derrière eux. Plusieurs tirs de blaster se firent entendre. Koth était sorti le premier de la cantina et courrait en direction du spatioport aussi vite que ses jambes pouvaient le porter. Il ne s’était pas retourné.
Quand il arriva au spatioport, il souffla quelques instants, caché derrière une benne à ordures. Il se rendit compte alors qu’il était seul. Personne ne l’avait suivit, personne n’était sortit de la cantina après lui. Ses compagnons étaient morts. Il était le dernier des ouvriers de la mine à s’être révolté. Et c’est ainsi, à peine âge de vingt-deux ans qu’il comprit toute l’horreur de sa situation. Il était seul. Une solitude qui lui faisait froid dans le dos. Pourtant, il n’avait pas le temps de s’apitoyer sur son sort. Il prit une lente et profonde inspiration et sortit de sa cachette pour entrer dans le spatioport. Essayant de parler le moins possible il embarqua dans une navette en direction de Bothawui.
Pendant des années, Koth vécut sur Bothawui, tout le monde l’avait oublié. Il avait changé son nom de famille et s’était rattaché à un clan mythique Bothan aujourd’hui disparu. Plott’Skra signifie Héros Mythique du clan Askra. Il travaillait en tant que journaliste et se renseigna partout sur les conditions de vie des membres des clans inférieurs partout sur Bothawui, mais aussi sur Kothlis et Krant. Chaque semaine il publiait un petit article dans un journal indépendant. Au fur et à mesure des ans, ce journal était de plus en plus lu par les personnes de conditions modestes, il avait la réputation d’être contre le système clanique mais comme il n’appelait jamais à la violence, il ne fut pas censuré. Les articles de Koth étaient populaires, et repris souvent par des journaux plus connus. A travers ces articles, Koth voulait sensibiliser chaque Bothan et toucher toute la population.
Il était devenu populaire et nombreux étaient ceux qui l’interpellaient pour le remercier de parler de ceux sont on ne parle jamais. Il devint même le rédacteur en chef du journal et le renomma « Le Partisan ». Son action pour faire reconnaître les plus démunis était indéniable.
L’argent qu’il gagnait avec les ventes du journal, il le redistribuait en partie à des associations. Koth était très riche. En effet, il avait conservé les cinq cents mille crédits volés dans la mine. Il n’avait pas dépensé un centime et conservait précieusement cet argent pour plus tard, en vue d’une action massive de rébellion.
Il créa un parti anti-clanique déguisé en association. C’était un parti pour une démocratie plus libre, pour mettre fin à l’assemblée des clans et pour que chaque bothan soit représenté lors d’élections. Il nomma son parti « L’Union Bothanne Libre ».
Plusieurs clans entiers s’étaient joins à lui. C’étaient des clans modestes, humbles et avec peu de moyens mais ils comptaient plusieurs millions de membres à travers l’Espace Bothan et étaient donc un appui non négligeable pour lui. Mais, des clans plus aisés c’étaient également ralliés à lui, eux étaient simplement des opportunistes qui voyaient en l’action de Koth Plott’Skra un moyen de prendre le pouvoir. Ces clans, riches et influents lui fournirent des fonds et lui donnèrent accès a quelques privilèges. Koth était respecté et gagnait chaque jour en influence. « Le Partisan » était journal le plus lu par les clans modestes et des catégories moyennes. Les articles réguliers de Koth étaient de plus en plus dirigés contre le système clanique et pour une démocratie plus libre.
L’avènement de l’Empire et les incidents majeurs sur Bothawui et Krant poussèrent Koth à rendre clandestine la diffusion du journal. Son association était également clandestine et personne ne devait en parler en publique. Le financement était anonyme et Koth changeait régulièrement d’endroit pour se cacher, au cas où l’Empire décidait de l’assassiner.
Le discours du journal n’était plus seulement dirigé contre le système clanique mais aussi contre « l’Envahisseur » c'est-à-dire l’Empire. Le régime impérial était totalement ridiculisé. Les actions impériales dans l’Espace Bothan étaient décriées et vivement critiquées. « Le Partisan » prônait un retrait immédiat de l’Empire. Koth n’était pas pour la destruction totale de l’Empire mais uniquement pour que l’Espace Bothan reste intact. La Galaxie lui importait peu tant que ses congénères étaient tranquilles. Et c’est ainsi que de nombreux autre clans anti impériaux le rejoignirent et financèrent son parti et son journal. Il était considéré comme le bothan le plus sage, après Borsk Fey’lya sûrement. Il était respecté et honoré par tous. Koth appréciait peu Borsk, en effet, ce dernier faisait parti du clan Alya, celui qui avait massacré ses amis et son clan.
Ainsi, Koth menait un combat clandestin, appuyé par de très nombreux clans. Les plus modestes étaient les plus engagés, mais les riches finançaient de plus en plus des actions de « libération » organisées par Koth. Ces « libérations » n’étaient autres que des actes de terrorismes et de sabotages à l’encontre des installations impériales. Des mercenaires étaient formés dans de petits camps retranchés dans les forêts de Bothawui, de Kothlis et de Krant. Tous étaient financés par Koth et les clans par l’intermédiraire de « L’Union Bothanne Libre ». Ces camps étaient de tailles réduites pour rendre plus difficile leur repérage mais ils étaient très nombreux. Chacun d’entre eux était dirigé par un chef indépendant obéissant directement à Koth par l’intermédiaire de messages codés dans « Le Partisan ». Le code changeait régulièrement pour rendre plus difficile son décryptage.
Toutes les actions de résistances, de sabotages, de terrorisme et de vols étaient coordonnées à l’aide du journal. Pratiquement un article sur trois était un ordre crypté à l’attention des troupes de Koth.
Bien sur, la Rébellion, surnommé « L’Opportuniste » par le journal tentait de résister face à l’Empire. Nombreux étaient les clans qui finançaient la Rébellion. Mais Koth était contre. Il ne se souciait pas vraiment du reste de la Galaxie. Sa priorité était de libérer la planète et de prendre le pouvoir pour la diriger vers un avenir meilleur, plus radieux, où chaque Bothan aurait sa place. - Inventaire :
- Une tenue d'ouvrier Bothan
- Une tunique noire de voyage
- Une Cape Noire
- Un Blaster E11
- Cargo Léger YT-2000 - Psychologie : Koth est un Bothan sage. Il sait qu’il est respecté par de nombreux Bothan mais utilise son influence à bon escient, c'est-à-dire pour lutter contre L’Evahisseur. Il est un grand orateur et aime mener son parti avec poigne.
Koth est quelqu’un de réfléchit, de patient et de calme. Il prend son temps pour prendre une décision. Il favorisera toujours l’Espace Bothan plutôt que la Galaxie. Il est fier et ne se laisse pas marcher sur les pieds.
Il est pour la liberté, et contre le système clanique. Son but ultime est de prendre le pouvoir dans le Secteur et de diriger de façon éclairé en menant son peuple vers un avenir meilleur. - Affection : Le Pouvoir ! Il aime véritablement diriger, contrôler, donner des ordres et mener les individus et les foules. Il aime les moyens dont l'Empire fait régner l'ordre même s'il n'est pas tout à fait d'accord avec les idées de l'Empire.
Il aime évidemment sa femme plus que tout au monde. Il adore aussi sa planète, Bothawui ainsi que les mondes de l'Espace Bothan qui sont pour lui les perles de cette Galaxie. Il les porte dans son cœur et ne jure que par elles. Elles sont pour lui un joyau que seuls les Bothans peuvent diriger. - Aversion : Il n'aime guère les hommes ou les autres races aliens. Il les respecte, mais se méfie d'eux.
Il n'aime pas beaucoup les autres mondes en dehors de l'Espace Bothan. Il n'apprécie pas non plus les idées impériales, mais pas plus les idées rebelles. Il veut que son Espace Bothan soit en dehors des conflits galactiques. C'est pourquoi il refuse de choisir son camp car en réalité, personne n'est du sien.Disposition - Fuseau Horaire : GMT +1
- Disponibilité : Tous les soirs après 21h
- Indisponibilité : Tous les jours avant 21h
Identité
Dernière édition par Koth Plott'Skra le Dim 29 Mai 2011 - 21:35, édité 3 fois