Comment est ce que cela avait commencé ?
Il se posait la question.
Allongé sur le sol métallique, il n'avait aucune idée de ce qui s'était passé, il ouvrit lentement ses yeux, offrant ses émeraudes à la lumière du soleil, elle éclaira les cernes qui s'étaient formées autour d'elles, ses rides, sa sueur, sa fatigue, sa peur, tout était inscrit sur ce visage ravagé par les épreuves. Il réalisa alors que son ami de toujours le tenait dans ses bras, au loin, au bout d'une rue inondée par la lumière des hommes attendaient, armes à la main. Ici il faisait un peu noir.
Urai...
Il était ici. Il était à ses côtés, comme toujours. Il ne l'avait pas abandonné. Il aurait pu. Peut-être même aurait-il dû ?
Doucement, le prisonnier essaya de bouger son bras mais il ne ressentit que la douleur. Il reposa son bras sur le sol avant que le mal ne s'intensifie. Des images défilaient à pleines vitesse dans sa tête, son premier crime, son père, Carida, Urai, Jabba, Tatooine, Kessel, Mustafar. Trop de noms dans sa tête, il n'arrivait pas à placer quelque chose sur ceux ci...
Il toussa. Et gémit. La douleur était même dans ses côtes. Que s'était-il passé ? Le Talortai, il voyait bien que ce dernier le dévisageait. Le regard noir du garde du corps allait de la face blafarde de l'homme à son corps. Urai prit la parole, calmement, articulant de manière exagérée afin que son maître comprenne bien ce qu'il lui expliquait :
Il se posait la question.
Allongé sur le sol métallique, il n'avait aucune idée de ce qui s'était passé, il ouvrit lentement ses yeux, offrant ses émeraudes à la lumière du soleil, elle éclaira les cernes qui s'étaient formées autour d'elles, ses rides, sa sueur, sa fatigue, sa peur, tout était inscrit sur ce visage ravagé par les épreuves. Il réalisa alors que son ami de toujours le tenait dans ses bras, au loin, au bout d'une rue inondée par la lumière des hommes attendaient, armes à la main. Ici il faisait un peu noir.
Urai...
Il était ici. Il était à ses côtés, comme toujours. Il ne l'avait pas abandonné. Il aurait pu. Peut-être même aurait-il dû ?
Doucement, le prisonnier essaya de bouger son bras mais il ne ressentit que la douleur. Il reposa son bras sur le sol avant que le mal ne s'intensifie. Des images défilaient à pleines vitesse dans sa tête, son premier crime, son père, Carida, Urai, Jabba, Tatooine, Kessel, Mustafar. Trop de noms dans sa tête, il n'arrivait pas à placer quelque chose sur ceux ci...
Il toussa. Et gémit. La douleur était même dans ses côtes. Que s'était-il passé ? Le Talortai, il voyait bien que ce dernier le dévisageait. Le regard noir du garde du corps allait de la face blafarde de l'homme à son corps. Urai prit la parole, calmement, articulant de manière exagérée afin que son maître comprenne bien ce qu'il lui expliquait :
« Tyber, je vais t'aider à te relever, on va avancer vers le bout de la rue, qui nous amènera à l'astroport après peut-être deux ou trois minutes de marche, tu penses pouvoir le faire ? Tu te sens prêt ? »
Pour toute réponse il gémit. Gémissements qui s'amplifiaient lorsqu'il fût redressé par les soins d'Urai, ce dernier le fit s'appuyer sur lui, puis doucement, ils entamèrent leur voyage jusqu'au bout de cette ruelle, cette longue ruelle, trop longue ruelle.
Que s'était-il passé ?
Le prisonnier boitait et fatiguait, à chaque pas un craquement sourd se faisait entendre, provenant de son corps à diverses parties, avec cela des plaintes de douleurs sourdes s'arrachaient des entrailles du corps du prisonnier. Il luttait pour ne pas crier, pour ne pas s'évanouir non plus. Se battre, encore et toujours, telle était la vie.
Il éclata de rire, mais il était si faible que personne ne l'entendit, philosopher dans un tel moment, c'était pathétique, il était loin de la mort, il le savait, perdre du temps à penser à de telles choses étaient contre productif. Il devait réfléchir à ses affaires. La lumière se rapprochait en même temps que le bout de la rue et il essayait désespérément de se souvenir, de se raccrocher un peu aux lambeaux de ce qu'il avait vécu, sans ces repères il ne pourrait être comme avant. De la lumière, toujours plus perçante.
Que s'était-il passé ?
Encore de la lumière, toujours plus.
Kessel, ça il s'en souvenait. Il se souvenait aussi des femmes qui l'avaient tirées de là.
Le bout de la rue à quelques mètres.
Urai le maintenait fermement tandis que les autres hommes lançaient des regards un peu partout afin de surveiller.
Surveiller quoi ?
Que s'était-il passé ?
Trop de...
Le choc. Le prisonnier s'effondre. Noir intense. Les prisonniers rêvent-ils de moutons en prisons ? Il entre dans une spirale de ténèbres qui l'entraîne vers le bas. Ne plus penser. Ne plus rêver. Ne plus rien faire. Juste goûter à cette sensation de perte, se délecter de l'acceptation de cette dernière. Plus puissant qu'une dizaine de bâtons de la mort, que cinq mad merlf cul sec, que trois zeltroniennes dans son lit. Juste apprécier. Le noir, les ténèbres, les ombres. Aimer cette sensation. Rien d'autre importe.
Il s'était effondré à quelques centimètres du bout de la ruelle, ses hommes tentaient de le redresser en vain. Il ne disait plus rien, ne bougeait plus. Une seule chose s'échappait de son être: un souffle bas, régulier mais rapide.
Que s'était-il passé ?
Le prisonnier boitait et fatiguait, à chaque pas un craquement sourd se faisait entendre, provenant de son corps à diverses parties, avec cela des plaintes de douleurs sourdes s'arrachaient des entrailles du corps du prisonnier. Il luttait pour ne pas crier, pour ne pas s'évanouir non plus. Se battre, encore et toujours, telle était la vie.
Il éclata de rire, mais il était si faible que personne ne l'entendit, philosopher dans un tel moment, c'était pathétique, il était loin de la mort, il le savait, perdre du temps à penser à de telles choses étaient contre productif. Il devait réfléchir à ses affaires. La lumière se rapprochait en même temps que le bout de la rue et il essayait désespérément de se souvenir, de se raccrocher un peu aux lambeaux de ce qu'il avait vécu, sans ces repères il ne pourrait être comme avant. De la lumière, toujours plus perçante.
Que s'était-il passé ?
Encore de la lumière, toujours plus.
Kessel, ça il s'en souvenait. Il se souvenait aussi des femmes qui l'avaient tirées de là.
Le bout de la rue à quelques mètres.
Urai le maintenait fermement tandis que les autres hommes lançaient des regards un peu partout afin de surveiller.
Surveiller quoi ?
Que s'était-il passé ?
Trop de...
Le choc. Le prisonnier s'effondre. Noir intense. Les prisonniers rêvent-ils de moutons en prisons ? Il entre dans une spirale de ténèbres qui l'entraîne vers le bas. Ne plus penser. Ne plus rêver. Ne plus rien faire. Juste goûter à cette sensation de perte, se délecter de l'acceptation de cette dernière. Plus puissant qu'une dizaine de bâtons de la mort, que cinq mad merlf cul sec, que trois zeltroniennes dans son lit. Juste apprécier. Le noir, les ténèbres, les ombres. Aimer cette sensation. Rien d'autre importe.
Il s'était effondré à quelques centimètres du bout de la ruelle, ses hommes tentaient de le redresser en vain. Il ne disait plus rien, ne bougeait plus. Une seule chose s'échappait de son être: un souffle bas, régulier mais rapide.
Spoiler :
HRP:Paresse m'a autorisé à compter Zann comme libre même si nous n'avions pas finit la quête