Avenir
Il y a des sensations que l'on ne saurait décrire. Des sensations qui vous glace le sang, qui vous glace les os. C'est comme si ensuite l'on pouvait vous briser d'un simple souffle. Et lorsque cela vous arrive... Toute réalité s'éteint. Plus rien ne vous semble réel ni même irréel. Vous ne savez plus quoi pensez, ni même si vous le pouvez. Un doute immense plane alors sur vous. Et plus la situation dans laquelle vous vous trouvez semble... familière... Plus cette sensation s'en trouve renforcée. Ho que oui je suis certain que cela est déjà arrivé à certain d'entre vous. De se dire... Ca! je l'ai rêver! Nos esprits nous jouent-ils des tours? Ou sommes nous capables de véritables prémonitions? Toute explication rationnelle semble écarter toute hypothèse scientifique. Ces gens, ces lieux, vu réellement pour la première fois, et pourtant... Vous les connaissiez déjà... Superposition d'images mentales erronées? Peut-être bien. Mais votre coeur! Cette chose qui bat si fort dans votre poitrine! Elle vous dit le contraire...
Trois heures du matin... Larry se lève dans un sursaut, en sueur, froid comme la glace, blanc comme la mort et... comme cette femme. Ce visage... Ces cris... Puis le silence... Un cauchemar de plus. Larry y était habitué. Depuis la mort de sa mère il y a deux mois, son esprit aussi torturé que tortueux lui jouait des tours. Mais cette fois-ci, sont subconscient n'avait pas mis le paquet sur les effets spéciaux. Tout semblait si réel. D'habitude ses cauchemars frisaient le ridicule: Du clown tueur qui sort de l'évacuation des toilettes à cette femme aux yeux jaunes qui vous poursuit dans un trou sans fin. Mais là... L'atmosphère était très différente. Le burlesque avait laissé place à l'émotion, ce qui n'en était que plus effroyable. Larry se leva et se dirigea vers l'armoire à pharmacie. Il prit le temps de se regarder dans le miroir. Ses yeux, comme voilés, semblaient avoir gardés en eux le souvenir de ce visage féminin. Un visage qui semblait se dissiper avec le seuil d'éveil du jeune homme. Un somnifère! Non deux! Et le voilà repartit vers un sommeil profond.
Le petit matin. L'odeur du café sortant de la machine programmé la veille vint lécher les narines de ce zombie que nous appelons Larry. Les cheveux en bataille, les cernes des beaux jours, la souplesse d'une pierre et l'odeur d'un phacochère, il se leva du lit, embarquant sa couette comme seul vêtement. Et le train train quotidien vint reprendre sa place. Aujourd'hui il devait aller comme d'habitude au labo. Le projet E3-777 devait y être testé, un robot capable de remplacer les femmes. Enfin pas totalement. La cuisine, le ménage, la vaisselle, le repassage, et bien plus encore sans les inconvénients: Les engueulades, les enfants et les beaux-parents. Bref, la belle vie! Mais malheureusement sans chaleur au lit!
Trois heures du matin... Larry se lève dans un sursaut, en sueur, froid comme la glace, blanc comme la mort et... comme cette femme. Ce visage... Ces cris... Puis le silence... Un cauchemar de plus. Larry y était habitué. Depuis la mort de sa mère il y a deux mois, son esprit aussi torturé que tortueux lui jouait des tours. Mais cette fois-ci, sont subconscient n'avait pas mis le paquet sur les effets spéciaux. Tout semblait si réel. D'habitude ses cauchemars frisaient le ridicule: Du clown tueur qui sort de l'évacuation des toilettes à cette femme aux yeux jaunes qui vous poursuit dans un trou sans fin. Mais là... L'atmosphère était très différente. Le burlesque avait laissé place à l'émotion, ce qui n'en était que plus effroyable. Larry se leva et se dirigea vers l'armoire à pharmacie. Il prit le temps de se regarder dans le miroir. Ses yeux, comme voilés, semblaient avoir gardés en eux le souvenir de ce visage féminin. Un visage qui semblait se dissiper avec le seuil d'éveil du jeune homme. Un somnifère! Non deux! Et le voilà repartit vers un sommeil profond.
Le petit matin. L'odeur du café sortant de la machine programmé la veille vint lécher les narines de ce zombie que nous appelons Larry. Les cheveux en bataille, les cernes des beaux jours, la souplesse d'une pierre et l'odeur d'un phacochère, il se leva du lit, embarquant sa couette comme seul vêtement. Et le train train quotidien vint reprendre sa place. Aujourd'hui il devait aller comme d'habitude au labo. Le projet E3-777 devait y être testé, un robot capable de remplacer les femmes. Enfin pas totalement. La cuisine, le ménage, la vaisselle, le repassage, et bien plus encore sans les inconvénients: Les engueulades, les enfants et les beaux-parents. Bref, la belle vie! Mais malheureusement sans chaleur au lit!
La suite pour bientôt!