Star Wars Roleplay
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Star Wars RoleplayConnexion
Le Deal du moment : -11%
Smartphone 6.36 ” Xiaomi 14 (12 Go / 256 Go
Voir le deal
641 €

descriptionTorn-Krell EmptyTorn-Krell

more_horiz
    Identité
  • Nom : Torn-Krell
  • Autre Comptes : N/a

    Profil
  • Race : Humain
  • Sexe : Masculin
  • Âge : 29 ans
  • Planète d'origine : Coruscant
  • Apparence :
    Nombres d'individus, durant leur vies, ont un goût certain pour l'apparence qu'ils donnent a leurs prochains. De ces gens, coquets s'il en est, je n'en fait guère partie.
    Comme il peut être dure de se représenter soit même.

    Imaginez vous même un homme d'une taille banale, un gaillard habituel, d'environs un mètre quatre vingts, mal rasé et les cheveux courts relativement sans ordres.

    Deux yeux bruns, un regard sombre quand je suis seul ou réfléchit, une balafre sur l'œil droit et une petite bouche qui semble prête a s'ouvrir n'importe quand. Quant a mon nez, il semble déjà avoir subit un ou deux coups a voir comment il est gonflé a sa base. Mes oreilles sont assez discrètes, sinon un anneau traversant mon lobe gauche.

    Voila pour mon visage et ma silhouette, pour mon corps, il est n'est pas pour moi une honte, bien bâtit après quelques années de service militaire.

    Mes bras sont parcourus de quelques cicatrices ou brulures, rien de bien impressionnant, mes genoux sont marqués par des tatouages Mandalorien. Mon torse et mon dos sont aussi le siège de quelques autres tatouages et autres cicatrices, mais encore une fois, rien de bien méchant.

  • Métier : Ancien soldat, nouveau chasseur de primes.

  • Groupe : Mercenaire.

    Informations
  • Histoire : Mon histoire commence a Coruscant, capitale de la galaxie, cette planète pourrait bien passer pour l'endroit le plus sympathique pour passer une jeunesse dorée, toutefois, ce n'en est guère le cas, je ne reviendrais pas de trop sur ma petite enfance, qui fut surtout tendrement partagée entre ma mère très protectrice et mon père, un bon père.

    Il y'a de cela plus d'une trentaine d'années, mes parents, Nalia Lo'ka et Parm Krell, s'installèrent sur Coruscant. Ils fuyaient leur anciennes vies de contrebande, de chasses et de combats pour m'offrir une chance de grandir dans une paix toute relative, hors, rien de mieux que les immenses foules de la capitale pour dissimuler des gens discrets.

    Ayant, pour moi, abandonné pour un temps leur identités, ils furent bien obligés de ranger armures et armes et de recommencer une nouvelle vie, c'est dans ce cocon familiale que je vint au monde.
    Parait-il que j'étais un beau bébé, mais ceci n'est pas la question.

    Toutefois, tout jeune, j'eus droit a un apprentissage en règle de la culture de mon peuple, en effet, mes parents avaient passés le plus clair de leur vies a combattre au nom d'un certain type, Mandalore, que je n'eut jamais l'honneur, ou le malheur de connaitre.

    Malheur ? Pourquoi donc ? Allons bon, la majorités des Mandaloriens ne verraient en moi qu'un sordide semi-mandalorien qui ne connaît que guère le passé de son nom.
    Ayant appris au mieux de vague notion du Mando'a, n'ayant pas eu la possibilité, je vous expliquerais après pourquoi, d'aller plus en avant vers la culture de mes pères, je dut finir par accepter cette évidence.

    Ainsi donc, reprenons le récit, alors que les années passaient le plus rapidement possible. Quelles sont courtes ces années de paix. Mon esprit rebelle a toute forme d'autorité, n'avait de cesse de tester la solidité des liens qui m'accrochaient a mes parents, allez donc savoir pourquoi, on est souvent débile a l'arrivée de l'adolescence.

    Toujours est-il que je ne me sentais guère heureux, entouré de l'amour familiale pourtant présent, des parents protecteurs auxquelles j'avais droit.
    Pour que vous puissiez comprendre ce qui va suivre, il me faut m'étendre sur la relation que j'entretenais avec mes géniteurs, je les appréciait car ma vie provenait de la leurs, je leur vouaient respect et tendresse, mais jamais, oh grand jamais, je ne me sentit proche d'eux, j'avais conscience qu'ils étaient ma seule famille et que la famille, avec la valeur est ce qui définit un mandalorien, mais leurs vœux pour moi n'était pas les miens.
    Ils souhaitaient un fils fier, un guerrier digne qui serait capable de protéger sa famille, quoi qu'il en coute, chose que je ne fut, a vrais dire, pas capable avant longtemps.

    En vérité, un tout autre rêve m'habitait, bien lointain de la culture que m'inculquait mes parents.

    Alors, vint mes treize ans, où mon père me dit que nous allions devoir nous battre pour mon rite de passage a l'age adulte, mais qu'auparavant il me ferait subir toute une série d'épreuves visant a affirmer ma capacité de combattant.

    Je n'étais guère un bon élève, j'apprenais a me battre plus par respect envers mes parents que par amour pour le sang et la sueur, toutefois, je réussit les épreuves, cela devait être mon destin.
    Celles ci était constitué d'une série de questions, ainsi que d'un test a l'habilité au tir.
    Puis le combat contre mon père eut lieu, je crains me souvenir de ce combat toute ma vie...

    Mais il me faut vous parler de mon véritable amour, les lettres ! Si si, je suis sérieux !

    En effet, j'ai toujours nourrit un amour sans borne pour le savoir et la culture, ainsi que la déduction et l'imagination que cela apportait, non pas pour pouvoir me vanter, mais simplement pour pouvoir me situer a la bonne échelle, comparé a l'infini de la galaxie, présente et passée.
    Ainsi donc, tandis que mes parents me croyaient absorbés par mon entrainement, j'avais pris la mauvaise habitude de lire, encore et toujours, tout ce qui me tombait sous la main.

    Bref !
    Le combat contre mon père commença sur le toit d'un immense bâtiment où nous logions, quelques centaines d'étages en dessous.

    Une fois le salut fait, mon père saisit sa vibro-lame d'entrainement et s'élança vers moi, faisant de même avec le plus de sérieux possible, quelques passes d'armes s'échangèrent avant qu'il ne me touche une première fois a la gorge.

    Ses coups étaient rapides et précis, pas vraiment puissant mais tout simplement dirigé avec habilitée, toutefois, sans trop me vanter, j'ai toujours eu un faible pour la majorité des armes, ainsi que dans le combat au corps a corps.

    Nous réprimes alors au début, son premier coup visa ma nuque, alors que je parais, il dissimula une feinte et avant que je ne pus me reprendre, dirigea tout naturellement son bras armé vers ma personne alors qu'il n'avais même pas finit son mouvement.
    D'un même réflexe, un saut en arrière me plaça hors de portée.
    Je me reprochait alors d'avoir trop passer de temps sur mes livres.

    Toutefois, alors que le combat allait recommencer, mon père leva mon sac a dos du sol avant de fouiller dedans...
    D'ordinaire, mon père était un homme souriant et aimable, mais au moment où il sortit un énorme livre dont je ne me souvient même plus du nom, son visage n'était plus aimable ni amicale.

    Il saisit le livre, le lança en l'air et leva son pistolet avant de faire feu.

    L'ouvrage que je chérissait retomba près de moi, tandis que j'étais trop éberlué pour réagir.
    Mon père me lança une insulte des plus stupide avant de me faire des reproches, je n'en avait cure, je venais de découvrir pour la première fois la rage.
    Alors, je saisit la couverture brulé de l'ouvrage dans la main gauche et serra ma poigne sur la garde de ma vibro-lame avant de m'élancer vers mon père, les yeux pleins de haine.

    Mon cris dut l'étonner, car il mit une seconde de plus que d'habitude a se mettre en garde, sautant alors droit vers sa gorge, il s'ensuivit entre nous deux de longues passes d'armes, j'attaquai avec la fureur du juste, tantôt avec la vibro-lame, tantôt avec la lourde couverture de mon livre, arme peu usée, je l'avoue désormais.

    Alors, je fit quelque chose que je regretta bien des années plus tard, profitant que la garde de mon père était trop a droite, je lui sauta dessus, tenant sa vibro-lame a distance avec la mienne tandis que la couverture de mon livre s'écrasa sur le visage du padre, suffisamment fort pour le déséquilibré, profitant de ceci, son torse connut la force de mon épaule et nous chutâmes tout deux au sol.

    Roulant a terre, mon père, plus lourd, fut celui qui se plaça en dessous tandis que ma lame vint se poser sur la gorge, la sienne vint faire de même sous mon bras gauche, au niveau de mon aisselle.

    Je vit pour la première et dernières fois un regard fier de mon père, mes yeux, eux ne montrait que de la colère.
    Alors mon père voulut prendre la parole, de rage, je lui plaça la couverture du livre dans la bouche avant de dire quelque chose d'horrible :

    "Dar'buir !"
    "Que vient tu de dires ?"
    "Dar'buir ! Tu n'est plus mon père !"
    "Pardon ?"
    "Tu ne pourras jamais me respecter en tant qu'individu."
    "Ho que si, tu est mon fils et un parfait guerrier, tu..."
    "Je ne veut pas être un soldat ! Ce livre était ma propriété et tu l'as détruit, tu ne me respecteras jamais ! Adieu !"
    "Torn !"

    Me levant avant de m'enfuir en courant, pleurant comme je le pouvais, exténués, je finit la journée et la nuit dans une poubelle miteuse, chevrotant, j'avais a la fois l'impression que la vie me quittait et qu'une autre commençait.

    Ayant comme seul souvenir de mes parents cette vibro-lame, je l'ai toujours gardée avec moi comme le plus précieux des bijoux.

    Alors, la vie ne fut pas des plus aisée pour moi, je fut parfois obliger de voler pour survivre, toutefois, mon vol préféré restait ceux des films holonets ou des ancienne bibliothèque qui n'était guère légion sur une ville a la technologie aussi pointu que Coruscant.

    S'ensuit de cette façon trois années où je me fit quelques amis dans le monde de la rue et bon nombres d'ennemis, refusant au début d'usée de la violence, je fut parfois maltraité par des groupes, jusqu'au jour où je dégaina le premier la vibro-lame de mon père, ils me laissèrent tranquille, ô combien triste de voir que même ici, c'était ceux que j'avais rejeté qui me protégeaient.

    Mon monde, a cette époque, était des plus solitaire, toutefois, je me prit d'amitié pour deux hommes et une jeunes fille, Nash, Tomb et Helia, Nash était de deux ans mon ainés, Tomb et Helia avaient un peu près le même âge que moi.

    Je vous le donne en mille, en pleine adolescence, je m'épris stupidement d'Helia, étant amoureuse de Nash, je fit silence sur ceci et passa alors de nombreuses années, jusqu'à mes dix sept ans, en compagnie de cette joyeuse bande de lurons, voleurs et menteurs certes, mais c'était mes amis.

    Tomb avait une aisance au dessins qui m'impressionna très vite, ensemble, nous avons d'ailleurs réalisé une petite bande dessinée, qui reste dans un miteux appartement de Coruscant, vide le plus clair de l'année.

    Voila une dizaine d’années, tout changea, tout devint différent, car si la république était corrompu, elle prônait tout de même une forme de liberté pacifique, mais quand l’Empire vit le jour, tout devint différents, la peur s’insinua dans tout les cœurs certes, mais l’arrivée d’un tel régime donna bon nombres de possibilités pour de jeunes individus tels que nous.

    C'est alors que Nash, qui s'était fait une place d'honneur dans notre groupe, proposa l'idée d'intégrer les rangs de l'armée Impérial, en effet, alors que nous commencions a vieillir, le lendemain nous faisait peur, nous n'avions guère envie de finir nos vies en tant que simples voleurs et contrebandiers de pacotilles.

    Tomb accepta bien vite et Helia suivit naturellement Nash, en ce qui me concerne, la tristesse me bouffa, moi qui avait fuit un destin pour me dédier a la recherche de connaissance, je devais désormais choisir entre la solitude de mes livres et une vie de soldats, pire encore que celle que j'avais fuit.

    Finalement, devant l'immensité de Coruscant, je prit la seconde décision, c'est ainsi que nous devinrent trooper au nom de l'Empire, faisant nos classes ensemble et désirant être affecté ensemble, notre première année se passa sur la ville-planète où nous revirent bon nombres d'anciennes connaissances, a commencer par tous les salauds qui nous avaient martyrisés.
    Autant vous le dire, ceux-ci firent connaissance avec une vibro-lame Mandalorienne.

    Enfin, nous avons évolué, du titre de Trooper au statut, a peine plus envieux de Stromtrooper, quand je dit nous, je parle de Tomb et de moi, Nash lui voulut devenir officier et intégra les classes d'officier grâce a un coup de piston bien sentit, tandis qu'Helia elle prit la voix des pilotes.

    Alors vint le temps d'autres affectations, je parcourut au bas mots une dizaines de planètes du secteur intérieur et de la bordure médiane, toujours accompagnés de Tomb, nous faisions régner l'ordre impérial de notre mieux, n'oubliant pas a l'occasion de faire grossir notre "caisse de réserve", un coffre dans la banque Impérial où nous entreposions tout ce qui avait de la valeur et que nous avions put récupérer.
    En effet, la vie de Stromtrooper se compose essentiellement d'arrestations, parfois de combat mais surtout de pillage.

    Pourris jusqu'à la moelle, a 26 ans je finit par abandonner cette vie qui ne me convenait pas après m'être constitué un joli magot, huit mois après ma démission, Tomb tomba sous les tirs d'une bande de rebelle, Nash ne me pardonna jamais cet acte de trahison.

    Prenant la poudre d'escampette vers la planète isolée qu'était Ryloth, des rêves de gloires et de célébrités en tête, j'écris bon nombres de poèmes, nouvelles et romans durant les trois années suivantes, aucun de mes écrits ne connut un succès, même infime, a vrais dire, je n'étais pas un bon écrivain, mon orthographe et ma syntaxe laissait gravement a désirer, quant a ma conjugaison, je n'en dirais pas un mot.

    A 29 ans, une vie sans objectif particulier peut paraitre un peu dure, toutefois, j'avais l'habitude d'avoir autant de choses a faire que d'argent, suivit alors une longue période de calme où je me prit d'affection pour toutes les histoires que j'entendais ayant un rapport avec les guerriers Mandaloriens, c'est aussi a cette époque que je me fit faire deux tatouages sur les genoux, comme pour me rappeler toujours ma première fuite.

    Mais un jour, sur Ryloth, alors que les vents balayaient si fort la planète que j'avais été obligé de quitter mon abris sous terrain pour un bâtiment plus important, un guerrier en armure presque semblable a celle que me montrait mon père s'approcha de moi.

    Il me salua et prit la parole, il parlait assez mal la langue commune, c'est alors que je lui lança une phrase en mando'a, lui signifiant que je connaissait quelque bases de cette langue.

    Le guerrier disait s'appeler Not'ar Para, il enleva son casque et ensemble, une journée passées a attendre la fin de la tempête, puis deux, et trois.
    Durant ce laps de temps, il m'apprit beaucoup sur mes origines, sans jamais me demander pourquoi je voulait tant et savoir, ni même la raison pour laquelle je montrait tant de lacune en mando'a, nous passions simplement du bon temps.

    Le derniers jour, il me proposa de faire équipe avec lui, me disant qu'il était un chasseur de prime indépendant et qu'il refusait de prendre part a l'appel du Mandalore, une hésitation aurait été mal interprétée, c'est pourquoi mon choix fut vite faite.
    C'est ainsi que Not'ar et moi, nous primes ensemble la route, lui et ses blasters d'assauts, moi avec ma vibro-lame, ma plume ainsi qu'un sordide blaster.

    La vie avec Not'ar fut courte, mais plaisante, il pilotait bien et était un compagnon agréable une fois qu'on avait fait les premiers pas, nous nous en sortions bien, jouxtant des activées de petite contrebande grâce aux réseaux que j'avait gardé sur Coruscant et durant ma période dans l'armée avec quelques menus délits, cherchant plus a nous trouver qu’autres choses.

    Toutefois, un jour, alors que nous venions de livrer une cargaison sur Corelia et que nous préparions notre chasse un homme qui était en retards dans ses payement, un petit croiseur impérial sortit de l'hyperespace et nous ordonna de couper les moteurs.

    Je reconnut très vite la voix, Nash.

    Notre tentative de fuite fut un succès, toutefois, un tir bien placé par un chasseur tie nous obligea a retourner sur Corelia.
    Atterrissant d'urgence sur un spatio-port de campagne qui était presque vide, nous savions que nous avions été suivis, nous préparant a une dernière lutte.

    C'est alors, pendant les vingt minutes, après avoir rassemblé les civils et les avoir pris en otages, avant que n'arrive mes anciens camarades trooper, que la stupidité de ma vie m'apparut comme claire.

    J'avais mené ma vie avec égocentrisme, sans respect aucun pour les valeurs que m’avait transmis mes parents, fuyant partout pour éviter ce que j’étais.

    C’est alors que je fixait d’un air pensif l’armure de mon ami que les Impériaux débarquèrent a leur tour sur le spatioport.
    Le combat qui s’ensuivit fut rapide et brutale, nous nous étions barricadés dans la salle de contrôle, nous servant de mobiliers comme protection, c’est a peine quelques minutes avant l’arrivée des Impériaux sur nous que nous libérions nos otages, ils ne nous seraient d’aucune utilité.

    Autant mourir comme je n’ai jamais put vivre, voila ce que je dit a mon ami lorsqu’il me demanda pourquoi un tel élan de générosité.

    Alors que la porte de la salle de contrôle subissait les assauts des trooper, Not’ar et moi nous priment les poignets, en bon salut de guerrier, moi fixant la visière de son casque, lui me fixant dans mes yeux.

    Au moment où la porte tomba au sol, un délure de tir fonda sur les troupes impériale, nous n’avions que peu de munitions mais nous les utilisèrent tant que nous le pouvions, ensuite, Nor’ar lanca un détonateur thermique, et nous voila, fonçant droit vers les troupes qui continuait de débarquer du transport impérial, je crut reconnaitre un visage amical tandis que ma vibro-lame venait s’abattre sur le casque d’un trooper.

    Le combat au corps a corps fut encore plus rapide que celui a distance, Not’ar fut transpercé par un tir d’armes lourdes, tandis que moi, je connut un sort bien pire, un tir paralysant vint me clouer au sol.

    Alors que je me réveillait, Nash me fixait d’un air mauvais, Helia était juste derrière lui. Les retrouvailles ne furent pas des plus heureux, Nash tenait beaucoup a Tomb et pensait que j’étais le fautif de sa mort.
    Après un interrogatoire dont nous nous serions bien passés, je fit l’aveu d’avoir pratiquer la contrebande, d’avoir été lâche et stupide tout au long de ma vie, mais que son avis sur ma personne ne m’était rien.

    "Tu n’est plus qu’un chien de l’Empire Nash !"
    "Mieux vaut être un chien et avoir un maitre que d’être un sale clébard des poubelles, ce que tu as toujours été."
    Voila un peu près la nature de nos échanges.

    Alors ? Il m’enfermèrent dans une cellule, je fut traité comme un traitre au régime impérial, punit d’une mise a mort lente a titre d’exemple.
    J’attendais la mort, cherchant dans mes souvenirs une source de bonheur, sans succès, sinon deux souvenirs, mon père et son regard fier quand je le mit a terre ainsi qu’Helia, pour qui je nourrissait toujours une tendresse sans raison.

    Quand on parle du loup, on en voit l’uniforme, Helia ouvrit la porte de ma cellule et vint se placer près de moi.

    "Torn, qu’as-tu fait ?"
    " Ce qui me paraissait juste a cette époque. "
    " Je ne parle pas de ceci, pourquoi avoir quitté l’armée ? Pourquoi t’enticher de ces mandaloriens ? Ils sont les ennemis de l’Empire. "
    " Ennemis, amis, je me demande ce que cela veut bien dire désormais, Nash et Tomb étaient mes amis, tu l’était aussi et maintenant ? Tomb est mort, quant a toi et Nash… En vérité, j’ai peur de n’être jamais du coté de personne, car jamais personne ne fut vraiment du mien.
    De plus, je doit te l’avouer, ces mandaloriens, comme tu les appellent, ils sont mon peuple."

    " Je savais bien que tu cachais quelque chose… Tu crois que personne jamais ne se mit de ton coté ? Alors écoute, prend mon pistolet blaster et prend moi comme otage. "
    " Huh ? "
    " La mort que Nash te réserve n’est pas digne d’un homme comme toi, tu est un perdu, mais un perdu honorable au moins, fait ce que je te dit, je t’offre la chance de recommencer ta vie. "

    Après forces remerciement et nombreuses explications, ainsi qu’un geste humble d’affection, je finit par accepter, finalement les cellules étaient juste a cotée du hangar.
    Tout se passait comme prévus, Helia étant d’un bon grade, elle valait beaucoup plus qu’un prisonnier en fuite que l’on pouvait anéantir une fois qu’il était dans l’espace, c’était sans compter sur Nash.
    Il nous attendait dans le hangar, toute une troupe y était avec lui.

    " Arrête toi le traite ! "
    " C’est toi le traitre Nash, nous avons toujours été amis, désormais, regarde ce que tu m’obliges a faire a cause de ta folie ! "
    " Que tu dit, lâche la tout de suite et pose ton arme, sinon, nous faisons feu ! "
    " Tu n’oserais pas. "

    J’en étais tout du moins certain, toutefois, c’est lorsque que je sentit Helia se dérober sous moi que je comprit qu’il n’avait pas hésité.

    Alors, un réflexe de survie fut plus fort que n’importe quelle autre sentiment, sautant dans la première navette a proximité tandis qu'un flot de tir de blaster se faisait, je put déclencher la machine et décoller du croiseur Impérial, suivit de près par une douzaine de chasseurs Tie, plus rapide et plus maniable que la navette diplomatique que j’avais.

    Alors qu’ils n’étaient plus qu’a quelques mètres de la distance de tir, je put déclencher l’Hyperespace vers n’importe où.
    Je ne revit jamais Nash, toutefois, après ceci, les visages de Tomb et d’Helia vinrent me hanter pendant de nombreux mois, chose qui ne m’était jamais arrivée.

    C’est ainsi que je me retrouva a proximité de l’espace rebelle, près de Bespin.
    Après avoir bien précisé que je n’étais pas du coté des Impériaux, le groupuscule rebelle sur lequel j'étais tombé finit par accepter de me laisser m’aborder a l’un de leur vaisseaux d'escorte, j'avoue que je ne le sentait guère, mais bon.

    Après leur avoir expliqué ma situation, je leur vendit la navette en échange de quelques vivres, vêtements, deux cents malheureux crédits et d’un aller simple pour la planète de mon choix, un prix misérable, mais je n’avais pas beaucoup d’offres.
    C’est ainsi que je devint officiellement un mercenaire a part entière, puisque mon premier employeur fut le groupuscule rebelle désireuse de voir arriver a bon port une cargaison.

    Alors je pris mes activités très a cœur, parcourant la galaxie, plus a la recherche de rencontre et d'expériences que d'argent, désireux de trouver un jour un adversaire capable de me faire évoluer, aussi bien au combat qu'a l'écriture, cherchant ci et la un but qui saurait me redonner l’envie de regarder l’avenir avec espoir.
    A vrais dire, mon statut de chasseur de prime était plus une couverture pour avoir l’opportunité de parcourir la galaxie dans son intégralité a la recherche d’un havre où je pourrais reprendre mes écritures.

  • Inventaire :
    -Une pile de vêtements chauds tournant toujours autours des teintes sombres, noirs, gris, parfois rouge ou blanc, très rarement d’autres couleurs.
    -une vibro-lame qui semble plus qu’ancienne mais d'une qualité très honnête, elle me tira au cours de ma vie de nombreux problèmes, plus longue et large que les autres vibro-lames standards, elle est toutefois suffisamment légère pour des mouvements amples, secs et rapides.
  • Psychologie :
    Comment vous parler d’un homme sans grande illusions, surtout si cet homme se trouve être moi-même ?

    Pour faire court, j’ai toujours privilégié la voie de la ruse a celle de la force pure, déjà étant enfant, je préférais dissimuler mes erreurs a mes proches ou m’arranger pour les faires passer pour des victoires plutôt que d’affronter les punitions ou les réprimandassions.

    Ensuite, j’avoue avoir un véritable problème avec l’engagement a long terme, si j’ai généralement une confiance qui s’accorde rapidement, je n’ai jamais considéré la vie comme une longue ligne mais plutôt comme une suite de moments, bons ou mauvais où il faut agir de façon différentes.

    Si l’entrainement de mon père fit de moi un bon combattant, j’aime plus pouvoir fumer mes cigares et profiter de la vie plutôt que la risquer, je ne suis pas lâche, loin de la, j’ai même plutôt une grande gueule. Entre ceci et mon regard parfois carrément morbide, cela me permet d’être moins souvent embêté par les truands de bas étage que je rencontre parfois.

    Si mon premier amour se trouve être le savoir et le second l’esthétique des guerriers, cela ne veut pas dire que je me refuse toujours a un duel, une dualité amicale est la preuve d’une amitié forte et capable d’évoluer.

    De plus, si je n’ai jusqu'alors que peu connut le giron des femmes, plus par manque de tendresse envers la majorité du sexe fort et par peur de m’engager, je me suis trouvé être une âme profondément idéologique et par la même romantique.

    Je n’ai toutefois guère ce coté soucieux de la famille qu’on la majorité des autres Mandaloriens.

  • Affection :
    Mes principales affection vont vers le savoir, la connaissance, les capacités combatives, mais pas seulement physique. J’ai aussi appris a aimer les armes.
    Mais c’est surtout la liberté de l’espace qui me fait rêver.

    Pour ce qui est des idéologie, je me sens plus proche de celle de la rébellion que de celle de l’Empire, mais que m’importe ? Si les deux sont capable de me payer. Toutefois, je ne peut me permettre un relation de trop grande confiance envers un membre de l’Empire, pour des raisons évidentes.

    J'aprécie aussi nettement plus la ruse du stratège ou du chef de peloton a la force brute, si cette dernière peut m'étonner, elle ne m'impressionne que rarement, j'avoue être plus sensible a n'importe quelle forme de courage.
    Comme je l'ai appris, la force est facile a conquérir, bien qu'elle soit volatile par nature, intelligence elle est comme un jardin qu'il faut entretenir, mais qui jamais ne vous fera faux bond.

  • Aversion :
    Ce qui me fait horreur ? La haine incontrôlé des hommes pour leur semblables et pour tout ce qui est éloigné de leur propre façon de voir le monde.
    Comprenez moi, l'univers est cruel, peut être même plus que l'imagine les sceptiques aux idéaux, mais celui qui pousse la soif de combat ou de haine au point de combattre ceux qui ne sont pas ses ennemis, lui est un parasite et un danger pour tout l'univers qu'il faut éradiquer.
    Je n’aime guère aussi ceux qui ont besoin de nombreuses démonstrations de forces pour se prouver leur virilités ou leur puissance.
    Pour finir, rien de m’est plus en horreur que les traitres ou les lâches, en revanche, la stupidité est selon moi un mal temporaire qui ne demande qu’a être réparé.

    Disposition
  • Fuseau Horaire : Paris
  • Disponibilité : Les soirs et surtout les week end, en ce moment d’épreuves, ct’un brin compliqué vous vous en doutez ^^’, mais je reste tout de même un peu actif, histoire de me changer les idées.
  • Indisponibilité : Le jour, ca c’est claire ^^.



Ps: Merci a vous de cette longue lecture, jpourais pas vous en vouloir si vous, l'équipe, ne lisez pas tout, on as pas la masse de temps en ce moment ^^', j'espère répondre a toutes vos demandes et être accepté ![/quote]

Dernière édition par Torn-Krell le Mer 2 Juin 2010 - 15:11, édité 5 fois

descriptionTorn-Krell EmptyRe: Torn-Krell

more_horiz
Bonjour et Bienvenue

Où est passé ton histoire ?!

descriptionTorn-Krell EmptyRe: Torn-Krell

more_horiz
Huh ?!

Par tous les saints pères des toilettes !

Heureusement, je garde toujours la forme bêta de ma fiche sur mon ordi ^^.
Boon, bah j'ai pu qu'a remettre les couleurs !

*Va ruminer dans son coin, grognant sur les maudits bug d'internet...*

descriptionTorn-Krell EmptyRe: Torn-Krell

more_horiz
J'ai édité sons sexe en mettant "masculin" plutôt que "mâle"

Mais ta fiche y était toujours !

C'est lorsque j'ai répondu que je ne l'ai plus vu alors j'ai cru qu'entre temps tu l'avais supprimée.

descriptionTorn-Krell EmptyRe: Torn-Krell

more_horiz
Baaah, tu sais, je suis largement capable de l'avoir supprimer moi même sans y faire attention.

Bien que je sache qu'on ne peut plus éditer sa fiche une fois validée, je me permet de changer de temps a autres, vu que je fait pas mal de fautes stupides et que je trouve parfois certain passage un peu dure a lire.
Bien entendu, avant qu'elle ne soit validée !
(Pas bien ou bien ?)

Bon, voila le gros, pour les couleurs des dialogues, je vais le mettre cet après midi si tu n'en voit pas l'inconvénient, vu que je n'ai pas vraiment le temps maintenant.
Sorry !
(Je sais, c'est pas bien de mettre en ligne une fiche qui n'est pas finito, mais je ne suis jamais vraiment "content" de mon truc, total, je change des détails, je rend certain passage plus léger, d'autre plus construit, les truc habituel qua.)

Merci de l'accueil !

Dernière édition par Torn-Krell le Dim 30 Mai 2010 - 14:51, édité 1 fois

descriptionTorn-Krell EmptyRe: Torn-Krell

more_horiz
Désolé du retard, je lis ta fiche dans la journée ;-)

descriptionTorn-Krell EmptyRe: Torn-Krell

more_horiz
Bien, je te demanderai tout d'abord de corriger tes fautes d'orthographe, il y en a plein !

descriptionTorn-Krell EmptyRe: Torn-Krell

more_horiz
privacy_tip Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum