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Nom : Mary Winstead
Autre compte : Il s'agit là de mon premier compte.
Race : Humaine de par son père et Lorrdienne de par sa mère.
Sexe : Féminin
Âge : 24 ans
Planète d'Origine : ?
Apparence :
Mary était d’une somptueuse vénusté. A ce
qu’on raconte, elle était même si belle que beaucoup avaient pu la considérer
comme étant la plus belle femme qu’ai pu connaître l’univers, en dépit de son
immensité infinie.
Sa silhouette était svelte, parfaitement agencée en tout
point, avec en certains endroits dont nous tairont les noms et que nous
pourrions alternativement, mais ce au risque d’un barbarisme notoire instillant
cependant une pointe de facétie, considérer comme étant
« stratégiques », des rondeurs plus que bien proportionnées. Elle
était de taille moyenne, et devait culminer aux environs du mètre soixante dix.
Son teint n’était ni trop mate, ni trop pâle, et son visage admirablement symétrique
n’avait rien à envier à toutes les plus radieuses déesses que l’humanité avait
eu la sagacité de concevoir. Sa chevelure elle, était de d’un roux sublime,
longue et lisse, d’une rare beauté, tantôt relâchée, tantôt attachée, selon les
humeurs. Ses yeux quant à eux, d’un noir très profond et légèrement bridés,
étincelaient. Son regard était emprunté de malice, la rendant d’autant plus
attirante. Concernant ses lèvres, elles étaient sensuelles et pulpeuses, en
aucun cas vulgaires cependant. Son sourire, qui laissait apparaître de belles
dents blanches et sans défauts, était pour sa part éclatant, traduisant sa joie
de vivre. Son nez était tout à fait à la mesure du reste, à savoir parfait …
Trop parfait.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle beaucoup d’entre
ceux qui avaient reçu telle description, sans pourtant n’avoir jamais vu la
belle damoiselle, se posèrent la question de la véracité de ses propos, tant
ils pouvaient paraître exagératifs, et remplis de superlatifs en tout genre. Cela
étant, la majorité de ceux ci déchantèrent à la vue de la damoiselle. Mais
encore, on avait pu imputer aux infinitésimaux réfractaires qui se refusaient
instamment de l’admettre des causes exogènes comme la mauvaise foi, l’ataraxie,
ou encore même une jalousie sans borne, concernant là plus précisément les
sujets féminins.
Objectivement, il restait néanmoins très réducteur de
considérer qu’elle aurait pu aspirer au titre de plus belle femme de l’univers car
il est vrai qu’en définitive, ces dires pouvaient paraître teintés d’un
ethnocentrisme assez caractérisé, au vu de la diversité gigantesque de races
ayant pu composer le cosmos dans sa totalité, et corrélativement donc, au vu du
panel de choix et de goûts qui pouvait en résulter. Dans un souci de neutralité
donc, nous considérerons que sans
totalement lui amputer sa beauté, il serait judicieux de relativiser quelque
peu les propos en tout point déifiant dont elle avait fait l’objet.
Métier : Un métier à priori juridique ou politique, mais la question me reste en suspend. Je compte bien remédier à cela, tout naturellement.
Groupe : Là de même, je ne suis pas encore fixé. Cela devrait se jouer entre Neutre et Politicien.
Résumé de l'histoire :
Mary Winstead serait la fille du très célèbre linguiste
émérite Jimmy Crowley. Peu de gens
pourtant savent à ce jour qui il était, en dépit de son œuvre. La raison
principale en est que la linguistique de manière générale était une science qui
ne comptait en l’état des choses, que peu d’adeptes. Quant à la raison majeure,
on sait que la matière perdit peu à peu en crédit de part la remise en question
des dogmes généraux qui avaient gouverné jusque là cette science elle-même, en
raison des difficultés qu’on éprouvait dans l’élaboration de principes généraux
d’étude notamment suite au développement des relations interplanétaires à
grandes échelles. Cela avait entraîné une mort lente des langues spécifiques
propres à chaque planète au profit de linguistiques s’étendant sur un espace
géographiquement beaucoup plus étendu que jadis. Mais ces langues, n’ayant pas
parallèlement coexistés avec leurs nouvelles semblables lors de leurs
élaborations, n’avaient dès lors rien en commun, sinon quelques éléments
fortuits. Il s’en suit que la
linguistique ne comprenait plus que désormais quelques brèves données générales
rationnelles auxquelles seulement peu d’audacieux et passionnés
s’intéressèrent. Pour résumer, elle n’avait plus pour ainsi dire de raisons
d’être.
Cela n’empêcha pas toutefois à de nouveaux courants de
penser d’émerger, prônant l’abandon total de ce qu’avait pu être la
linguistique d’antan, beaucoup trop théorique et pragmatique, pour se
consacrer plutôt à l’étude des méthodes de communication corporelle, notamment
dont les avantages étaient très nombreux. Il avait pu paraître comme assez
paradoxal d’ailleurs que l’on ait pu conserver l’appellation de linguistique
ici, car l’on sait que ce concept se voudrait inexorablement renvoyer au
méthode oral de communication, cela étant, on avait considéré à raison que les
modes de langage gestuel méritaient tout aussi bien cet label.
Cet éminent courant de penseurs comprenait à sa tête des
individus plus que remarquables et originaires de tous les horizons, tous
animés par une sorte de ferveur et qui plus tard redonnerait un sens même à la
notion de linguistique. Cependant, l’un d’eux arrivait malgré tout à se
démarquer de ce lot pourtant si prestigieux. Il s’appelait comme vous l’auriez
deviné Jimmy Crowley. Et pour faire original, il était humain. C’était lui l’un
des premiers à avoir impulsé ce renouveau de la linguistique, chose normale,
car Jimmy était déjà expert invétéré des modes de communication par les gestes
et le corps bien avant qu’il eut suscité un tel intérêt tant pratique que
théorique aux yeux de tous.
Inventaire du personnage : Rien de très précis pour le moment.
Description psychologique :
Mary était globalement très simple caractériellement parlant.
Elle était rayonnante, constamment de bonne humeur, et transpirait
la joie de vivre. Elle était socialement épanouie, entourée de gens
qu'elle appréciait et qui le lui rendaient bien.
Cela étant, elle se considérait comme étant encore trop jeune
pour s'engager dans une relation amoureuse. Elle les
considéraient comme étant quasi liberticides, génératrices de trop
de responsabilité et nécessitant trop de concessions.
En outre, Mary était une jeune femme assez intelligente, qui
avaient des qualités assez prononcés pour l'art, mais dont elle
ne fit pas son métier. Il lui arrivait certes d'être un peu naïve, mais
en toute bonne foi, cela ne faisait que décupler son charme déjà si enivrant.
Dernière édition par Mary Winstead le Mer 31 Mar 2010 - 6:22, édité 5 fois