L'astéroïde n°567.345 HB-8 :
Un énorme morceau de pierre, de glace et de métal qui flottait paresseusement au milieu de ses confrères. Mais, sur celui-ci, se trouvait il large complexe... enfin, dans celui-ci, personne n'était assez idiot pour construire sur la surface d'un astéroïde (à moins d'installer un bouclier très puissant sur la zone. Et donc, sous une dizaine de même de roche et de temps d'autres choses, se trouvait un complexe étrangement tranquille. Ici, les sols, d'un noir de jais, brillaient comme des miroirs, travail répété des droïdes ménagers qui nettoyaient, chaque nuit, la totalité des couloirs du complex. Mais, en ce moment, c'était les pas de dizaines de machines qui résonnaient sur le sol, quand ce n'était pas le crissement des roues ou le vrombissement des moteurs. Mais aucune des machines ne rentraient dans les autres, elles avaient une intelligence commune, calculant mutuellement leurs propres vecteurs d'approche pour que leur parcourt soit sans la moindre interruption. Les murs étaient de ferrobeton au grain parfait, la perfection de ce qui n'a jamais été touché, des arches de duracier cadraient la structure en un doux trapèze, le plafond légèrement moins large que le sol. Évidemment, aucune fenêtre, mais on avait prévu une atmosphère respirable pour la plupart des espèces.
« Oui... la plupart. »
Grommela vaguement un des robot de sa voix cybernetique en avança sur sa roue unique. Évidemment, personne n'avait pensé qu'un des seuls être vivait qui travaillait ici pourrait avoir besoin de gaz cyanogène pour survivre ? Aucun concepteur n'aurait ne serait-ce prévu une chambre à Sas dans laquelle on puisse respirer ce que l'on veut.
Mais bon, même s'il se plaignait de temps en temps, cela faisait désormais quarante années qu'il vivait dans un bocal et, étrangement, il se voyait mal en sortir, ne fusse que pour se dégourdir les tentacules ! Il prit un virage descendant en tête d'épingle, se penchant de 45° pour effectuer une courbe parfaite. La décente lui fit prendre un peu trop de vitesse et il dut ralentir en bas pour ne pas perturber l'ordre vectoriel. Les autres droïdes ne semblèrent même pas s'en rendre compte. Il vit encore quelque détour par les couloir avant d'arriver à la piste d'atterrissage -cette dernière s'ouvrait après un des larges tuyaux qui creusaient naturellement la roche. Un agent de l'OTA devait arriver dans quelques minutes et la ponctualité est, en ce lieu, sacrée. Évidemment, personne ne savait qui elle était, dans la base de données des droïdes il y avait « nouvel employé de la HCT° » et dans la tête des quelques êtres de chairs qui peuplaient cet asile robotique, il n'y avait que « le bleu » personne ne soucierait du nouveau tant qu'il ne se ferait pas lui-même remarquer... enfin, il n'allait tout de même pas lui envoyer il ne savait quel boulet dans l'espoir de s'en débarrasser... pas vrai ?
Un énorme morceau de pierre, de glace et de métal qui flottait paresseusement au milieu de ses confrères. Mais, sur celui-ci, se trouvait il large complexe... enfin, dans celui-ci, personne n'était assez idiot pour construire sur la surface d'un astéroïde (à moins d'installer un bouclier très puissant sur la zone. Et donc, sous une dizaine de même de roche et de temps d'autres choses, se trouvait un complexe étrangement tranquille. Ici, les sols, d'un noir de jais, brillaient comme des miroirs, travail répété des droïdes ménagers qui nettoyaient, chaque nuit, la totalité des couloirs du complex. Mais, en ce moment, c'était les pas de dizaines de machines qui résonnaient sur le sol, quand ce n'était pas le crissement des roues ou le vrombissement des moteurs. Mais aucune des machines ne rentraient dans les autres, elles avaient une intelligence commune, calculant mutuellement leurs propres vecteurs d'approche pour que leur parcourt soit sans la moindre interruption. Les murs étaient de ferrobeton au grain parfait, la perfection de ce qui n'a jamais été touché, des arches de duracier cadraient la structure en un doux trapèze, le plafond légèrement moins large que le sol. Évidemment, aucune fenêtre, mais on avait prévu une atmosphère respirable pour la plupart des espèces.
« Oui... la plupart. »
Grommela vaguement un des robot de sa voix cybernetique en avança sur sa roue unique. Évidemment, personne n'avait pensé qu'un des seuls être vivait qui travaillait ici pourrait avoir besoin de gaz cyanogène pour survivre ? Aucun concepteur n'aurait ne serait-ce prévu une chambre à Sas dans laquelle on puisse respirer ce que l'on veut.
Mais bon, même s'il se plaignait de temps en temps, cela faisait désormais quarante années qu'il vivait dans un bocal et, étrangement, il se voyait mal en sortir, ne fusse que pour se dégourdir les tentacules ! Il prit un virage descendant en tête d'épingle, se penchant de 45° pour effectuer une courbe parfaite. La décente lui fit prendre un peu trop de vitesse et il dut ralentir en bas pour ne pas perturber l'ordre vectoriel. Les autres droïdes ne semblèrent même pas s'en rendre compte. Il vit encore quelque détour par les couloir avant d'arriver à la piste d'atterrissage -cette dernière s'ouvrait après un des larges tuyaux qui creusaient naturellement la roche. Un agent de l'OTA devait arriver dans quelques minutes et la ponctualité est, en ce lieu, sacrée. Évidemment, personne ne savait qui elle était, dans la base de données des droïdes il y avait « nouvel employé de la HCT° » et dans la tête des quelques êtres de chairs qui peuplaient cet asile robotique, il n'y avait que « le bleu » personne ne soucierait du nouveau tant qu'il ne se ferait pas lui-même remarquer... enfin, il n'allait tout de même pas lui envoyer il ne savait quel boulet dans l'espoir de s'en débarrasser... pas vrai ?