![Kuat, Noval[v] Empty](https://2img.net/i/empty.gif)
Carte d'identité
- Nom usuel : Kuat, Noval
- Autre compte : Néant
- Race : Humain
- Sexe : Masculin
- Age : 29
- Planète d'origine : Kuat
- Activité : Grand Moff du SurSecteur Zéro ( en période d’essai*)
- Ordre : Chevaliers Impériaux - Paladin -
- Alignement : Coté Obscur
- Forme de combat : Shii-Cho (apprentissage du Djem So)
- Apparence : Mi-ange mi-démon, selon les mots de sa mère, Noval ne laisse jamais indifférent. Il arbore le plus souvent un regard perçant et calme sur son environnement, témoignant d’une attention extrême à tout interlocuteur ou toute chose attirant son attention. D’un port altier en toutes circonstances, il est toujours vêtu d’un costume sombre tiré à quatre épingles. Il aime à se déplacer lentement, posant chaque geste comme s’il s’agissait
d’une pierre à un édifice. Comme la tradition le veut, il porte une bague ornementée du sceau des Kuat à son annulaire gauche. Les cheveux délicatement plaqués en arrière, une raie à droite, des yeux verts souvent mi-clos, il présente un visage anguleux aux traits saillants, la mine pâle et amaigrie, son profil déconcertant inquiète de prime abord, et n’invite pas à la convivialité. Un nez aquilin, des lèvres pincées expriment rigueur et sévérité viennent compléter ce portrait.
- Caractère : D'un naturel méfiant, froid et calculateur, il arrive à Noval de réprimer toute empathie et émotivité pour mieux témoigner de la distance face aux inconnus qu'il rencontre, notamment les personnes trop imbues d’elles-mêmes. En revanche, il sait se montrer sociable et courtois envers les personnes qui ont gagné son respect. Intègre face aux engagements qu'il prend, son entourage lui a souvent fait remarquer qu'il cogitait trop, chose incompréhensible de son point de vue.
- Aime : A bien y réfléchir, Noval ne ressent pas d'attachement profond pour qui ou quoi que ce soit, résultat d'une éducation aristocratique dès plus stricte. Bien que respectueux envers sa mère, il n'a pas noué avec elle de liens affectifs particuliers. Son intérêt pour les sciences, l’histoire et les arts est immense, tout en sachant qu’il en a fait des substituts à un manque latent de repères.
- N'aime pas : Les flambeurs, les gens grossiers, malpolis, trop impatients et trop sûrs d'eux-mêmes, les personnalités imbues d’elles-mêmes, les mauvais perdants et les tricheurs.
- Inventaire : sabre-laser personnel (lame rouge, cristal Sapith) Pistolet Blaster SC-4 (2 cellules énergétiques de rechange), 2 vibrodagues Talon (dissimulées), se sépare rarement de son Datapad Microthrust.
![Kuat, Noval[v] 1266851848](https://2img.net/h/ups.imagup.com/07/1266851848.jpg)
![Kuat, Noval[v] 1266852323](https://2img.net/h/ups.imagup.com/07/1266852323.jpg)
![Kuat, Noval[v] 1266853548](https://2img.net/h/ups.imagup.com/07/1266853548.jpg)
![Kuat, Noval[v] 1266852412](https://2img.net/h/ups.imagup.com/07/1266852412.jpg)
![Kuat, Noval[v] 1266852527](https://2img.net/h/ups.imagup.com/07/1266852527.jpg)
Résumé de l'histoire
Comme son nom l’indique, Noval est issu d’une famille hautement aristocratique, dont la lignée millénaire remonte à l’époque de la création de la République Galactique, celle des Kuat. Né en l’an 44, il est le fils unique d’Onara Kuat, Haut-Dignitaire et éminence grise de cette Maison, directrice en chef de la CNK (Chantiers Navals de Kuat) et deuxième soeur de Kuat de Kuat. Le père, Hull Mozla, jeune aristocrate alderaanien aux créations musicales très prometteuses, renonça subitement à leurs fiançailles ainsi qu’à ses engagements envers Onara, ne se sentant pas à la hauteur de cette charge, même s’il reconnut légalement son fils. Cette situation chagrina faussement la future épouse, compte tenu qu’elle s’était arrangée pour provoquer ce désintérêt soudain. En lui jetant en pâture la plus séduisantes des danseuses Twi’leks de la troupe des Hollow Star en tournée intersidérale, généreusement rétribuées pour ses services, Onara savait que le jeune homme ne résisterait pas longtemps à ses charmes envoûtants. Dans le fond, elle n’avait jamais rien cherché d’autre qu’un mâle au capital génétique sans défaut et de même rang que le sien pour procréer, refusant de s’engluer dans une relation affective aussi inutile que puérile.
Compte tenu de ses lourdes charges, Onara laissa la garde et l’éducation de son fils aux meilleurs tuteurs que Kuat City recélaient, jusqu’à l’âge de 16 ans. On s’employait à lui faire comprendre que tous les horizons lui étaient possibles, tant il était studieux et appliqué à tout ce qu’il entreprenait. Evoluant dans un monde clos, ses principales distractions se résumaient aux quelques heures passées avec les enfants des convives que sa mère invitait à diner de temps à autre. Noval ne savait pas ce qu’il trouvait le plus ennuyeux : rester à table et faire preuve d’une parfaite politesse et de manières raffinées, ou bien supporter les imbécilités débitées à la volée par ses amis, qui ne le furent jamais que de nom. En grandissant, il réalisa que ces entrevues lui étaient de plus en plus insoutenables, tellement ses homologues se complaisaient à singer le monde des adultes, riant ouvertement des événements les plus graves, tournant en dérision la physionomie des « déchets » de l’évolution, appellation englobant tous les non-humains. Noval ressentait un besoin si avide d’apprendre, de comprendre, de se nourrir intellectuellement parlant, que l’inévitable se produisit : à son quinzième anniversaire, il se mit dans une colère si noire qu’il ordonna aux gardes en faction de chasser manu militari toutes les personnes présentes dans ses quartiers, en leur renvoyant leurs cadeaux en pleine figure. Sa mère observa la scène froidement, sans lui en vouloir le moins du monde, mais en le gratifiant d’un choix : présenter des excuses en règle à chaque personne offensé ce jour-là, ou bien rester consigné au régime sec dans ses appartements jusqu’à nouvel ordre, pour lui mettre un peu de plomb dans la cervelle, selon ses mots. Elle ne sut jamais qu’elle venait d’offrir à Noval le plus beau des présents : des journées entières à pouvoir lire et écrire, jusqu'à s’en épuiser les yeux. Car Onara ignorait que son intérêt pour l’histoire était si vivace, les récits de guerres tout particulièrement, qu’il avait éveillé une réelle curiosité face à un monde qui lui était complètement étranger. La violence… A croire que les plus grands changements et les progrès décisifs dans le développement des civilisations, humaine ou non, repose sur la nécessité d’affronter, de se confronter, de survivre. Cette découverte façonna peu à peu ses idées.
[An 32]La réalité rattrapa la fiction. Sur les réseaux de l’holonet, des nouvelles circulaient à propos d’un conflit armé se déroulant sur le système de Naboo, sans que d’autres précisions ne soient révélées. La légitimité du chancelier Valorum, déjà mise à mal à l’époque depuis le vote d’une loi taxant certaines routes commerciales, serait remise en cause de par son inefficacité à faire face à une situation de tensions élevées, confortant un sentiment de mécontentement grandissant au sein même du Sénat. Interrogeant sa mère sur ce sujet, elle resta évasive et ne formula pas d’avis tranché sur la question, ce qui étonna Noval, habitué qu’il était à la voir se ranger dans des partis-pris inébranlables. Elle lui confia qu’elle avait assisté à l’assemblée générale au cours de laquelle la Sénatrice Amidala réclama la destitution des pouvoirs de ce pauvre Finis… « Pauvre de lui, que va-t-il devenir ? » soupira-t-elle juste avant de faire une remarque parfaitement déplacée sur la qualité remarquable de la garde robe de cette demoiselle, fort distinguée par ailleurs.
Peu après, Noval se décida, si curieux cela parut-il à sa mère, de se contraindre à davantage d’exercice physique, comme pour assouvir un besoin d’éprouver dans son corps la dureté de la conception qu’il avait des choses, du monde. Il lui avait toujours manqué une certaine forme de droiture dans le caractère : Une ligne, un but à suivre, de ceux qu’on n’obtient pas forcément… Opter pour la difficulté en tout : il en fit sa règle d’or.
Suivant très attentivement ses progrès dès qu’elle en avait le loisir – pas aussi souvent qu’elle l’aurait voulu cependant – Onara lui témoigna une affection certaine, mais distante, et se chargea de lui enseigner elle-même des cours d’économie et de politique planétaires. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Noval n’avait jamais manqué de rien, le comble étant qu’il ne réclamait jamais rien pour ainsi dire.
D’un commun accord, Noval fréquenta avec la plus grande assiduité l’Institut Interplanétaire de Diplomatie (IDD) pendant quatre années, qui furent les plus belles à ses yeux. Non seulement il y trouva des gens de valeur, d’anciens élèves revenus pour livrer leurs expériences du terrain, mais une véritable communauté d’intérêts pour la culture en général. Il avait trouvé son foyer. Il se sentait chez lui, pour la première fois, comme s’il n’avait jamais vraiment goûté à la satisfaction d’être là où il devait être. De nombreux travaux les incitaient à aller visiter d’autres systèmes pour rendre compte des conditions de vie, des mentalités et des politiques menées par les peuples voisins. A dix-neuf ans, Noval avait achevé la première partie de son cursus, et préféra s’engager de suite dans l’armée kuatienne, pour être dégagé des obligations militaires une fois pour toute. Il ne se doutait pas dans quelles mesures cette décision l’engagerait pour les années à suivre.
[An 25-23] Toujours aussi influente, Onara Kuat en joua pour faire en sorte qu’il soit affecté à une promotion lui permettant d’être entraîné comme un soldat d’élite le serait, à la dure, sans aucun compromis. Elle avait toujours pour lui le meilleur, même dans le malheur, pourquoi déroger à la règle ? Au bout d’un an, il gagna ses galons de lieutenant et commença sa formation au pilotage de vaisseaux de chasse légers, l’achevant dans le cockpit d’un Firespray, filant vers un convoi de cargos à inspecter. Il n’avait eu que six accrochages vraiment sérieux... Autant de peurs inoubliables auxquelles se succèdent des cris d’euphorie lorsqu’on a prit le dessus sur son opposant, lorsqu’on a sauvé l’essentiel, sa vie et celles de ses coéquipiers.
[An 23-20] Noval aurait bien pris une année sabbatique, à jouer nonchalamment au Sabaac, une passion découverte en fréquentant ses potes de chambrée à la caserne… A ne rien faire. Sa mère s’y opposa formellement. Il lui restait encore quatre ans pour devenir un haut fonctionnaire et entrer au service d’un procureur ou d’un gouverneur, ou bien encore monter un cabinet de consultants spécialisés dans les procédures juridiques liées aux politiques locales de développement de tel ou tel système… Mais quelque chose n’allait plus chez lui… Il ne voyait aucune opportunité capable de concilier son goût pour le terrain, l’engagement, la confrontation directe, et son appétit de reconnaissance à un niveau bien plus élevé de responsabilités. Oui, il s’était senti vivant comme jamais, loin de l’étreinte des conventions, des modes et de la bienséance, lorsqu’il était au manche d’un appareil ou bien sur le terrain pour mener à bien une mission quelconque…
Ce dilemme ne le quitta pas, et continua de suivre les cours de l’Institut. Malheureusement, à chaque déplacement qui le menait jusqu’à Coruscant, Onara trouvait un habile prétexte pour l’accompagner, jusqu’à paraitre à ses côtés dans différents séminaires qu’il arpentait du matin au soir. Un soir qu’elle l’avait convié à la rejoindre à l’Opéra des Galaxies, Noval fut présenté à des personnages très influents dans les plus hautes sphères coruscaniennes, tels que Tannon Praji, ministre de l’Immigration de Coruscant et Ottegru Grey, agent de la Banque du Noyau. Leur profonde indifférence à son égard ne le vexa pas plus que cela, mais lorsqu’ils se mirent à railler ouvertement Onara pour avoir récemment essuyé de lourdes pertes de profit, son fils fit mine de s’emporter avant qu’elle ne l’arrête en lui envoyant son talon de chaussure dans le tibia. « Tu n’as plus quinze ans… » C’est ce qu’elle lui aurait dit.
Ce dilemme ne le quitta pas, et continua de suivre les cours de l’Institut. Malheureusement, à chaque déplacement qui le menait jusqu’à Coruscant, Onara trouvait un habile prétexte pour l’accompagner, jusqu’à paraitre à ses côtés dans différents séminaires qu’il arpentait du matin au soir. Un soir qu’elle l’avait convié à la rejoindre à l’Opéra des Galaxies, Noval fut présenté à des personnages très influents dans les plus hautes sphères coruscaniennes, tels que Tannon Praji, ministre de l’Immigration de Coruscant et Ottegru Grey, agent de la Banque du Noyau. Leur profonde indifférence à son égard ne le vexa pas plus que cela, mais lorsqu’ils se mirent à railler ouvertement Onara pour avoir récemment essuyé de lourdes pertes de profit, son fils fit mine de s’emporter avant qu’elle ne l’arrête en lui envoyant son talon de chaussure dans le tibia. « Tu n’as plus quinze ans… » C’est ce qu’elle lui aurait dit.
Profitant des dissensions et des restructurations que la fameuse « Guerre des Clones » provoqua à tous les niveaux de l’administration républicaine, de nombreux postes à responsabilité furent à pourvoir. Le ministre Praji décida de prendre sous son aile Noval, qui participa de près à la purge de Coruscant des espèces soutenant le mouvement séparatiste. Suite à de violentes échauffourées et à la menace constante d’agression, il demanda sa mutation au ministère de la Défense. Planifier le réaménagement quasi-total des corps de commandements des forces armées nouvellement déployées n’était pas une mince affaire, mais se révéla dès plus ennuyeuses à son degré de responsabilité. Au bout de quelques mois, l’occasion lui fut donné de reprendre du service en s’enrôlant à nouveau comme personnel naviguant. Briguant une place d’officier, il fut catapulté, à sa grande surprise, officier diplomatique et commandant en second à bord d’un destroyer Venator, le Flamboyant. Apprenant la nouvelle, la réticence d’Onara devant un tel choix de carrière l’incita à réclamer, une fois de plus, l’aide de son ami Tannon, qui s’arrangea pour réaffecter le jeune promu à son cabinet privé en tant que conseiller, pour des raisons de santé fallacieuses. Protestant vivement, et inutilement, contre une administration qu’il connaissait bien, Noval ressentit pour la première fois de sa vie un profond dégoût pour la sphère politicienne et administrative, corrompues à un point tel que rien n’avait lieu qui ne donne matière à négocier, truander et trahir. Car il ne fallait pas être devin pour voir à l’œuvre, une fois de trop cependant, l’influence d’une mère omniprésente, et obnubilée par l’idée que son fils dévie de la route prévue pour lui.
Deux mois plus tard, une tentative d’enlèvement du Chancelier Palpatine par des forces armées séparatistes donna lieu à une bataille rangée d’une telle envergure qu’on aurait cru à un assaut planétaire, si l’idée n’était pas ridicule dans le cas présent. L’intuition qu’un changement était en marche l’effleura. Et lorsqu’il assista, deux ans plus tard, à la proclamation du Chancelier retransmise sur toutes les fréquences holocoms, il sut que rien ne serait jamais plus pareil.
Noval tenta de convaincre Tannon Praji de lui réattribuer ses anciennes fonctions, sous le regard amusé de son acolyte de toujours, Ottegru Grey, mais finit par plier devant le refus catégorique qu’il lui opposait. Faisant vibrer un document du bout de ses doigts grassouillets, il lui rétorqua qu’il avait une proposition d’une tout autre nature, le sourire en coin. Il venait d’être décidé l’éviction du gouverneur de Kuat, qui semblait poser un peu trop de questions indiscrètes sur les projets développés par la CNK à l’heure actuelle… En fait, il ne voyait pas d’un bon œil l’accroissement de la présence impériale dans ce secteur, ainsi que l’usage presque exclusif des chantiers orbitaux que le nouvel Empire s’emploie à monopoliser. La place était donc vacante, et elle lui était offerte sur un plateau. Décidément, le destin semblait se jouer de lui en le renvoyant vers les jupons de sa mère… Au moins il était sûr d’une chose, il ne la décevrait pas en acceptant cette proposition, que seul un fou aurait décliné.
Chose rare, sa mère éprouvait quelques remords à lui avoir fait jouer le yoyo entre toutes ces affectations. Elle lui expliqua qu’elle était soucieuse de le voir s’embarquer à bord de ces engins de destruction, même si l’ironie du sort voulut que ce soit elle qui supervise leurs fabrications. Pour s’excuser de ses réactions excessives, elle lui avait préparé une surprise. En marchant près d’une plate-forme d’atterrissage, elle lui montra du doigt un appareil que Noval n’avait jamais vu dans les guides d’achat qu’il feuilletait de temps à autre.
« Magnifique œuvre d’art que voilà… C’est un Yacht Baudo, un modèle unique. J’espère que les coloris te plaisent, je me suis dit que tu préfèrerais la discrétion. Pour ce qui est des équipements techniques, je les ai moi-même choisi, vérifié et expédié à son concepteur afin d’éviter des modifications ultérieures qui auraient à coup sûr endommagé la finition des ornements intérieurs...» Onara prit un air des plus sérieux en disséquant du regard chaque partie du vaisseau, comme si elle pouvait voir par-delà sa coque. « Je te passe le charabia des détails techniques puisque tu n’y comprendrais rien, dommage d’ailleurs… Il va falloir le baptiser, tu as une idée ? » finit-elle par demander en souriant à son fils, qui ne savait plus quoi dire, à part un merci qui effleura sa bouche, tellement la physionomie du vaisseau le captivait. Les formes profilées du yacht inspirèrent Noval : «Un nom... Slicer, le Slicer...»
![Kuat, Noval[v] 1266858105](https://2img.net/h/ups.imagup.com/07/1266858105.jpg)
![Kuat, Noval[v] 1266858155](https://2img.net/h/ups.imagup.com/07/1266858155.png)
[An 18] Deux ans durant, il s’appliqua donc à faire respecter les nouvelles réglementations en vigueur depuis l’avènement de l’Empire, renforçant peu à peu l’idéologie sécuritaire de la région par l’application de décrets réglementant l’usage des voies commerciales, pour ne
citer que cet exemple. Il s’agissait aussi de modeler l’opinion afin que l’endoctrinement des masses populaires se fasse plus efficacement, en contrôlant l’information via la censure de certains canaux de l’holonet et en canalisant l’attention de plus grand nombre sur les conséquences négatives qu’entraineraient des manifestations d’hostilités à l’égard des forces armées impériales en présence. Un peu lassé de ses fonctions, passionnantes certes, mais ô combien répétitives dans un secteur aussi verrouillé militairement parlant, Noval tomba de son fauteuil en apprenant la disparition de l’Empereur, alors qu’une autre autorité prenait place sur le trône du Palais Impérial, une personnalité se faisant appelé Gwa Cir-Delàviel, Impératrice de son état. Il ne manqua pas à ses devoirs en lui envoyant un message de soutien à son encontre, accompagné de sculptures exposées au Musée des Arts et des Sciences de Kuat City, vestiges des premiers colons ayant débarqué sur cette planète. Peu de temps après, il apprit l’émergence d’une nouvelle caste exclusivement formé sur Bastion, celle des Chevaliers Impériaux, vouant leur vie à servir l’Impératrice en recourant aux pouvoirs de la Force, entre autre chose. Voilà de quoi piquer au vif sa curiosité. Il tâcha d’en savoir plus sur les conditions de formation de ce corps d’élite, tellement le besoin de s’investir dans d’autres sphères plus terre-à-terre se faisait pressant… Il pourrait toujours proposer à un membre de la Famille Kuat de se charger d’une partie des attributions de gouverneur, vu qu’il ne laissera pas filer une si belle occasion de prouver sa valeur, le temps qu’un remplaçant ne vienne suppléer à cette charge.
citer que cet exemple. Il s’agissait aussi de modeler l’opinion afin que l’endoctrinement des masses populaires se fasse plus efficacement, en contrôlant l’information via la censure de certains canaux de l’holonet et en canalisant l’attention de plus grand nombre sur les conséquences négatives qu’entraineraient des manifestations d’hostilités à l’égard des forces armées impériales en présence. Un peu lassé de ses fonctions, passionnantes certes, mais ô combien répétitives dans un secteur aussi verrouillé militairement parlant, Noval tomba de son fauteuil en apprenant la disparition de l’Empereur, alors qu’une autre autorité prenait place sur le trône du Palais Impérial, une personnalité se faisant appelé Gwa Cir-Delàviel, Impératrice de son état. Il ne manqua pas à ses devoirs en lui envoyant un message de soutien à son encontre, accompagné de sculptures exposées au Musée des Arts et des Sciences de Kuat City, vestiges des premiers colons ayant débarqué sur cette planète. Peu de temps après, il apprit l’émergence d’une nouvelle caste exclusivement formé sur Bastion, celle des Chevaliers Impériaux, vouant leur vie à servir l’Impératrice en recourant aux pouvoirs de la Force, entre autre chose. Voilà de quoi piquer au vif sa curiosité. Il tâcha d’en savoir plus sur les conditions de formation de ce corps d’élite, tellement le besoin de s’investir dans d’autres sphères plus terre-à-terre se faisait pressant… Il pourrait toujours proposer à un membre de la Famille Kuat de se charger d’une partie des attributions de gouverneur, vu qu’il ne laissera pas filer une si belle occasion de prouver sa valeur, le temps qu’un remplaçant ne vienne suppléer à cette charge.
C’est ainsi qu’il débuta un parcours initiatique qui lui fit prendre conscience d’autres réalités, d’autres vérités aussi concernant la nature de l’univers, et la manière d’interagir avec lui en recourant à le Force. Il subit une formation monastique pendant plus d’un an, affutant son corps et ses sens, s’exerçant au maniement du sabre laser jour après jour. Ses préoccupations d’antan lui semblaient si loin qu’il se demandait à quoi bon faire ces aller-retour sur Kuat, faisant acte de présence au Grand Moff du SurSecteur, Syulia Ytreas, et pour vérifier que les comptes étaient à jour. Il obtint le titre de Fantassin, puis de Paladin en récompense de ses succès à plusieurs missions délicates, comme son infiltration au sein du Soleil Noir, truffant de micros les appartements privés de Xizor à bord du Poing du Falleen, la station orbitale du Prince. Il avait trouvé un équilibre, une cohésion entre âme et esprit dans l’accomplissement d’un idéal : devenir l’exécuteur, la main de L’Impératrice Cir-Delàviel, incarnant notre guide de lumière en ces temps de troubles.
Informations Complémentaires
- Langues parlées : Basic, Kuati, Duro
- Disponibilité du joueur : Quotidienne, en soirée
généralement.
- Fuseau horaire : (UTC+01:00)
- Indisponibilité permanente : Pour le moment, aucune.
- Disponibilité du joueur : Quotidienne, en soirée
généralement.
- Fuseau horaire : (UTC+01:00)
- Indisponibilité permanente : Pour le moment, aucune.
[* 
" Non, n'essaies pas... Fais-le ou ne le fais pas, mais il n'y a pas d'essai "] ^^
" Non, n'essaies pas... Fais-le ou ne le fais pas, mais il n'y a pas d'essai "] ^^[Voilà, j'attends les objections et les critiques avec joie ! Mais soyez pas trop durs quand même... ;o)]
Dernière édition par Noval Kuat le Lun 22 Fév 2010 - 17:49, édité 3 fois
