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descriptionLa Fin de la République EmptyLa Fin de la République

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Depuis deux semaines que l'attentat du sénat avait eut lieu, l'holonet suivait avec assiduité les moindres rebondissement de ce qui était continuellement présenté comme "la plus grosse affaire de corruption qu'ai connu le sénat impérial depuis sa création". Le Double I multipliait les arrestations, les rafles, les mises en détention. Le personnel politique de Coruscant était littéralement nettoyé. plusieurs hauts-fonctionnaires d'Etat, réputés proche de la République avaient été accusé de formenter un putch contre l'impératrice. Ils avaient avec eux ce qui semblait être "plusieurs centaines de sénateurs". A l'occasion de cette affaire, on annonçait chaque jour le démantelement de l'un ou l'autre accords de vassalisation, et l'entrée dans l'Empire d'un monde noyé dans une affaire sombre de complots. Plusieurs centaines d'individus étaient arretés, l'administration nettoyée, remplacée par des têtes fidèles à l'Empire, et le monde devenait ainsi subitement l'exemple même du monde pro-impérial que toute la galaxie devait suivre. Le peuple, privé de leader, était réduit au silence, tandis que l'autorité gouvernementale n'était plus qu'un pantin entre les mains du grand moff local.

Ainsi, des centaines de mondes passèrent sous l'autorité impériale sans que personne ne puisse hausser le ton. Les preuves étaient accablantes, facilement vérifiables et elles démontraient que tout ceux qui avaient été arrêtés étaient plus ou moins proches des mouvements Rebelles connus sous le nom de Commandos Togruta. L'opération avait ainsi aboutit à l'arrestation de 250 sénateurs, 67 hauts-fonctionnaires d'Etat Impériaux, 5 généraux, 1 Moff Planétaire et prés de 34 000 fonctionnaires gouvernementaux planétaires, suspectés à plus ou moins haut niveau, de collaboration avec les commandos Togruta. Et tous avouaient ! Tous s'entredenonçaient ! Aucun ne semblait vouloir opposer quelque vérité, dire quoi que ce soit de vrai. Les méthodes de l'Empire galactique pour obtenir pareils aveux en surprirent plus d'un.

Après cette effroyable rafle, qui fit perdre à l'Alliance Rebelle, et à Alderaan notamment, bon nombre de ses alliés, le Grand Moff Syuila Yitreas se fellicita publiquement de la réussite de ses services mais assura qu'il ne s'agissait là que de la partie politique des commandos Togruta. "Une opération suivrait pour débarasser définitivement la galaxie de cette racaille."

descriptionLa Fin de la République EmptyRe: La Fin de la République

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Depuis deux semaines, Bail et les agents politique rebelles étaient tous dans une situation critique. Bail ne cessait de tenter de soutenir, de tenter d'aider, de faire évacuer le plus grand nombre de ses alliés mais étant pour la plupart présent sur Coruscant beaucoup de manoeuvre furent des échecs.
Ceux qui étaient arrêtés était plus des alliés d'Alderaan que des "racaille rebelle" à proprement parler. En effet les arrêtés, les raflés, les interrogés, les torturés étaient pour la plupart uniquement des nostalgiques de la république, le plus grand nombre d'entre eux n'avaient même jamais eu de contact avec l'Alliance Rebelle, du moins pas directement. En effet cela faisait un moment que l'Etat Major rebelle avait mis à l'abri ses leaders politique, loin de Coruscant.
Bail et ses alliés n'avaient pu que sauver une maigre poignée d'entre eux, en effet le double I agissant avec des méthodes éclairs et radicales, les manoeuvres des politiciens ne purent réellement être efficace notamment à cause du fait que les politiciens et fonctionnaires n'agissaient pas de manière coordonnée car tous n'était pas en contact les uns avec les autres, tout simplement car il n'était pas tous de l'Alliance. Pas tous habitué a ce genre "d'opération sauvetage".
Bail vit disparaitre bon nombre de ses alliés, amis et soutiens politique. Il s'agissait de la plus grande perte depuis les grandes arrestations des non-humais qui avaient suivis les lois de nivellements raciales il y avait un an. Personnellement Bail Organa le vécu très mal, il voyait disparaitre des hommes et des femmes honnêtes qui n'avait cesser de croire comme lui que l'Empire n'était pas le meilleur régime politique. Leur "crime" était le siens, celui de croire en autre chose que les valeurs impériales.
Il avait été très actif pendant ces quelques jours, et s'apprêtait à contre-attaquer avec les maigres forces qui lui restait au Sénat.
Il avait du mal à accepter l'idée que la fin de la République ne pouvait entrainer que la fin de Bail Organa en tant que politicien au Sénat.
Il l'avait toujours su : il mourrait avec la république et le Sénat...
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