La
navette Nagai glissait silencieusement dans les grandes voies de
circulation urbaines de Coruscant. Elle était en approche de
la majestueuse et solennelle construction qu'était le palais
Impérial, il rappelait au Prince sa sybaritique demeure dans
son Empire sur Nagi qu’il avait quitté depuis si longtemps,
trop longtemps à ses yeux, et dont ses alliés de
confiance devait certainement s’efforcer à repousser d’un
côté les Tofs et de l’autre les “militaires Nagai
aux gros bras” comme il se plaisait à les appeler, ils
souhaitaient à tout prix se débarrasser du Prince à
cause des exactions qu’il avait commises. En effet le Prince avait
peut-être abandonné ses anciens amis familiaux tous
militaires pour construire ses vaisseaux surdimensionnés et
s'autoproclamer dirigeant de Nagi et, au lieu de quitter Nagi de
façon définitive, il alla s’installer aux antipodes
des territoires contrôlés par les Nagai loyalistes avec
ses partisans qui se faisaient de plus en plus nombreux. Pour le
Prince, la seule véritable force résidait dans la ruse,
les complots, la trahison, la corruption et quand les circonstances
le menait à se permettre ce plaisir : un duel à mort en
imposant des règles de fair-play qu’il ne suivrait bien
évidemment pas. Oui, le Prince Slectis ne se préoccupait
pas des règles et des valeurs qui régissaient la vie de
bon nombre de ses pairs.
Un
peu plus tôt dans la fraiche matinée Coruscanti, il
avait penser à tous ce qu’il avait entreprit depuis son
arrivé. Autrement dit, pas grand-chose d’autre que des
soirées où il finissait toujours ivre mort, des
vernissages et des soirées mondaines à n’en plus
finir et des accès V.I.P. à tout les clubs huppés
où il n’a certainement jamais mis les pieds car cela le
lassait alors que d’autre aurais vendus père et mère
pour y accéder. En résumé, le Prince s’était
laissé vivre dans une opulence honteuse pour la plupart de ses
concitoyens. Le Prince, lui, baignait dans un enchaînement de
plaisirs et de frivolités à longueur de journée
: le matin, à son levé, des serviteurs massaient et
accomplissaient toutes les volontés de Sa Majesté
jusqu’à ce qu’il en ait assez et lui apportait tout ce
qu’il désirait, cela pouvait être tout et n’importe
quoi comme des danseurs, les derniers artistes à la mode ou un
plat particulier jusqu’à des demandes plus excentriques
comme l’envie soudaine d’acquérir un nouvel appartement où
il ne vivrai jamais ou, encore plus direct, acheter (littéralement)
une planète pauvre de la bordure extérieur et infliger
de lourds impôts aux indigènes après avoir
transformé la planète en site touristique pour des
aristocrates en manque de nouveauté et de frissons.
Ce
matin particulier, la lubie de Slectis avait été de se
décider à enfin rejoindre et soutenir l’Empire afin
de participer à la conquête de la galaxie, rien que ça.
Il souhaitait, et ça depuis son arrivé sur Coruscant,
gagner en renommé et devenir un membre influent, puissant et
célèbre d‘une organisation afin de se venger des
Nagais loyalistes et des Tofs. Il se tenta pour rejoindre des
pirates, des conglomérats du crime ou le consortium de Zann
mais fréquenter des roturiers, des coupe-jarrets et de la
vermine qui ne lui arrivait pas à la cheville le rebuta
expressément, il se mis donc en tête de rallier
l’Empire. Il avait ordonner à ses principaux serviteurs de
se présenter immédiatement à lui dans son
domicile qui était un charmant mais intimidant palais sied
dans la cité Impériale. Ses meilleurs suivants étaient
tous réunis dans la salle du trône, il y avait ses
gardes du corps appeler « les Parias » du fait que
personne n’aimait se retrouver face à eux. En effet, ils
étaient dix Nagais d’élites basés sur le
modèle des chevaliers Jedi. Ce sont des soldats d'élites
sensible à la Force dont la mission est de protéger le
Prince coûte que coûte même au prix de leur propre
vie. Parfaitement dévoués à leur tâche et
au Prince, les Parias maîtrisent la Force mais ne sont pas
soumis au code et aux valeurs Jedi, leur mission restant la
protection du Prince. Ils portent des armures d'apparat dorés
entièrement en Cortose ainsi qu'un casque ailé et
manient de terribles lances-laser. Il y avait aussi dans sa suite
trois Mandaloriens en armure complète et armés
jusqu’aux dents, cinq serviteurs Twi’leks, deux redoutables
Colicoïds, quelques serviteurs humains qui ciraient les bottes
du Prince, un féroce Gamorréen qui portait une
monstrueuse hache qui avait certainement déjà servie
pour « débloquer les négociations » et un
Falleen qui était un nouveau dans les rangs du prince et
serait là pour “faciliter les négociations”, le
Prince pouvait tout à fait prendre le risque de côtoyer
un Falleen car il n’était pas sensible à leurs
phéromones de persuasion, il trouvait même cette odeur
abjecte, insupportable et sans intérêt.
Il
avait également sous la main, outre les serviteurs et les
gardes du palais qui se comptaient par centaines, son superdestroyer
Providence personnel modifié et nommé L’Insurrection
et qui se trouvait dans l’orbite de la planète. Ce
vaisseau devait faire la taille d’un Executor mais avait l’allure
d’un Providence. Le Prince, depuis sa tendre enfance, avait une
fascination pour les vaisseaux et les troupes de la CSI qu’il
trouvait pourvu d’une “certaine forme d’art”. Il disposait
dans ce vaisseau d’une cinquantaine de soldat humains, d’une
douzaine de gardes d’élite Nagai, indépendant des
Parias, habituellement chargés de la protection des demeures
des chefs militaires sur Nagi mais qui firent office de garde sur le
vaisseau. Le reste de son armée qu’il avait sous la main
consistaient en environ deux cents humanoïdes, de cent droïde
de combat de série B2 et du même nombre de serviteur de
toute sorte allant du modeste technicien au cuisinier en passant par
le styliste et l’agent de presse. Il possédait également
dans le superdestroyer Providence de tout l’équipage
nécessaire pour le piloter et faire fonctionner correctement
les systèmes de défense et le Superlaser coaxial qui,
bien que n’étant pas capable de pulvériser une
planète (et ce n’était pas le but que le Prince lui
avait attribuer) pouvait détruire un vaisseau lourd comme un
croiseur ou une frégate mais pouvait également, en
réglant bien-sûr la puissance et en paramétrant
correctement le tir, dévaster une petite zone terrestre comme
une base militaire, un château, un champ de bataille…
Cependant
ce n’était qu’une infime partie des effectifs du Prince,
en effet la plus grande partie de son armée se trouvaient
caché dans son autre vaisseau qui était au dessus des
régions qu'il contrôlait sur Nagi pour se protéger
des Nagais loyalistes et des Tofs, les ennemis héréditaires
des Nagais. Le vaisseau, d’une taille impressionnante et à
l’armement comparable à celui d'une petite planète,
était un des quelques projets pharaoniques du Prince. L'armada
spatiale du Prince ne constituait pas en une flotte de vaisseaux en
tout genre mais était basé sur deux superdestroyers
soutenus par un nombre substantiel de chasseur droïdes. Le
supercroiseur (dont le nom représentait bien la mentalité
du Prince), nommé le Solipsisme, n’abritait pas que des
armées droïdes et des troupes d'élites aux ordres
du Prince mais aussi des dignitaires, des chercheurs, des officiers
et surtout ses plus proches collaborateurs qu'il connaissait depuis
son enfance.
navette Nagai glissait silencieusement dans les grandes voies de
circulation urbaines de Coruscant. Elle était en approche de
la majestueuse et solennelle construction qu'était le palais
Impérial, il rappelait au Prince sa sybaritique demeure dans
son Empire sur Nagi qu’il avait quitté depuis si longtemps,
trop longtemps à ses yeux, et dont ses alliés de
confiance devait certainement s’efforcer à repousser d’un
côté les Tofs et de l’autre les “militaires Nagai
aux gros bras” comme il se plaisait à les appeler, ils
souhaitaient à tout prix se débarrasser du Prince à
cause des exactions qu’il avait commises. En effet le Prince avait
peut-être abandonné ses anciens amis familiaux tous
militaires pour construire ses vaisseaux surdimensionnés et
s'autoproclamer dirigeant de Nagi et, au lieu de quitter Nagi de
façon définitive, il alla s’installer aux antipodes
des territoires contrôlés par les Nagai loyalistes avec
ses partisans qui se faisaient de plus en plus nombreux. Pour le
Prince, la seule véritable force résidait dans la ruse,
les complots, la trahison, la corruption et quand les circonstances
le menait à se permettre ce plaisir : un duel à mort en
imposant des règles de fair-play qu’il ne suivrait bien
évidemment pas. Oui, le Prince Slectis ne se préoccupait
pas des règles et des valeurs qui régissaient la vie de
bon nombre de ses pairs.
Un
peu plus tôt dans la fraiche matinée Coruscanti, il
avait penser à tous ce qu’il avait entreprit depuis son
arrivé. Autrement dit, pas grand-chose d’autre que des
soirées où il finissait toujours ivre mort, des
vernissages et des soirées mondaines à n’en plus
finir et des accès V.I.P. à tout les clubs huppés
où il n’a certainement jamais mis les pieds car cela le
lassait alors que d’autre aurais vendus père et mère
pour y accéder. En résumé, le Prince s’était
laissé vivre dans une opulence honteuse pour la plupart de ses
concitoyens. Le Prince, lui, baignait dans un enchaînement de
plaisirs et de frivolités à longueur de journée
: le matin, à son levé, des serviteurs massaient et
accomplissaient toutes les volontés de Sa Majesté
jusqu’à ce qu’il en ait assez et lui apportait tout ce
qu’il désirait, cela pouvait être tout et n’importe
quoi comme des danseurs, les derniers artistes à la mode ou un
plat particulier jusqu’à des demandes plus excentriques
comme l’envie soudaine d’acquérir un nouvel appartement où
il ne vivrai jamais ou, encore plus direct, acheter (littéralement)
une planète pauvre de la bordure extérieur et infliger
de lourds impôts aux indigènes après avoir
transformé la planète en site touristique pour des
aristocrates en manque de nouveauté et de frissons.
Ce
matin particulier, la lubie de Slectis avait été de se
décider à enfin rejoindre et soutenir l’Empire afin
de participer à la conquête de la galaxie, rien que ça.
Il souhaitait, et ça depuis son arrivé sur Coruscant,
gagner en renommé et devenir un membre influent, puissant et
célèbre d‘une organisation afin de se venger des
Nagais loyalistes et des Tofs. Il se tenta pour rejoindre des
pirates, des conglomérats du crime ou le consortium de Zann
mais fréquenter des roturiers, des coupe-jarrets et de la
vermine qui ne lui arrivait pas à la cheville le rebuta
expressément, il se mis donc en tête de rallier
l’Empire. Il avait ordonner à ses principaux serviteurs de
se présenter immédiatement à lui dans son
domicile qui était un charmant mais intimidant palais sied
dans la cité Impériale. Ses meilleurs suivants étaient
tous réunis dans la salle du trône, il y avait ses
gardes du corps appeler « les Parias » du fait que
personne n’aimait se retrouver face à eux. En effet, ils
étaient dix Nagais d’élites basés sur le
modèle des chevaliers Jedi. Ce sont des soldats d'élites
sensible à la Force dont la mission est de protéger le
Prince coûte que coûte même au prix de leur propre
vie. Parfaitement dévoués à leur tâche et
au Prince, les Parias maîtrisent la Force mais ne sont pas
soumis au code et aux valeurs Jedi, leur mission restant la
protection du Prince. Ils portent des armures d'apparat dorés
entièrement en Cortose ainsi qu'un casque ailé et
manient de terribles lances-laser. Il y avait aussi dans sa suite
trois Mandaloriens en armure complète et armés
jusqu’aux dents, cinq serviteurs Twi’leks, deux redoutables
Colicoïds, quelques serviteurs humains qui ciraient les bottes
du Prince, un féroce Gamorréen qui portait une
monstrueuse hache qui avait certainement déjà servie
pour « débloquer les négociations » et un
Falleen qui était un nouveau dans les rangs du prince et
serait là pour “faciliter les négociations”, le
Prince pouvait tout à fait prendre le risque de côtoyer
un Falleen car il n’était pas sensible à leurs
phéromones de persuasion, il trouvait même cette odeur
abjecte, insupportable et sans intérêt.
Il
avait également sous la main, outre les serviteurs et les
gardes du palais qui se comptaient par centaines, son superdestroyer
Providence personnel modifié et nommé L’Insurrection
et qui se trouvait dans l’orbite de la planète. Ce
vaisseau devait faire la taille d’un Executor mais avait l’allure
d’un Providence. Le Prince, depuis sa tendre enfance, avait une
fascination pour les vaisseaux et les troupes de la CSI qu’il
trouvait pourvu d’une “certaine forme d’art”. Il disposait
dans ce vaisseau d’une cinquantaine de soldat humains, d’une
douzaine de gardes d’élite Nagai, indépendant des
Parias, habituellement chargés de la protection des demeures
des chefs militaires sur Nagi mais qui firent office de garde sur le
vaisseau. Le reste de son armée qu’il avait sous la main
consistaient en environ deux cents humanoïdes, de cent droïde
de combat de série B2 et du même nombre de serviteur de
toute sorte allant du modeste technicien au cuisinier en passant par
le styliste et l’agent de presse. Il possédait également
dans le superdestroyer Providence de tout l’équipage
nécessaire pour le piloter et faire fonctionner correctement
les systèmes de défense et le Superlaser coaxial qui,
bien que n’étant pas capable de pulvériser une
planète (et ce n’était pas le but que le Prince lui
avait attribuer) pouvait détruire un vaisseau lourd comme un
croiseur ou une frégate mais pouvait également, en
réglant bien-sûr la puissance et en paramétrant
correctement le tir, dévaster une petite zone terrestre comme
une base militaire, un château, un champ de bataille…
Cependant
ce n’était qu’une infime partie des effectifs du Prince,
en effet la plus grande partie de son armée se trouvaient
caché dans son autre vaisseau qui était au dessus des
régions qu'il contrôlait sur Nagi pour se protéger
des Nagais loyalistes et des Tofs, les ennemis héréditaires
des Nagais. Le vaisseau, d’une taille impressionnante et à
l’armement comparable à celui d'une petite planète,
était un des quelques projets pharaoniques du Prince. L'armada
spatiale du Prince ne constituait pas en une flotte de vaisseaux en
tout genre mais était basé sur deux superdestroyers
soutenus par un nombre substantiel de chasseur droïdes. Le
supercroiseur (dont le nom représentait bien la mentalité
du Prince), nommé le Solipsisme, n’abritait pas que des
armées droïdes et des troupes d'élites aux ordres
du Prince mais aussi des dignitaires, des chercheurs, des officiers
et surtout ses plus proches collaborateurs qu'il connaissait depuis
son enfance.