Résurrection

HJ : Tu as arrêté le RP il y a 5 mois. 4 mois = Un an IN RP. Donc, 15 mois se sont écoulés depuis ta rencontre avec Kythra.

L'Obscurité, l'Ombre, le Noir. Tant de mots pour définir une seule et même chose : le Néant. Rien. Un vide total. Les quinze derniers mois de Yamm Kar'hak, jeune Jedi Noir, se résumaient au Néant. Après tout, il avait eu ce qu'il avait voulu. Sa soeur Jedi s'en était tirée, et il avait eu une mort digne. En tout cas une mort probable. En effet, quand un Cathar seul, handicapé d'une patte, et sur des terres inconnues, se retrouve au milieu de trois factions d'Impériaux, la mort semble plus qu'inévitable. En tout cas, s'eut aurait été le cas si l'Empire avait été dirigée par un Empereur serein et logique. Cependant, l'Impératrice Gwa-Cir Delavièl n'était pas ce genre de dirigeante. Adepte du Côté Obscur et réalisatrice de nombreux actes cruels et inhumains, l'influence d'un meneur se répendait toujours dans la société, et la situation actuelle le démontrait parfaitement.

Yamm Kar'hak est allongé sur une couchette, dans une grande salle noire, éclairée par une ampoule seule accrochée au plafond. Inanimé, il est simplement habillé, d'une grande robe noire. Accrochés par de solides liens électriques fortifiés, ses yeux ne se sont plus ouverts depuis longtemps. La masse du félidé s'étend longuement sur le couchage, et malgré son état de légume, la puissance et l'envergure du Cathar est restée intacte. Cependant, l'Obscurité, dans laquelle il a sombré, le retient prisonnier, et l'empêche de rugir depuis plus d'un an et demi, cette fameuse soirée ... Cette fameuse soirée, qui dans sa mémoire, précède ce moment : Peu à peu, l'Obscurité s'estompe, et une lumière vient perturber le long sommeil du Jedi Noir ... Ses paupières, lentement, se déploient, et bien que très vaguement, Yamm peut à nouveau observer le monde qui l'entoure ... Une masse complètement sombre apparaît alors doucement devant ses yeux, et prononce des mots. Contrairement à sa vue, son ouïe est déjà totalement rétablie.

- Réveille toi.

Dernière édition par MJ 10 le Mer 1 Oct 2008 - 15:46, édité 1 fois

Après cette absence d'activité cérébrale profonde, la première pensée qui parvient à émerger à la surface de l'esprit de Yamm, est un question banale, naturelle, mais Ô combien idiote : Où suis-je ?

Il avait entendu l'appel. On lui de mandais de se réveiller ... d'instinct, il devine donc qu'il a du dormir. Mais ... non ... non.
Ses souvenirs reviennent. Il était mort. Il avait été abattu par les impériaux, après en avoir tué une quantité innombrable dans son état ... et ... KITHRA !! Avait-elle réussi à s'échapper ? Avait-il au moins sacrifié sa vie en lui permettant de survivre, elle ?
... Euh ... non, il est vivant. Il n'est pas mort. Mais si, il est mort, mais ... d'où viennent ces sensations alors ?

Dans des efforts de plus en plus soutenus, il tente de retrouver une vue potable, tandis que ses oreilles tentent de capter d'autres sons que la voix qu'il a entendu. Seul le bourdonnement des liens électriques lui parviennent. Il grogne un peu, cherchant à répondre qu'il était éveillé, juste vaseux.
Doux euphémisme : Il est carrément hors d'état de se servir de quoique ce soit qui ne soit un réflexe, comme sa respiration ou les battements de son cœur ... ou ses réceptions sensorielles.
Il tente de bouger les doigts. Il n'y arrive qu'au prix de gros efforts de concentrations, qu'il reprend pour affiner sa vision. L'ombre noir devant lui se précise dans son champ de vision flou au possible.

- Je ... , tente-t-il d'articuler. Je ... ou ? ... Où ?! ..

L'Ombre ne bouge pas. Elle te regarde simplement. Tes gémissements ne la touchent pas le moins du monde, mais cependant, elle recommencer à te parler, d'un ton froid et dénué de sentiments et de compassions. Cet ombre était probablement un humain, mais ton état temporaire de cécité t'empêchait de discerner son visage.

- Tu viens de te réveiller d'un long coma. Un an et demi ont passés depuis ta préposé mort. Quand les Impériaux finissèrent de te lyncher, tu étais fortement amoché physiquement, et tu semblais destiné à un coma jusqu'à que ton cœur s'arrête de battre. Mais grâce à l'infinie puissance technologique de l'Empire, nous avons soigné ton corps de ses blessures et t'avons gardés en ré-animation pendant tout ce temps. La Force Obscure combinée à la technologie nous ont permis de te ramener à la vie ... Désormais, tu nous appartiens.

Tac.

Un mot résonne dans l'oreille du Cathar. L'effet d'un choc électrique qui lui parcours tout le corps en partant de la base du crâne pour revenir lui griller les neurones. Il Reste une seconde incrédule. Impossible ... "appartenir" ...

- NOOOOOOOOOON !!! Jamais, vous m'entendez !!!! Je n'appartient qu'à moi-même !! se met-il à hurler de toute sa rage, se débattant dans ses liens, bien inutilement, s'épuisant pour rien. Dans sa voix, le rugissement se fait sentir, mais meurs dans une quinte de toux qui a raison des forces du Félidé. Il arrête de se débattre. Il bout intérieurement, ne pouvant accepter l'idée d'un éventuel servage.

- Qui ... êtes vous ? Halète-t-il. Et .. où ... Sommes-nous ?

Il plonge un regard plein de haine dans le visage supposé de son vis-à-vis, cherchant un moyen d'échapper à ce qui pourrait arriver.

L'Ombre ne bouge pas et ne semble pas craindre tes rugissements. Elle te répond cependant, toujours sur le même ton dénué d'intonation.

- Tu ne sembles pas comprendre. Des guerriers manipulant la Force, je peux en trouver des bien plus puissants que toi. Cependant, tu me dois la vie. Je te propose un compromis. Actuellement, ton coeur bat naturellement, mais une sorte de crochet l'entoure. Sur les machines qui te tiennent en vie, il suffit que j'appuie sur un bouton pour que ce crochet te broie le coeur. Je peux, bien évidemment, appuyer sur un autre, et ce crochet se dissout en quelques heures, se fondant dans les sucs gastriques de ton corps. Tu es un cas intéressant. Rend-moi quelques services, et tu seras libre. Sinon ... Les un an et demi que j'aurais passé à te ré-animer auront étés inutiles.

Le Cathar tente de reprendre son souffle. C'est dans ses moments là qu'il retrouve de vieux réflexes de jedi, bien qu'il n'ai jamais été doué pour ces prouesse : la méditation. En quelques dizaines de secondes, il redevient calme, même si au fond de lui, ça bout toujours.

Il rassemble un peu de fiel dans sa bouche pour rétorquer quelques répartie cinglante. Et ça ne tarde pas à jaillir :

- Je vous signale juste que j'ai un petit problème avec l'autorité, quelle qu'elle soit, dit-il d'un ton qui se veux détaché. Puis fronçant les sourcils : Cependant, j'aime que les relations soient réciproques. Avant de me demander quoique ce soit, la politesse exige qu'on réponde à des questions aussi élémentaires que "où sommes-nous".

Son regard est toujours aussi noir. Il ne sait pas si il doit être reconnaissant à la créature pour sa vie ou bien la maudire. Après tout, il a du décevoir la seule personne qui comptait à ses yeux, même en ayant sacrifié sa vie pour elle.
Mais la créature avait touché des points sensibles qui jouaient en sa faveur : la première, le fait d'être redevable à quelqu'un, fait auquel Yamm ne saurait se soustraire. La seconde, il avait parlé de liberté, en l'échange de service. A cela une seule réponse possible : ce sera selon le faciès des dits services.
Par contre, même si le fait était moins notable, et qu'il le touchait moins, il le titillait : "tu est un cas intéressant" avait dit l'Ombre. En quoi ? ...

Après avoir haleté encore quelques secondes, il releva le menton, un peu plus fier qu'il n'aurait du pour demander : "Et ce serais quels genres vos "services" ?" avant de laisser retomber sa tête, ses muscles restant trop faibles malgré sa récupération.

Peu à peu, le Cathar retrouve ses réflexes, et notamment son sang-froid. Sa vue, elle aussi, s'améliore au fil du temps, et il peut maintenant distinguer plus clairement la salle, sombre et étroite. L'Ombre, quant à elle, est logiquement un scientifique. C'est un Zabrak, qui, marqué par la vieillesse et la folie, semble très peu disposé à avoir de la pitié pour le Jedi Noir en cas de refus.

- Nous sommes dans mon laboratoire secret, tu n'as pour l'instant pas besoin de savoir sur quelle planète nous sommes. Je ne suis pas celui que tu crois. L'Empire n'est pas mon allié, et le Côté Obscur n'est pas mon objectif, seulement un moyen d'arriver à mes fins. Les services que je te demanderais, tu t'en doutes, ne seront pas de registres politiques. A vrai dire, je ne te demande même pas de sombrer dans le Côté Obscur, seulement d'éliminer quelques gêneurs, mais en aucun cas de toucher à la Magie Sith. Généralement, c'est ce qui mène les combattants à leur pertes. Non ... Je t'aies choisi car je sais qu'une chose te maintiendra toujours la tête hors de l'eau, t'empêchera de complètement sombrer ... La preuve, tu lui as donné ta vie. Oui, Yamm Karh'ak, je sais qui est Kithra. Deviens mon collègue et mon employé, et je t'aides à la retrouver dès que tu seras prêt. Ton coeur sera libre à la fin de ton service, Kithra sera une sorte de prime de bienvenue.

L'homme, pour la première fois, avait été clair et avait enchaîné plusieurs phrases. Yamm avait intêret à tout bien écouter, analyser et comprendre si il voulait se sortir de cette situation peu arrangeante.

Encore une fois : TAC !

Cette fois, le mot qui lui fait dresser les oreilles et écarquiller les yeux fut "Kithra".

- Vous la connaissez ? ... mais ... comment ? ...
Estomaqué. totalement estomaqué, ce type savait donc tout de lui ? Même pour le massacre d'Ord Mantell et les autres détails ? ... oooh, non ne pas s'emballer, ce type doit juste savoir ce qu'il a fallu pour le sauver.

la reflexion était de mise. Ce type ne rigolais pas, avait l'air d'être certain de pouvoir le ramener vers Kithra et lui proposait de juste l'aider contre sa liberté.
En gros, si il réussissait à mettre en sourdine son avesrion contre tout ce qui peut ressembler à un ordre et à une hiérarchie ... attend. Il avait dit "collègue et employé" ...

- Si je dis oui, vous me permettez de marcher un peu pendant qu'on discute de comment, du juqu'à quand et des autres détails, comme "quel est le job ?".
Le ton, était dataché, curieux, légèrement fébrile dans le fond de sa voix. Et toujours ponctuée de petits grognements ronronnants, apanage de la race féline des Cathars. Plus de haine et de fureur, même si la méfiance restait de mise pour Yamm.

Le Zabrak ne semble pas étonné de ta question. Il semble tout prévoir, tout savoir. Sous ses êtres de folie, se révèle une très forte intelligence. C'est un génie, certes un génie maléfique, mais il avait cependant fait des trouvailles que personne à ce jour n'avait su déceler.

- Bien sûr. Dis moi quand tu es prêt, j'ai de nombreuses choses à te montrer.

Le scientifique, fou et maléfique, pourrais te tuer quand il voulait, mais exprimait quand même du respect pour toi. Certes, tu étais son collègue, mais avant tout son homme de main. Cependant, il te respectait et semblait disposer à accepter certaines requêtes de ta part. Tes liens, soudainement, se détachèrent. Tu étais libre.

[Décris la manière dont tu retrouves tout tes sens, on passera ensuite aux choses sérieuses.]

Le cathar peine à retrouver ses sens.

- Pas à ma connaissance. Tes anciennes habitudes seront de retour dans quelques heures, maintenant suis moi.

Et le Zabrak, tournant le dos à Yamm, appuie sur un dispositif qui fait qu'un des murs de la salle s'ouvre en deux, laissant devant les deux hommes un couloir long et sombre. Le scientifique s'y aventure, le Jedi Noir va-t-il le suivre ?

Les jambes flageolantes, le Cathar se redresse, et observe le scientifique avancer dans le large couloir. Le suivre, passer la porte, signifie lui faire confiance. Rester signifie la mort. Des deux, aucune solution n'est alléchante.

Mais le Cathar, s'appuyant au mur et retrouvant ses forces plus vite qu'il n'aurait cru, se met à suivre le Zabrak.

Le Zabrak avance dans le couloir sombre puis déboule dans une grande salle, jonchée d'ordinateurs, de grands écrans de surveillances, de machines diverses, de montagnes de dossiers, un vrai laboratoire pour un génie de cette envergure. Deux fauteuils attendent les protagonistes. Le Zabrak s'assoie, et attend que Yamm en fasse de même. Quand ce fut fait, il prit à nouveau la parole.

- Je me présente. Je suis Drell Kahmf, scientifique Zabrak comme tu as pu le voir. Ici, nous sommes dans mon laboratoire caché sur Ryloth. Bientôt, nous allons aborder tout ce qui toucheras à ton futur emploi. Avant tout, prend conscience d'une dernière chose ...

Drell Kahmf prend un air grave.

- Le dispositif relié à ton coeur est aussi relié au mien. Si je meurs ... Tu meurs. Ne pense donc même pas à te rebeller.

Drell Kamhf se lève, puis se dirige vers un tiroir, sort une tunique noir et deux sabres-lasers. Il les poses sur la table devant Yamm.

- Tes deux sabres-lasers sont tout ce que j'ai pu sauver. Tes autres armes ont étés saisis détruites par l'explosion que j'ai produite. Quand j'ai vu qu'un de leurs tirs t'avait été fatal, j'ai provoqué une panique, j'ai envoyé un droïde ultra-rapide saisir ton corps, et il n'a trouvé que tes sabres-lasers dans tes lambeaux de vêtement. Au fait, je t'aies constitué une tenue classique de Jedi, de couleur noir, accompagnée de la bure que tu portais ce jour là, remise à neuf. J'espère que ça te convient.

Yamm tend la main, saisi son sabre long, et fait jaillir la lame. Quel plaisir de retrouver la douceur de sa lumière violacée, et la facilité de maniement si légendaire d'un sabre que l'on maitrise.
Il se lève et fait quelques passes dans le vide, retrouvant à une vitesse fulgurante sa dextérité.

Il éteint le sabre, et tandis que d'une main le raccroche à sa ceinture, l'autre se tend vers la table. Avec un peu d'efforts de concentration, le sabre secondaire jaillit pour venir se placer dans sa paume. la lame violette rutile soudain, plus puissante qu'à l'acoutumée, sous son poing. Il l'éteint immédiatement.

- Celui-ci a été endommagé, dit-il, autant pour lui même que pour informer le Zabrak. Il faudra que je le répare et le règle au plus tôt. Je te remercie de ce que tu as fait. Je regretterais mon bracelet, mais je pourrais avec de la chance m'en procurer un nouveau plus tard.

Il se rassit dans son siège, souriant presque face à Drell. Il était prêt à l'écouter, et n'attendait même plus que ça.

Drell Kahmf, restant debout, semble satisfait de ta réponse. Il est apparemment prêt à te donner de réelles informations.

- Bien. Nous allons enfin pouvoir commencer à discuter des modalités de ton futur emploi.

Puis Drell se rassoit, motivé à exprimer son plan.

- Tout d'abord, tu es mon employé. Tu seras traîté très convenablement, et tu auras un armement à ta disposition. Ton titre actuel, outre mercenaire, est Jedi Noir. Ton but, dans tes missions, sera de ne surtout pas te faire démasquer. Si quelqu'un te voit, tu seras dans l'obligation d'éliminer les preuves. Je ne suis pas spécialement adepte des morts inutiles, mais chacune d'entre elles sera causé par ton indiscrétion. Tout vous convient-il Agent Kar'hak ?

Drell Kahmf se lève alors, commençant à marcher vers une autre partie de la salle. Ils arrivent devant un grand hublot qui fait découvrir une grande salle d'entraînement. Un sourire de malice, qui se montre comme un sourire de folie sur le visage de Zabrak apparaît. Il dévisage Yamm, qui a revêtu sa tunique complètement remise à neuf.

- Ton premier test commence ici. C'est une remise à niveau, un entraînement. De quoi as-tu besoin ? Tu as ton sabre-laser, je m'occuperais d'arranger l'autre, et voilà ton comlink. Es-ce suffisant pour tes futurs missions ?

Pendant ce temps, le scientifique te tends un Comlink. Perfectionné par ses soins, il est holographique et permet de communiquer à travers toute la galaxie.

Yamm répond en saisissant le Comlink : Mon matériel de Jedi, ce serait pas mal de le récupérer. C'est toujours très utile. Sinon je me disais qu'un Blaster serais pas de refus non plus. Ca m'éviterais de sortir le sabre en cas de bagarre, même si je peux l'éviter de différentes façons. Tout dépendra des missions, après.

Il observe la salle à travers le hublot. Il pose la question du quoi : que devra-t-il faire ici ? Pendant ce temps, fouillant dans sa mémoire, il pense à son Gihl'rai, Meshta. L'aigle reptilien, unique dans la galaxie sans aucun doute. Celui-ci doit avoir survécu, depuis presque deux ans, mais qu'est-il devenu ?
Il ne pose pas de question à Drell, pensant que le Zabrak lui en aurait parlé.

Drell acquiesce, et lui fait signe de rentrer dans la salle d'entraînement pendant que la porte ultra-moderne coulisse verticalement. Le cathar observe les alentours, une grande salle d'entraînements aux murs blancs, tout comme le parquet lisse et neuf. Visiblement, des infrastructures ultra-modernes sont présentes ici, mais Yamm est le premier à en profiter. Conformément à sa demande, un grand carton et une arme neuve arrivent devant lui, descendus par une sorte de tige métallique venue du plafond.

- Ton matériel est là. Quand tu seras prêt, fais moi signe.

Le cathar peut découvrir devant lui un [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] ainsi que l'équipement classique du Jedi :

- Ceinture multifonction

- [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
- Hydropack
- Grappin & filins de cristacier
- Macrojumelle startron
- 5 Explosifs fumigènes de diversion
- Trousse de micro-outils
- [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] (Voilà à quoi il ressemble, c'est celui que Drell t'as donné.)
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Yamm saisit la ceinture et la boucle autour de sa taille, par dessus celle de tissu qui complète déjà sa tenue. Quel plaisir de se retrouver soi-même.
Ceci fait, il enfile la bure de pèlerin noire, apanage de discrétion des Jedi comme des contrebandiers dans la galaxie.
Il manie la force pour " éjecter " ses sabres de sa ceinture à ses mains. d'un mouvement les lames jaillissent et en quelques passes prouve qu'il retrouve toutes ses capacités.
Il rengaine ses sabres et attire à lui le blaster qu'il dissimule dans une poche de sa bure, à l'intérieur de la manche, très facilement saisit.

Il se tourne vers le hublot et adresse un signe de la main à Drell. Il se sent prêt.

Le Cathar est prêt. Cinq [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] sortent de différents endroits du mur et ouvrent le feu, sous les yeux attentifs de Drell. La remise en forme commence.

Le Cathar réagit le plus vite possible, et c'est de justesse qu'il dévie les premier traits blasters qui allaient l'atteindre une fois son sabre principal dégainné. La concentration est son atout majeur, il doit resté focalisé sur les attaques des Droïdekas pour pouvoir les défier.

D'un bond, et s'aidant de la force, il saute au dessu de la mélée et va atterir derrière l'un des droïde, assez loin pour eviter un eventuel coup du à un mouvement brusque du droïde, mais permettant ainsi de se protéger le temps de reprendre un peu de calme. Avec de la chance les droïdes tireront sur lui sans se soucier les uns des autres, et le droïde qui lui sert de bouclier de fortune sera détruit par les canons blasters.

Il doit être rapide. les points faibles des Droïdekas son le joint entre les recepteurs de la "tête" et le reste du corps, les "pattes" et les bras. Ceux-ci ne semblent pas disposer de bouclier énergétique, heureusement.

Un des droïdes part en fumée suite à la ruse de Yamm. Les tirs se font plus pressants et les boucliers énergétiques que le cathar redoute apparaissent.