La flotte venait de quitter le système de Bandomeer, et avait prit en charge depuis celui-ci un convoi de la compagnie minière Arcona Harvest. Cette dernière souhaitait l'aide de l'Alliance pour virer les Hutts de la planète et en contrepartie, les Rebelles pouvaient définitivement être implanté dans la Bordure Médiane. Quelque chose de bien intéressant.
L'escorte aurait été bien plus intéressante si elle ne conduisait pas jusqu'aux mondes du Noyau.
C'était ce stress là que Jadonna découvrit sur la passerelle lorsqu'elle y entra après avoir revêtu son uniforme. Les membres d'équipages du RASS Coruscant étaient les meilleurs, et même ceux-là n'avaient pas confiance lorsqu'il s'agissait de passer à côté du monde-capitale. Même en hyperespace. L'Amiral ce dirigea vers l'ordinateur central au centre du pont de commandement en parlant quelques instants avec les officiers qu'elle croisait, soufflant des recommandations à l'oreille des plus jeunes et félicitant les plus vieux. Lorsqu'elle atteignit la console centrale du vaisseau, le Capitaine Verrack et le Colonel Jiurse se... consultait à voix haute. A voix très haute. Leurs voix ce turent quand Jadonna parvint à eux.
- Amiral, la saluèrent-ils d'une même voix.
- Capitaine, Colonel, répondit calmement Jadonna. Vous savez que vos cries s'entendent depuis le pont B ?
Bien qu'ils s'appréciaient mutuellement, l'officier en second du vaisseau et l'officier tactique, était souvent en désaccord quand aux stratégies à employées. Leurs engueulades sur la passerelle n'était plus inhabituelle. Pas plus que de les voir jouer ou boire un coup ensemble lorsqu'ils n'étaient pas de service.
- Amiral, lança Verrack, sans vouloir insulter votre espèce, cet humain un pur idiot !
Jadonna faillit sursauté. Il n'y avait pas besoin de connaître le Mon Calamari pour comprendre qu'il était très énervé. Lors de leur dispute quotidienne, celui qui avait le plan le plus sage, savait convaincre l'autre de ses torts. Mais là, c'était différent. Essayant de ne pas paraître stupéfaite, Jadonna demanda simplement ce qu'il voulait entendre par là.
- Ce que je veux dire, Mademoiselle, dit Verrack en pointant du doigt l'officier tactique, c'est qu'il ne mérite certainement pas son grade ! Cela fait deux heures, que monsieur ne veut pas comprendre que son plan est voué à l'échec.
- Calmez-vous, capitaine ! répondit sèchement l'Amiral avant de ce tourner vers Jiurse. Colonel, que veut-il dire ?
- Amiral, je suggérais seulement une tactique prudente. C'est ce que j'explique à cette tête de poisson depuis deux heures, preuve à l'appui !
D'un geste nonchalant, il montra l'image transparente et bleutée du général Darryck sur la grande surface plane recouvrant l'ordinateur central circulaire. En le voyant, l'Amiral sourit. Un être humain aurait eu deux voir trois bonne têtes de plus que Jadonna grâce à la hauteur de l'ordinateur. Le Sullustéen n'avait même pas une tête. De plus, il avait la bouche grande ouverte dans une position pour le moins étrange. Si elle ne le connaissait pas, elle l'aurait prit pour un humoriste a deux crédits. Jiurse s'approcha, appuya sur une touche de l'ordinateur et l'enregistrement du dernier contact du Haut-Général de l'Alliance Rebelle repris :
- ...otre objectif : nous devons disperser le blocus de Naboo pour permettre un débarquement en force de la Rébellion sur ce système et...
Le colonel appuya une nouvelle fois, stoppant le Sullustéen dans une posture moins humoristique.
- Vous avez entendu cette fois, capitaine ? demanda-t-il sarcastique.
- Nous n'avons aucune nouvelle de l'Amiral Pallaeon et de sa flotte ! Comment pouvez-vous... ?
- Sa suffit !
D'un geste brusque Jadonna éteignit l'holoprojecteur et se tourna vers ses deux officiers. Ils étaient silencieux, comme la passerelle. Elle s'en aperçus du coin de l'œil. Tous les membres d'équipage avaient cessé leur activités, surpris d'entendre pour la première fois en deux ans la voix de leur commandant si rude. Ils purent aussi constaté que son regard pouvait lancer des éclairs quand ses yeux firent aussi glacial que Hott, le tour du pont. Aussitôt, les officiers aussi bien Humains, Mon Calamari ou encore Rodien ce remirent à leur tâches. Un autre regard en direction des deux officiers et ceux-ci comprirent. Il sortirent sans un mot. Jadonna resta dix autres minutes sur le pont, faisant le point avec diverse officier puis partit en laissant le commandement de la passerelle au premier Lieutenant. Elle traversa le vaisseau d'un pas rapide jusqu'à ses quartiers. Elle arriva rapidement jusqu'à son bureau. Devant elle, Verrack et Jiurse se tenait au garde à vous. Elle s'appuya sur son bureau et s'écria :
- Rappelez-moi de vous dire que vous n'êtes que deux abrutis ! Par la Force vous n'auriez pas pus aller vous tapez dessus ailleurs que sur la passerelle ? Ailleurs que devant les membres d'équipage ? Traverser le Noyau n'est déjà pas très rassurant, mais si en plus trois officiers supérieur s'offrent une partie boxe sur le pont parce qu'ils ne sont pas d'accord sur la façons d'y arriver...
- Amiral..., commença l'officier tactique.
- La ferme, colonel ! coupa aussitôt l'Amiral. Vous êtes des hommes, vous êtes des officiers ! Vous n'avez aucune excuse ! Le moral de la flotte n'est pas au plus haut, alors cessez vos idioties. Un seul problème à la fois, et nous avons encore du temps pour celui de Naboo ! (Elle ce retint droite face aux deux hommes avant de lancer: ) Rompez !
Les deux officiers saluèrent. Elle les regarda quelques secondes et leur rendit leur salut. Les officiers disparurent du bureau et traversèrent les quartiers de Jadonna. Celle-ci soupira et ce laissa tomber dans son fauteuil en cuir quand elle entendit la porte ce refermer. Jetant un regard à un écran installé au mur, elle vit que celui-ci indiquait que le flotte venait de dépasser la jonction de la Route Commerciale Perlemienne et de la Voie Hydienne. Encore quelques heures de routes et il arriveraient enfin à Fresia. Là, Ardrar s'empresserait de donner l'ordre de quitter les mondes du Noyau pour Eradiu.
L'escorte aurait été bien plus intéressante si elle ne conduisait pas jusqu'aux mondes du Noyau.
C'était ce stress là que Jadonna découvrit sur la passerelle lorsqu'elle y entra après avoir revêtu son uniforme. Les membres d'équipages du RASS Coruscant étaient les meilleurs, et même ceux-là n'avaient pas confiance lorsqu'il s'agissait de passer à côté du monde-capitale. Même en hyperespace. L'Amiral ce dirigea vers l'ordinateur central au centre du pont de commandement en parlant quelques instants avec les officiers qu'elle croisait, soufflant des recommandations à l'oreille des plus jeunes et félicitant les plus vieux. Lorsqu'elle atteignit la console centrale du vaisseau, le Capitaine Verrack et le Colonel Jiurse se... consultait à voix haute. A voix très haute. Leurs voix ce turent quand Jadonna parvint à eux.
- Amiral, la saluèrent-ils d'une même voix.
- Capitaine, Colonel, répondit calmement Jadonna. Vous savez que vos cries s'entendent depuis le pont B ?
Bien qu'ils s'appréciaient mutuellement, l'officier en second du vaisseau et l'officier tactique, était souvent en désaccord quand aux stratégies à employées. Leurs engueulades sur la passerelle n'était plus inhabituelle. Pas plus que de les voir jouer ou boire un coup ensemble lorsqu'ils n'étaient pas de service.
- Amiral, lança Verrack, sans vouloir insulter votre espèce, cet humain un pur idiot !
Jadonna faillit sursauté. Il n'y avait pas besoin de connaître le Mon Calamari pour comprendre qu'il était très énervé. Lors de leur dispute quotidienne, celui qui avait le plan le plus sage, savait convaincre l'autre de ses torts. Mais là, c'était différent. Essayant de ne pas paraître stupéfaite, Jadonna demanda simplement ce qu'il voulait entendre par là.
- Ce que je veux dire, Mademoiselle, dit Verrack en pointant du doigt l'officier tactique, c'est qu'il ne mérite certainement pas son grade ! Cela fait deux heures, que monsieur ne veut pas comprendre que son plan est voué à l'échec.
- Calmez-vous, capitaine ! répondit sèchement l'Amiral avant de ce tourner vers Jiurse. Colonel, que veut-il dire ?
- Amiral, je suggérais seulement une tactique prudente. C'est ce que j'explique à cette tête de poisson depuis deux heures, preuve à l'appui !
D'un geste nonchalant, il montra l'image transparente et bleutée du général Darryck sur la grande surface plane recouvrant l'ordinateur central circulaire. En le voyant, l'Amiral sourit. Un être humain aurait eu deux voir trois bonne têtes de plus que Jadonna grâce à la hauteur de l'ordinateur. Le Sullustéen n'avait même pas une tête. De plus, il avait la bouche grande ouverte dans une position pour le moins étrange. Si elle ne le connaissait pas, elle l'aurait prit pour un humoriste a deux crédits. Jiurse s'approcha, appuya sur une touche de l'ordinateur et l'enregistrement du dernier contact du Haut-Général de l'Alliance Rebelle repris :
- ...otre objectif : nous devons disperser le blocus de Naboo pour permettre un débarquement en force de la Rébellion sur ce système et...
Le colonel appuya une nouvelle fois, stoppant le Sullustéen dans une posture moins humoristique.
- Vous avez entendu cette fois, capitaine ? demanda-t-il sarcastique.
- Nous n'avons aucune nouvelle de l'Amiral Pallaeon et de sa flotte ! Comment pouvez-vous... ?
- Sa suffit !
D'un geste brusque Jadonna éteignit l'holoprojecteur et se tourna vers ses deux officiers. Ils étaient silencieux, comme la passerelle. Elle s'en aperçus du coin de l'œil. Tous les membres d'équipage avaient cessé leur activités, surpris d'entendre pour la première fois en deux ans la voix de leur commandant si rude. Ils purent aussi constaté que son regard pouvait lancer des éclairs quand ses yeux firent aussi glacial que Hott, le tour du pont. Aussitôt, les officiers aussi bien Humains, Mon Calamari ou encore Rodien ce remirent à leur tâches. Un autre regard en direction des deux officiers et ceux-ci comprirent. Il sortirent sans un mot. Jadonna resta dix autres minutes sur le pont, faisant le point avec diverse officier puis partit en laissant le commandement de la passerelle au premier Lieutenant. Elle traversa le vaisseau d'un pas rapide jusqu'à ses quartiers. Elle arriva rapidement jusqu'à son bureau. Devant elle, Verrack et Jiurse se tenait au garde à vous. Elle s'appuya sur son bureau et s'écria :
- Rappelez-moi de vous dire que vous n'êtes que deux abrutis ! Par la Force vous n'auriez pas pus aller vous tapez dessus ailleurs que sur la passerelle ? Ailleurs que devant les membres d'équipage ? Traverser le Noyau n'est déjà pas très rassurant, mais si en plus trois officiers supérieur s'offrent une partie boxe sur le pont parce qu'ils ne sont pas d'accord sur la façons d'y arriver...
- Amiral..., commença l'officier tactique.
- La ferme, colonel ! coupa aussitôt l'Amiral. Vous êtes des hommes, vous êtes des officiers ! Vous n'avez aucune excuse ! Le moral de la flotte n'est pas au plus haut, alors cessez vos idioties. Un seul problème à la fois, et nous avons encore du temps pour celui de Naboo ! (Elle ce retint droite face aux deux hommes avant de lancer: ) Rompez !
Les deux officiers saluèrent. Elle les regarda quelques secondes et leur rendit leur salut. Les officiers disparurent du bureau et traversèrent les quartiers de Jadonna. Celle-ci soupira et ce laissa tomber dans son fauteuil en cuir quand elle entendit la porte ce refermer. Jetant un regard à un écran installé au mur, elle vit que celui-ci indiquait que le flotte venait de dépasser la jonction de la Route Commerciale Perlemienne et de la Voie Hydienne. Encore quelques heures de routes et il arriveraient enfin à Fresia. Là, Ardrar s'empresserait de donner l'ordre de quitter les mondes du Noyau pour Eradiu.