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>Lecture>


Dossier 637 : ARDRAR Jadonna

- Nom : Ardrar
- Prénom : Jadonna
- Âge : 25
- Race : Humaine
- Origine : Coruscant

- Pro...

>>Avance rapide...>>
>Lecture>



Quatre mois après l'avènement de l'Empire
Coruscant - 18h30
Quartier du District Financier - Hôtel privé de la famille Ardrar

/Pourquoi nous combattons\


Je vois les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et mon frère en sors d'un pas rapide. Aïe, les nouvelles vont plutôt vite... Me voyant planté dans le couloir, il s'empresse de me rattraper. Je vois d'ici qu'il est énervé. Ses sourcils sont froncé et ses yeux me jettent des éclairs. De plus, un mauvais sourire orne son visage lorsqu'il m'aperçois. Quand il arrive à quelque mètres de moi, il tend un doigt accusateur.

- Toi ! J'ai à te parler !

Je lui fais signe de se taire, notre père étant dans la salle de réunion avec de gros bonnets de Kuat. Il grogne quelques injure avant de m'empoigner fermement et m'entraîne dans un bureau. Ou plutôt, il me jette dedans. Je reste silencieuse, laissant mon frère faire les cents pas en grognant entre ses dents. Je sais comment sa va ce passer, c'est toujours la même chose. Il sait lui-même qu'il a accepté ma décision, mais il a besoin de temps pour le comprendre. Il va d'abord tourner en rond pendant quelques minutes en parlant tout seul, puis il va me crier dessus et enfin ce calmer. Après il vas sortir du bureau en me souhaitant bonne chance. C'est toujours pareil... Je me retint de soupirer et jette un coup d'œil autour de moi pour savoir dans quel bureau nous nous trouvons. Bien, c'est celui du sous-directeur. Il est en réunion avec papa, ce qui laisse à mon frère le temps de digéré ce qu'il a appris. Je prend une bouteille de whisky et deux verres du meuble à alcool avant de remplir les verres et en amène un mon frangin qui grogne encore des obscénités. Je ne peux m'empêcher de sourire, pour peu qu'il y ait un caractère amusant à voir mon frère énervé, mais je sais que ce n'est que passager. Je m'installe sur le siège du sous-directeur et pose mes pieds sur son bureau. Je ne l'ai jamais aimé ce foutu sous-directeur !

- Alors, dis moi frangine. C'est quoi le plan maintenant ?

Je cesse de contempler mon verre d'alcool pour mon frère. Il est appuyé contre le mur, l'air parfaitement calme, son verre dans une main et son calot de Commodore Impériale dans l'autre. Si quelqu'un venait à entré maintenant, il ne ce douterais jamais que l'homme contre le mur est en train de bouillir de rage et d'angoisse. Seul son sourire et le ton sarcastique de sa voix me font comprendre qu'il ne plaisante pas. Il est en colère, mais pire que tout, il a peur. C'est toujours pour moi qu'il a peur. C'est toujours pareil...

- Keark..., commençais-je.
- Et vire tes pieds de ce foutu bureau !! hurle-t-il.

J'obéis, mais je n'ai pu m'empêcher de sursauté. C'est la première fois qu'il crie après moi comme sa. Merde, il n'a vraiment pas apprécié la nouvelle. En un mouvement il a traversé la pièce. En un éclair, il est passé du mur au bureau, où il s'y appuie les bras tendus. Ses points son serré et ses phalanges blanche. Finalement... sa ne sera peut-être pas comme d'habitude.
Me calant dans le fauteuil, je m'éclaircis la gorge.

- J'ai pris ma décision, lançais-je le plus fermement possible.
- Bien, me répond-t-il en hochant la tête. Très bien. Mais est-ce que tu te rend seulement compte de la gravité de cette décision ?
- Oh bien sur que oui, Keark ! Tu crois vraiment que je ne sais pas que je fais une énorme erreur ?
- Si ce n'est la plus grosse de ta vie...,
lâche Keark dans un souffle.

Je me relève, m'appuie sur le bureau dans la même position que mon frère et le regarde dans les yeux en disant :

- Non. La plus grosse erreur de ma vie serait de resté, et de servir ce gouvernement.
- Jadonna, c'est le gouvernement légitime de Coruscant
.

Je savais qu'il allais me la sortir à un moment où à un autre cette phrase. Pour bien comprendre, il faut savoir que nous faisons partie de la haute noblesse de Coruscant. Tous les membres de notre lignée sont nés et enterré sur cette planète, comme nombre d'autre familles. Même si ce nombre diminue dangereusement depuis deux siècles... Mais les familles restantes ont toutes la même devise : Servir Coruscant. Il en vas de même pour le gouvernement qui contrôle la planète, s'il ne fais rien qui détruise de quelques manière que ce soit Coruscant, au goûts de la Haute Noblesse. Et bien sur, s'il est légitime. C'est notre devoir. Keark et moi avons été élevé dans cette tradition, que je respecte et que j'applique par amour pour Coruscant. Mais "légitime", n'est qu'une question de point de vue. Surtout pour l'Empire...

- Keark, répondis-je du tac au tac, ce gouvernement est tout, sauf légitime !
- Très bien ! Alors il est quoi ?
- Pour commencer, il est illégitime, immoral, inhumain... Keark... Enfin, on sert une dictature !
- Et tu veux faire quoi, hein ? Restaurer la... Grande et Merveilleuse République ? Avec ces abrutis de Sénateur pourri jusqu'à la moelle qui serait prêt à vendre leur mère pour un peu plus de pouvoir. Des idiots qui ne savaient même pas qu'on avait une armé de clone et qui n'ont même pas pus empêcher une saloperie de guerre !


Sa y est, c'est partit ! La bataille politique commence, sa vas gueuler dans tous les coins...

- Et toi, tu le savais que l'on avais une armée de millions d'hommes ? criais-je alors qu'il s'éloigna du bureau brusquement. Hein, môssieur je-sais-tout ! Et tous les Sénateurs ne sont pas comme sa, tu la dis toi même pendant la dernière réunion de père avec eux ! Mothma, Organa, Drake, ou encore Bel Iblis, pour ne citer qu'eux ! Ah, et bien sûr ta préférée, Padmé Amidala qui...
- Amidala est morte !


Ces mots résonnent dans le bureau et ne semblent plus vouloir en partir. Il y a un silence de mort et une atmosphère lourde qui me gène et m'angoisse. Oui, Amidala est morte...

- Et il n'est pas difficile de deviner par qui.

La voix de mon frère est redevenu calme, et il a encore fini tout haut ce que je pensais tout bas. Les gens le savent tous au fond d'eux même sans vouloir vraiment y songer. Ils refusent la vérité et accepte cette explication car elle est simple, toute trouvée. Et qu'elle leur évite d'avoir à agir. La porte glisse silencieusement et une silhouette entre. Le même uniforme gris que Keark, seul les galons diffèrent. Fermant la porte derrière lui, le nouvel arrivant retire son calot avant de serrer la main de Keark.

- Salut, Lars, dis mon frère.
- Bonsoir mec, répond la voix enjoué du colonel.
- "Bon", n'est pas le terme que j'aurais employé.

Le colonel Lars Orson hausse un sourcil et tourne la tête vers moi en souriant. Mon estomac ce serre. Je lui souris, tristement, gomme une gamine gâtée qui aurait cassé un vase et qui ne veux pas ce faire punir. Je ne peux pas soutenir son regard, et tourne le mien sur la grande vitre derrière le bureau. Je vois Coruscant, brillante de mille feu sous le soleil couchant. Sa me redonne espoir ! J'entends la voix de Lars murmuré quelque chose, puis celle de mon frère lancé une injure en vieux Coruscanti. La porte qui s'ouvre... et qui claque. Je sais qui est partit, mais j'ai un soupçon de peur. Celui de me retourner, et de voir que la personne qui reste n'est pas celle que je voudrais.

- Tu vas continuer à faire la gueule longtemps ?

Oui ! Enfin non ! Mes pensées s'embrouillent dans ma tête en entendant sa voix. Finalement je me retourne et saute au cou de Lars. Pendant un instant qui me paraît trop court, il me serre contre lui avant de lâcher prise. Il me jette un autre sourire en coin, et ce dirige sur le balcon en prenant le verre sur le bureau que Keark à oublié de boire. Je le rejoins, m'appuyant sur le rambarde et regardant la grande place du District, plusieurs centaines d'étages plus bas.

- Keark est inquiet pour toi, dis finalement Lars rompant le silence.
- Keark n'a pas eu le cran de faire ce que je vais faire, répondis-je durement.

Lars me regarde étonné, comme si c'était la première fois qu'il me voyait. En fait, je ne pense pas du tout ce que je viens de dire, et si Lars me mettrait un coup de point je ne lui en voudrait pas.

- Il a voulu partir lui aussi, ajoutais-je plus calme.
- Il a voulu démissionné, répondit Orson en appuyant bien sur le dernier mot. Ce qui n'est pas tout à fait la même chose, étant donné que l'on est pas coupable de haute trahison... ni les complices.

Sa veut dire quoi sa encore ? Je me retourne vers lui et m'apprête à lui lancer une bonne répartie. Mais je m'arrête avant même de commencer, sans vraiment savoir pourquoi. Peut-être parce que je sais qu'il a raison.
Parce que je sais que volé, au sens propre, cinq destroyers Venator avec leur personnel, cargaison et tous le tralala n'est pas en sois quelque chose de merveilleux. Mais j'y crois fermement ! J'ai réussi à confirmer des rumeurs disant que des cellules de rébellion naissaient dans la Bordure Extérieur, ce soulevant contre Palpatine. Je veux les trouver, je veux en être !
Pendant un long moment, Lars m'exp...


>>Avance rapide...>>
>Lecture>


... onnel qui ne veut pas nous suivre, nous les déposerons sur Sneeve, notre prochaine escale. Elle est à quelques parsecs de Chalacta, mais assez éloigné des routes commerciales. Mais cela m'étonnerais fort qu'il y ai de nombreux dissident à notre cause. Lars m'a expliqué ce pourquoi la, entre autre. Il ma aussi expliqué pourquoi je commandais déjà une flotte de vaisseaux capitaux. Pourquoi une personne en haut lieux fermerait les yeux sur la disparition de cinq destroyers. Pourquoi aucun des clones à bords de ces cinq Venator ne partiraient, qu'ils m'étaient loyal à moi et non à Palpatine. Car une personne en très haut lieux voulait que je parte et que je trouve les premières cellules rebelle. Pour les exterminer avant qu'elles ne deviennent un danger, il veut m'utiliser. Eh bien il vas être servis. Père avait joué un double jeu pendant des mois, peut-être même des années, en le payant grassement, lui donnant des services ou autre pour que cet inconnu entre dans les bonnes grâces du Chancelier Palpatine. Enfin, de l'Empereur, maintenant. Et aujourd'hui, tous ces sacrifices paient. Comment mon père a-t-il su que j'allais faire un acte de mutinerie ou que... Peu importe !

Ce que j'ai est simple : cinq destroyers Venator et leur équipage ainsi que toutes les unités militaire embarqué. La première étape est de déposé les dissidents sur Sneeve avant de partir pour la Bordure. Là-bas, on réfléchira à un moyen d'emmerder les Impériaux. Harceler les convois me paraît un bon début et puis... j'ai bien envie de retrouver celui qui veut ce servir de moi. Et pour sa, j'ai déjà ma petite idée.
Quand au reste, on improvisera.

descriptionDossier 637 : ARDRAR Jadonna EmptyRe: Dossier 637 : ARDRAR Jadonna

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>Lecture>

136 Jours après l'avènement de l'Empire - 15em Jour de fuite
Secteur Modell - Orbite de la neuvième lune d'Endor
Destroyer Venator,
Complice

/Marché Noir\


Endor n'a vraiment rien a voir avec Coruscant. Cette dernière respire la vie et la technologie, on peut s'en apercevoir d'un simple coup d'œil depuis l'espace. Elle est belle, ses immenses buildings brillant sous le soleil veulent toucher les étoiles donnant une belle image de la volonté des habitants de ce monde. Mais elle peut aussi être traîtresse, capricieuse. Elle peut vous faire perdre dans un dédale de rues sombre et étroite, là où les gens qui y vivent n'ont jamais vue la lumière du jour.
La lune d'Endor, elle, est tout l'inverse de la capitale de l'Empire. Aucun signe de civilisation, pas un léger pic d'énergie montrant de la technologie. Forêts, savanes et montagnes remplacent buildings, places publique et opéra.
Mais plus jamais je ne verrais Coruscant...

Je repose mon regard sur la passerelle de commandement. Elle en activité minimal et éclairé par les doux néon vert de l'éclairage de veille. Il y règne un silence à travers les bourdonnements et les bips des consoles, assez léger pour être agréable et pouvoir réfléchir à tête reposer. Un frottement de pied attire mon attention sur une silhouette. Elle se tint dignement droite et marche pas d'un léger mais son allure ne fait aucun doute quand a sa vocation : c'est un soldat d'élite. Éclairée par les néons du pont, je vois le visage d'un homme que vois à chacun de mes pas sur ce vaisseau. Seul les matricules et nom changent. Le clone RC-1969 s'avança, traversa le pont d'un pas rapide avant de s'arrêter à quelques centimètres de moi. Murmurant, il m'annonce que sa mission a été accomplie et que mon "invité" ne vas pas tarder. Un hochement de tête de ma part et il tourne les talons. Pas de salut, ni de "madame" ou encore moins d'"Amiral". Ces choses là ont été abolie, banni, suivant le point de vue. Comme pour les clones, les armures ne sont disponible qu'a l'entraînement. Je sais que les soldats clones n'aiment pas ne pas porter leur amure, ils se sentent nue ou sa les gènes. Peu importe ! Je ne voulais pas qu'il y ait deux "clans" dans les vaisseaux. Les clones et les non-clones. Tous le monde est en civile - même si trouvé autant de vêtement a été la galère -, sauf exception. De plus, les soldats l'ont bien pris et la division des vaisseaux que je craignait au début n'a pas eu lieux. Les personnes non-clone ont parfaitement suent s'intégrer avec les clones... voir je crois que se sont les clones eux-même qui les ont incité à venir. Il n'y a aucune tension sur les vaisseaux ce qui simplifie bon nombre de chose à mon goût. Ce n'est pas encore le pur bonheur dans le plus merveilleux des mondes, mais on s'en rapproche. De plus, ne plus voir d'uniformes ou d'armures nous fait rappeler à tous une chose : l'Empire est derrière nous ! Même si il n'a pas du apprécier la disparition de son matériel, je sais qu'il nous laissera tranquille un moment. Le temps que cette personne de l'ombre en aie marre d'attendre. Mais pour l'instant, je ne sais même pas si elle existe. Ce n'est qu'une explication de Lars qui m'a embrouillé l'esprit plus qu'autre chose que j'ai accepté, à défaut de l'avoir comprise. Je ferais ma propre enquête là-dessus.
Ce dont je suis sûr en ce moment, c'est que j'ai à ma disposition cinq destroyers Venator, leur équipages et leur troupes. On est discret avec sa, tiens... Je possède une flotte que toutes les organisations de pirates rêveraient d'avoir. C'est pourquoi on évite les systèmes civilisé, tant que je n'ai pas passé de marché avec certaines... personnes, dirais-je. C'est aussi pourquoi j'ai tout de suite accepté l'idée du Lieutenant-Commandant Gikä, un Rodien, qui disait que cet endroit était aussi désolé que Helska 4. Gikä m'a expliqué que le système d'Endor est compliqué d'accès à cause de la complexité des routes hyperspatiales ainsi que de l'énorme attraction gravitique de la géante gazeuse. Pas de meilleur endroit pour négocier avec une personne telle que celle qui vas venir. Cependant je n'ai aucune idée de ses intentions. Il ne sait ni mon nom, ni mon passé. En revanche, il sait que je possède "un" vaisseau de l'Empire mais rien d'autre. Et encore, il doit croire que c'est un transport Acclamator ! Seul le
Complice est en orbite de la face caché de la lune d'Endor. Les quatre autre destroyers sont en patrouille dans le secteur et nous rassembleront à un point de rendez-vous dans l'espace profond, d'ici une heure.

C'est vingt minutes après que le projecteur holographique afficha un point rouge de l'autre côté de la lune qui clignota une dizaines de secondes, pendant que plusieurs consoles bipèrent avec empressement. La passerelle retrouva soudain son dynamisme. Les faibles diodes verte laissèrent place au forte lumière blanche habituelles, les hommes installé devant leurs poste pianotait à une vitesse extraordinaire tandis qu'un clone ce tourna vers moi en disant :

- Mademoiselle, une communication du vaisseau.

Je hocha la tête sans un mot, puis la projection du secteur disparait, remplacé par la tête d'un humain encapuchonné.

- Ainsi c'est vous qui avez envoyé ce soldat nous contacté, dit-il d'une voix mielleuse. L'Empire souhaite donc travaillé avec nous ? Étonnant...
- Êtes-vous la personne qui vas mener les négociations ?
demandais-je sèchement.

Je vis la bouche de l'homme s'entrouvrir légèrement sous la surprise. Mon regard était froid, ma voix claire et ferme ne laissant aucun sous entendu dans mes propos. Le message était clair : je ne discuterais pas avec un sous-fifre. Néanmoins, l'homme était assez intelligent pour ne pas s'offusquer. Il enleva sa capuche, laissant un crane chauve, un regard de tueur et un visage de soldat. Le genre de type que l'on imagine facilement devant une dizaine de super droïde de combat avec un blaster décharger... et en sortir vivant.

- Non, ce n'est pas moi qui discuterait avec vous. Cette personne est à bord de ce vaisseau et souhaiterait vous rencontré. Il voudrait d'ailleurs savoir pourquoi vous vous caché derrière la lune.

Sa voix était totalement différente, calme et posé. Ce n'est pas difficile à comprendre que son maître a tenu à me voir avant que je ne le voie. Je reconnaît à cet homme un sacré talent de comédien.

- Il le saura bien assez tôt, répondis-je. J'envoie des appareils vous escorter jusqu'à nous...
- Mon maître préférerait que les négociations ce passe sur notre vaisseau plutôt que sur un... quelconque Tartan de la Marine Impérial.
- Oh, rassurez votre maître
, lançais-je avec un sourire diabolique, ce n'est pas un Tartan. Je le révérais à bord.

Je fis coupé la communication et ordonna à une escadrille de chasseur d'aller escorter le yacht. Je les vis sur l'holoprojecteur tournant quelques instant autour du vaisseau avant de ce caler à la même vitesse que lui. Rapidement, le yacht arriva dans notre champ de vision et réciproquement, nous étions dans le siens. Qu'est-ce que je donnerais pour voir la tête de cet humain et de son maître à l'instant où ils ont vu mon vaisseau. Un quelconque Tartan ! Ha l'abrutit !
Mais chaque chose en son temps, je me foutrais de sa tête plus tard. Pour l'heure, j'ai des invité à accueillir... Quittant la passerelle en laissant le commandement à mon second, je pense à la suite des évènements. Suivant mes ordres, le yacht sera amener au hangar tribord, A-2. Là une escouade de clone amènera le "maître" en question jusqu'à la salle briefing où je me rend maintenant. C'est là bas que ce dérouleront les négociations...


>>Avance rapide...>>
>Lecture>


Très bien, je reconnais qu'ils m'ont eu. Je m'attendais à négocier avec n'importe quel espèce, enfin sauf celle la. J'entends son rire gras si caractéristique alors qu'il n'ait encore dans le couloir. En plus il... Oh merde ! Ce truc a du salir le sol du hangar jusqu'à ici. La porte de la salle de débriefing s'ouvre dans un sifflement et un soldat en armure blanche apparaît. Je me retourne vers lui et lui dit de faire entré ces... choses, dans le couloir. Et suivis de l'homme encapuchonné de tout à l'heure et de deux gardes Trandoshans, il passe le pas de la porte. Monté sur une luge à répulseur la grosse limace il regarde la pièce avec avidité. Je suppose qu'il doit être en extase et rêve de posséder l'appareil sur lequel il ce trouve. Bah, il a toujours le droit de rêver ! Même les choses de son espèce rêve... Je regarde les Trandos ce mettre derrière le Hutt qui venait de s'installer au bout de la table le plus proche de la porte. Il ce croit déjà chez lui à ce que je vois. Passant sur le manque de politesse de mon invité, je m'installe à l'autre bout de la table, dos à la grande vitre donnant sur l'espace et la lune. Un clone ce posta devant la porte, et deux derrière moi. J'observe avec attention les réactions du Hutt. Celui-ci, bien que impressionné par le Venator, n'est pas très alaise avec des soldats qui ne font pas partit de sa garde. Il regarde les clones du coin de l'œil, et même les Trandos ont les main crispé sur leurs blaster. Même si je ne vois pas leur visage, je paris que mes soldats sont amusés sous leur masque. Bref, trêve de plaisanterie. Ne lâchant pas le Hutt du regard, je glisse ma main sur ma hanche et pose lourdement mon DL-44 sur la table. Surpris, les esclavagistes eurent le réflexe de dégainer. Ils n'eurent même pas le temps de lever leurs armes. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, ils étaient déjà cibler par les clones qui tenait fermement leur DC-15S.
Voilà qui devrait remettre les idées en place du Hutt. Jamais l'organisation pour laquelle il travaille n'aura un de mes appareils, à moins de l'aborder avec une armée. La limace lâche un rot qui fit trembler le vaisseau jusqu'à la coque avant de parler à l'homme chauve. Ce dernier c'était assis sur une chaise installé au milieu de la table.

- Mon maître demande si c'est comme cela que l'Empire négoce ses traités, dit-il.
- J'aime bien savoir avec qui je traite, justement, répondis-je. Comment s'appelle votre maître ?
- Un étranger n'appelle pas un Hutt par son nom. Mais... il aimerais connaître le votre.
- Il peut m'appeler "Mademoiselle"... ou "Amiral".


Le Hutt eut un gros rire gras quand l'homme lui traduisit

- [Je n'ai jamais vue une personne de ce rang aussi jeune ! De plus, un officier supérieur possède plusieurs vaisseaux], lança la limace. [Où sont donc les votre,
Amiral ?]

Je laissa l'homme me faire la traduction. Bien que je ne le parle pas, rare étant les humains le faisant, je comprend le Hutt. Mais la limace n'est pas obligé de le savoir...

- Vous allez les voir, Excellence. Justement...

Sortant un comlink de ma poche, je lança au second que nous pouvions y aller. Le traducteur en était surpris. Trop peut-être, car il en oublie de le traduire à son maître. Il me dévisage tandis que l'on sent le
Complice accélérer. Il ce lève brusquement, arme à la main, alors le vaisseau passa en hyperespace. Là-dessus, un clone lui donna un coup de crosse, le faisant s'écrouler sur la table.
Tss... Les gens sont si stressé de nos jours.
Les yeux du Hutt passe sans cesse de son traducteur assommé, aux clones puis à moi.

- [Comprends-tu ma langue, humaine ?] demanda soudain le Hutt. [Pour ma part, je comprend ta langue si primitive...]

Prenant un ton tout aussi arrogant que lui, je répond que je comprend la langue qu'utilise son espèce qui ce croit si supérieur. Il paraît qu'il n'ai jamais bon de chercher un Hutt, surtout dans les affaires. Mais bon, j'aime les défis !

- [Tu es sois courageuse, sois stupide, humaine. Les Hutt sont les plus dure en affaire, et c'est toi qui a besoin de nous...]
- Peut-être pas autant que tu le crois,
dis-je amusé en voyant ses yeux s'agrandirent.

Le Hutt passe sa langue visqueuse sur ses lèvres avant de lancer :

- [Soit. Parle humaine et je te dirais ce que j'en pense.]

Je hoche la tête et commence à lui expliquer. Je sais que l'organisation criminelle pour laquelle il travaille, est en difficulté depuis très, très longtemps. Eh oui, le Soleil Noir est plutôt un dur concurrent qui ne pardonne pas. Je fais d'ailleurs la remarque que, ses chefs ont été stupide de laisser une organisation tel que le Soleil Noir prendre de l'importance. Mais passons, ce n'est pas pour que je lui fasse ce genre de remarque que la limace est a bord. Continuant ma petite histoire, je sais que son entreprise manque de gros cargos et plus encore de vaisseaux pour les escorter. Les Hutts et le Soleil Noir ont apparemment toujours peur d'eux.

- [Qu'est-ce que cela peut te faire ?] grogne le Hutt.
- Je peux vous aider, répondis-je. Voilà ce que je vous propose : je met ma flotte à contribution pour vous aider dans la contrebande. Le transport de marchandise, l'escorte... tout. En échange vous me rendez un service.
- [Lequel ?]


Bien... Il est intéressé, c'est un bonne chose. En même temps cela aurait été stupide de refuser.

- Je cherche quelqu'un, répondis-je. Je ne connais ni son nom, si son visage ni même sa planète d'origine. Tout ce que je sais, c'est qu'il est influent. Très influent.
- [Rien que sa ?]
lance le Hutt sarcastique. [Humaine, sais-tu combien il y a de personne influente dans cette galaxie ?]

Je me lève et m'approche de la baie de transparacier, regardant les lignes de l'hyperespace. Nous devrions bientôt arriver, il est temps que je montre mes cartes. Même si cela est risqué, je dois le convaincre de passer cet accord.

- Y a-t-il beaucoup de personne qui puissent demander à des cloneurs de modifier la loyauté des soldats pour qu'ils n'obéissent qu'a une seule personne.
- [Il y en a pas besoin !]
fit le Hutt en éclatant de rire. [Les clones sont fidèle à une seule personne, le Chancelier.]
- Non, pas tous. Ceux-la, par exemple. Il me sont loyaux et j'ignore qui en a donné l'ordre. C'est cette personne que je veux trouver.


Le Hutt laissa son regard fixé sur moi pendant quelques instant. Ce demandant sans doute si je me foutais de lui. Finalement il éclate de rire et lança :

- [Il n'y a que peu de personnes qui peuvent faire sa, et uniquement sur ordre direct de l'Empereur].
- Eh bien je veux que vous trouviez cette personne. Mes vaisseaux seront à votre service pendant ce temps.
- [Vos vaisseaux ?]
fit la limace toujours amusé. [Soit vous avez un appareil pour le moins impressionnant mais...]

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Les condensateurs inertiels nous empêchèrent de partirent voler au quatre coins de la pièce tandis que le Complice sortait de l'hyperespace. Trois secondes plus tard, une fenêtre hyperdrive s'ouvrit et un autre Venator apparut, puis un deuxième, un troisième et un quatrième. Chacun d'une direction différente, il avancèrent vers le Complice. On pouvait les voir depuis le baie vitrée.

- Correction, fis-je en souriant, je possèdent cinq appareils impressionnant. Ils assureront la protection de certains des convois de votre organisation, transporteront de la contrebande pour vous. Si vous me donnez le nom de la personne que je veux.
- [Il vous sera donné],
après quelques instant de réflexion.

Ce furent les dernières paroles que le Hutt m'adressa. Dix minutes après son vaisseau quitta le hangar et disparut des senseurs.
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