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>Lecture>
Dossier 637 : ARDRAR Jadonna
- Nom : Ardrar
- Prénom : Jadonna
- Âge : 25
- Race : Humaine
- Origine : Coruscant
- Pro...
>>Avance rapide...>>
>Lecture>
Quatre mois après l'avènement de l'Empire
Coruscant - 18h30
Quartier du District Financier - Hôtel privé de la famille Ardrar
Je vois les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et mon frère en sors d'un pas rapide. Aïe, les nouvelles vont plutôt vite... Me voyant planté dans le couloir, il s'empresse de me rattraper. Je vois d'ici qu'il est énervé. Ses sourcils sont froncé et ses yeux me jettent des éclairs. De plus, un mauvais sourire orne son visage lorsqu'il m'aperçois. Quand il arrive à quelque mètres de moi, il tend un doigt accusateur.
- Toi ! J'ai à te parler !
Je lui fais signe de se taire, notre père étant dans la salle de réunion avec de gros bonnets de Kuat. Il grogne quelques injure avant de m'empoigner fermement et m'entraîne dans un bureau. Ou plutôt, il me jette dedans. Je reste silencieuse, laissant mon frère faire les cents pas en grognant entre ses dents. Je sais comment sa va ce passer, c'est toujours la même chose. Il sait lui-même qu'il a accepté ma décision, mais il a besoin de temps pour le comprendre. Il va d'abord tourner en rond pendant quelques minutes en parlant tout seul, puis il va me crier dessus et enfin ce calmer. Après il vas sortir du bureau en me souhaitant bonne chance. C'est toujours pareil... Je me retint de soupirer et jette un coup d'œil autour de moi pour savoir dans quel bureau nous nous trouvons. Bien, c'est celui du sous-directeur. Il est en réunion avec papa, ce qui laisse à mon frère le temps de digéré ce qu'il a appris. Je prend une bouteille de whisky et deux verres du meuble à alcool avant de remplir les verres et en amène un mon frangin qui grogne encore des obscénités. Je ne peux m'empêcher de sourire, pour peu qu'il y ait un caractère amusant à voir mon frère énervé, mais je sais que ce n'est que passager. Je m'installe sur le siège du sous-directeur et pose mes pieds sur son bureau. Je ne l'ai jamais aimé ce foutu sous-directeur !
- Alors, dis moi frangine. C'est quoi le plan maintenant ?
Je cesse de contempler mon verre d'alcool pour mon frère. Il est appuyé contre le mur, l'air parfaitement calme, son verre dans une main et son calot de Commodore Impériale dans l'autre. Si quelqu'un venait à entré maintenant, il ne ce douterais jamais que l'homme contre le mur est en train de bouillir de rage et d'angoisse. Seul son sourire et le ton sarcastique de sa voix me font comprendre qu'il ne plaisante pas. Il est en colère, mais pire que tout, il a peur. C'est toujours pour moi qu'il a peur. C'est toujours pareil...
- Keark..., commençais-je.
- Et vire tes pieds de ce foutu bureau !! hurle-t-il.
J'obéis, mais je n'ai pu m'empêcher de sursauté. C'est la première fois qu'il crie après moi comme sa. Merde, il n'a vraiment pas apprécié la nouvelle. En un mouvement il a traversé la pièce. En un éclair, il est passé du mur au bureau, où il s'y appuie les bras tendus. Ses points son serré et ses phalanges blanche. Finalement... sa ne sera peut-être pas comme d'habitude.
Me calant dans le fauteuil, je m'éclaircis la gorge.
- J'ai pris ma décision, lançais-je le plus fermement possible.
- Bien, me répond-t-il en hochant la tête. Très bien. Mais est-ce que tu te rend seulement compte de la gravité de cette décision ?
- Oh bien sur que oui, Keark ! Tu crois vraiment que je ne sais pas que je fais une énorme erreur ?
- Si ce n'est la plus grosse de ta vie..., lâche Keark dans un souffle.
Je me relève, m'appuie sur le bureau dans la même position que mon frère et le regarde dans les yeux en disant :
- Non. La plus grosse erreur de ma vie serait de resté, et de servir ce gouvernement.
- Jadonna, c'est le gouvernement légitime de Coruscant.
Je savais qu'il allais me la sortir à un moment où à un autre cette phrase. Pour bien comprendre, il faut savoir que nous faisons partie de la haute noblesse de Coruscant. Tous les membres de notre lignée sont nés et enterré sur cette planète, comme nombre d'autre familles. Même si ce nombre diminue dangereusement depuis deux siècles... Mais les familles restantes ont toutes la même devise : Servir Coruscant. Il en vas de même pour le gouvernement qui contrôle la planète, s'il ne fais rien qui détruise de quelques manière que ce soit Coruscant, au goûts de la Haute Noblesse. Et bien sur, s'il est légitime. C'est notre devoir. Keark et moi avons été élevé dans cette tradition, que je respecte et que j'applique par amour pour Coruscant. Mais "légitime", n'est qu'une question de point de vue. Surtout pour l'Empire...
- Keark, répondis-je du tac au tac, ce gouvernement est tout, sauf légitime !
- Très bien ! Alors il est quoi ?
- Pour commencer, il est illégitime, immoral, inhumain... Keark... Enfin, on sert une dictature !
- Et tu veux faire quoi, hein ? Restaurer la... Grande et Merveilleuse République ? Avec ces abrutis de Sénateur pourri jusqu'à la moelle qui serait prêt à vendre leur mère pour un peu plus de pouvoir. Des idiots qui ne savaient même pas qu'on avait une armé de clone et qui n'ont même pas pus empêcher une saloperie de guerre !
Sa y est, c'est partit ! La bataille politique commence, sa vas gueuler dans tous les coins...
- Et toi, tu le savais que l'on avais une armée de millions d'hommes ? criais-je alors qu'il s'éloigna du bureau brusquement. Hein, môssieur je-sais-tout ! Et tous les Sénateurs ne sont pas comme sa, tu la dis toi même pendant la dernière réunion de père avec eux ! Mothma, Organa, Drake, ou encore Bel Iblis, pour ne citer qu'eux ! Ah, et bien sûr ta préférée, Padmé Amidala qui...
- Amidala est morte !
Ces mots résonnent dans le bureau et ne semblent plus vouloir en partir. Il y a un silence de mort et une atmosphère lourde qui me gène et m'angoisse. Oui, Amidala est morte...
- Et il n'est pas difficile de deviner par qui.
La voix de mon frère est redevenu calme, et il a encore fini tout haut ce que je pensais tout bas. Les gens le savent tous au fond d'eux même sans vouloir vraiment y songer. Ils refusent la vérité et accepte cette explication car elle est simple, toute trouvée. Et qu'elle leur évite d'avoir à agir. La porte glisse silencieusement et une silhouette entre. Le même uniforme gris que Keark, seul les galons diffèrent. Fermant la porte derrière lui, le nouvel arrivant retire son calot avant de serrer la main de Keark.
- Salut, Lars, dis mon frère.
- Bonsoir mec, répond la voix enjoué du colonel.
- "Bon", n'est pas le terme que j'aurais employé.
Le colonel Lars Orson hausse un sourcil et tourne la tête vers moi en souriant. Mon estomac ce serre. Je lui souris, tristement, gomme une gamine gâtée qui aurait cassé un vase et qui ne veux pas ce faire punir. Je ne peux pas soutenir son regard, et tourne le mien sur la grande vitre derrière le bureau. Je vois Coruscant, brillante de mille feu sous le soleil couchant. Sa me redonne espoir ! J'entends la voix de Lars murmuré quelque chose, puis celle de mon frère lancé une injure en vieux Coruscanti. La porte qui s'ouvre... et qui claque. Je sais qui est partit, mais j'ai un soupçon de peur. Celui de me retourner, et de voir que la personne qui reste n'est pas celle que je voudrais.
- Tu vas continuer à faire la gueule longtemps ?
Oui ! Enfin non ! Mes pensées s'embrouillent dans ma tête en entendant sa voix. Finalement je me retourne et saute au cou de Lars. Pendant un instant qui me paraît trop court, il me serre contre lui avant de lâcher prise. Il me jette un autre sourire en coin, et ce dirige sur le balcon en prenant le verre sur le bureau que Keark à oublié de boire. Je le rejoins, m'appuyant sur le rambarde et regardant la grande place du District, plusieurs centaines d'étages plus bas.
- Keark est inquiet pour toi, dis finalement Lars rompant le silence.
- Keark n'a pas eu le cran de faire ce que je vais faire, répondis-je durement.
Lars me regarde étonné, comme si c'était la première fois qu'il me voyait. En fait, je ne pense pas du tout ce que je viens de dire, et si Lars me mettrait un coup de point je ne lui en voudrait pas.
- Il a voulu partir lui aussi, ajoutais-je plus calme.
- Il a voulu démissionné, répondit Orson en appuyant bien sur le dernier mot. Ce qui n'est pas tout à fait la même chose, étant donné que l'on est pas coupable de haute trahison... ni les complices.
Sa veut dire quoi sa encore ? Je me retourne vers lui et m'apprête à lui lancer une bonne répartie. Mais je m'arrête avant même de commencer, sans vraiment savoir pourquoi. Peut-être parce que je sais qu'il a raison.
Parce que je sais que volé, au sens propre, cinq destroyers Venator avec leur personnel, cargaison et tous le tralala n'est pas en sois quelque chose de merveilleux. Mais j'y crois fermement ! J'ai réussi à confirmer des rumeurs disant que des cellules de rébellion naissaient dans la Bordure Extérieur, ce soulevant contre Palpatine. Je veux les trouver, je veux en être !
Pendant un long moment, Lars m'exp...
>>Avance rapide...>>
>Lecture>
... onnel qui ne veut pas nous suivre, nous les déposerons sur Sneeve, notre prochaine escale. Elle est à quelques parsecs de Chalacta, mais assez éloigné des routes commerciales. Mais cela m'étonnerais fort qu'il y ai de nombreux dissident à notre cause. Lars m'a expliqué ce pourquoi la, entre autre. Il ma aussi expliqué pourquoi je commandais déjà une flotte de vaisseaux capitaux. Pourquoi une personne en haut lieux fermerait les yeux sur la disparition de cinq destroyers. Pourquoi aucun des clones à bords de ces cinq Venator ne partiraient, qu'ils m'étaient loyal à moi et non à Palpatine. Car une personne en très haut lieux voulait que je parte et que je trouve les premières cellules rebelle. Pour les exterminer avant qu'elles ne deviennent un danger, il veut m'utiliser. Eh bien il vas être servis. Père avait joué un double jeu pendant des mois, peut-être même des années, en le payant grassement, lui donnant des services ou autre pour que cet inconnu entre dans les bonnes grâces du Chancelier Palpatine. Enfin, de l'Empereur, maintenant. Et aujourd'hui, tous ces sacrifices paient. Comment mon père a-t-il su que j'allais faire un acte de mutinerie ou que... Peu importe !
Ce que j'ai est simple : cinq destroyers Venator et leur équipage ainsi que toutes les unités militaire embarqué. La première étape est de déposé les dissidents sur Sneeve avant de partir pour la Bordure. Là-bas, on réfléchira à un moyen d'emmerder les Impériaux. Harceler les convois me paraît un bon début et puis... j'ai bien envie de retrouver celui qui veut ce servir de moi. Et pour sa, j'ai déjà ma petite idée.
Quand au reste, on improvisera.
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Dossier 637 : ARDRAR Jadonna
- Nom : Ardrar
- Prénom : Jadonna
- Âge : 25
- Race : Humaine
- Origine : Coruscant
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Quatre mois après l'avènement de l'Empire
Coruscant - 18h30
Quartier du District Financier - Hôtel privé de la famille Ardrar
/Pourquoi nous combattons\
Je vois les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et mon frère en sors d'un pas rapide. Aïe, les nouvelles vont plutôt vite... Me voyant planté dans le couloir, il s'empresse de me rattraper. Je vois d'ici qu'il est énervé. Ses sourcils sont froncé et ses yeux me jettent des éclairs. De plus, un mauvais sourire orne son visage lorsqu'il m'aperçois. Quand il arrive à quelque mètres de moi, il tend un doigt accusateur.
- Toi ! J'ai à te parler !
Je lui fais signe de se taire, notre père étant dans la salle de réunion avec de gros bonnets de Kuat. Il grogne quelques injure avant de m'empoigner fermement et m'entraîne dans un bureau. Ou plutôt, il me jette dedans. Je reste silencieuse, laissant mon frère faire les cents pas en grognant entre ses dents. Je sais comment sa va ce passer, c'est toujours la même chose. Il sait lui-même qu'il a accepté ma décision, mais il a besoin de temps pour le comprendre. Il va d'abord tourner en rond pendant quelques minutes en parlant tout seul, puis il va me crier dessus et enfin ce calmer. Après il vas sortir du bureau en me souhaitant bonne chance. C'est toujours pareil... Je me retint de soupirer et jette un coup d'œil autour de moi pour savoir dans quel bureau nous nous trouvons. Bien, c'est celui du sous-directeur. Il est en réunion avec papa, ce qui laisse à mon frère le temps de digéré ce qu'il a appris. Je prend une bouteille de whisky et deux verres du meuble à alcool avant de remplir les verres et en amène un mon frangin qui grogne encore des obscénités. Je ne peux m'empêcher de sourire, pour peu qu'il y ait un caractère amusant à voir mon frère énervé, mais je sais que ce n'est que passager. Je m'installe sur le siège du sous-directeur et pose mes pieds sur son bureau. Je ne l'ai jamais aimé ce foutu sous-directeur !
- Alors, dis moi frangine. C'est quoi le plan maintenant ?
Je cesse de contempler mon verre d'alcool pour mon frère. Il est appuyé contre le mur, l'air parfaitement calme, son verre dans une main et son calot de Commodore Impériale dans l'autre. Si quelqu'un venait à entré maintenant, il ne ce douterais jamais que l'homme contre le mur est en train de bouillir de rage et d'angoisse. Seul son sourire et le ton sarcastique de sa voix me font comprendre qu'il ne plaisante pas. Il est en colère, mais pire que tout, il a peur. C'est toujours pour moi qu'il a peur. C'est toujours pareil...
- Keark..., commençais-je.
- Et vire tes pieds de ce foutu bureau !! hurle-t-il.
J'obéis, mais je n'ai pu m'empêcher de sursauté. C'est la première fois qu'il crie après moi comme sa. Merde, il n'a vraiment pas apprécié la nouvelle. En un mouvement il a traversé la pièce. En un éclair, il est passé du mur au bureau, où il s'y appuie les bras tendus. Ses points son serré et ses phalanges blanche. Finalement... sa ne sera peut-être pas comme d'habitude.
Me calant dans le fauteuil, je m'éclaircis la gorge.
- J'ai pris ma décision, lançais-je le plus fermement possible.
- Bien, me répond-t-il en hochant la tête. Très bien. Mais est-ce que tu te rend seulement compte de la gravité de cette décision ?
- Oh bien sur que oui, Keark ! Tu crois vraiment que je ne sais pas que je fais une énorme erreur ?
- Si ce n'est la plus grosse de ta vie..., lâche Keark dans un souffle.
Je me relève, m'appuie sur le bureau dans la même position que mon frère et le regarde dans les yeux en disant :
- Non. La plus grosse erreur de ma vie serait de resté, et de servir ce gouvernement.
- Jadonna, c'est le gouvernement légitime de Coruscant.
Je savais qu'il allais me la sortir à un moment où à un autre cette phrase. Pour bien comprendre, il faut savoir que nous faisons partie de la haute noblesse de Coruscant. Tous les membres de notre lignée sont nés et enterré sur cette planète, comme nombre d'autre familles. Même si ce nombre diminue dangereusement depuis deux siècles... Mais les familles restantes ont toutes la même devise : Servir Coruscant. Il en vas de même pour le gouvernement qui contrôle la planète, s'il ne fais rien qui détruise de quelques manière que ce soit Coruscant, au goûts de la Haute Noblesse. Et bien sur, s'il est légitime. C'est notre devoir. Keark et moi avons été élevé dans cette tradition, que je respecte et que j'applique par amour pour Coruscant. Mais "légitime", n'est qu'une question de point de vue. Surtout pour l'Empire...
- Keark, répondis-je du tac au tac, ce gouvernement est tout, sauf légitime !
- Très bien ! Alors il est quoi ?
- Pour commencer, il est illégitime, immoral, inhumain... Keark... Enfin, on sert une dictature !
- Et tu veux faire quoi, hein ? Restaurer la... Grande et Merveilleuse République ? Avec ces abrutis de Sénateur pourri jusqu'à la moelle qui serait prêt à vendre leur mère pour un peu plus de pouvoir. Des idiots qui ne savaient même pas qu'on avait une armé de clone et qui n'ont même pas pus empêcher une saloperie de guerre !
Sa y est, c'est partit ! La bataille politique commence, sa vas gueuler dans tous les coins...
- Et toi, tu le savais que l'on avais une armée de millions d'hommes ? criais-je alors qu'il s'éloigna du bureau brusquement. Hein, môssieur je-sais-tout ! Et tous les Sénateurs ne sont pas comme sa, tu la dis toi même pendant la dernière réunion de père avec eux ! Mothma, Organa, Drake, ou encore Bel Iblis, pour ne citer qu'eux ! Ah, et bien sûr ta préférée, Padmé Amidala qui...
- Amidala est morte !
Ces mots résonnent dans le bureau et ne semblent plus vouloir en partir. Il y a un silence de mort et une atmosphère lourde qui me gène et m'angoisse. Oui, Amidala est morte...
- Et il n'est pas difficile de deviner par qui.
La voix de mon frère est redevenu calme, et il a encore fini tout haut ce que je pensais tout bas. Les gens le savent tous au fond d'eux même sans vouloir vraiment y songer. Ils refusent la vérité et accepte cette explication car elle est simple, toute trouvée. Et qu'elle leur évite d'avoir à agir. La porte glisse silencieusement et une silhouette entre. Le même uniforme gris que Keark, seul les galons diffèrent. Fermant la porte derrière lui, le nouvel arrivant retire son calot avant de serrer la main de Keark.
- Salut, Lars, dis mon frère.
- Bonsoir mec, répond la voix enjoué du colonel.
- "Bon", n'est pas le terme que j'aurais employé.
Le colonel Lars Orson hausse un sourcil et tourne la tête vers moi en souriant. Mon estomac ce serre. Je lui souris, tristement, gomme une gamine gâtée qui aurait cassé un vase et qui ne veux pas ce faire punir. Je ne peux pas soutenir son regard, et tourne le mien sur la grande vitre derrière le bureau. Je vois Coruscant, brillante de mille feu sous le soleil couchant. Sa me redonne espoir ! J'entends la voix de Lars murmuré quelque chose, puis celle de mon frère lancé une injure en vieux Coruscanti. La porte qui s'ouvre... et qui claque. Je sais qui est partit, mais j'ai un soupçon de peur. Celui de me retourner, et de voir que la personne qui reste n'est pas celle que je voudrais.
- Tu vas continuer à faire la gueule longtemps ?
Oui ! Enfin non ! Mes pensées s'embrouillent dans ma tête en entendant sa voix. Finalement je me retourne et saute au cou de Lars. Pendant un instant qui me paraît trop court, il me serre contre lui avant de lâcher prise. Il me jette un autre sourire en coin, et ce dirige sur le balcon en prenant le verre sur le bureau que Keark à oublié de boire. Je le rejoins, m'appuyant sur le rambarde et regardant la grande place du District, plusieurs centaines d'étages plus bas.
- Keark est inquiet pour toi, dis finalement Lars rompant le silence.
- Keark n'a pas eu le cran de faire ce que je vais faire, répondis-je durement.
Lars me regarde étonné, comme si c'était la première fois qu'il me voyait. En fait, je ne pense pas du tout ce que je viens de dire, et si Lars me mettrait un coup de point je ne lui en voudrait pas.
- Il a voulu partir lui aussi, ajoutais-je plus calme.
- Il a voulu démissionné, répondit Orson en appuyant bien sur le dernier mot. Ce qui n'est pas tout à fait la même chose, étant donné que l'on est pas coupable de haute trahison... ni les complices.
Sa veut dire quoi sa encore ? Je me retourne vers lui et m'apprête à lui lancer une bonne répartie. Mais je m'arrête avant même de commencer, sans vraiment savoir pourquoi. Peut-être parce que je sais qu'il a raison.
Parce que je sais que volé, au sens propre, cinq destroyers Venator avec leur personnel, cargaison et tous le tralala n'est pas en sois quelque chose de merveilleux. Mais j'y crois fermement ! J'ai réussi à confirmer des rumeurs disant que des cellules de rébellion naissaient dans la Bordure Extérieur, ce soulevant contre Palpatine. Je veux les trouver, je veux en être !
Pendant un long moment, Lars m'exp...
>>Avance rapide...>>
>Lecture>
... onnel qui ne veut pas nous suivre, nous les déposerons sur Sneeve, notre prochaine escale. Elle est à quelques parsecs de Chalacta, mais assez éloigné des routes commerciales. Mais cela m'étonnerais fort qu'il y ai de nombreux dissident à notre cause. Lars m'a expliqué ce pourquoi la, entre autre. Il ma aussi expliqué pourquoi je commandais déjà une flotte de vaisseaux capitaux. Pourquoi une personne en haut lieux fermerait les yeux sur la disparition de cinq destroyers. Pourquoi aucun des clones à bords de ces cinq Venator ne partiraient, qu'ils m'étaient loyal à moi et non à Palpatine. Car une personne en très haut lieux voulait que je parte et que je trouve les premières cellules rebelle. Pour les exterminer avant qu'elles ne deviennent un danger, il veut m'utiliser. Eh bien il vas être servis. Père avait joué un double jeu pendant des mois, peut-être même des années, en le payant grassement, lui donnant des services ou autre pour que cet inconnu entre dans les bonnes grâces du Chancelier Palpatine. Enfin, de l'Empereur, maintenant. Et aujourd'hui, tous ces sacrifices paient. Comment mon père a-t-il su que j'allais faire un acte de mutinerie ou que... Peu importe !
Ce que j'ai est simple : cinq destroyers Venator et leur équipage ainsi que toutes les unités militaire embarqué. La première étape est de déposé les dissidents sur Sneeve avant de partir pour la Bordure. Là-bas, on réfléchira à un moyen d'emmerder les Impériaux. Harceler les convois me paraît un bon début et puis... j'ai bien envie de retrouver celui qui veut ce servir de moi. Et pour sa, j'ai déjà ma petite idée.
Quand au reste, on improvisera.