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Le chevalier Ofee conduit Corran d'un pas calme vers une autre zone de l'Académie à travers un véritable labyrinthe de couloirs souterrains obscur.
Elle ne dit pas un mot et ses pas ne font aucun bruit.
Ils arrivent devant une porte de permacier qui s'ouvre devant eux, révélant une vaste cour fermée envahit par une verdoyante végétation.
De cyclopéennes boules de granite recouvertes d'une épaisses couches de mousses et de fougères forment un terrain accidenté au milieu d'un jardin sauvage d'herbes hautes et de lianes épipytes qui tombent en draperie d'un grand saule étrangleur qui trône au centre de la salle. Les ramures de l'arbre millénaire couvrent toute la cour et filtre la lumière crépusculaire du soir sur la petite lune de Yavin. Toutes sortent de créatures bondissent, volent ou grouillent dans ses branches qui cascadent vers le sol. Le tronc noir, noueux et torturé, d'une circonférence proche de celle d'une petite habitation, lance d'étranges racines échasses, à de grandes distances, dans toutes les directions. Un brouillard jette un voile occulte sur le lieu.
Un sentiment ineffable envahit Corran à la vue de l'arbre sombre, comme un appel. La mirialan n'y semble pas sensible. Elle entre dans la pièce et invite le jeune homme à faire de même. La porte se referme derrière eux.
Au pied de l'entrée, une caisse de permaluminium a été déposé dans l'herbe.
Ofee se retourne pour faire face à Corran. Elle sort de sa manche la poignée métallique d'un sabre laser et la lui tend. L'ancienne padawan reconnait d'un coup d'oeil qu'on ne lui offre pas une simple arme basse énergie réservée à l'entrainement, mais bien son propre sabre, le symbole le plus connu des arts jedi, un chef d'oeuvre mortel, unique et irremplaçable, parfois fruit de plusieurs générations d'artisans.
Le chevalier Ofee conduit Corran d'un pas calme vers une autre zone de l'Académie à travers un véritable labyrinthe de couloirs souterrains obscur.
Elle ne dit pas un mot et ses pas ne font aucun bruit.
Ils arrivent devant une porte de permacier qui s'ouvre devant eux, révélant une vaste cour fermée envahit par une verdoyante végétation.
De cyclopéennes boules de granite recouvertes d'une épaisses couches de mousses et de fougères forment un terrain accidenté au milieu d'un jardin sauvage d'herbes hautes et de lianes épipytes qui tombent en draperie d'un grand saule étrangleur qui trône au centre de la salle. Les ramures de l'arbre millénaire couvrent toute la cour et filtre la lumière crépusculaire du soir sur la petite lune de Yavin. Toutes sortent de créatures bondissent, volent ou grouillent dans ses branches qui cascadent vers le sol. Le tronc noir, noueux et torturé, d'une circonférence proche de celle d'une petite habitation, lance d'étranges racines échasses, à de grandes distances, dans toutes les directions. Un brouillard jette un voile occulte sur le lieu.
Un sentiment ineffable envahit Corran à la vue de l'arbre sombre, comme un appel. La mirialan n'y semble pas sensible. Elle entre dans la pièce et invite le jeune homme à faire de même. La porte se referme derrière eux.
Au pied de l'entrée, une caisse de permaluminium a été déposé dans l'herbe.
Ofee se retourne pour faire face à Corran. Elle sort de sa manche la poignée métallique d'un sabre laser et la lui tend. L'ancienne padawan reconnait d'un coup d'oeil qu'on ne lui offre pas une simple arme basse énergie réservée à l'entrainement, mais bien son propre sabre, le symbole le plus connu des arts jedi, un chef d'oeuvre mortel, unique et irremplaçable, parfois fruit de plusieurs générations d'artisans.