le Hutt Fou était maintenant stationné en un point neutre et peu frquenté de la Galaxie depuis une semaine. Vitika et Joran étaient de plus en plus exaspérés car la réponse à leurs messages et demandes de contacts envers la toute jeune Rebellion se faisaient attendre. Les groupe n'était peut-être pas encore suffisament organisé pour gérer efficacement ce genre de demandes de cotacts, et le plus frustrant dans tout celà était que, pendant qu'ils attendaient ici en se tournant les pouces, la Zabrak sentait sa marge de profit fondre à vue d'oeil. Des contrats peut-être lucratifs étaient en train de leur passer sous le nez avec chaque nouveau jour qui passait.
- Vitika, tu devrais peut-être songer à abandonner et nous rammener sur Nar Shaddaa. Je ne crois pas que les Rebelles s'intéressent à notre cas. n perds notre temps et...
- Joran! Le coupa-t-elle assez sèchement. je ne fais pas celà pour le plaisir! je dois commencer à envisager de travailler pour les rebelles aussi, en même temps que pour n'importe qui d'autre, car quelque chose me dit que ce sera bientôt un groupe avec lequel il faudra s'enttendre.
Pour le énième fois ce jour-là, l'humain regarda le plafond avec une expression exaspérée et sortit du cockpit pour retourner à la salle des machines. ou du oins, sur ce tas de Ferailles, le placard à balais qui leur servait de salle des machines. Elle ne le montrait pas, mais Vitika était tout aussi exaspérée que son compagnon. S'il n'y avait pas de réponses d'ici deux jours de plus, ils partiraient. Elle ne pouvait pas se permettre de perdre plus de temps.
Elle en était là de ses réflexions quand le voyant de réception de communication se mit à clignoter. Elle cligna deux ou trois fois des yeux, avant de prendre le micro et de le fixerà son oreille.
- Ici le Hutt Fou. Je vous reçoit! Je répètes, je vous reçoit!
Enfin! Ce n'était pas trop tôt! Il semblerait que quelqu'un ait remarqué leu présence et capté leur message, en fin de comptes!
- Joran, ammènes-toi ici! Hurla-t-elle ensuite dans l'intercom.
Deux minutes après, son co-pilote était là et il écoutait avec ellle la communication qu'ils venaient de recevoir.
- Vitika, tu devrais peut-être songer à abandonner et nous rammener sur Nar Shaddaa. Je ne crois pas que les Rebelles s'intéressent à notre cas. n perds notre temps et...
- Joran! Le coupa-t-elle assez sèchement. je ne fais pas celà pour le plaisir! je dois commencer à envisager de travailler pour les rebelles aussi, en même temps que pour n'importe qui d'autre, car quelque chose me dit que ce sera bientôt un groupe avec lequel il faudra s'enttendre.
Pour le énième fois ce jour-là, l'humain regarda le plafond avec une expression exaspérée et sortit du cockpit pour retourner à la salle des machines. ou du oins, sur ce tas de Ferailles, le placard à balais qui leur servait de salle des machines. Elle ne le montrait pas, mais Vitika était tout aussi exaspérée que son compagnon. S'il n'y avait pas de réponses d'ici deux jours de plus, ils partiraient. Elle ne pouvait pas se permettre de perdre plus de temps.
Elle en était là de ses réflexions quand le voyant de réception de communication se mit à clignoter. Elle cligna deux ou trois fois des yeux, avant de prendre le micro et de le fixerà son oreille.
- Ici le Hutt Fou. Je vous reçoit! Je répètes, je vous reçoit!
Enfin! Ce n'était pas trop tôt! Il semblerait que quelqu'un ait remarqué leu présence et capté leur message, en fin de comptes!
- Joran, ammènes-toi ici! Hurla-t-elle ensuite dans l'intercom.
Deux minutes après, son co-pilote était là et il écoutait avec ellle la communication qu'ils venaient de recevoir.