l'&rriver sur tatoine.

Le transporteur perça l’atmosphère et entama sa descente ver l’astroport de mos eisly. Les deux soleil, tatoo 1 et tatoo 2 était déjà haut dans le ciel en ce début d’après midi. L’heure d’arriver était parfaite, la plupart des habitants étant a l’heure actuel chez eux ou terrés dans les cantinas pour fuir la chaleur accablante de l’après midi. Reave pensa donc que son entre n’aurait put être plus discrète.

Le vaisseau se posa en douceur sur le tarmac et la rampe d’acce fut abaissé. Declane se fondit dans la foule et quitta rapidement le spatioport en direction d’une cantina ou il pourrait lui-même se mettre a l’abris et réfléchir a la suite du programme.

=> mos eisly.

Ils arrivèrent au spatioport et le jeune pilote les dirigeas ver un petit cargo de type yt-1300.
Il abaissa la rampe et tous deux pénétrèrent dans la sécurité relative du vaisseaux. S’arrêtant dans le petit espace réserve au passager il s’étalerent dans un fauteuil.

Au bout de quelque minute le jeune pilote regarda Reave et lui adressa la parole :

- Moi c’est Ozzel, pilote indépendant. Et toi a part être barge tu est.

Reave observa ses phalange douloureuse et passa sa langue sur ces lèvre éclate :

- Moi ! Je suis abîme aussi. Il se passa un instant ou chacun des deux homme observait l’autre en silence. Reave Declane.

- Et bien Reave, C’est la dernière fois que je fait du transport de personne crois moi. L’homme soupira. Reave j’ai un problème avec toi.

Declane l’observa, appelant la force a lui pour pouvoir se défendre si il en avait besoin.

- Visiblement il n’y a pas qu’avec moi que tu as des problèmes.
- Ce n’est pas le même genres de problème. Je te suis redevable et je n’aime pas ca.

Reave souleva les épaules et souris.

- Si ce n’est que ca, ca peut se régler rapidement.
- C'est-à-dire ?
- Je dois me rendre sur alderande.
- Ok.

Ozzel se leva et se dirigea ver le cocpit suivit d’un Reave satisfait.

- Ca ne te dérange pas si ont par tout de suite.

Reave leva la tête alors que le vaisseaux s’élevait lentement de la coupole creuse a même le sable qui lui avait servis de hangar. Le cargos s’élance vaillement a l’assaut des nuages en cette fin d’après midi.

- Du tout. Cela fait trop longtemps que j’attends.

Sur ces mot, Declane repartie en direction du salon espérant que le sénateur pourras lui permettre d’honorer la mémoire de son maître.