Rhen Var... Elle est entièrement recouverte de glaciers et de neige. Autrefois, c'était une planète riche comprenant le même climat que Naboo. Il reste même les vestiges d'un ancien port qui donne aujourd'hui sur la mer congelée. Plus loin se trouve une magnifique citadelle abandonnée auquelle il ne reste que quelques vestiges. Mais les sous-sol sont restés intactes et l'Empire y a installé un vaste complexe dont la plupart des personnes ignorent l'existence. Plusieurs kilomètres de galeries souterraines miraculeusement épargnée par le mystérieux cataclisme qui a sévit sur cette planète. Ces souterrains sont désormais éxploités pour différentes expériences sur des armes chimiques, bactériologiques ou des bombes capable de réduire plusieurs villes en un tas de poussière. On y trouve aussi une importante prison, dissimulée au dèrnier étage qui comporte une salle... "spéciale"...
Une navette était amarée dans un hangar sur le flanc de la montagne. C'était une navette banalisée comme en utilise souvent l'Empire sur ce genre de planète. Un homme costaud y était descendu, la mine grave. Apparement, il était annonciateur de mauvaises nouvelles. Il entra par une lourde porte dans un couloir qui menait à un ascenseur. Il était habillé dans un épais manteau de fourure et portait une grande louse blanche légèrement tâché de sang. Sur son plastron s'étalait un symbole : Un aigle et deux sabres qui se croisent. Il portait sous son bras une casquette d'officier.
L'ascenseur arriva au vingtième sous-sol et s'arrèta lentement, ouvrant ses portes sur un couloir entièrement bétonéou la température était la même que sur une planète telle Naboo. L'homme en sortit et se dirigea vers une porte sur laquelle on pouvait lire "Bureau du Commandant Silvan". Il inséra une carte sur un lecteur juste à côté et la porte coulissante s'ouvrit sur une pièce de taille moyenne, dépourvu de toutes décorations hormies un portrait de L'Impératrice soigneusement encadré audessus d'un buffet. Il n'était pas là par plaisir mais plutôt par obligation. L'homme s'assit dans un fauteuil devant son bureau et sortit d'un des tiroirs un magnifiques cahier noir aux dorures presques éffacées. Il l'ouvrit et en sortit un stylo et se mit à écrire.
L'homme referma son journal et le ranga dans son tiroir puis, lorsqu'il alla se mettre à l'aise, la porte s'ouvrit. Un petit homme chauve au nez poinntu entra dans le bureau. Il jetait des regards noirs à Lionel. Mais une fois qu'il eut refermé la porte, il afficha un large sourire et son regard était devenu malicieux.
Hamid Tirr : He bien monsieur,cette fois j'ai bien cru que vous me demandiez ce qui se passe mais je vois que vous savez garder votre sang froid. Il faut dire aussi que j'essaye si souvent de vous remonter le moral que vous savez rester impassible quand je rentre. Mais je ne suis pas venu pour cela. Vous avez l'air fatigué, vous devriez vous reposer un peu, nous savons que vous vous démenez jours et nuits pour tenter de réparer la ligne mais vous savez, nous nous sommes mis d'accord avec les autres officiers. Si nous mourrons, nous resterons avec vous, rien que pour l'honneur que vous nous avez fait et pour toute les tentatives que vous avez éxécuté pour nous sauver, au détriment de votre oeil... Nous avons su dès que vous êtes revenu que nous étions condamnés mais nous ne vous laisserons jamais tomber !
Lionel Silvan : Oui, sachez également que j'ai eu plaisir à vous connaître et que quoi qu'il arrive, nous ne nous perdrons pas de vu. C'est dommage pour vous, vous ne verrez pas grandir votre fille. J'en suis navré Hamid mais le destin nous a fait venir ici et je pense que nous aurons bientôt une réponse.
Qu'en est-il du prisonnier 66-AR-S ? Nous devrions bientôt obtenir des aveux... Peut-être devrais-je lui installer un vocabulateur car ses baragouinements sont incompréhensibles sans sa langue...
Hamid Tirr : Très bien, ce sera fait. Pour ce qui est des autres prisonniers ? Nous devons les nourrir un minimum pour pouvoir les maintenir en vie, et je doute que nous tiendrons plus d'une semaine.
Lionel Silvan : Très bien éxécutez tous ceux qui ont avoué et nous allons "lacher" les autres cette nuit. Bien vous pouvez disposer, je vais m'occuper du prisonnier 66-AR-S dès que vous aurez installer le vocabulateur.
Hamid disposa, laissant Lionel seul à ses pensées.
Un peu plus tard dans la journée, Lionel en sortit, vêtu d'une longue blouse blanche immaculée avec une ceinture comprenant des dizaines de couteaux. Il prit l'ascenseur et arriva dans un couloir entièrement en métal d'où la seule lumière provenait de quelques néons grésillants. Il l'empreinta et s'immobilisa devant une énorme porte et y entra...
[HRP : Pas encore finit. Au prochain méssage, j'aurais sans doute besoin d'un MJ.]
Une navette était amarée dans un hangar sur le flanc de la montagne. C'était une navette banalisée comme en utilise souvent l'Empire sur ce genre de planète. Un homme costaud y était descendu, la mine grave. Apparement, il était annonciateur de mauvaises nouvelles. Il entra par une lourde porte dans un couloir qui menait à un ascenseur. Il était habillé dans un épais manteau de fourure et portait une grande louse blanche légèrement tâché de sang. Sur son plastron s'étalait un symbole : Un aigle et deux sabres qui se croisent. Il portait sous son bras une casquette d'officier.
L'ascenseur arriva au vingtième sous-sol et s'arrèta lentement, ouvrant ses portes sur un couloir entièrement bétonéou la température était la même que sur une planète telle Naboo. L'homme en sortit et se dirigea vers une porte sur laquelle on pouvait lire "Bureau du Commandant Silvan". Il inséra une carte sur un lecteur juste à côté et la porte coulissante s'ouvrit sur une pièce de taille moyenne, dépourvu de toutes décorations hormies un portrait de L'Impératrice soigneusement encadré audessus d'un buffet. Il n'était pas là par plaisir mais plutôt par obligation. L'homme s'assit dans un fauteuil devant son bureau et sortit d'un des tiroirs un magnifiques cahier noir aux dorures presques éffacées. Il l'ouvrit et en sortit un stylo et se mit à écrire.
... Cela fait deux semaines que nous n'avons plus de nouvelles du haut commandement. Pour couronner le tout, les navettes chargées de nous envoyer des vivres semblent être interceptées par des pirates ou je ne sais quelle autre vermine que compte cette galaxie. Je vais devoir annocer à mes hommes que si nous ne recevons pas de vivre dans une semaine, nous devrons abandonner la mission car les autres planètes sont trop éloignés et notre unique navette ne possède pas d'hyper espace. Nous arrivons dans une semaine critique et je ne sais pas si je vais encore tenir un jour de plus. Chaque matin, un nouveau calvaire débute. Il y a deux jours, nous avons perdus la ligne de communication. Il y a trois jours un éboulement à détruit les navettes de secours et nous sommes coincés comme des rats sur cette planète infernale...
L'homme referma son journal et le ranga dans son tiroir puis, lorsqu'il alla se mettre à l'aise, la porte s'ouvrit. Un petit homme chauve au nez poinntu entra dans le bureau. Il jetait des regards noirs à Lionel. Mais une fois qu'il eut refermé la porte, il afficha un large sourire et son regard était devenu malicieux.
Hamid Tirr : He bien monsieur,cette fois j'ai bien cru que vous me demandiez ce qui se passe mais je vois que vous savez garder votre sang froid. Il faut dire aussi que j'essaye si souvent de vous remonter le moral que vous savez rester impassible quand je rentre. Mais je ne suis pas venu pour cela. Vous avez l'air fatigué, vous devriez vous reposer un peu, nous savons que vous vous démenez jours et nuits pour tenter de réparer la ligne mais vous savez, nous nous sommes mis d'accord avec les autres officiers. Si nous mourrons, nous resterons avec vous, rien que pour l'honneur que vous nous avez fait et pour toute les tentatives que vous avez éxécuté pour nous sauver, au détriment de votre oeil... Nous avons su dès que vous êtes revenu que nous étions condamnés mais nous ne vous laisserons jamais tomber !
Lionel Silvan : Oui, sachez également que j'ai eu plaisir à vous connaître et que quoi qu'il arrive, nous ne nous perdrons pas de vu. C'est dommage pour vous, vous ne verrez pas grandir votre fille. J'en suis navré Hamid mais le destin nous a fait venir ici et je pense que nous aurons bientôt une réponse.
Qu'en est-il du prisonnier 66-AR-S ? Nous devrions bientôt obtenir des aveux... Peut-être devrais-je lui installer un vocabulateur car ses baragouinements sont incompréhensibles sans sa langue...
Hamid Tirr : Très bien, ce sera fait. Pour ce qui est des autres prisonniers ? Nous devons les nourrir un minimum pour pouvoir les maintenir en vie, et je doute que nous tiendrons plus d'une semaine.
Lionel Silvan : Très bien éxécutez tous ceux qui ont avoué et nous allons "lacher" les autres cette nuit. Bien vous pouvez disposer, je vais m'occuper du prisonnier 66-AR-S dès que vous aurez installer le vocabulateur.
Hamid disposa, laissant Lionel seul à ses pensées.
Un peu plus tard dans la journée, Lionel en sortit, vêtu d'une longue blouse blanche immaculée avec une ceinture comprenant des dizaines de couteaux. Il prit l'ascenseur et arriva dans un couloir entièrement en métal d'où la seule lumière provenait de quelques néons grésillants. Il l'empreinta et s'immobilisa devant une énorme porte et y entra...
[HRP : Pas encore finit. Au prochain méssage, j'aurais sans doute besoin d'un MJ.]