- Nom : Meetra Solari
- Nom Complet : Meetra Reesan Solari
- Autres Comptes : AucunProfil
- Race : Humaine
- Sexe : Féminin
- Âge : 22 ans
- Planète d'origine : Dantooine
- Apparence : Meetra est une jeune femme aux cheveux noirs qui est souvent regardée du coin de l’œil - c'est le cas de le dire - à cause de ses yeux mi-gris, mi-or qui luisent au gré de la lumière environnante. Plutôt taillée en finesse, elle laisse tomber ses cheveux naturellement sur ses épaules, bien qu'elle ait recours quelquefois à la solution queue de cheval afin de ne pas être gênée au cours d'affrontements potentiels.
- Métier : Spécialiste en artefacts Jedi et Sith (holocrons, cristaux...)
- Taille : 1,74 m
- Poids : 62 kg
- Groupe : NeutresInformations
- Histoire :
Identité
Histoire de la lignée des Solari :
Nous sommes quelques mois après la fin de la guerre civile des Jedi. Revan a trouvé la rédemption et, avec lui, la République toute entière. Alors que le Jedi s’apprête à retourner dans les contrées inexplorées à la recherche de la planète « noyée dans les orages » perdue au fin fond de sa mémoire reconstruite de toutes pièces, une jeune Padawan du Temple Jedi de Coruscant récemment rebâti, Lamia Vassal, est séduite par les idéaux de l’ancien leader des guerres mandaloriennes. Il parle de lumière et de ténèbres comme personne, et son expérience de la Force fascine la jeune fille qui va même jusqu’à lui proposer de l’accompagner dans son ultime quête. Mais Revan somme Lamia de rester dans l’espace de la République, et d’œuvrer pour la paix, comme lui-même l’avait fait par le passé. C’est à ce moment là que Revan fait à la jeune Padawan un présent inestimable : le cristal de Solari, qu’il a lui-même récupéré dans le tombeau de Naga Shadow lors de la guerre civile des Jedi, quelques jours seulement avant la bataille de la Forge Stellaire.
Bien des années après que Revan soit parti pour les contrées inexplorées, Lamia, devenue successivement Chevalier puis Maître Jedi, a survécu miraculeusement à la purge menée par Darth Nihilus, faisant partie ainsi des quelques survivants de l’Ordre Jedi avec Bastila Shan et l’Exilée. Quand bien des décennies plus tard la Force l’appelle à nouveau à elle pour une étreinte ultime dans la mort, elle lègue le cristal à sa toute jeune initiée la plus prometteuse, une orpheline du nom de Maelia. Devenue la nouvelle gardienne du cristal, Maelia prend le nom de Solari. Devenue Chevalier, et violant les préceptes Jedi, elle met au monde une petite fille. Bannie de l’Ordre, elle abandonne les voies de la Force pour la diplomatie, et elle deviendra sénatrice de son monde natal, Tatooine.
Les siècles s’écoulent, et la famille Solari prospère dans le monde de la politique républicaine. Le cristal se transmet de générations en générations, comme un artefact perdu dont on aurait presque oublié la signification ou l’utilité. Quelques décennies avant le retour de l’Empire Sith, Ryan Solari, dernier héritier de la famille, tombe amoureux d’un jeune Miraluka. Il aura une fille, Reesan, qui entrera dans l’Ordre Jedi et jouera un rôle majeur dans la guerre opposant la République à l’Empire Sith ressuscité. C’est la dernière gardienne du cristal connue de la famille Solari. Reesan aura trois filles : Traemia Solari, l’aînée, jeune Padawan Jedi tombée du côté obscur de la Force et devenue un assassin Sith à la solde de l’Empire, et les jumelles Vreena et Veraen, qui seront séparées à la naissance et dont la trace se perd à travers le temps. A la mort de Reesan, le cristal de Solari disparaît, mais Traemia aura cependant une descendance, et c’est de cette descendance que naîtra, des siècles plus tard, la toute jeune Meetra Solari sous le soleil de Dantooine.
A la naissance de Meetra, les Solari n’ont plus aucune notoriété, et la famille est tombée depuis longtemps dans l’oubli. Seule demeure l’histoire que lui raconte son père au coin du feu, parlant d’un cristal légendaire qui leur aurait donné leur nom des siècles plus tôt.
Bien des années après que Revan soit parti pour les contrées inexplorées, Lamia, devenue successivement Chevalier puis Maître Jedi, a survécu miraculeusement à la purge menée par Darth Nihilus, faisant partie ainsi des quelques survivants de l’Ordre Jedi avec Bastila Shan et l’Exilée. Quand bien des décennies plus tard la Force l’appelle à nouveau à elle pour une étreinte ultime dans la mort, elle lègue le cristal à sa toute jeune initiée la plus prometteuse, une orpheline du nom de Maelia. Devenue la nouvelle gardienne du cristal, Maelia prend le nom de Solari. Devenue Chevalier, et violant les préceptes Jedi, elle met au monde une petite fille. Bannie de l’Ordre, elle abandonne les voies de la Force pour la diplomatie, et elle deviendra sénatrice de son monde natal, Tatooine.
Les siècles s’écoulent, et la famille Solari prospère dans le monde de la politique républicaine. Le cristal se transmet de générations en générations, comme un artefact perdu dont on aurait presque oublié la signification ou l’utilité. Quelques décennies avant le retour de l’Empire Sith, Ryan Solari, dernier héritier de la famille, tombe amoureux d’un jeune Miraluka. Il aura une fille, Reesan, qui entrera dans l’Ordre Jedi et jouera un rôle majeur dans la guerre opposant la République à l’Empire Sith ressuscité. C’est la dernière gardienne du cristal connue de la famille Solari. Reesan aura trois filles : Traemia Solari, l’aînée, jeune Padawan Jedi tombée du côté obscur de la Force et devenue un assassin Sith à la solde de l’Empire, et les jumelles Vreena et Veraen, qui seront séparées à la naissance et dont la trace se perd à travers le temps. A la mort de Reesan, le cristal de Solari disparaît, mais Traemia aura cependant une descendance, et c’est de cette descendance que naîtra, des siècles plus tard, la toute jeune Meetra Solari sous le soleil de Dantooine.
A la naissance de Meetra, les Solari n’ont plus aucune notoriété, et la famille est tombée depuis longtemps dans l’oubli. Seule demeure l’histoire que lui raconte son père au coin du feu, parlant d’un cristal légendaire qui leur aurait donné leur nom des siècles plus tôt.
***
Mon nom est Meetra Solari, fille de la lumière et héritière des ténèbres. Je suis née sous le sceau des destins croisés dans le soleil couchant des jours, je mourrai sous le regard des tombes brisées dans l’aube grandissante de la Force en équilibre. Je ne sais où me rendre, mais la vie me poussera lentement entre les vagues de la destinée, éperdue dans l’écume des heures égarées à jamais dans l’immensité de l’univers. Que mon bras soit vengeur et justicier comme mon âme fut jadis jeune et innocente, que ma volonté se charge des orages houleux, des ténèbres les plus sombres, pour rejaillir jusque dans les cieux inondés de lumière, d’où la Force renaîtra à nouveau, comme elle le fait toujours depuis que les mondes sont mondes.
La jeune femme ferma les yeux et tenta de se souvenir. Une somme des choses accomplies et une inclusion de choses à être, voilà ce qu’elle était. Et dans cette extraordinaire accumulation de sentiments passés, d’évènements vécus et de personnes rencontrées, elle vit se dessiner, pensée après pensée, ce que l’on appelle une histoire. Son histoire, celle de Meetra Solari, la toute jeune orpheline qui avait dû errer pendant plusieurs mois sur Dantooine à la recherche d’un nouveau foyer ; celle encore de la survivante, cherchant sa nourriture dans les larges plaines et au fin fond es grottes obscures ; celle de l’élève, qui avait appris les secrets de la Force lumineuse grâce à un mentor inattendu ; celle enfin de l’élève accomplie, qui avait perçu dans cet homme un traître et s’était chargée de lui en tant que tel ; enfin celle de la femme mystérieuse, toujours imperceptible, qui allait, traçant son chemin, à travers les dangereux méandres de la galaxie. Et tout cela défilait devant ses yeux, images vivantes d’un passé pourtant révolu.
Elle se revoit, alors âgée de quatre ans, devant sa maison en proie aux flammes et aux tirs des stormtroopers. Elle se revoit, à genoux devant sa mère à l’agonie, cette même mère qui lui demande de partir, de partir loin, de s’enfuir, s’enfuir pour ne jamais revenir. La vie ne sera plus jamais comme avant. L’enfance est brisé, le destin scellé, et le vent hurle de désespoir. Quand sa mère ferme les yeux pour la dernière fois, Meetra n’est plus la même. Elle ne sera plus jamais la même. Quelque part dans son cœur, quelque chose a éclaté, quelque chose a volé en éclats opaques. Elle est tellement plongée dans la douleur qu’elle ne se rend pas compte que c’est grâce à son affinité rudimentaire avec la Force qu’elle cache sa présence aux soldats de l’Empire et s’en sort indemne. Elle ne le saura jamais, mais c’est probablement ce jour-là que les bases de son pouvoir de dissimulation se sont manifestées.
Les jours passent, les images défilent. Combien de temps a-t-elle erré dans les plaines à la recherche de nourriture, de pain, de viande ? Elle l’ignore. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle a rencontré cet homme qui vivait en ermite, en reclus, à la lisière d’une des nombreuses forêts de la planète. Il lui a donné à manger et l’a prise sous son toit. Elle se souviendra toujours de lui, avec cette certitude qu’il n’était pas aussi bon qu’il en avait l’air. Son nom était Greyg Tyron. Elle avait cinq ans. Il en avait trente-deux. Le soir, quand elle était fatiguée après une dure journée à chasser ou à ramasser des herbes dans la forêt, il lui racontait son passé de Jedi. Tyron avait confiance en la toute jeune Meetra, à un tel point qu’il lui avait révélé, petit à petit, toute l’histoire de la galaxie depuis vingt ans. Le début de la guerre des Clones, les grandes batailles auxquelles il avait pris part, et puis la chute de la République, l’avènement du sombre Darth Vader, pour enfin en arriver à la traque des derniers Jedi survivants. Meetra allait bientôt avoir six ans quand Greyg remarqua qu’elle avait une affinité notoire avec la Force. Il décida alors de commencer sa formation afin d’essayer de perpétuer les traditions d’un Ordre Jedi disparu aux yeux de tous. La petite fille apprenait très vite, mais les ténèbres semblaient faire partie intégrante de son être, et l’ex-Jedi se faisait du souci à ce propos. Elle semblait évincer certains préceptes du code Jedi lui-même, voire même certains aspects de la philosophie Jedi, mais Greyg persévéra car il croyait en la Force de la Rédemption proférée par le côté Lumineux : il avait la certitude qu’un jour, Meetra serait plus pure qu’il ne le serait jamais.
Lorsqu’il était encore jeune Jedi, Tyron avait été placé sous l’égide de la bibliothécaire du Temple Jedi de Coruscant, et s’était plus particulièrement spécialisé dans l’étude et la fabrication d’artefacts en relation avec les utilisateurs de la Force. Il avait pour mission de se rendre sur des planètes éloignées et obscures, comme Tython ou Korriban, pour en exhumer des artefacts de Force divers et variés : armes, holocrons, parchemins, manuscrits, sceptres, tenues de cérémonies et autres trésors d’archéologie. Il avait donc acquis dans ce domaine une expérience hors norme, une science qu’il entreprit de transmettre patiemment à sa toute jeune initiée. L’enseignement fut long et complémentaire à celui que l’on prodiguait jadis à une toute jeune recrue de l’Ordre. Tant et si bien que Meetra se réveilla, à la veille de ses treize ans, Padawan en quelque sorte du Chevalier Greyg Tyron. Elle avait acquis un savoir inestimable sans forcément sans rendre compte – après tout, que sommes-nous à l’adolescence ? – et excellait particulièrement dans le pouvoir de dissimulation, qui était sans doute un héritage partiel de son propre vécu. Vint le moment où Tyron demanda à sa jeune protégée de fabriquer son premier sabrelaser. Tyron connaissait Dantooine, et savait où trouver d’antiques grottes à cristaux qui pouvaient entrer en jeu dans la fabrication d’un excellent sabrelaser. Après avoir donné ses dernières instructions à Meetra, il la laissa s’enfoncer dans la caverne, à la recherche du joyau unique qui l’accompagnerait pour le reste de sa formation et peut-être de sa vie.
Meetra entra dans la galerie obscure, qui n’était éclairée que par des excroissances de stalactites qui renvoyaient la lumière depuis l’extérieur de la grotte jusqu’à l’intérieur de celle-ci. Il ne semblait pas y avoir de labyrinthe apparent, et elle n’eut aucun mal à suivre la piste qu’elle devait emprunter. Bientôt, quelques cristaux apparurent le long du sentier qu’elle parcourait, mais c’était tout juste si elle daignait leur accorder une quelconque importance ; elle se laissait à présent guider par autre chose : un appel.
Viens à moi, sois en moi, et je serai en toi
Je t’ai choisi, Meetra Solari, c’est toi qui es l’élue de mon cœur
Je serai le cœur de ta haine, le cœur de ta vengeance, moi qui ai vu tes noirs desseins
Je serai l’âme de ta paix, l’âme de ta lumière, moi qui ai vu tes nobles causes en devenir
Moi qui ai su lire tes vœux les plus chers
Moi qui connais tes ambitions et tes aspirations les plus profondes
Moi qui connais tes forces et tes vocations les plus intimes
Viens à moi, et je te donnerai la Force
Viens à moi, et je te montrerai la Voie
Viens à moi, et je te montrerai le Côté Obscur
Viens à moi, et je te monterai la Lumière en la Force
Viens à moi, libère-toi de tes chaînes
Viens à moi, épouse-moi dans la sérénité
Viens à moi et il n’y aura plus que nous
Nous serons un, vibrant tous deux ensemble à ce seul but : le tien
Nous serons un, vibrant tous deux ensemble à ce seul but : protéger
Viens à moi, et nous serons un, Meetra Solari
L’appel résonnait tel un écho dans l’esprit de la jeune femme. Le cristal. Il l’appelait. Le cristal l’avait choisi et maintenant, il lui demandait de le rejoindre. Meetra se concentra pour entrer en harmonie avec les vibrations infimes que lui envoyait le cristal, afin de trouver son emplacement dans la grotte. Au tournant de la galerie, elle tomba sur une salle remplie de cristaux de toutes sortes et de toutes couleurs ; surprise par la lumière qui venait de l’éblouir, elle regarda tout autour. Mais la voix du cristal, le cœur du Côté Obscur et de la Lumière réunis, de sa Voie, celle qu’elle savait sienne depuis toujours, celle de la Force en équilibre, s’éleva à nouveau dans les tréfonds de l’âme de la jeune femme et, tel un esprit averti, la mit en garde.
Ils sont faux, Meetra, ils ne sont pas nous
Seul moi peux t’apporter la connaissance véritable du Côté Obscur
Seul moi peux t’apporter la paix véritable du Côté Lumineux
Seul toi et moi sommes liés par le destin
Viens à moi et écoute ma voix
Celle qui te mènera à ton unique Voie
Meetra traversa la salle emplie de cristaux, et se mit à chercher dans les moindres recoins, alors que l’écho se faisait toujours entendre ; elle se rapprochait, et elle le sentait à l’accentuation des mots du cristal, qui se faisaient plus clairs, plus nets, et qui cessaient petit à petit d’être irréels pour faire partie intégrante du monde des sens, quand soudain, elle le vit, et ce fut comme une apparition. Il était là, luisant dans un coin reculé de la grotte, brillant de toutes ses forces aux yeux de la jeune Padawan devenue soudain bien plus qu’une simple servante de la Lumière. Elle s’approcha lentement, tandis que les murmures du cristal devenaient de véritables paroles qui s’intensifiaient de plus en plus.
Tu es venue à moi Meetra Solari
Je suis à toi désormais
Je suis prêt à te montrer ta Voie, ta seule Voie
Je suis prêt à habiter en toi
Nous sommes sur le point de ne faire plus qu’un
Quel est ton nom ?
Je suis celui qui a tous les noms et celui qui n’en a aucun
Je suis celui qui était, est et sera
Je suis ton cristal, et mon nom est Passion Obscure
Je suis ton cristal, et mon nom est Rédemption Solaire
Meetra ramassa le cristal, et un étrange frisson la parcourut ; un frisson à la fois rempli de haine, de paix et de plaisir intense. Elle sortit les éléments qui allaient lui servir à fabriquer son sabrelaser et se plongea dans une méditation philosophique intense sur la Force pour achever la construction de son sabrelaser. Les deux cylindres qui composaient le manche s’élevèrent dans les airs pour accueillir la cellule d’énergie au diatum ; puis, l’émetteur de parade vint s’y loger, ainsi que la lentille convexe de duel d’Ossus, suivi de la bague énergétique en vortex. Enfin, le cristal vint s’y loger, et les deux moitiés du sabrelaser se joignirent lentement, avant de se souder entre elles dans un dernier petit bruit qui tira Meetra de sa concentration exacerbée. Elle avait réussi. Elle avait enfin son sabrelaser, celui qu’elle garderait pour toute sa vie. Celui qui renfermait Passion Obscure dans un écrin de Rédemption Solaire, le cristal qui avait lancé son appel vers la jeune fille. Elle alluma la lame de son nouveau sabrelaser, et une splendide lame orange dorée illumina la caverne. Dans un dernier geste, et comme pour achever la tâche qu’elle avait à accomplir ici, la jeune Padawan fendit l’air en deux dans un vrombissement empreint de calme. Sa formation était achevée, elle commençait une nouvelle vie.
Elle ignorait encore à quel point cette nouvelle vie allait avoir une réalité exacerbée sur le reste de son existence. Pour commencer, Meetra ne rejoignit jamais son mentor quand elle sortit de la grotte. Elle avait peur qu’il la punisse pour avoir succombé à un tel cristal, un cristal qui était tellement un miroir d’elle-même qu’elle y voyait la Force Lumineuse et la Force Obscure tendrement enlacés comme deux amants, au lendemain de la toute première nuit. Tyron lui s’était fait à l’idée qu’il venait de perdre son seul espoir de faire parvenir un jour une Padawan au rang de Jedi. Elle s’entraîna seule, de façon intensive, essayant de compléter sa formation par elle-même ; et quand elle sentit qu’elle frôlait les limites de ses propres connaissances, elle décida que le moment était venu de revenir auprès de son ancien mentor. Elle avait alors dix neuf ans.
Quand Tyron la vit revenir après six longues années d’absence – il n’avait jamais cru l’espace d’un instant qu’elle avait pu mourir durant tout ce temps – il fut très heureux, mais se garda de le montrer à la jeune femme. De plus, il commençait à avoir une réelle affection pour Meetra, une affection qui se traduisait à présent davantage comme un désir d’union charnelle que comme un rapport Maître-élève comme autrefois. Il était vrai que Meetra était devenue une splendide jeune fille à l’aube de ses vingt ans. Mais malheureusement – ou heureusement – pour lui, elle remarqua la naissance de ces sentiments. Et ce fut le commencement de la fin. Devenue Jedi mais pas encore Chevalier, Meetra ne mettait pas cette aspiration en avant, et se plaisait à ne porter que le titre de Jedi, étant donné la part de ténèbres qui demeurait en elle. Part de ténèbres qui la poussera, alors âgée de vingt-deux ans, à commettre ce qui dans l’Ordre Jedi est passible de bannissement. Au cours d’un entraînement, les choses tournèrent mal. Tyron avoua plus ou moins ses sentiments à Meetra, qui s’en doutait déjà de longue date. Dans un accès de colère, elle tua son Maître d’un coup de sabre laser entre les omoplates. Elle ne regretta jamais son acte. Elle était la fille de la lumière et l’héritière des ténèbres. C’était ainsi.
- Inventaire : 2.000 crédits, un sabre laser orange, bure de Jedi noire
- Psychologie :
Meetra est le genre de femme à toujours privilégier le discours à l’action ; quand elle porte la main à son sabrelaser, elle ne considère non pas qui elle va tuer, mais qui elle va laisser en vie. Obsédée par le légendaire cristal de Solari, elle espère secrètement le retrouver un jour. Elle cache très bien ses sentiments, et bien qu’utilisatrice du côté clair de la Force, elle n’hésite pas à avoir recours à des pouvoirs ou des actes plus vindicatifs pour parvenir à ses fins. Elle adore mener des enquêtes sur des sites archéologiques, et l’un de ses plus grands rêves est de se rendre sur les planètes foulées par les légendes d’antan, comme Lehon, Korriban ou Yavin 4 pour n’en citer que quelques unes. Loyale, elle a des valeurs morales fortes auxquelles elle se tient rigoureusement, elle serait du genre à essayer de comprendre chacun dans ses choix, sans pour autant les juger. Enfin, elle reste très pacifique, bien qu’elle soit, tout comme Revan, capable de sacrifier beaucoup d’innocents pour sauver quelques autre citoyens ou pour renverser l’issue d’une guerre. - Affection/Aversion : Meetra aime les personnes loyales et honnêtes, elle apprécie guère l'Empire et se tient toujours à l'écart des cantinas locales. Elle trouve le calme et la sérénité dans les grands espaces sauvages, dans la nature même. Elle se passionne pour tout ce qui touche à l'histoire de l'Ordre Jedi ou Sith, pour les vieux artefacts venus d'une autre époque. Elle apprécie les autres personnes dans la mesure où elle ne décèle chez eux aucune pointe de trahison. Elle n'hésite pas à avoir recours à des solutions drastiques pour résoudre des situations qu'elle juge critiquesDisposition
- Fuseau Horaire : Rome, Paris UTC +1
- Disponibilité : Pas vraiment de règle, je passe quand je peux (dispo Samedi et Dimanche en général)
- Indisponibilité : En semaine, matin et après-midi, de 06h00 à 18h00
Dernière édition par Meetra Solari le Jeu 27 Juin 2013 - 15:22, édité 2 fois