Bonjour à tous et à toutes! Je suis très heureux d'enfin poster sur ce forum après plusieurs jours à rédiger mon histoire et lire les règles! Voici ma fiche de personnage:
Nom: Lando Sunrider
Autre compte -
Race: Epicanthix
Sexe: M
Planète d'origine: Panatha
Apparence:
Lando ressemble beaucoup à un humain mis à part qu'il dépasse largement la taille moyenne de cette race. Du haut de ses 2m10, il est grand, même pour un Epicanthix. Il dispose d'une musculature hors norme justifiée par une vie entière de dure labeur et un entrainement intensif et régulier au combat.
Il possède des cheveux courts et est habillé en vêtements de fermier qu'il a "customisé" pour les faire ressembler à des vêtements de combat et ainsi se donner une allure guerrière. Il a un bandana enroulé autour du crâne à la manière des "Ninjas".
Quelques cicatrices sont visibles ici et là sur son corps, résultats de ses entrainements au combat faits avec les "moyens du bord" et donc parfois en toute insécurité. Cela dit, son visage est intact.
Métier:
- Amiral : 30.000
- Général : 20.000
- Major (propre à la rébellion) : 25.000
- Commandant : 10.000
- Capitaine : 5.000
- Agent Rebel : 4.500
- Soldat : 1.000
Pourriez vous m'éclairer sur ces postes SVP? Sont-ils tous disponibles dés l'inscription (mon histoire sera modifiée en conséquence du métier choisi)?
Groupe: Rebellion
Informations
Histoire:
LANDO SUNRIDER
L’enfant de la république
I. Une enfance particulière
Lando Taam est un Epicanthix qui naquit sur Panatha il y a 25 ans de cela.
Depuis la mort de son père il fit de son mieux, en tant qu’ainé, pour subvenir aux besoins de sa famille. Il voua donc une grande partie de son enfance aux dures besognes de la ferme familiale. Ce travail pénible lui valut dés son adolescence une musculature imposante. D’autant plus imposante qu’il dû jouer à cet âge un rôle protecteur auprès de ses frères et de sa mère, cela le contraignant à s’initier aux arts du combat afin de se prévaloir d’éventuelles agressions et pillages très courants dans la région. Aprix, comme toute génitrice qui se respecte, désapprouvait totalement les entrainements martiaux de son fils Lando qu’elle jugeait « dangeureux ». Il faut dire qu’il n’était pas rare que l’enfant se brise des membres.
II. Une nouvelle boulversante
Du haut de ses 2m10 et de son physique athlétique, Lando devint à 22 ans un parfait chef de famille, se substituant à son père défunt. Sa faculté à travailler sans relâche lui valut de nombreux surnoms dans son village. Celui qu’il préférait était sans nul doute celui de « dompteur de soleils », « Suns rider », car il vantait ses mérites à avoir surpassé la nature en travaillant indifféremment et sans repos de jour comme de nuit.
La semaine de son 23ème anniversaire, Lando s’exerçait, comme à l’accoutumée à cette heure avancée de l’après-midi, au combat à mains nues. Depuis le début de journée il se demandait ce que sa mère avait à lui dire de si important en rentrant. Celle-ci revenue du village voisin l’invita à pénétrer dans la maison. Lando avait pris l’habitude de se baisser pour rentrer afin d’éviter de se cogner la tête. Arrivé à l’intérieur il sentit l’odeur du bois brulé provenant de la cheminée. Bien que la technologie actuelle eut permis d’autres modes de chauffage, la famille Taam de par la modestie de son budget, préférait en rester aux moyens classiques, ce qui n’était pas plus mal de l’avis de Lando. Il se remplit les narines de cette odeur qu’il adorait avant de se tourner vers sa mère lui tendant une chaise. Il s’assit tranquillement tout en saisissant la chope de bière Corellienne que lui donnait Aprix. La femme s’assit en face de lui en posant les coudes sur la table les séparant. Le garçon n’eut pas besoin de se concentrer, même après une journée de travail, pour distinguer un air grave derrière la peau ridée de sa mère. Il reposa le verre vide sur la table et la regarda droit dans les yeux. C’est alors qu’elle prit la parole :
- C’est ton père, c’est de lui dont je veux te parler.
- Il ne se passe pas une journée dans laquelle je me demande ce qu’aurait été ma vie s’il avait été là.
La femme lui répondit dans un sanglot :
- Il est mort.
- Je sais…
La femme pleura de plus belle avant de relever la tête en tremblotant.
- Il est mort au combat.
Le sang du garçon qui semblait pourtant physiquement indestructible se glaça soudain. Seuls les crépitements de la cheminée rompaient le silence quand tout à coup le plus jeune frère de Lando, Tarik, fit irruption dans la pièce. Aprix sortit aussitôt. Land salua son frêre d’un signe de tête avant de se diriger vers sa chambre, estimant que ce flot d’émotions l’empêcherait de travailler efficacement et que le sommeil seul pourrait désencombrer son esprit surchargé. Pas même la chope en verre roulant sur la table et se brisant à terre ne retint son attention. Il s’allongea sur sa couchette mais ce n’est pas pour autant qu’il réussit à s’endormir. Depuis toujours il voulait connaitre les circonstances de la mort de son père et maintenant qu’il les connaissait il aurait préféré ne rien savoir. Après quelques temps de réflexion, ses heures passées dans le champ plus tôt dans la journée lui firent fermer les yeux.
III. Macabre découverte
Un jour sur deux Lando se rendait en ville pour vendre les fruits et légumes de la ferme. Cette année il n’y avait pas à se plaindre, la récolte était bonne et le géant avançait d’un pas déterminé vers le marché où l’attendait un stand. Il avait encore mal aux muscles à cause du rude entrainement qu’il avait effectué la veille. Une fois sur place, il posa les sacs remplis de la précieuse marchandise destinée à faire vivre la famille pendant deux longues journées sur le sol sec de la petite ville de Ytrax. Devant lui, un grand et jeune Twi’lek semblait penser à autre chose. Lando Taam lui tapota sur l’épaule et engagea la conversation :
- Bonjour mon ami, comment vas-tu ?
- La récolte est bonne mais j’ai bien peur que les tensions politiques ne soient à leur comble.
- Ne t’inquiète pas, notre planète est trop éloignée du noyau pour être impliquée dans une guerre galactique. De plus, une guerre clôturerait les routes commerciales devenues trop dangereuses, ce qui relancerait les petits producteurs locaux comme nous donc aucune raison de se faire du mouron. Tenons nous en à la vente de fruits et légumes.
Lando vendit toutes ses marchandises bien qu’ayant du pratiquer des prix avantageux pour pallier une concurrence toujours plus avancée. Depuis sa naissance, ou presque, il travaillait à la ferme, ce qui lui procurait maintenant prés de 25 ans d’expérience. Se sentant plus léger avec les deux sacs vides, Lando rentrait chez lui une liasse de dataris à la main. C’était pour lui le seul moment de repos, le moment où il marchait à travers les plaines désertes de la planète Panatha. Une brise soufflait à travers les montagnes et le fit frissonner. Tandis que des landspeeders passaient à toute vitesse à ses côtés, le garçon continuait son chemin à pied. Voyant le ciel s’assombrir il pressa le pas pour rentrer chez lui avant la tempête mais n’eut malheureusement pas le temps de l’éviter et dû la braver. Il essuyait l’averse tel un guerrier combat les lignes ennemies. Plusieurs fois il tomba à terre à cause des redoutables rafales raclant la surface de la planète. Il aperçut au loin une lumière qui devait être celle de la maison. Tout en avançant d’un pas décidé il s’imaginait s’asseyant prés du feu et profitant de la chaleur qui en émanait avant de tomber à nouveau sur le sol dur de la plaine. Il n’était à présent plus qu’à quelques mètres de la maison et ses muscles lui faisaient de plus en plus mal. Il se demandait s’il y arriverait un jour. En tendant le bras il parvint à saisir la poignée et à la tourner. La porte s’ouvrit en claquant, poussée par le vent violent. Un coup de tonnerre se fit entendre alors que Lando découvrait ses frères et sa mère agonisant sur le sol froid de la pièce principale de la chaumière. Celui-ci, trempé, s’agenouilla à terre en serrant Aprix dans ses bras. Dans un dernier souffle, elle lui dit :
- Sauve toi, ils vont revenir.
Lando avait étudié les arts martiaux pendant toutes ces années et il n’avait pas pu être là lorsque sa famille en avait besoin. Il hurla :
- S’ils reviennent, je les tuerai !
Lando lacha le corps de sa mère inerte au sol avant de s’avancer vers la porte toujours ouverte. A présent, il n’avait plus froid, il ne tombait plus, il n’avait plus l’impression d’être mouillé et pourtant, il était dehors dans la tempête. Il cherchait les coupables. Il pistait les coupables. Il traquait les coupables. Il s’arrêta d’un coup, le cœur battant. Il voyait une forme à travers l’averse. Un être se tenait debout à quelques mètres de lui. Il paraissait bien plus frêle que Lando et pourtant ce dernier n’osait pas passer à l’attaque. Il avait déjà entendu parler de ces individus mais il n’avait jamais voulu y croire. Ces personnes n’hésitaient pas à prendre la vie d’innocents pour des raisons politiques ou parfois même pour leur simple plaisir. Lando, à présent frigorifié fixait le sabre laser rouge que la silhouette avait en mains. Tétanisé, il lança :
- Bats-toi avec quelqu’un de ta taille
Le Sith se retourna lentement et répliqua :
- Lorsque l’on a perdu sa famille je suppose que la vie est plus douloureuse que la mort. Je te laisse à ton supplice.
Le meurtrier éteignit son arme avant de disparaitre.
Cette nuit là, Lando dormit à même le sol sous la tempête. Lorsqu’il se réveilla, le calme était revenu dans la plaine mais son cœur toujours serré, la jeune personne se rendit chez son ami Twi’lek qui l’hébergea quelques mois.
IV. L’occupation
Depuis le jour du trépas de sa famille, la planète était aux mains du coté obscur et Lando n’avait de cesse de penser à la quitter, mais comment ?
Chaque jour il allait aux travaux forcés. Tout le monde trouvait cela pénible mais ce n’était rien à coté de ce que Lando avait vécu auparavant. En effet, les travaux à la ferme étaient bien plus fatigants mais c’en était fini de cela depuis l’occupation. A présent, Lando tapait à longueur de journée au marteau piqueur hydraulique afin d’extraire des ressources minières qui étaient ensuite exportées vers d’autres planètes occupées par les armées des ténèbres. Après sa journée de travail, Lando alla chercher ses tickets de ration. Chaque Epicanthix avait droit à deux tickets par jour lui permettant de se nourrir grâce à de la nourriture importée. Alors que le jeune habitant de Panatha s’asseyait à table dans la maison en désordre de Heldon le Twi’lek, ce dernier se plaça en face de lui et commença à manger. Des papiers trainaient en désordre un peu partout sur le sol et la table était certainement le seul endroit de la maison où il restait un peu d’espace pour poser quelque chose. Lando pris à son tour une grande fourchette de cette nourriture industrielle. Il ne savait de quel animal provenait la viande qu’il était en train de manger mais le fait est qu’une fois son assiette terminée, l’imposant Epicanthix avait l’impression de n’avoir rien avalé. Il demanda à son hôte :
- Crois-tu qu’il existe un moyen de leur échapper ?
Heldon répondit si bas que Lando eut du mal à le comprendre. Sans doute chuchotait-il de peur de se faire entendre par les gardes qui rodaient dans les rues le soir pour faire respecter le couvre feu.
- Les seules personnes qui puissent encore aller et venir de cette planète sont les petits transporteurs exportant nos ressources minières en zones neutres. Aucun risque que quelqu’un comme toi et moi ne passe le blocus spatial en orbite.
Lando baissa la tête en signe de déception.
Les semaines passèrent sans que les deux amis ne trouvent de véritable solution à leurs maux. Tous les habitants de la planète étaient dans la même situation mais nul n’échappait à la vigilance des mercenaires embauchés par le coté obscur pour garder les camps de prisonniers.
La nuit tombait sur Panatha alors que Lando passait les dernières minutes précédant le couvre feu avec celui qu’il considérait maintenant comme plus qu’un ami, Heldon, à la cantina, une bière corellienne à la main. Depuis que le fermier avait perdu sa famille, il traitait Heldon comme son frère et ils avaient jugé qu’en cette fin de semaine discuter autour d’un verre ne leur ferait pas de mal. Cela dit, ils ne s’étaient pas adressé la parole. Sans doute n’avaient-ils pas grand-chose à se raconter étant données les journées peu passionnantes à creuser la roche dure de leur planète. Constatant l’heure avancée, le barman, un Géonosien d’apparence mature, interrompit les pensées des deux jeunes gens :
- Vous devriez rentrer ou vous allez avoir des problèmes. J’entends déjà les gardes commencer leur ronde.
Lando balaya du regard la cantina vide. C’était la première fois qu’il pouvait en contempler la décoration étant donné qu’elle était d’habitude bondée. Il se dit cependant qu’il n’avait pas de temps à ça et pris son compagnon par l’épaule pour sortir.
Ils marchaient dans les ruelles sombres de Ytrax lorsqu’un vrombissement se fit entendre. C’était à cette heure que l’équipe des mercenaires de jour, chargée de surveiller les travaux miniers, et l’équipe des mercenaires de nuit, chargée de faire respecter le couvre feu, se relayaient. Le bruit était donc d’après les conclusions de Lando les simples propulseurs d’un vaisseau. Tout à coup, une voix interpella l’Epicanthix :
- Toi là bas ! C’est l’heure du couvre feu, rentre chez toi.
Face à Lando, un Kel dor tout juste descendu de son vaisseau. Son masque de respiration lui conférait un air terrifiant mais manifester sa peur aurait valu à Lando un élan de violence physique gratuite de la part de son interlocuteur. Lando pivota sans ouvrir la bouche et se demanda aussitôt où était passé Heldon. Pourtant, le robuste Twi’lek ne devrait pas passer inaperçu même dans l’obscurité la plus totale. Il n’eut pas besoin de se retourner pour comprendre ce qui se passait… La voix qui venait d’apostropher le jeune fermier se mit à crier :
- Hé ! Qu’est ce que tu fais ?
Lando entendit alors un coup de blaster et vit Heldon s’écrouler lourdement au sol. Le Kel dor s’exclama :
- Vous autres habitants de cette planète n’êtes que des animaux destinés à faire survivre des civilisations plus avancées.
Le mercenaire n’eut pas le temps de se retourner que Lando le frappait d’un violent coup de poing au visage. Un craquement d’os mêlé à un gémissement épouvantable de sa victime lui donna satisfaction. L’Epicanthix s’agenouilla au sol pour constater l’étendue de la blessure de son ami. Il était déjà trop tard, celui-ci avait dû mourir sur le coup. Il fallait faire vite, s’il restait ici Lando savait qu’il mourrait. Il monta dans le vaisseau encore ouvert alors qu’il entendait les voix des autres mercenaires se rapprocher. Dans la précipitation, Lando alluma les propulseurs et pénétra dans l’espace en essuyant de nombreux tirs du sol lorsqu’une voix se fit entendre par l’intermédiaire des hauts parleurs du vaisseau :
- M527, vous quittez une zone surveillée, veuillez fournir votre code d’identification.
Lando appuya sur le bouton d’identification et passa avec soulagement le blocus. Une fois la fièvre du combat apaisée, l’Ytraxien réalisa qu’une fois de plus il venait de perdre quelqu’un de cher. Il s’interdit cependant de penser à cela car quelque chose de grave le tracassait : où aller ?
Il eut été trop dangereux de se diriger vers une planète neutre car certains de leurs habitants n’hésitaient pas à livrer les fugitifs tentant de s’y réfugier aux plus offrants. Ainsi, Lando qui verrait certainement sa tête mise à prix dans les prochains jours voire les prochaines heures se ferait vite rattraper par ses poursuivants. La seule solution qui s’offrait à lui était de faire route vers un système commandé par la rébellion. C’est ainsi qu’il arriva sur Alderaan.
V. Lando le rebel
Après plusieurs jours passés à l’intérieur de son vaisseau posé à la surface d’une plateforme désaffectée, sa décision était prise, il voulait éviter que ceux qu’il avait perdus ne soient morts pour rien. Il voulait s’engager auprès des forces rebelles. A ce titre, il atterrit sur une plateforme en face d’un point de recrutement rebel. Il descendit fièrement de son véhicule et pénétra dans le bâtiment. Le hall était étroit et vide à l’exception d’un comptoir qui se trouvait à une dizaine de mètres. Alors qu’il avançait à travers le couloir, les vitres qui se trouvaient de part et d’autre de lui laissaient illuminer son visage d’un rayon de soleil. Il put apercevoir derrière le comptoir un petit droïd probablement chargé du recrutement. Il était assit sur une chaise et le fixait d’un air interrogateur. Ce dernier s’adressa à lui d’une voix métallique tandis que sa coque argentée reflétait le soleil d’une manière telle que Lando pouvait à peine le regarder :
- Bonjour monsieur, bienvenue au service de recrutement des forces armées de la république. Planète, nom et prénom je vous prie.
Tandis que le soleil voyait sa luminosité diminuer par le passage d’un nuage, Lando pu distinguer une insigne sur le bras droit du robot. C’est alors que tout s’éclaircit :
Le blouson de son père qui était exposé à la maison portait la même insigne. Il était probablement lui aussi rebel. S’il était mort au combat c’était donc pour les valeurs de la république. S’il était mort au combat, c’est qu’un membre de l’armée des ténèbres l’avait tué. La personne qui lui avait le plus manqué au cours de son existence avait elle aussi été tuée par ces êtres sans morale. Tous ceux qu’il aimait étaient morts de leurs mains.
Il ira comme son père au combat, il ira livrer combat à ces. Il se promit dés lors de donner son maximum pour honorer le blason rebel et traquer ses opposants jusque les moindres recoins de la galaxie. Il travaillera jours et nuits comme il l’avait fait à l’époque dans la ferme familiale et ne laissera jamais personne se mettre en travers de son chemin.
Le robot lui posa une nouvelle fois la question :
- Planète, nom et prénom je vous prie.
- Je viens de Panatha et je veux représenter la république. Je m’appelle :
Inventaire:
200 cr
Vêtements custom de fermier
Fusil blaster à répétition T-21
Psychologie:
Lando est quelqu'un d'obstiné, lorsqu'il veut faire quelque chose, rien ni personne ne peut l'en empêcher! C'est un être qui n'a pas peur de se jeter au combat, il a tout perdu et n'a plus rien à perdre. Il est donc courageux mais il sait reconnaitre lorsqu'il n'a aucune chance de vaincre son adversaire. Dans ce cas il n'attaque pas.
Affection:
Lando aime beaucoup les vaisseaux. En fait, c'est plus la sensation de vitesse qu'il aime! Peut être est-ce dû au fait que, issu d'une famille modeste, il n'a jamais réellement eu l'occasion d'être véhiculé et n'avait à l'époque de sa vie sur Panatha que ses pieds pour se déplacer.
Aversion:
-
Disposition
Fuseau: Français
Dispo: Le soir vers 21h - 22h ou le week end
Indisponibilité: En semaine 8h -17h (peut être là à la pause repas 12h - 14h)
Identité
Nom: Lando Sunrider
Autre compte -
Profil
Race: Epicanthix
Sexe: M
Planète d'origine: Panatha
Apparence:
Lando ressemble beaucoup à un humain mis à part qu'il dépasse largement la taille moyenne de cette race. Du haut de ses 2m10, il est grand, même pour un Epicanthix. Il dispose d'une musculature hors norme justifiée par une vie entière de dure labeur et un entrainement intensif et régulier au combat.
Il possède des cheveux courts et est habillé en vêtements de fermier qu'il a "customisé" pour les faire ressembler à des vêtements de combat et ainsi se donner une allure guerrière. Il a un bandana enroulé autour du crâne à la manière des "Ninjas".
Quelques cicatrices sont visibles ici et là sur son corps, résultats de ses entrainements au combat faits avec les "moyens du bord" et donc parfois en toute insécurité. Cela dit, son visage est intact.
Métier:
- Amiral : 30.000
- Général : 20.000
- Major (propre à la rébellion) : 25.000
- Commandant : 10.000
- Capitaine : 5.000
- Agent Rebel : 4.500
- Soldat : 1.000
Pourriez vous m'éclairer sur ces postes SVP? Sont-ils tous disponibles dés l'inscription (mon histoire sera modifiée en conséquence du métier choisi)?
Groupe: Rebellion
Informations
Histoire:
LANDO SUNRIDER
L’enfant de la république
I. Une enfance particulière
Lando Taam est un Epicanthix qui naquit sur Panatha il y a 25 ans de cela.
Depuis la mort de son père il fit de son mieux, en tant qu’ainé, pour subvenir aux besoins de sa famille. Il voua donc une grande partie de son enfance aux dures besognes de la ferme familiale. Ce travail pénible lui valut dés son adolescence une musculature imposante. D’autant plus imposante qu’il dû jouer à cet âge un rôle protecteur auprès de ses frères et de sa mère, cela le contraignant à s’initier aux arts du combat afin de se prévaloir d’éventuelles agressions et pillages très courants dans la région. Aprix, comme toute génitrice qui se respecte, désapprouvait totalement les entrainements martiaux de son fils Lando qu’elle jugeait « dangeureux ». Il faut dire qu’il n’était pas rare que l’enfant se brise des membres.
II. Une nouvelle boulversante
Du haut de ses 2m10 et de son physique athlétique, Lando devint à 22 ans un parfait chef de famille, se substituant à son père défunt. Sa faculté à travailler sans relâche lui valut de nombreux surnoms dans son village. Celui qu’il préférait était sans nul doute celui de « dompteur de soleils », « Suns rider », car il vantait ses mérites à avoir surpassé la nature en travaillant indifféremment et sans repos de jour comme de nuit.
La semaine de son 23ème anniversaire, Lando s’exerçait, comme à l’accoutumée à cette heure avancée de l’après-midi, au combat à mains nues. Depuis le début de journée il se demandait ce que sa mère avait à lui dire de si important en rentrant. Celle-ci revenue du village voisin l’invita à pénétrer dans la maison. Lando avait pris l’habitude de se baisser pour rentrer afin d’éviter de se cogner la tête. Arrivé à l’intérieur il sentit l’odeur du bois brulé provenant de la cheminée. Bien que la technologie actuelle eut permis d’autres modes de chauffage, la famille Taam de par la modestie de son budget, préférait en rester aux moyens classiques, ce qui n’était pas plus mal de l’avis de Lando. Il se remplit les narines de cette odeur qu’il adorait avant de se tourner vers sa mère lui tendant une chaise. Il s’assit tranquillement tout en saisissant la chope de bière Corellienne que lui donnait Aprix. La femme s’assit en face de lui en posant les coudes sur la table les séparant. Le garçon n’eut pas besoin de se concentrer, même après une journée de travail, pour distinguer un air grave derrière la peau ridée de sa mère. Il reposa le verre vide sur la table et la regarda droit dans les yeux. C’est alors qu’elle prit la parole :
- C’est ton père, c’est de lui dont je veux te parler.
- Il ne se passe pas une journée dans laquelle je me demande ce qu’aurait été ma vie s’il avait été là.
La femme lui répondit dans un sanglot :
- Il est mort.
- Je sais…
La femme pleura de plus belle avant de relever la tête en tremblotant.
- Il est mort au combat.
Le sang du garçon qui semblait pourtant physiquement indestructible se glaça soudain. Seuls les crépitements de la cheminée rompaient le silence quand tout à coup le plus jeune frère de Lando, Tarik, fit irruption dans la pièce. Aprix sortit aussitôt. Land salua son frêre d’un signe de tête avant de se diriger vers sa chambre, estimant que ce flot d’émotions l’empêcherait de travailler efficacement et que le sommeil seul pourrait désencombrer son esprit surchargé. Pas même la chope en verre roulant sur la table et se brisant à terre ne retint son attention. Il s’allongea sur sa couchette mais ce n’est pas pour autant qu’il réussit à s’endormir. Depuis toujours il voulait connaitre les circonstances de la mort de son père et maintenant qu’il les connaissait il aurait préféré ne rien savoir. Après quelques temps de réflexion, ses heures passées dans le champ plus tôt dans la journée lui firent fermer les yeux.
III. Macabre découverte
Un jour sur deux Lando se rendait en ville pour vendre les fruits et légumes de la ferme. Cette année il n’y avait pas à se plaindre, la récolte était bonne et le géant avançait d’un pas déterminé vers le marché où l’attendait un stand. Il avait encore mal aux muscles à cause du rude entrainement qu’il avait effectué la veille. Une fois sur place, il posa les sacs remplis de la précieuse marchandise destinée à faire vivre la famille pendant deux longues journées sur le sol sec de la petite ville de Ytrax. Devant lui, un grand et jeune Twi’lek semblait penser à autre chose. Lando Taam lui tapota sur l’épaule et engagea la conversation :
- Bonjour mon ami, comment vas-tu ?
- La récolte est bonne mais j’ai bien peur que les tensions politiques ne soient à leur comble.
- Ne t’inquiète pas, notre planète est trop éloignée du noyau pour être impliquée dans une guerre galactique. De plus, une guerre clôturerait les routes commerciales devenues trop dangereuses, ce qui relancerait les petits producteurs locaux comme nous donc aucune raison de se faire du mouron. Tenons nous en à la vente de fruits et légumes.
Lando vendit toutes ses marchandises bien qu’ayant du pratiquer des prix avantageux pour pallier une concurrence toujours plus avancée. Depuis sa naissance, ou presque, il travaillait à la ferme, ce qui lui procurait maintenant prés de 25 ans d’expérience. Se sentant plus léger avec les deux sacs vides, Lando rentrait chez lui une liasse de dataris à la main. C’était pour lui le seul moment de repos, le moment où il marchait à travers les plaines désertes de la planète Panatha. Une brise soufflait à travers les montagnes et le fit frissonner. Tandis que des landspeeders passaient à toute vitesse à ses côtés, le garçon continuait son chemin à pied. Voyant le ciel s’assombrir il pressa le pas pour rentrer chez lui avant la tempête mais n’eut malheureusement pas le temps de l’éviter et dû la braver. Il essuyait l’averse tel un guerrier combat les lignes ennemies. Plusieurs fois il tomba à terre à cause des redoutables rafales raclant la surface de la planète. Il aperçut au loin une lumière qui devait être celle de la maison. Tout en avançant d’un pas décidé il s’imaginait s’asseyant prés du feu et profitant de la chaleur qui en émanait avant de tomber à nouveau sur le sol dur de la plaine. Il n’était à présent plus qu’à quelques mètres de la maison et ses muscles lui faisaient de plus en plus mal. Il se demandait s’il y arriverait un jour. En tendant le bras il parvint à saisir la poignée et à la tourner. La porte s’ouvrit en claquant, poussée par le vent violent. Un coup de tonnerre se fit entendre alors que Lando découvrait ses frères et sa mère agonisant sur le sol froid de la pièce principale de la chaumière. Celui-ci, trempé, s’agenouilla à terre en serrant Aprix dans ses bras. Dans un dernier souffle, elle lui dit :
- Sauve toi, ils vont revenir.
Lando avait étudié les arts martiaux pendant toutes ces années et il n’avait pas pu être là lorsque sa famille en avait besoin. Il hurla :
- S’ils reviennent, je les tuerai !
Lando lacha le corps de sa mère inerte au sol avant de s’avancer vers la porte toujours ouverte. A présent, il n’avait plus froid, il ne tombait plus, il n’avait plus l’impression d’être mouillé et pourtant, il était dehors dans la tempête. Il cherchait les coupables. Il pistait les coupables. Il traquait les coupables. Il s’arrêta d’un coup, le cœur battant. Il voyait une forme à travers l’averse. Un être se tenait debout à quelques mètres de lui. Il paraissait bien plus frêle que Lando et pourtant ce dernier n’osait pas passer à l’attaque. Il avait déjà entendu parler de ces individus mais il n’avait jamais voulu y croire. Ces personnes n’hésitaient pas à prendre la vie d’innocents pour des raisons politiques ou parfois même pour leur simple plaisir. Lando, à présent frigorifié fixait le sabre laser rouge que la silhouette avait en mains. Tétanisé, il lança :
- Bats-toi avec quelqu’un de ta taille
Le Sith se retourna lentement et répliqua :
- Lorsque l’on a perdu sa famille je suppose que la vie est plus douloureuse que la mort. Je te laisse à ton supplice.
Le meurtrier éteignit son arme avant de disparaitre.
Cette nuit là, Lando dormit à même le sol sous la tempête. Lorsqu’il se réveilla, le calme était revenu dans la plaine mais son cœur toujours serré, la jeune personne se rendit chez son ami Twi’lek qui l’hébergea quelques mois.
IV. L’occupation
Depuis le jour du trépas de sa famille, la planète était aux mains du coté obscur et Lando n’avait de cesse de penser à la quitter, mais comment ?
Chaque jour il allait aux travaux forcés. Tout le monde trouvait cela pénible mais ce n’était rien à coté de ce que Lando avait vécu auparavant. En effet, les travaux à la ferme étaient bien plus fatigants mais c’en était fini de cela depuis l’occupation. A présent, Lando tapait à longueur de journée au marteau piqueur hydraulique afin d’extraire des ressources minières qui étaient ensuite exportées vers d’autres planètes occupées par les armées des ténèbres. Après sa journée de travail, Lando alla chercher ses tickets de ration. Chaque Epicanthix avait droit à deux tickets par jour lui permettant de se nourrir grâce à de la nourriture importée. Alors que le jeune habitant de Panatha s’asseyait à table dans la maison en désordre de Heldon le Twi’lek, ce dernier se plaça en face de lui et commença à manger. Des papiers trainaient en désordre un peu partout sur le sol et la table était certainement le seul endroit de la maison où il restait un peu d’espace pour poser quelque chose. Lando pris à son tour une grande fourchette de cette nourriture industrielle. Il ne savait de quel animal provenait la viande qu’il était en train de manger mais le fait est qu’une fois son assiette terminée, l’imposant Epicanthix avait l’impression de n’avoir rien avalé. Il demanda à son hôte :
- Crois-tu qu’il existe un moyen de leur échapper ?
Heldon répondit si bas que Lando eut du mal à le comprendre. Sans doute chuchotait-il de peur de se faire entendre par les gardes qui rodaient dans les rues le soir pour faire respecter le couvre feu.
- Les seules personnes qui puissent encore aller et venir de cette planète sont les petits transporteurs exportant nos ressources minières en zones neutres. Aucun risque que quelqu’un comme toi et moi ne passe le blocus spatial en orbite.
Lando baissa la tête en signe de déception.
Les semaines passèrent sans que les deux amis ne trouvent de véritable solution à leurs maux. Tous les habitants de la planète étaient dans la même situation mais nul n’échappait à la vigilance des mercenaires embauchés par le coté obscur pour garder les camps de prisonniers.
La nuit tombait sur Panatha alors que Lando passait les dernières minutes précédant le couvre feu avec celui qu’il considérait maintenant comme plus qu’un ami, Heldon, à la cantina, une bière corellienne à la main. Depuis que le fermier avait perdu sa famille, il traitait Heldon comme son frère et ils avaient jugé qu’en cette fin de semaine discuter autour d’un verre ne leur ferait pas de mal. Cela dit, ils ne s’étaient pas adressé la parole. Sans doute n’avaient-ils pas grand-chose à se raconter étant données les journées peu passionnantes à creuser la roche dure de leur planète. Constatant l’heure avancée, le barman, un Géonosien d’apparence mature, interrompit les pensées des deux jeunes gens :
- Vous devriez rentrer ou vous allez avoir des problèmes. J’entends déjà les gardes commencer leur ronde.
Lando balaya du regard la cantina vide. C’était la première fois qu’il pouvait en contempler la décoration étant donné qu’elle était d’habitude bondée. Il se dit cependant qu’il n’avait pas de temps à ça et pris son compagnon par l’épaule pour sortir.
Ils marchaient dans les ruelles sombres de Ytrax lorsqu’un vrombissement se fit entendre. C’était à cette heure que l’équipe des mercenaires de jour, chargée de surveiller les travaux miniers, et l’équipe des mercenaires de nuit, chargée de faire respecter le couvre feu, se relayaient. Le bruit était donc d’après les conclusions de Lando les simples propulseurs d’un vaisseau. Tout à coup, une voix interpella l’Epicanthix :
- Toi là bas ! C’est l’heure du couvre feu, rentre chez toi.
Face à Lando, un Kel dor tout juste descendu de son vaisseau. Son masque de respiration lui conférait un air terrifiant mais manifester sa peur aurait valu à Lando un élan de violence physique gratuite de la part de son interlocuteur. Lando pivota sans ouvrir la bouche et se demanda aussitôt où était passé Heldon. Pourtant, le robuste Twi’lek ne devrait pas passer inaperçu même dans l’obscurité la plus totale. Il n’eut pas besoin de se retourner pour comprendre ce qui se passait… La voix qui venait d’apostropher le jeune fermier se mit à crier :
- Hé ! Qu’est ce que tu fais ?
Lando entendit alors un coup de blaster et vit Heldon s’écrouler lourdement au sol. Le Kel dor s’exclama :
- Vous autres habitants de cette planète n’êtes que des animaux destinés à faire survivre des civilisations plus avancées.
Le mercenaire n’eut pas le temps de se retourner que Lando le frappait d’un violent coup de poing au visage. Un craquement d’os mêlé à un gémissement épouvantable de sa victime lui donna satisfaction. L’Epicanthix s’agenouilla au sol pour constater l’étendue de la blessure de son ami. Il était déjà trop tard, celui-ci avait dû mourir sur le coup. Il fallait faire vite, s’il restait ici Lando savait qu’il mourrait. Il monta dans le vaisseau encore ouvert alors qu’il entendait les voix des autres mercenaires se rapprocher. Dans la précipitation, Lando alluma les propulseurs et pénétra dans l’espace en essuyant de nombreux tirs du sol lorsqu’une voix se fit entendre par l’intermédiaire des hauts parleurs du vaisseau :
- M527, vous quittez une zone surveillée, veuillez fournir votre code d’identification.
Lando appuya sur le bouton d’identification et passa avec soulagement le blocus. Une fois la fièvre du combat apaisée, l’Ytraxien réalisa qu’une fois de plus il venait de perdre quelqu’un de cher. Il s’interdit cependant de penser à cela car quelque chose de grave le tracassait : où aller ?
Il eut été trop dangereux de se diriger vers une planète neutre car certains de leurs habitants n’hésitaient pas à livrer les fugitifs tentant de s’y réfugier aux plus offrants. Ainsi, Lando qui verrait certainement sa tête mise à prix dans les prochains jours voire les prochaines heures se ferait vite rattraper par ses poursuivants. La seule solution qui s’offrait à lui était de faire route vers un système commandé par la rébellion. C’est ainsi qu’il arriva sur Alderaan.
V. Lando le rebel
Après plusieurs jours passés à l’intérieur de son vaisseau posé à la surface d’une plateforme désaffectée, sa décision était prise, il voulait éviter que ceux qu’il avait perdus ne soient morts pour rien. Il voulait s’engager auprès des forces rebelles. A ce titre, il atterrit sur une plateforme en face d’un point de recrutement rebel. Il descendit fièrement de son véhicule et pénétra dans le bâtiment. Le hall était étroit et vide à l’exception d’un comptoir qui se trouvait à une dizaine de mètres. Alors qu’il avançait à travers le couloir, les vitres qui se trouvaient de part et d’autre de lui laissaient illuminer son visage d’un rayon de soleil. Il put apercevoir derrière le comptoir un petit droïd probablement chargé du recrutement. Il était assit sur une chaise et le fixait d’un air interrogateur. Ce dernier s’adressa à lui d’une voix métallique tandis que sa coque argentée reflétait le soleil d’une manière telle que Lando pouvait à peine le regarder :
- Bonjour monsieur, bienvenue au service de recrutement des forces armées de la république. Planète, nom et prénom je vous prie.
Tandis que le soleil voyait sa luminosité diminuer par le passage d’un nuage, Lando pu distinguer une insigne sur le bras droit du robot. C’est alors que tout s’éclaircit :
Le blouson de son père qui était exposé à la maison portait la même insigne. Il était probablement lui aussi rebel. S’il était mort au combat c’était donc pour les valeurs de la république. S’il était mort au combat, c’est qu’un membre de l’armée des ténèbres l’avait tué. La personne qui lui avait le plus manqué au cours de son existence avait elle aussi été tuée par ces êtres sans morale. Tous ceux qu’il aimait étaient morts de leurs mains.
Il ira comme son père au combat, il ira livrer combat à ces. Il se promit dés lors de donner son maximum pour honorer le blason rebel et traquer ses opposants jusque les moindres recoins de la galaxie. Il travaillera jours et nuits comme il l’avait fait à l’époque dans la ferme familiale et ne laissera jamais personne se mettre en travers de son chemin.
Le robot lui posa une nouvelle fois la question :
- Planète, nom et prénom je vous prie.
- Je viens de Panatha et je veux représenter la république. Je m’appelle :
LANDO SUNRIDER
Inventaire:
200 cr
Vêtements custom de fermier
Fusil blaster à répétition T-21
Psychologie:
Lando est quelqu'un d'obstiné, lorsqu'il veut faire quelque chose, rien ni personne ne peut l'en empêcher! C'est un être qui n'a pas peur de se jeter au combat, il a tout perdu et n'a plus rien à perdre. Il est donc courageux mais il sait reconnaitre lorsqu'il n'a aucune chance de vaincre son adversaire. Dans ce cas il n'attaque pas.
Affection:
Lando aime beaucoup les vaisseaux. En fait, c'est plus la sensation de vitesse qu'il aime! Peut être est-ce dû au fait que, issu d'une famille modeste, il n'a jamais réellement eu l'occasion d'être véhiculé et n'avait à l'époque de sa vie sur Panatha que ses pieds pour se déplacer.
Aversion:
-
Disposition
Fuseau: Français
Dispo: Le soir vers 21h - 22h ou le week end
Indisponibilité: En semaine 8h -17h (peut être là à la pause repas 12h - 14h)