Si vous êtes adeptes du jeu Star Wars: Old Republic ou d'Empire at Wars, vous avez sûrement déjà entendu parler de Manaan. Ce monde de la Bordure Intérieure, entièrement recouvert par les océans à l'exception de la cité flottante d'Ahto City, fut à l'époque de la Guerre Civile des Jedis l'une des planètes les plus importantes de la Galaxie. On y cultivait en effet le kolto, puissant fluide guérisseur et ancêtre du bacta. Après la fin de la guerre et l'apparition du bacta, Manaan déclina, et ses habitants, les selkaths, se retirèrent de la communauté galactique et sombrèrent dans l'oubli.
Je n'ai que très peu d'information sur Manaan à l'époque sworienne, je suis juste certain que les luxiens y avaient installé une base. Si l'on suit l'histoire conventionnelle de star wars, l'empire a envahit la planète et réduit les selkaths en esclavage, tandis que l'armée impériale exploite le kolto. Etudions les deux hypothèses:
1) L'empire occupe Manaan, tourné vers le tourisme et l'exportation secrète, et les selkaths sont impitoyablements maltraités. Seule une société secrète de selkaths adeptes de la force, l'Ordre de Shasa, poursuit la lutte contre l'occupant. L'Alliance aurait alors tout intérêt à établir le contact avec ces résistants (des adeptes de la force en plus), malgré leur méfiance envers les étrangers ils sauront reconnaître l'intérêt d'une alliance contre l'ennemi commun. Le kolto est un fluide moins puissant que le bacta, mais facile d'accès et c'est pourquoi l'armée impériale l'utilise secrètement: des sabotages des usines sous-marines gêneraient à coup sûr l'ennemi. De plus, de nombreux touristes se rendent sur Manaan pour profiter des stations balnéaires, et parmi eux beaucoup d'officiers impériaux avec leurs familles: quel meilleur endroit pour obtenir des renseignements ? A noter que les selkaths de l'Ordre de Shasa n'ont aucune conscience du côté lumineux ou du côté obscur: leur seul intérêt est la défense de leur peuple, mais peut-être seraient-ils sensibes à l'influence jedi ?
2) L'empire n'est pas revenu sur Manaan, la planète reste à l'écart de la vie galactique, oubliée de tous. Les selkaths restent dans leurs cités sous-marines et ne remontent presque jamais à la surface. Toutefois, les coordonnées de ce monde existent dans les archives, puisque les luxiens ont déjà pu se rendre sur ce monde. Dans ce cas, je vois un double intérêt à prendre pied sur Manaan. Tout d'abord, une fois rénovée, Ahto City presenterait toutes les qualités requises pour devenir une cité-refuge pour les civils fuyant la tyrannie impériale, voire une base militaire proche des mondes du noyau. Enfin, rien ne nous empêche de réactiver les antiques usines sous-marines de kolto, pour obtenir gratuitement un supplément, certes moins efficace mais plus accessible, au bacta. En échange de technologie et de biens humanitaires, nous pourrions acheter aux Selkaths le droit d'exploiter leur fluide guérisseur.
Voilà, j'attend votre avis. Je me souviens avoir déjà abordé le sujet avec Bail, qui avait dit à lrépoque que nous n'avions "plus besoin de base". Pourtant, un sujet a été ouvert il y a pas si longtemps pour rechercher des "mondes-refuge". Je persiste à croire que nous avons toutes nos raisons de nous intéresser à Manaan. Je sais que nous sommes tous occupés, c'est pourquoi je me propose pour diriger l'ensemble des opérations.
Je n'ai que très peu d'information sur Manaan à l'époque sworienne, je suis juste certain que les luxiens y avaient installé une base. Si l'on suit l'histoire conventionnelle de star wars, l'empire a envahit la planète et réduit les selkaths en esclavage, tandis que l'armée impériale exploite le kolto. Etudions les deux hypothèses:
1) L'empire occupe Manaan, tourné vers le tourisme et l'exportation secrète, et les selkaths sont impitoyablements maltraités. Seule une société secrète de selkaths adeptes de la force, l'Ordre de Shasa, poursuit la lutte contre l'occupant. L'Alliance aurait alors tout intérêt à établir le contact avec ces résistants (des adeptes de la force en plus), malgré leur méfiance envers les étrangers ils sauront reconnaître l'intérêt d'une alliance contre l'ennemi commun. Le kolto est un fluide moins puissant que le bacta, mais facile d'accès et c'est pourquoi l'armée impériale l'utilise secrètement: des sabotages des usines sous-marines gêneraient à coup sûr l'ennemi. De plus, de nombreux touristes se rendent sur Manaan pour profiter des stations balnéaires, et parmi eux beaucoup d'officiers impériaux avec leurs familles: quel meilleur endroit pour obtenir des renseignements ? A noter que les selkaths de l'Ordre de Shasa n'ont aucune conscience du côté lumineux ou du côté obscur: leur seul intérêt est la défense de leur peuple, mais peut-être seraient-ils sensibes à l'influence jedi ?
2) L'empire n'est pas revenu sur Manaan, la planète reste à l'écart de la vie galactique, oubliée de tous. Les selkaths restent dans leurs cités sous-marines et ne remontent presque jamais à la surface. Toutefois, les coordonnées de ce monde existent dans les archives, puisque les luxiens ont déjà pu se rendre sur ce monde. Dans ce cas, je vois un double intérêt à prendre pied sur Manaan. Tout d'abord, une fois rénovée, Ahto City presenterait toutes les qualités requises pour devenir une cité-refuge pour les civils fuyant la tyrannie impériale, voire une base militaire proche des mondes du noyau. Enfin, rien ne nous empêche de réactiver les antiques usines sous-marines de kolto, pour obtenir gratuitement un supplément, certes moins efficace mais plus accessible, au bacta. En échange de technologie et de biens humanitaires, nous pourrions acheter aux Selkaths le droit d'exploiter leur fluide guérisseur.
Voilà, j'attend votre avis. Je me souviens avoir déjà abordé le sujet avec Bail, qui avait dit à lrépoque que nous n'avions "plus besoin de base". Pourtant, un sujet a été ouvert il y a pas si longtemps pour rechercher des "mondes-refuge". Je persiste à croire que nous avons toutes nos raisons de nous intéresser à Manaan. Je sais que nous sommes tous occupés, c'est pourquoi je me propose pour diriger l'ensemble des opérations.