Extrait de la fiche (je peux la remplir comme demandé plus haut, mais on m'a conseillé de me présenter en mode RP)
o Nom : Iala Iédastré
o Race : Humaine
o Sexe : Féminin
o Âge : 20 ans
o Planète d'origine : Téta du système de Koros
o Groupe : Jensaarai
o Fuseau Horaire : Greenwich
o Disponibilité : à peu près tous les jours de 7h à 8h et de 18h à 20h. Et des connections rapides à n’importe quelle heure de la journée.
o Indisponibilité : à partir de 20h (je m’y refuse absolument suite à 3 années de jeu no-life)
RP
Le soir tombe et la première lune de Téta se lève à l’horizon. Iala regarde le paysage urbain qui s’étale aux pieds de la colline où est située la confortable demeure familiale. Les lumières de la ville s’allument les unes après les autres… minuscules étoiles, témoins de mille vies.
Iala est songeuse, elle se remémore sa journée. Tout s’est déroulé conformément à ses attentes : sa visite à un des plus importants représentants du consortium minier tétien a abouti à un compromis où chaque partie trouve son compte, gouvernement, mineurs et exploitants… c’était son objectif.
« Une merveilleuse opportunité de lui avoir opposé l’absence de permis d’exploitation du niveau -3 de la mine AK17 et le retard dans les contrôles de sécurité de TH2, ma position s’en est trouvée consolidée ».
Iala sait parfaitement que son dossier ne contenait aucun renseignement sur ces sujets… elle n’a pas voulu sonder l’esprit de son interlocuteur, mais ses pensées lui sont apparues naturellement car l'homme se focalisait sur la crainte que ces détails soient connus de la commission de contrôle minier. Cela lui arrive de plus en plus fréquemment, souvent alors qu’elle préférerait ne rien « entendre ».
« Père m’a encore félicitée de ma capacité à convaincre mes interlocuteurs, dans quelle mesure la Force intervient elle ? » Iala se pose la question, elle en ignore sincèrement la réponse. Elle s’est encore surprise à ralentir la chute d’un objet : « une jolie petite sculpture offerte par Mère », « juste un réflexe pour sauver un objet auquel je tiens beaucoup », se justifie t-elle pour elle-même.
Elle tente de se rappeler les évènements de la journée… combien de fois a-t-elle inconsciemment utilisé la force ? « Non, ce n’est pas vraiment la Force, c’est une simple fonction naturelle, voilà tout ! » tente t-elle de se convaincre. Mais Iala s’angoisse, elle pressent et que la Force s’insinue en elle et qu’elle risque d’en perdre le contrôle malgré l’enseignement de Karafaa.
"Demain ! Demain j’en parlerais à Mère".
Elle se baigne longuement, comme on se purifie, puis lance un appel inconscient avant de s’abandonner au sommeil auto-hypnotique auquel elle a recours lorsque son esprit est agité.
« Mère, ma mère, je dois répondre à l’appel de la force qui grandit en moi… mère conseillez moi. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour honorer le nom de mon père, pour faire ce qu’on attendait de moi. Mais je n’en peux plus de cette vie de compromis et d’artifices. Mon esprit est comme le lierre sauvage qu’on ne taille pas et qui s’introduit furtivement dans les fentes des murs au risque de détruire leurs scellements. Mère montrez-moi le chemin, vous qui l’avez emprunté, jadis. »
APPARENCE:
Cette jeune femme longiligne possède la grâce d’un félin. Ses longs cheveux châtains ornent un pale visage de complexes coiffures, à moins qu’elle ne les laisse couler librement en une cascade brillante qui s’écoule sur ses frêles épaules. Lorsqu’elle est en action on remarque son agilité et sa grâce. Mais on perçoit une certaine fragilité et on peut croire qu’elle ne possède pas une grande endurance physique. Volontiers vêtue avec recherche, voire sophistication, elle ne passe pas inaperçue. Ses mouvements précis semblent toujours mesurés et sa maîtrise permanente en agace plus d’un. Oui, cette magnifique jeune femme ne passe pas inaperçue et elle peut exaspérer ceux qui ne voient que l’apparence sophistiquée et la fière attitude de Iala. Mais celle-ci n’en est pas consciente. Son désir est d’offrir à tous une image proche de la perfection comme un hommage aux regards des autres, comme un beau paysage au calme serein.
HISTOIRE :
Cette sérénité n’a rien de naturel. C’est le fruit d’un long travail sur elle-même… commencé il y a vingt ans déjà.
Iala est née de l’amour passionné de Karaffa, une Jedi expérimentée qui a renoncé à son ordre pour vivre aux côtés de Loïs-Galacticus Iédastré, issu de la vieille aristocratie de Téta et occupant de hautes fonctions à la tête du gouvernement de Téta comme diplomate. Il est chargé plus particulièrement de servir de médiateur entre les planètes du système de Koros et d’interlocuteur privilégié avec les grandes compagnies minières.
De cette union est d’abord né Carolus Iédastré, son aîné de 12 ans. D’après ce qu’on a bien voulu lui dire, il aurait commencé son initiation de Jedi très tôt … Mais il aurait mal tourné. Depuis plus de dix ans, il n’a donné aucun signe de vie à sa famille. Ce fut d’ailleurs un coup dur pour sa mère qui avait fondé beaucoup d’espoir en son fils. Cela éloigna un peu plus Karaffaa de l’Ordre Jedi.
Iala ignore ce qu’il s’est réellement passé mais elle préfère imaginer qu’il a été assassiné et que la thèse de la « trahison » est un sinistre complot. Elle ne parle jamais de son frère, et si, par hasard, le sujet est évoqué, elle affirme qu’il est mort héroïquement… Une de ses rares entorses à la vérité, dont elle a fini par se convaincre.
C’est dans ce contexte privilégié que la formation Jedi de Iala a commencé, doucement, dès son plus jeune âge. Sa mère l’a initiée, loin de la rigueur habituelle, dans la discrétion de leur demeure familiale, ne faisant plus confiance à un ordre qui était sur le point de disparaître... Mais, de cet enseignement atypique, tout en tendresse, Iala a intégré les préceptes Jedi et une maîtrise de la force - certes assez élémentaire - comme des choses naturelles, un composant inhérent à son être. L’échec de l’Ordre Jedi sur Carolus influença l’enseignement de Karaffa qui offrit des horizons moins classiques aux méditations de sa fille.
Parallèlement, toujours sur Téta, loin des institutions de l’Empire et des dangers qu’il engendrait, Iala reçut une formation de diplomate et, depuis deux ans déjà, elle assiste son père dans sa charge. Elle s’y emploie avec compétence. Son statut social lui confère une dignité naturelle et sa maîtrise de la communication, son inébranlable respect de ses interlocuteurs, lui donnent une grande légitimité à leurs yeux. Elle s’est initiée aux jeux du pouvoir politique et aux complexes pouvoirs des lobbies (miniers, essentiellement). Elle éprouve un certain mépris pour les compromis qu’elle doit faire mais en admet la nécessité.
Devant sa virtuosité professionnelle, un observateur non averti pourrait croire qu’Iala est parfaitement à sa place. Mais… Mais au fond d’elle-même grandit l’aspiration vers un autre devenir, elle sent que son destin l’appelle à des œuvres plus nobles. Au fond d’elle-même sommeille un grand idéal de monde parfait… qu’elle sait être totalement utopiste. Mais voilà, le monde est ce qu’il est, et il faut avancer sur le chemin qu’on lui a tracé.
A moins de s’en émanciper.
o Nom : Iala Iédastré
o Race : Humaine
o Sexe : Féminin
o Âge : 20 ans
o Planète d'origine : Téta du système de Koros
o Groupe : Jensaarai
o Fuseau Horaire : Greenwich
o Disponibilité : à peu près tous les jours de 7h à 8h et de 18h à 20h. Et des connections rapides à n’importe quelle heure de la journée.
o Indisponibilité : à partir de 20h (je m’y refuse absolument suite à 3 années de jeu no-life)
RP
Le soir tombe et la première lune de Téta se lève à l’horizon. Iala regarde le paysage urbain qui s’étale aux pieds de la colline où est située la confortable demeure familiale. Les lumières de la ville s’allument les unes après les autres… minuscules étoiles, témoins de mille vies.
Iala est songeuse, elle se remémore sa journée. Tout s’est déroulé conformément à ses attentes : sa visite à un des plus importants représentants du consortium minier tétien a abouti à un compromis où chaque partie trouve son compte, gouvernement, mineurs et exploitants… c’était son objectif.
« Une merveilleuse opportunité de lui avoir opposé l’absence de permis d’exploitation du niveau -3 de la mine AK17 et le retard dans les contrôles de sécurité de TH2, ma position s’en est trouvée consolidée ».
Iala sait parfaitement que son dossier ne contenait aucun renseignement sur ces sujets… elle n’a pas voulu sonder l’esprit de son interlocuteur, mais ses pensées lui sont apparues naturellement car l'homme se focalisait sur la crainte que ces détails soient connus de la commission de contrôle minier. Cela lui arrive de plus en plus fréquemment, souvent alors qu’elle préférerait ne rien « entendre ».
« Père m’a encore félicitée de ma capacité à convaincre mes interlocuteurs, dans quelle mesure la Force intervient elle ? » Iala se pose la question, elle en ignore sincèrement la réponse. Elle s’est encore surprise à ralentir la chute d’un objet : « une jolie petite sculpture offerte par Mère », « juste un réflexe pour sauver un objet auquel je tiens beaucoup », se justifie t-elle pour elle-même.
Elle tente de se rappeler les évènements de la journée… combien de fois a-t-elle inconsciemment utilisé la force ? « Non, ce n’est pas vraiment la Force, c’est une simple fonction naturelle, voilà tout ! » tente t-elle de se convaincre. Mais Iala s’angoisse, elle pressent et que la Force s’insinue en elle et qu’elle risque d’en perdre le contrôle malgré l’enseignement de Karafaa.
"Demain ! Demain j’en parlerais à Mère".
Elle se baigne longuement, comme on se purifie, puis lance un appel inconscient avant de s’abandonner au sommeil auto-hypnotique auquel elle a recours lorsque son esprit est agité.
« Mère, ma mère, je dois répondre à l’appel de la force qui grandit en moi… mère conseillez moi. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour honorer le nom de mon père, pour faire ce qu’on attendait de moi. Mais je n’en peux plus de cette vie de compromis et d’artifices. Mon esprit est comme le lierre sauvage qu’on ne taille pas et qui s’introduit furtivement dans les fentes des murs au risque de détruire leurs scellements. Mère montrez-moi le chemin, vous qui l’avez emprunté, jadis. »
APPARENCE:
Cette jeune femme longiligne possède la grâce d’un félin. Ses longs cheveux châtains ornent un pale visage de complexes coiffures, à moins qu’elle ne les laisse couler librement en une cascade brillante qui s’écoule sur ses frêles épaules. Lorsqu’elle est en action on remarque son agilité et sa grâce. Mais on perçoit une certaine fragilité et on peut croire qu’elle ne possède pas une grande endurance physique. Volontiers vêtue avec recherche, voire sophistication, elle ne passe pas inaperçue. Ses mouvements précis semblent toujours mesurés et sa maîtrise permanente en agace plus d’un. Oui, cette magnifique jeune femme ne passe pas inaperçue et elle peut exaspérer ceux qui ne voient que l’apparence sophistiquée et la fière attitude de Iala. Mais celle-ci n’en est pas consciente. Son désir est d’offrir à tous une image proche de la perfection comme un hommage aux regards des autres, comme un beau paysage au calme serein.
HISTOIRE :
Cette sérénité n’a rien de naturel. C’est le fruit d’un long travail sur elle-même… commencé il y a vingt ans déjà.
Iala est née de l’amour passionné de Karaffa, une Jedi expérimentée qui a renoncé à son ordre pour vivre aux côtés de Loïs-Galacticus Iédastré, issu de la vieille aristocratie de Téta et occupant de hautes fonctions à la tête du gouvernement de Téta comme diplomate. Il est chargé plus particulièrement de servir de médiateur entre les planètes du système de Koros et d’interlocuteur privilégié avec les grandes compagnies minières.
De cette union est d’abord né Carolus Iédastré, son aîné de 12 ans. D’après ce qu’on a bien voulu lui dire, il aurait commencé son initiation de Jedi très tôt … Mais il aurait mal tourné. Depuis plus de dix ans, il n’a donné aucun signe de vie à sa famille. Ce fut d’ailleurs un coup dur pour sa mère qui avait fondé beaucoup d’espoir en son fils. Cela éloigna un peu plus Karaffaa de l’Ordre Jedi.
Iala ignore ce qu’il s’est réellement passé mais elle préfère imaginer qu’il a été assassiné et que la thèse de la « trahison » est un sinistre complot. Elle ne parle jamais de son frère, et si, par hasard, le sujet est évoqué, elle affirme qu’il est mort héroïquement… Une de ses rares entorses à la vérité, dont elle a fini par se convaincre.
C’est dans ce contexte privilégié que la formation Jedi de Iala a commencé, doucement, dès son plus jeune âge. Sa mère l’a initiée, loin de la rigueur habituelle, dans la discrétion de leur demeure familiale, ne faisant plus confiance à un ordre qui était sur le point de disparaître... Mais, de cet enseignement atypique, tout en tendresse, Iala a intégré les préceptes Jedi et une maîtrise de la force - certes assez élémentaire - comme des choses naturelles, un composant inhérent à son être. L’échec de l’Ordre Jedi sur Carolus influença l’enseignement de Karaffa qui offrit des horizons moins classiques aux méditations de sa fille.
Parallèlement, toujours sur Téta, loin des institutions de l’Empire et des dangers qu’il engendrait, Iala reçut une formation de diplomate et, depuis deux ans déjà, elle assiste son père dans sa charge. Elle s’y emploie avec compétence. Son statut social lui confère une dignité naturelle et sa maîtrise de la communication, son inébranlable respect de ses interlocuteurs, lui donnent une grande légitimité à leurs yeux. Elle s’est initiée aux jeux du pouvoir politique et aux complexes pouvoirs des lobbies (miniers, essentiellement). Elle éprouve un certain mépris pour les compromis qu’elle doit faire mais en admet la nécessité.
Devant sa virtuosité professionnelle, un observateur non averti pourrait croire qu’Iala est parfaitement à sa place. Mais… Mais au fond d’elle-même grandit l’aspiration vers un autre devenir, elle sent que son destin l’appelle à des œuvres plus nobles. Au fond d’elle-même sommeille un grand idéal de monde parfait… qu’elle sait être totalement utopiste. Mais voilà, le monde est ce qu’il est, et il faut avancer sur le chemin qu’on lui a tracé.
A moins de s’en émanciper.