[ Espace ] Surprise, voilà le grand méchant loup !

Tout avait commencé comme dans tant d'autres histoires. Un crime, une arrestation, et le gros poisson au bout. Cette fois-ci, cela fut plus dure de le faire parler mais le bougre avait lâché un nom enfin après quelques heures sous les machines de l'Empire. Par un malencontreux hasard, il s'était impliqué dans une rixe après une beuverie un peu trop forcée, et comme les autres, il s'était fait attraper par les hommes de l'Empire avant de se faire rouer de coup. Une fois entre les mains du Bureau de la Sécurité Impériale, cela ne se passa pas pareil. On l'enferma, puis on l'oublia quelques heures, peut être même un jour ou deux, poussant le vice autant qu'on le pouvait. Son dossier n'était pas inconnu de l'Empire, et son rôle de contrebandier non plus. Mais aujourd'hui en plus il allait faire de grosses affaires. Durant la nuit on l'entendit crier, hurler pour qu'on arrête. Il avait parlé finalement, oui, enfin il avait parlé. L'heure du répit pour lui, alors que pour d'autres il prenait fin.

Pour une fois qu'ils arrivaient à avoir ce qu'il voulait, quelle stupéfaction à cette nouvelle. Une grosse cargaison d'armes pour la Mikazuki, et à ce qu'il se dirait, avec certaines de leurs têtes pensantes ... C'était la joie, mais il fallait agir au plus vite. Aussi vite que les réseaux de communication de l'Empire le permettait, l'Office Central du BSI fut alerté de l'échange qui aurait lieu. De même, une demande d'aide logistique fut demandée, sachant pertinemment que les patrouilleurs ne suffiraient pas. Sur Coruscant, on dépêcha un officier suffisamment compétent pour diriger plusieurs vaisseaux, et un nombre conséquent de troupes. Après réflexion, on y fit envoyer Adion Lang, pour s'assurer que la mission n'échoue. Le temps de rassembler chaque hommes et les vivres, que deux vaisseaux du BSI quittèrent l'orbite de la planète capitale. Tous les évènements s'étaient passés très vite ... et ils espéraient que l’anéantissement du groupe criminel le soit tout autant.

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[ PNJ : Adion Lang ]

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Adion Lang observait l'espace depuis le pont du vaisseau. Avec lui, il avait tout juste une Frégate, et un Destoyer Victory. Cela allait-il être suffisant ? Le piège marcherait-il ? Il se rassurait comme il le pouvait, se retraçant le plan mentalement plusieurs fois. Depuis le Noyau, le voyage était plutôt long. Il s'impatientait, pensant déjà à ce qu'on allait lui donner pour avoir réussit à démanteler une partie d'une de ces nombreuses organisations luttant contre l'Empire. Silencieux, et voyant qu'ils ne tarderaient à arriver à destination, il quitta le pont pour rejoindre la salle de briefing du grand destroyer. Là, il retrouva ses officiers, choisis pour l'occasion. Chacun d'eux dirigeait dans son domaine, laissant le soin aux officiers en second de donner les ordres sur les terrain.

- Bonsoir Messieurs.
Tous lui rendirent leurs salutations dans un salut militaire coordonné.
- Bien, on ne vas pas y aller par quatre chemins. Rien de bien compliqué. A ce que l'informateur nous aurait dit, le rendez vous est à 23heures, sur la base spatiale qui leur sert de lieu de stockage, et ici d'échanges. Ce sont des contrebandiers, et qui plus est, vendeurs d'armes. Il faudra rester méfiant. Au moindre problème durant la rencontre, vous faites feu. Un contingent de 50 hommes, ceux-ci présents dans la Frégate, iront se mettre en position dans le complexe. Ce seront les plus exposés en attendant l'arrivée des autres troupes. Au moindre problèmes vous faites feu. De même, dès que l'étau est resserré, vous commencez le déchargement des troupes, et investissez les vaisseaux ennemis. Je pense qu'une de nos navettes de déchargement sera posée dans un des hangars des contrebandiers, prêtent à lacher ses troupes et repartir en chercher d'autres. De même, que celles présentes dans les navires se préparent à l'assaut.
La chasse se divisera de manière à créer une attaque frontale pour la surprise, une attaque contre les possibles armes des vaisseaux ennemis et une troisième pour les empêcher de redécoller. Si vous rencontrez une résistance, vous faites feu, et surtout occupez de détruire leurs systèmes de vols. Il ne faut pas qu'ils nous échappent.
La Frégate et le Destroyer seront en hyperespace et arriveront une fois qu'ils seront là, quoiqu'il arrive. Est-ce clair ?
- Très.
- Pour l'Impératrice, et notre glorieux empire!

Tous le saluèrent une nouvelle fois avant de quitter rapidement la salle, partant rassembler leurs troupes et organiser l'attaque.

Au même moment, la petit flotte du BSI abordait la station. Une navette vint déposer des stormtroopers, et l'officier Adion Lang. Après tout, c'est lui qui commandait, il devait s'occuper de tout. Bien escorté, il fit en sorte de montrer qu'il était là pour le pacifisme. Les hommes présents bien que peu nombreux hésitèrent mais lorsque une seconde navette vint se poser, ils comprirent que ce n'était pas la peine de gaspiller leurs armes, surtout en voyant le Croiseur au dessus de la station. Au sol, l'officier du BSI eut une brève entrevue avec celui qui semblait diriger à bord. Mais c'est avec surprise qu'il reçut, tout comme les criminels, le message :

Voilà qui changeait la donne. Il hésita .. Il fallait être rapide. Dès qu'il verrait l'attaque, il partirait surement. Le coup de se faire passer pour eux ne marcherait. Il préféra garder le plan tel quel, faisant entièrement confiance à sa flotte. Vite, il alla faire mettre en place ses hommes dans la station, offrant des points de mitrailleuses lourdes et d'autres d'interventions rapide. La flotte, elle, était déjà repartie. Son temps de manœuvre était limité, et ça serait tout juste pour arriver à temps. Au sol, Adion Lang ressentit une anxiété qu'il n'avait pas ressenti depuis longtemps. Le gout de la mission lui reprenait. Dans sa main, un E-11 prêté par un de ses hommes pour l'occasion. Afin de garantir que le plan marche, il restait en contact avec ses autres officiers. La peur montait ... L'ennemi arrivait. Les 50 stormtroopers frémissaient d'impatience.

Soudainement, la flotte pirate sortit d'hyperespace non loin de la station. Cela allait être le grand moment ... Le moment de la grande capture ... La capture de tout un réseau ? Il l'espérait au fond de lui, mais il avait autre chose à penser à ce moment précis. Les hommes étaient fébriles sous leurs tenues blanches. Ils attendaient le dernier moment. Il attendit un maximum. Les transports de la Mikazuki se posèrent sur la station, venant réclamer leur due, tandis que visiblement le chef des contrebandiers s'apprêtait à partir. Adion ne pouvait pas attaquer comme ça, pas sans l'appui de la flotte. Enfin le Croiseur et la Frégate sortirent de l'espace. Il lui suffit de faire un geste, et l'ordre se transmit dans chacun des casques des hommes présents à ses côtés. Au sol, sortant de chaque entrée, sortie, creux, et caches des stormtroopers pointèrent leurs armes sur les contrebandiers et les hommes de la mikazuki, espérant ne pas se faire attaquer. De même, les deux E-WEB qu'ils avaient à bord se dévoilèrent et firent feu sur la navette pour ne pas qu'elle reparte. Dans le ciel, la Frégate vint de placer en travers du chemin, tandis que le croiseur se plaçait derrière. Les deux vaisseaux impériaux ouvrirent le feu directement sur les vaisseaux des contrebandiers, espérant ainsi les déstabiliser. De leur cœur sortirent 36 chasseurs TIE s'élançant en vitesse vers leurs ennemis, s'apprêtant à commencer le plus dur des travaux.

Au sol, cela dérapait complètement. L'effet de surprise tant espéré était là, mais la détermination des hommes, aussi inutiles soit elle était aussi de la partie. Alors qu'ils pouvaient seulement se faire arrêter, il firent feu. Il n'en fallut pas beaucoup aux hommes de l'Empire pour répliquer, créant là une pagaille énorme. Les E-web firent feu sur le cargo, faisant sortir de là tous ses occupants. Les stormtroopers, tentant de se mettre à couvert, continuaient la bataille, plus déterminé que jamais. Peu à peu, ils les acculaient dans leurs derniers retranchements, tentant de les convaincre d'arrêter le feu, mais les tirs fusèrent plus encore. Adion Lang était en première ligne, réussissant avec un petit groupe de ses troupes à bloquer plusieurs hommes dans un des stock de la station. Ils les piquaient, ils les faisaient reculer jusqu'à qu'il n'en reste qu'un. Sans vraiment comprendre pourquoi, il vit seulement une grosse explosion, et puis plus rien. Le choc, oui, un bourdonnement dans les oreilles, et la vue qui se floute. Vite, il se redressa difficilement et fit signe à ses hommes de reculer ... Et heureusement, car un morceau commença à se détacher, laissant la station encore moins intactes que prévu. De l'autre côté, les autres stormtroopers avaient fini le massacre, bien que non voulu. Lang vint les rejoindre, commençant à compter les quelques blessés.

" Ils sont farouches .. Allez fouiller la navette, et vous, allez me choper les derniers contrebandiers. Allez, plus vite que ça. " Attrapant son blaster, il s'engouffra avec ses hommes dans le cargo, vérifiant qu'ils n'avaient oubliés personne.

Au-dessus d'eux, pendant ce temps, les alarmes sonnaient dans les deux vaisseaux de guerre. C'était l'agitation, la bataille faisait rage. " Ils se tirent, activez les rayons tracteurs tout de suite ! Faites feu sur leur réacteurs ! Ils ne doivent pas nous échapper ! Vous, amorcez la manœuvre ! Si vous les laissez partir, c'est moi qui vous fait partir de ce putain de navires ! Bougez vous ! " criait le capitaine du Destroyer. La Frégate elle aussi partait à l'attaque des deux vaisseaux, tentant de les ralentir avec ses rayons. Une espèce de course poursuite débutait, alors que les chasseurs continuaient leur bataille. Ils s'étaient fait surprendre par la manoeuvre des criminels, mais ils n'allaient pas tarder à regretter cette journée si .. rouge.

La tournure des événements commençaient à inquiéter Drake pour la suite. Ils étaient en train d’exécuter leurs manœuvres de fuite quand une secousse ébranla tout le vaisseau. Le commandant se retourna immédiatement vers les consoles.

« C’est quoi ça ? »

« Il s’embleraient qu’ils essayent de nous ralentir avec des rayons tracteur messieurs ! »

« Évitez-les ! »

« Ils y arrivent ! Ils visent nos réacteurs ! »

Les deux vaisseaux du Mikazuki perdaient de la vitesse, mais ils avançaient encore, temps que leurs réacteurs étaient intacts. Mais alors que la frégate Nébulon tentait de se libérer du file invisible qui la retenait un autre choc fut sentit.

« Messieurs ! Dommages critiques, ils viennent de couper notre alimentation énergétique. Les boucliers et l’hyperdrive sont…Inutilisables ! »

A ces mots, le chef de pont pu voir le regard du commandant rejoindre celui du capitaine. Cherchant tous les deux une solution au problème dans le regard de l’autre, mais ils furent confrontés à l’idée qu’ils allaient perdre cette bataille. L’alarme d’évacuation fut donnée quand les tirs des impériaux touchèrent la coque sans protection. Le vaisseau avait déjà été affaiblit par la combat contre la convoie impérial. Et il n’était pas prévu qu’il entre dans un autre combat aussi vite après l’attaque. Mais c’est ce qui c’était produit, et maintenant plusieurs membre d’équipages étaient à ce moment même confronté à une fin dans l’espace. Les paroles du chef de pont raisonnèrent sur la passerelle comme annonceur de mauvaise nouvel.

« Multiple fissures un peu partout dans le vaisseau. La salle des machines envoie plusieurs rapports d’avarie. Et… »

« Quoi encore. »

Teach était sur les nerfs, il savait maintenant qu’il allait perdre son vaisseau, ce qui était pour lui impensable.

« Les capsules de sauvetages viennent pour la plupart, d’être détruites, il en reste seulement… »

Un sifflement puis il bascula en arrière. Drake ouvrit à nouveau les yeux, il était couché, et quelque chose lui coulait sur la joue. Du sang… Et merde. Teach se pencha sur lui, et lui dis quelque chose mais il a toujours un sifflement. Drake regarde autour de lui, les personnes qui étaient sur la passerelle au même moment que lui était dans le même état, seul Teach semblaient en bonne état, en tous cas en apparence. Le tir avait touché le vaisseau juste au-dessus de la passerelle. Il en avait fallu de peu.

« Drake, évacuez pendant qu’il est encore temps. »

« Quoi ? Non ! Je ne vais pas… »

« Je vous rejoins après mettre assuré qu’ils ne mettront pas la main sur ce vaisseau, et ce qu’il contient ! Et pis PUTAIN, il mon chercher ces chiens ! »

« OK, mais Je vous ordonne de rester en vie ! »

« A vos ordres commandant ! »

Sur un sourire Teach se retourna pour prendre personnellement les commandes du vaisseau. Drake lui, ne souriait plus, il avait un très mauvais pressentiment, et savait en font de lui que ça commençait seulement. Il recula jusqu’à la porte sans se retourner, regardant sans doute, pour la dernière fois la passerelle du Chessboard .
La porte s’ouvrit alors sur un grand chaos. Les tirs avaient en même temps que la coque endommagé un grand nombre de système, et du même coup, provoqué plusieurs courts circuits et début d’incendie. Quelques hommes essayaient d’arrêter le feu ou réparer ce qu’il pouvait mais en vain. La plupart essayaient d’échapper à leur destin et de trouver un moyen de sortir de ce cercueil spatial. Arnor se dirigeait comme la plupart des personnes vers les capsules de sauvetages qui restaient. Essayant de se frayer un chemin dans les couloirs.
Mais comme presque la globalité des personnes, Drake se figea quand il entendit la voie du Capitaine Teach.

« Messieurs, dites-moi. Qu’est-ce que vous allaient retenir de cette journée ? Qu’on c’est bien fait niquer par les impériaux ? Qu’on est tombé dans un piège et qu’on s’en est très mal tiré. C’est peut être vraie, mais ce n’est pas ça qu’il faut retenir… NON ! Demandez-vous pourquoi ils nous ont tendue s’te merdeux de piège ! C’est parce qu’ils ont peur de nous, peur d’un combat à la loyale, oui peur, c’est pour ça qu’ils sont venu nous prendre par derrière ! Alors j’ai simplement quelque chose à vous demander… Qui est prêt dans cette équipage de défourailleur à m’aider à les prendre bien com’y faut par devant ? HEIN ? »

Il passa un moment. Quelque minutes peut être, où le vaisseau resta silencieux chacun réfléchissant. Puis plusieurs, même plus que la moitié se retournèrent à se redirigèrent vers les diffèrent postes de combats. Drake était tenté de faire pareil… Mais on lui interdisait… Se serai égoïste, car même si il allait abandonner ses hommes, il en abandonnerait plus en mourant ici. Il reprit donc son chemin vers les capsules.
Une autre secousse se fit sentir, mais celle-ci était familière… Le vaisseau venait d’accélérer… Et pas qu’un peux. Puis il fit rapidement demi-tour, le vaisseau refaisait face aux impériaux, près à en découdre. Les canons recommencèrent a cracher leurs laser. Ils étaient morts, alors autant emporter le plus d’impériaux avec eux… Drake savait déjà ce qu’avait en tête le capitaine.

« Capitaine ? Vous désobéissez ? »

« Vous savez bien que je n’aime obéir aux ordres commandant, et pi vous savez aussi que je ne laisserais pas mon bébé aux mains de ces chiens. Commandant… Ce fut un honneur ! »

« C’est moi qui ai été honoré Capitaine ! »

La communication fut coupée, ainsi ce fut la dernière fois qu’il s’adressait à son premier capitaine, Tony Teach.
Quand il fut arrivé, il passa à côté de la baie de lancement d’où il arrivait à voir l’interceptor IV qui essayait de survivre à côté d’eux. Il était dans un plus mauvais état que la frégate, perdant presque en tout temps des bout de vaisseau, et ce qui semblerais de objet bougeant d’eu même…. Des corps. Drake se pinça les lèvres. Ils le payeront. L’interceptor avançait évidement en sens contraire que la frégate, mais cela ne l’empêcha pas de prendre d’innombrables tirs…trop de tirs. Et comme si il avait vu ce qu’il allait se passé, Drake pausa la main sur la baie vitré… Et un son sorti de sa bouche : NOON !

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Et ce fut une lumière lumineuse qui éclaira l’espace obscure. L’interceptor venait d’explosé d’un seul coup, Drake distingua dans cette explosion plusieurs taches, d’abord noire, ensuite jaune, puis rouge, et qui grandissaient de plus en plus. Des débris accompagnés par l’onde de choc. Arnor cria à toutes les personnes l’ayant accompagné de sortir de la salle. Une seconde après, le vaisseau fut percuté par d’important débris ainsi que l’onde de choc, qui fut terrible. Drake cru entendre des cris venant de l’extérieur, il crut voir des corps voler et s’écraser contre la coque, et il vu la baie explosé devant lui au même moment que la porte de la salle se refermait. Une seconde de plus et il était mort.
Le calme après la tempête était effroyable encore plus que la tempête de lumière elle-même. Car Drake entendait seulement sa respiration, son cœur battait la chamade. Jamais il n’avait vu une explosion de cette ampleur. Puis ça lui revint… La cargaison…Ce Putain d’Interceptor transportait le nouvel arrivage de munitions pour les vaisseaux !!

Peux à peux les personnes présente reprenait leur esprit, il fallait se barré d’ici. Un homme penché sur une console jura pendant une bande minute. Drake lui demandait ce qu’il sa passait. La réponse le fit fermer les yeux. Il récapitulait tout depuis le début : Piège par les impériaux, contrait à fuir, ralentie puis dans l’incapacité de partir en hyperespace, le Sunny détruit, et maintenant il apprenait que les capsule restant venait d’être détruite par le choc… Il resta calme, réfléchissant à une solution.

« Monsieur ? »

« Ok les gars, suivez-moi. »

Ils arrivèrent alors dans une salle de commande ou l’on contrôlait différente circuits et système du vaisseau, mais ce qui intéressait était le poste de communication qui était présent. Il envoya un message* crypté à un vaisseau en patrouille dans le secteur, qui quand il le capterait partirait en hyperespace pour éviter de se faire suivre. Le cryptage était assez compliqué pour permettre aux hommes du Mikazuki de suivre les ordres donné : ils devaient se replié au point de ralliement le plus proche et attendre les ordres, et également envoyé la vidéo jointe aux « alliés ».
Quand il eut finit, il demanda à nouveau aux hommes présents de le suivre vers une pièce d’équipement. Là ils mirent tous des combinaisons soit des techniciens ou simplement de survient. Ils devaient sortir de ce vaisseau avant qu’il ne percute sa cible. Donc, il fallait le faire à l’ancienne.
Il restait plus que quelque minutes avant qu’il arrive sur sa cible il fallait faire vite. Quand tout le monde fut de retour devant la porte qui menait vers la salle de capsules, il se tourna vers ses hommes.

« Ok, quand vous sortirait faite bien attention, il y aura surement beaucoup de débris, mais il faudra aussi mettre à fond vos propulseurs, car sinon vous finirez grillé pasla blague de Teach OK ? Messieurs, dans tous les cas, ce fut un honneur ! »

« UN HONNEUR ! »

Le crie à l’unisson provoqua un sentiment de satisfaction. Il se retourna alors et actionna la porte. Le vent s’engouffra alors dans toute la partie de vaisseau, les hommes furent retenus grâce aux bottes magnétiques des combinaisons, ils avancèrent ensuite à la queue, chacun allait sauter l’un après l’autre.

Drake allait être le premier. S’approchant où il y aurait dû avoir logiquement une voir deux capsule, il y avait un énorme trou. C’était le seul moyen, mais il n’était pas sûr que ça soit le meilleur. Il inspira fortement puis souffla… Il désactiva les aimants, il se fit éjecté d’un seul coup du sol et propulsé dans l’espace. Il essaya de visualiser quelque chose, mais il avait était tellement retourné qu’il avait perdu l’orientation. Tout en se stabilisant, en tous cas il essaya, devant lui il put voir un grande plaque de métal de duracier qu’il allait sans nul doute se prendre en pleine face. « MERDE !!! » Il activa ses propulseurs et l’évita en passant au-dessus d’elle. Maintenant il lui restait plus cas s’éloigné le plus possible de se vaisseau, propulseur à fond. Il se retourna pour voir les autres faires comme lui, et apercevoir également la cible du Teach : Le croiseur. Drake sourit. « Allez en enfer !!! » Puis fila comme une fusée. [/td">

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Sur sa passerelle Teach était calme. Il allait mourir et alors. Il avait vécu une très belle vie, avec ses bon, et mauvais côté, mais c’était ça la vie. Il avait vécue comme il allait mourir, d’une seule traite, pas de chichi. Regardant quelque fois les bouts qui se détachaient de son vaisseau. Les tirs des impériaux se faisaient comme hésitant, tantôt il voulait fuir, tantôt il pensait peut être qu’il bluffait. Il caressa les commandes de navigation des bouts des doigts. Il en avait vécue avec ce vaisseau, il en avait terrassé des ennemis. Il le fera encore une fois. Il ouvrit le commande de communication au impériaux.

« Bonjours messieurs. Je m’appelle Tony Teach, Capitaine du Chessboard , appartenant au Mikazuki. Retenez ce nom, Tony Teach. T-O-N-Y T-E-A-C-H. Vous avez déjà entendue la blague de L’adeeran fous ?
Silence….
Non ? C’est normale, personne n’y survie ! HAHAHAHAHAHA »

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Il abaissa les leviers de puissance, des moteurs de secours. Des ties passèrent côtés du vaisseau, ils pouvaient sentir la puissance, la vitesse, les vibrations, mais aussi la détermination de tout un équipage qui continue toujours, et toujours à tirer. Désespéré, suicide, acte de folie, appelez-le comme vous voulez. Pour Drake, c’était un acte dix mille fois plus respectable qu’être impériaux. C’était la dernière chose qu’il pensa. Puis ce fut une énorme lumière, il ne savait pas si la frégate avait atterrie sur ce qu’elle voulait mais en tous cas, c’était sans nul doute destructeur. Il était à bonne distance pourtant il sentit comme quelque chose la poussant toujours même avec les propulseur à sec… Il fallait maintenant avoir de la chance…. Et ne pas se prendre un débris…. Et ça, ce n’était pas lui qui le décidait. .. Il se retourna pour seulement voir une lumière blanche, encore plus grande que celle d’avant. Puis, ce fut une aile de Tie qui passa à côté de lui, un morceau du Duracier. Puis un autre plus petit, mais juste en face…Le choc fut tel qu’il perdit connaissance, où il l’avait reçu était d’aucune importance, car toute façon, il allait surement mourir. Sur cinquante hommes qui l’avaient suivi il ne savait pas combien allaient survivre, seul le destin allait le décider. Si ils ne mouraient pas dans l’explosion, c’était d’asphyxie, ou sinon dans une prison impérial… Et ils n’avaient même pas le choix. L’explosion passée, des centaines de corps flattaient dans l’espace, et dans cela, quelques survivants, don un allait intéresser les impériaux plus que d’autre.

Jamais il n'avait vu un combat aussi violent. Au sol, alors que Lang fouillait le cargo en vain, il ne trouva que le silence et la mort. Il pourrait seulement les emprisonner, mais ce fut un massacre. Une boucherie sans nom ... Aucun d'entre eux ne voulait se rendre. Surement un excès de zêle .. Ou d'honneur. Il comprenait qu'on puisse vouloir mourir pour une cause, mais ici ils n'étaient pas réellement menacés. Silencieux, il rassemblait les prisonniers contrebandiers, et inspectait ses troupes pour voir si il n'y avait pas de blessés trop graves. Il ne pouvait faire que ça après, la bataille était désormais dans le ciel.

Tout l'équipage était excité. Le combat, la mort, la peur suffisait ça électriser le plus froid des hommes. Chacun redoublait de vaillance, et de violence. Les artilleurs ne cessaient le feu, tandis que sur le pont c'était la panique. Les alarmes ne cessaient de sonner, et les navigateurs ne cessaient de donner les ordres, faisant attention aux nombreux senseurs du tableau de bord pour ne pas risquer de gros dégâts. Désormais ils les tenaient, mais il fallait les mettre hors d'état de nuire. Le feu nourri contre les boucliers des hors-la-loi s’amplifia, voulant mettre fin à ce combat interminable. Les chasseurs continuaient leurs courses poursuites. Personne dans les deux camps ne voulait abandonner, malgré l’impressionnante bataille. Mais enfin un des navires sombra. Le destroyer impérial s'activait à l'immobiliser et le désarmer, mais il fut plus puissant qu'il ne l'eut cru. Une explosion, un flash blanc. L'Inceptor ennemi avait explosé, éclairant durant quelques secondes la noirceur de l'espace. Ils n'avaient pas réellement voulus le détruire, mais c'était trop tard. Désormais il ne restait que la frégate, qui, visiblement, tentait vainement de fuir. Bizarrement, elle se résigna. La stupéfaction des officiers ne leur laissa que peu de temps pour réagir, mais déjà elle était face au destroyer. Une nouvelle alarme se mit à hurler, et une nouvelle peur apparaissait. Allaient-ils être victime de ces kamikazes, ou seraient-ils assez rapides pour éviter l'échéance ? Dans la tête des hommes, la cible était oublié. Personne ne se posait plus la question de savoir si il était dedans ou non. La Frégate tentait tant bien que mal de ralentir l'ennemi, voulant éviter un sombre destin à ses collègues mais ...

Une nouvelle flamme. Une nouvelle explosion. Tout l'espace fut une nouvelle fois chamboulé et bousculé. L'espoir, ou le désespoir. Leur coup avait raté. Oui. Tout comme l'autre, ils l'avaient abattus à temps. Seulement, tout le destroyer fut remué. Ce n'était pas passé loin. Abord, chacun essayait de savoir si le vaisseau était endommagé ou non. Tout le monde analysait les dégâts, chacun vérifiant dans son domaine. Visiblement, cela n'était pas passé loin. Heureusement pour eux, le bouclier avait encaissé l'explosion du vaisseau à proximité, mais les débris avaient endommagés plusieurs secteurs mineurs. A l'annonce des résultats, le vaisseau souffla. Cette bataille sanglante aurait put l'être encore plus, mais la chance était de leur côté. On se décida enfin à rapatrier les hommes sur la station. La joie s'emparait des vaisseaux, accueillant leurs blessés et leurs combattants. La chasse avait été la plus touchée mais rien de très impressionnant pour les hommes très entrainés de l'Empire. Enfin la question de la présence d'Arnor à bord des vaisseaux se posa. De même, des corps commençaient à flotter dans l'espace. On ordonna leur rapatriement à bord, espérant qu'ils étaient toujours en vie. Le constat n'était pas des plus agréables, mais heureusement plusieurs d'entre eux furent épargnés, ou seulement blessés. Une dizaine sur la quarantaine de repéchable. La mission n'était donc pas totalement un massacre.

" Bien, c'est qu'on dirait notre poisson, messieurs. Le sieur Arnor a donc préféré fuir et survivre. Et nous l'en remercions pour ça. Occupez de vous de le préparer comme les autres. On va le livrer sur Kessel. Rasage, habillage, tout. Pas de préférence. J'espère qu'il sera prêt quand on se posera d'ici peu pour réparer les dégâts qu'ils ont fait. " Land ricanna. Puis, croisant ses mains dans son dos, il regarda faire ses hommes qui s'occupaient de Drake. Une tonte, puis un habit de prisonnier. Il attendrait qu'il réagisse pour s'occuper de lui, enfin. Il n'avait rien soutiré aux autres hommes, alors il ne pouvait plus rien perdre de celui-ci.