Miranda Neladren [v]

Identité


• Nom : Miranda Neladren
  
  
• Autre Comptes : Aucun
  
  
  Profil
  
  
• Race : Gurlanin
  
  
• Sexe : Féminin
  
  
• Âge : 30 ans sous son apparence humaine, 125 ans en réalité (l’espérance de vie moyenne d’un Gurlanin est de 700 ans.)
  
  
• Planète d'origine : Qiilura
  
  
• Apparence : Tout dépend de la forme choisie mais Miranda alterne en générale entre sa forme dite naturelle et sa forme dite d’emprunt. Il est important de savoir que les Gurlanins peuvent se transformer en un large panel de formes et de créatures. Ils peuvent prendre l’apparence de pratiquement tout et n’importe quoi. Sous sa forme naturelle, Miranda ressemble à un grand félin (1m50 de long) couvert d’un fin pelage sombre brillant recouvrant tout son corps. Elle possède de longues pattes délicates et des yeux de couleur orange déstabilisants. Les membres de sa race étant des prédateurs, elle possède des dents pointues au bout de son museau étroit, dont quatre dépassant de la lèvre inférieure et se terminant en double pointe. Sous cette forme, ses oreilles se situent dans son museau et elle peut donc user d’une forte inspiration ou expiration comme forme d’écholocation.
  
  Sous sa forme humaine, qui est celle qui est employée la plupart du temps par Miranda, il s’agit d’une femme de taille moyenne (175 cm) qui ne se démarque pas mais alors là pas du tout de la masse. Son personnage humain n’a pratiquement pas de poitrine, des cheveux noirs (toujours détachés et toujours impeccablement peignés) et les yeux de la même couleur et arbore, lorsqu’en service, une expression glaciale et sévère (sur le terrain, pas avec les collègues). Elle arbore une apparence athlétique qui cadre avec le physique d’un agent de terrain, dédaignant des apparences trop flagrantes. Elle dégage une aura de confiance et elle sait se montrer intimidante sans nécessairement avec le physique requis pour ce genre de démonstration de force. Il est intéressant de noter que cette forme semble subir le passage du temps, contrairement à sa forme d’origine qui elle ne semble pas montrer de signes de vieillissement malgré ses 125 ans.
  
  
• Métier : En théorie, elle est l’actuel officier impérial de liaison avec le CorSec (CorSec Imperial Liaison Officer) mais elle est également appelée à participer à leurs investigations
  
  
• Groupe : En théorie, Empire Galactique mais sa couverture l’amène à travailler avec certains individus de groupes neutres ou mercenaires
  
  
  Informations
  
  
• Histoire : Tous les Gurlanins, dit-on, naissent sur Qiilura et Miranda n’y fait pas exception. Tous les Gurlanins, affirme-t-on, sont naturellement doués pour l’espionnage et l’infiltration. Là-dessus, Miranda non plus ne fait pas exception. Selon les rares spécialistes à avoir étudié les Gurlanins, ces derniers rechignent à quitter leur planète natale, préférant et de loin passer leur existence entière au sein de leur mère patrie. Sur ce point, Miranda est une exception à la règle. De tous les membres de sa famille, elle en est très certainement le « mouton noir » et son désir d’aller explorer le monde au-delà des frontières de Qiilura lui vient des récits de deux « personnalités » influentes du peuple Gurlanin, Valaqil et Jinart, deux figures majeures qui avaient participé à libérer leur monde du joug de la CSI du temps de la guerre des clones. Miranda Neladren, née Mirandatria Neladrenaral, est la petite dernière d’une portée de six, son entrée dans le monde ne se fit pas sans un peu de difficulté. Malgré sa mentalité différente, elle n’a jamais coupé les ponts avec sa famille et elle leur écrit souvent pour prendre de leur nouvelle, les visitant à l’occasion. Faisant partie d’une famille influente au sein de son clan, il n’en demeura pas moins qu’elle ne perdit jamais de vue qu’elle était Gurlanin avant tout et que sa position sociale (pour un peu que l’on puisse parler de société au sens propre du terme) était donc très secondaire. De nature joueuse, elle se fit plus d’amis que d’ennemis sur son monde natal et lorsque la République viendrait plus tard sur Qiilura, elle se lierait d’amitié avec certains soldats clones, principalement ceux de l’escouade oméga, comme Valaqil et Jinart avant elle. Sans devenir une héroïne pour les siens, elle aurait un bon rôle à jouer.
  
  Son enfance se passa au milieu de la traque en famille et des bagarres (plus un jeu qu’un vrai combat) avec ses frères et sœurs pour voir qui des six était le plus rapide, le plus agile, le plus fort ou encore le plus malin. Les Gurlanins étant des prédateurs et sous leur forme naturelle quelque chose s’apparentant à un grand félin, elle ne disposait donc pas d’hololivres, d’hologrammes ou autres pièces de technologie avancée auxquelles les enfants des mondes dits civilisés ont accès. Cela ne veut pas dire que son enfance fut malheureuse pour autant : sans nécessairement être la favorite de ses parents ou la meilleure chasseresse, elle eut la chance de grandir dans un milieu aimant, compréhensif et très permissif. Chez les Gurlanins, un enfant Gurlanin est l’enfant du clan et tous veillent les uns sur les autres, liés les uns aux autres par un lien télépathique auquel aucun des leurs ne saurait se soustraire. Contrairement à plusieurs civilisations, l’individualisme n’était pas une valeur tenue en haute estime dans la société Gurlanin. L’entraide, la coopération, la collaboration, ce sont ces valeurs qu’on inculqua dès son plus jeune âge à Miranda, des valeurs qu’elle continue à défendre à ce jour. De tous les enfants Gurlanins du clan, elle était sans contredit la plus curieuse : il n’était pas rare de la voir sortir la nuit pour assister « secrètement » aux réunions des adultes, ce qui n’était pas nécessairement facile au vu de ce fameux lien télépathique partagé. Un état de fait qui ne l’empêcha jamais d’essayer et cette persévérance lui servirait lors de la campagne républicaine sur Qiilura pour libérer la planète du joug séparatiste. Comme Jinart, elle servit sur le terrain pour nuire à l’effort séparatiste, rôle dans lequel elle excella d’ailleurs.
  
  Miranda fit d’ailleurs partie des rares à accepter de quitter leur monde natal pour aller espionner la République et contrairement à ses compatriotes, elle refusa l’ordre de retour sur Qiilura, préférant profiter de cette opportunité pour voir le monde et l’explorer. Quand vous avez 700 ans minimum à tuer, décider de voyager n’est pas une si mauvaise idée. Ses pas l’amenèrent de Coruscant à Corellia, pratiquement par accident. L’identité qu’elle avait assumée durant son service en tant qu’espionne pour le compte de Qiilura était celle d’une officier des communications et profitant de son lien télépathique, elle se trouva à coordonner certaines parties de la mission avec quelques autres. Ce qu’elle ne savait pas par contre c’était que la République l’enverrait sur Corellia pour remplacer un de leur officier sur place. Oui, Corellia s’était séparée de la République durant la guerre des clones mais il restait et demeurait que dans l’optique de maintenir une certaine stabilité dans ses affaires militaires, cette dernière maintenait un avant-poste sur la planète. Elle eut d’ailleurs à cette époque son premier contact avec le feu de l’action : quand la République découvrit que la personne dont elle avait usurpée l’identité était en vérité morte dans les opérations sur Qiilura (en pleine guerre, certaines informations voyagent plus lentement que d’autres), elle se retrouva à affronter les soldats clones pour la première fois. Gardant en tête les directives de Jinart (prioriser les intérêts de Qiilura), elle parvint à leur échapper, leur faisant perdre sa trace dans les bas fonds de la planète. Préférant éviter un affrontement qui aurait résulté en la mort de clones, elle préféra être la proie que la prédatrice ce jour là, une preuve de sagesse de sa part.
  
  Ne voulant pas attirer l’attention et convaincue que tout ceci était un signe comme quoi son futur immédiat était sur Corellia, elle décida de prendre une approche qui lui garantirait un maximum de sécurité. Prenant l’apparence d’une gamine d’une douzaine d’années, elle se retrouva à errer près d’un orphelinat qu’elle avait repéré pendant ses recherches sur Corellia et Mirandatria Neladrenaral devint Miranda Neladren, une orpheline corellienne dont s’occupa l’état. Pour plusieurs, revivre l’enfance et l’adolescence relevait du cauchemar pur et simple mais pour Miranda, c’était donner quelques années de sa vie en échange d’une vie future pleine d’aventure. De toute façon, qui pourrait bien découvrir le pot aux roses : une orpheline des bas fonds n’attira pas les questions mais la sympathie des gens travaillant pour l’orphelinat. On assuma tout naturellement que sa famille avait été tuée par un gang X ou Y. Elle grandit donc au milieu d’autres orphelins et elle se démarqua pour un talent naturel en termes de leadership et d’initiative et son entrée chez les orphelins de Corellia ne se fit pas de façon nécessairement discrète ou subtile. Étant la nouvelle dans l’orphelinat, la terreur de l’endroit, une brute épaisse qui s’imposait sur les autres par la force, avait décidé de la faire rentrer dans les rangs et de lui montrer qui était le chef. Grave erreur. Oui, Miranda avait le corps d’une enfant mais elle avait l’expérience d’une Gurlanin adulte et l’habitude du combat corps à corps, non seulement par sa nature purement et simplement mais également grâce à des bagarres amicales et quelques coups et prises que lui enseigna un soldat clone de l’escouade oméga lors de la mission sur Qiilura.
  
  Autant dire que la brute se prit la raclée de sa vie, Miranda n’hésitant pas à se servir de tous les moyens à sa disposition pour lui montrer qui était le dominant et qui était le dominé. Elle fut réprimandée par avoir mit la brute dans un état lamentable mais « du haut de ses dix ans », elle se défendit en disant que c’était de la légitime défense, qu’elle avait tenté de le dissuader de se battre. Ce genre de petit incident ne serait pas le dernier et c’est d’ailleurs l’un d’entre eux qui finit par attirer l’attention de l’organisation pour laquelle elle finirait par travailler : le CorSec. Ayant « grandit » avec le temps, Miranda devint une adolescente puis une jeune adulte et même si physiquement elle n’était ni la plus belle, ni la plus grande et ni la plus imposante, cela ne l’empêcha pas d’être la cible d’un trio de malfrats bien décidés à « prendre du bon temps » avec la jeune femme qui s’était aventurée apparemment sans armes ni escorte dans les bas fonds de Corellia. Miranda faisait à tous les jours le trajet entre son lieu de travail et sa demeure dans les bas fonds (car depuis sa sortie de l’orphelinat, elle s’était mise au travail) et donc pour elle, c’était une promenade de santé mais pour le commun des mortels, ce n’était pas le cas. Bien décidée à ne pas se laisser faire, elle se défendit avec une férocité digne d’un membre de sa race et un inspecteur du CorSec, qui enquêtait sur le gang auquel appartenaient les trois félons, ne manqua pas d’assister à la scène. Sachant reconnaitre un élément prometteur quand il en voyait un, il lui proposa tout naturellement d’entrer au service du Corsec et elle avait à peine dix-huit ans quand elle commença sa formation comme cadet à l’Académie Corsec et elle aurait plus tard sa place au sein de leur QG.
  
  Certaines personnes ont besoin de suer sang et eau pour parvenir à leurs fins dans un domaine donné. Pour Miranda, ce ne fut pas le cas : naturellement doué pour faire d’excellents espions ou assassins et étant doués pour la traque de par leur nature de prédateurs, la Gurlanin passa au travers de sa formation avec d’excellentes notes, gradua avec tous les honneurs et commença son service au sein du CorSec. Dans les années qui suivirent le début de son service dans le CorSec, elle accumula promotion sur promotion et à son grand dam, elle finit par attirer sur elle l’attention de l’Empire. Promue au rang d’officier impérial de liaison avec le CorSec, elle fut envoyée sitôt après en mission pour démanteler un réseau suspecté d’avoir en sa possession des informations sur la localisation de Jedi ayant échappés à l’ordre 66. Elle se lança tête baissée dans l’aventure et elle se rendit compte que même si techniquement elle travaillait pour le CorSec, certaines de ses investigations l’amenaient vraiment loin de Corellia. Des bas fonds de Corellia à Tatooine, après une fusillade plutôt intense, puis de Tatooine à Denon où elle dû brutaliser quelques truands qui tentaient d’entraver « la marche vertueuse de la justice » pour finir le tout dans un épique combat dans les bas fonds de Coruscant cette fois, cette première enquête « supraplanétaire » s’avéra être la première de plusieurs. Elle fut également amenée à affronter un nombre varié d’ennemis et se retrouva même avec une prime sur sa tête car que voulez-vous : tout représentant de l’ordre qui s’avère incorruptible se doit d’être retiré de la circulation d’une manière ou d’une autre. Miranda prend la chose comme un compliment plutôt que de craindre de mourir.
  
  C’est au cours d’une opération dans les bas-fonds de Coruscant (servir dans les forces de l’ordre vous fait parfois voyager loin de chez vous) qu’elle sera amenée à rencontrer celui qui deviendrait son partenaire, ami et confident, un Chiss du nom de « Praed ». Là où Miranda voit une occasion de s’amuser, ne refusant jamais d’entreprendre des missions dangereuses pour l’excitation qu’elles lui apportent, son partenaire lui est plus sage et réfléchi. Si d’une part elle est capable d’un esprit de déduction aiguisé, il n’en demeure pas moins que l’intellect supérieur de son ami et son don naturel pour le profilage lui furent fort utiles, notamment lors d’une enquête qui les mit en opposition directe avec des membres du cartel des Hutt. La précision avec laquelle le Chiss fut en mesure de prévoir les actions de leurs ennemis laissait presque à penser que c’était lui qui avait organisé les choses… Elle lui a bien sûr proposé de rejoindre le CorSec mais comme le Chiss avait sa propre agence de détective, il déclina son offre. Récemment, les deux ont commencé à travailler sur un cas plutôt étrange qui commence avec l’enlèvement d’un gradé de l’armée impériale sans histoire, enlevé sur Corellia et qui semble bien plus complexe qu’il n’en a l’air : des dossiers impériaux effacés, des registres du spatioport falsifiés, des archives vidéo manquantes, une attaque virale sur le réseau informatique du CorSec… Quelqu’un se donne beaucoup de mal pour effacer des traces qui pour le moment ne semblent mener nulle part et Miranda compte bien résoudre le cas avant que les RI, le BSI ou le COMPORN ne s’en mêle… Comme tout bon flic qui se respecte, elle déteste que d’autres viennent mettre leur nez dans ses affaires.
  
  Car c’est son affaire à elle. Ses collègues ne sont pas au courant. Ses subordonnés non plus et ses supérieurs, tant les rares qu’elle ait au CorSec (encore que son « grade » impérial en fasse techniquement la plus haut gradée dans ceux qui servent dans le CorSec) que ceux de l’Empire ne savent guère plus que ce qu’elle daigne bien écrire dans ses rapports. Même si elle doit se rendre au bout de l’univers, elle compte bien emporter cette course contre la montre avant que l’Empire commence à lui dire quoi faire et quoi ne pas faire. Quelque chose se prépare, son instinct le lui crie… Et à date, peu de choses jouent en sa faveur… Ses contacts se font éliminer les uns après les autres. On a tenté de détruire les preuves qu’elle avait accumulées. On a tenté de la tuer elle (ce qui ne change pas tant que cela de l’habitude) et on a tenté de l’accuser d’un crime qu’elle n’a pas commis (fort heureusement pour elle, les talents de son comparse « Praed » lui firent fort utile pour se faire innocenter). Chaque fois qu’elle tombe sur une nouvelle piste, on dirait que l’enquête recule de dix pas. Il y a quelque chose de louche derrière la disparition de cet officier impérial et elle est déterminée à trouver quoi. Chose certaine, ce n’est pas un cas classique et ce n’est pas une vulgaire affaire criminelle. Entre les dossiers sur lesquels elle continue de travailler et cette affaire qu’elle hésite à rapporter à ses supérieurs impériaux, la Gurlanin est en train de remettre en question, lentement mais sûrement, les buts et intérêts de ses employeurs. Quelque chose ne tourne pas rond dans toute cette histoire et quel que soit l’enjeu, elle n’aura de cesse que lorsque qu’elle aura réglé cette affaire… Quitte à mourir en essayant. Elle est déterminée à ce point…
  
  
• Inventaire :
  
  -200 crédits
  
  -Son uniforme du CorSec (avec son insigne d’ officier impérial de liaison avec le CorSec)
  
  -DL-44 heavy blaster pistol (en lieu et place de l’armement standard du CorSec)
  
  
• Psychologie : Miranda est une personne curieuse et espiègle qui aspire à découvrir de nouvelles choses et qui fait preuve d’une réserve inépuisable de persévérance. Rien n’est trop difficile ou insurmontable et la seule chose pouvant venir vraiment mettre un grain de sel dans quelque chose, c’est le facteur temps. Ce n’est pas pour rien qu’on dit que celle elle la plus motivée et la plus acharnée de toute l’organisation! Professionnelle lorsqu’en service, elle adopte un pragmatisme pratiquement inhérent à sa race : faire le nécessaire pour atteindre son objectif (comme les Gurlanins en firent montre lors de leur alliance avec la République) et s’il faut pour ce faire user des zones grises de la loi, elle le fera sans hésiter. Elle peut également être froide et impitoyable, surtout envers les criminels, une tendance que sa nature de prédatrice tend à faire ressortir plus souvent qu’elle ne le voudrait. Excessivement dévouée à son travail et d’une rare efficacité, elle essaie de rester le plus proche possible de la ligne de conduite des membres de sa race bien que la cohabitation avec les humains la force à user d’une arme qu’elle déteste tout particulièrement : le mensonge. Une des choses avec laquelle elle a le plus de difficulté restera toujours de contrôler son agressivité car les Gurlanins sont d’ordinaires agressifs avec les étrangers et ceux qui leur nuisent. Même après près de vingt ans passés après des humains, elle a encore du mal à pleinement tolérer leur présence, ayant passé plus d’un siècle exclusivement entouré des siens. Elle est excessivement protectrice envers ceux qu’elle aime et ceux à qui elle tient et elle devient vite violente quand on cherche à leur faire du mal.
  
  
• Affection : Miranda aime la vérité. Aussi blessante soit-elle, elle la préfèrera toujours au mensonge. Elle aime l’action et les situations hautes en couleur et en adrénaline. Elle aime les siens et elle profite d’ailleurs de ses temps libres pour aller les voir. Elle adore son travail et ce malgré le fait qu’elle doive maintenant travailler pour l’Empire. C’est une fanatique l’intrigue et elle ne se lasse jamais d’enquêter car cela lui permet de garder son esprit alerte. Elle apprécie énormément son partenaire, « Praed » et même s’ils n’appartiennent pas au même service, elle fera systématiquement tout ce qui est en son pouvoir pour lui venir en aide. Elle tient également à ses affaires et elle prend grand soin de son uniforme, de ses insignes et de son arme qu’elle entretien sur une base régulière (à chaque jour, au fond).
  
  
• Aversion : Le mensonge (qu’elle se répugne à employer) est la principale aversion de Miranda. Elle voue aussi une haine profonde à ceux qui voudraient s’en prendre au peuple Gurlanin ou à ceux à qui elle tient. Elle déteste les abus et fait preuve d’un zèle presque fanatique lorsqu’elle traque les criminels. Elle déteste également qu’on lui mette le canon d’une arme entre les deux yeux : cela la rend agressive. En fait, elle déteste qu’on pointe une arme vers elle purement et simplement et elle se méfie comme de la peste des utilisateurs de la Force (surtout des Jedi) depuis qu’elle a appris Etain Tur-Mukan avait été tuée par l’un d’eux. Elle n’aime pas particulièrement ceux qui se pensent supérieurs et pour une raison obscure, après avoir vu une fois dans sa vie le représentant Binks, elle a pris les Gungans en grippe.
  
  
  Disposition
  
  
• Fuseau Horaire : GMT -5 (EST Québec)
  
  
• Disponibilité : En théorie, tous les jours, en journée et en soirée
  
  
• Indisponibilité :

De nuit (passé 22h, d’ordinaire) et le matin (en général pas avant 10h00)


J’ai pris la peine d’ajouter ici une description de ce que sont les Gurlanins. Il s’agit d’une fiche hybride car l’information me vient de deux sites : l’entrée sur les Gurlanins de Star Wars Holonet et l’entrée de Wookieepedia, en anglais, sur le même sujet :

Les Gurlanins sont une espèce native de Qiilura, une planète tempérée située dans la Bordure médiane. Ce sont des créatures métamorphes, c’est à dire capables de changer de forme à volonté. Sous leur forme naturelle, les Gurlanins ressemblent à de grands félins (1m50 de long) couverts d’un fin pelage sombre brillant recouvrant tout leur corps. Ils possèdent de longues pattes délicates et des yeux de couleur orange déstabilisants. Étant des prédateurs, ils possèdent des dents pointues au bout de leur museau étroit, dont quatre dépassant de la lèvre inférieure et se terminant en double pointe. Leur proie naturelle est le Gdan, un petit prédateur de 30 cm de long vivant en groupe. Occasionnellement, les Gurlanins consomment du Merlie. Leurs oreilles se situent dans leur museau et ils peuvent donc user d’une forte inspiration ou expiration comme forme d’écholocation. L’espérance de vie moyenne d’un Gurlanin est de 700 ans.

Les Gurlanins peuvent se transformer en un large panel de formes et de créatures. Vieille femme, Merlie, paysan, arbre, etc. Ils peuvent prendre l’apparence de pratiquement tout et n’importe quoi. Sous leur forme normale, leur voix est liquide et hypnotique. Ils savent parler et comprendre le Basic. Les Gurlanins vivent en couple. La femelle s’occupe des petits qu’elle transporte dans sa poche ventrale. De façon générale, les Gurlanins sont agressifs avec les étrangers et ceux qui leur nuisent.

Ils sont capables de communiquer par télépathie entre eux sur de très longues distances. Par exemple, un Gurlanin placé en orbite peut communiquer avec un compagnon resté sur la terre ferme. Cette capacité de lire et parler dans l’esprit de leur propre espèce (mais non pas dans celui des autres espèces toutefois) fit disparaître avec le temps toute notion de mensonge ou de faux-semblant. Ce qui fait que lorsque les Gurlanins s’adressent à des étrangers, ils font preuve d’une grande franchise très directe proche d’un important manque de tact. Leur capacité à communiquer par télépathie est une manifestation mineure de la Force. Les Gurlanins peuvent ainsi montrer ou dissimuler aux Jedis leur présence dans la Force et sentir la leur. À ce propos, Etain Tur-Mukan, une humaine ayant servi durant la guerre des clones comme chevalier jedi et générale passa un jour le commentaire suivant sur les gurlanins : « Ils peuvent devenir soudainement indétectables à tous les sens quand ils le désirent, invisibles et ce tant aux détecteurs thermiques qu’aux sonars ou encore à la Force ». Les Gurlanins sont des êtres extrêmement discrets qui gardent leur existence très secrète.