"Veuille répandre la parole de l'Empire comme un bienfait, car nulle richesse ne lui est supérieure." - Hayn, Chevalier impérial |
Matricule : HH-0061-Omega
Kiffar cloné de sexe masculin, quarante-neuf ans
Originaire de : KAMINO
INFORMATIONS :
- Signalement :
Spoiler :
Hayn se présente sous l'apparence d'un homme élancé de haute stature, aux épaules et à la taille larges. Il revêt couramment un habit ample vaguement comparable aux antiques bures Jedi, mais de couleur sombre et resserré au bassin et aux articulations par des lanières de cuir. Il est plus rare de le voir à visage découvert que plongé dans l'ombre de sa capuche, et en ce sens il a une tendance, fâcheuse aux yeux de ses instructeurs, à se démarquer des autres chevaliers impériaux qui y voient hâtivement un manque de discipline. Lorsqu'il avance le long des couloirs polis des vaisseaux, on entend clairement le claquement de ses semelles impériales tant sa démarche est vive et assurée. Lorsque le silence se fait autour de Hayn, bien affûtée sera l'oreille qui parviendra à saisir une respiration. Et nombreux sont ceux qui estiment troublante, voire malsaine, la présence de ce mystérieux serviteur à leurs côtés.
Comme s'il avait sans cesse les yeux posés sur eux.
C'est quand il médite en s'isolant que le chevalier se défait de ses vêtements et se montre au jour presque dans le plus simple appareil, ne conservant qu'un court pantalon qui ne lui va pas plus bas que les genoux - dérogeant là encore, dans cette activité, au modèle général répandu parmi ses frères. On constate alors la blancheur cadavérique de sa chair, les muscles lisses et saillants qui jouent à fleur de peau. De fines zébrures marbrent et constellent le corps de Hayn, luisantes et rougies sur les bords. Bien que ces stigmates ne le fassent pas véritablement souffrir, il ne peut s'empêcher de pincer les lèvres en les regardant ou en les effleurant du doigt.
Par ailleurs, il est dérangeant de constater que ses mains, spontanément, ont la douceur d'un artiste et semblent plus habituées à l'art de la diplomatie et de la négociation que du combat. Les ongles sont parfaitement manucurés et entretenus.
Le chevalier impérial a le visage austère et sobre. Ses traits neutres laissent rarement transparaître d'émotion qui soit éloquente ou prononcée, et son regard fixe, impénétrable, contribue à renforcer cette impression inébranlable. Les cheveux de jais de Hayn sont coupés à ras, tandis qu'il a le nez légèrement déformé comme s'il avait été cassé de trop nombreuses fois exactement au milieu de l'arcade - étrange pour une personne censée manier le sabre-laser, pour vaincre ou mourir proprement. Quiconque ayant des compétences dans ce domaine remarquera que les oreilles du chevalier sont des prothèses d'une qualité époustouflante, rendant l'illusion presque parfaite... et terrifiante une fois percée à jour. Car celui-là qui aura noté ce détail, fort de son expérience, risque de réaliser qu'il en va de même pour les dents de ce sombre serviteur de l'Empire, rigoureusement blanches, nettes et régulières - totalement artificielles.
A l'examen d'un scanner qui rechercherait précisément cette marque, un matricule apparaît, microscopique, entre les clavicules : un numéro de série ou une équivalence, d'origine Kaminoane.
Comme s'il avait sans cesse les yeux posés sur eux.
C'est quand il médite en s'isolant que le chevalier se défait de ses vêtements et se montre au jour presque dans le plus simple appareil, ne conservant qu'un court pantalon qui ne lui va pas plus bas que les genoux - dérogeant là encore, dans cette activité, au modèle général répandu parmi ses frères. On constate alors la blancheur cadavérique de sa chair, les muscles lisses et saillants qui jouent à fleur de peau. De fines zébrures marbrent et constellent le corps de Hayn, luisantes et rougies sur les bords. Bien que ces stigmates ne le fassent pas véritablement souffrir, il ne peut s'empêcher de pincer les lèvres en les regardant ou en les effleurant du doigt.
Par ailleurs, il est dérangeant de constater que ses mains, spontanément, ont la douceur d'un artiste et semblent plus habituées à l'art de la diplomatie et de la négociation que du combat. Les ongles sont parfaitement manucurés et entretenus.
Le chevalier impérial a le visage austère et sobre. Ses traits neutres laissent rarement transparaître d'émotion qui soit éloquente ou prononcée, et son regard fixe, impénétrable, contribue à renforcer cette impression inébranlable. Les cheveux de jais de Hayn sont coupés à ras, tandis qu'il a le nez légèrement déformé comme s'il avait été cassé de trop nombreuses fois exactement au milieu de l'arcade - étrange pour une personne censée manier le sabre-laser, pour vaincre ou mourir proprement. Quiconque ayant des compétences dans ce domaine remarquera que les oreilles du chevalier sont des prothèses d'une qualité époustouflante, rendant l'illusion presque parfaite... et terrifiante une fois percée à jour. Car celui-là qui aura noté ce détail, fort de son expérience, risque de réaliser qu'il en va de même pour les dents de ce sombre serviteur de l'Empire, rigoureusement blanches, nettes et régulières - totalement artificielles.
A l'examen d'un scanner qui rechercherait précisément cette marque, un matricule apparaît, microscopique, entre les clavicules : un numéro de série ou une équivalence, d'origine Kaminoane.
- Evaluation psychologique :
Spoiler :
"Car je suis le loyal serviteur de l'Impératrice et que tu défies son règne, tu mourras."
Hayn est un combattant de premier ordre, dans tous les aspects de son existence. Cela ne veut pas dire qu'il est sanguinaire, brutal ou d'un bellicisme enragé ; mais bien qu'il est ici pour résoudre les problèmes et qu'il s'y acharnera jusqu'à ce que toute complication ai disparu, le plus efficacement possible. Posé, calme et réfléchi, c'est une personne à même de prendre une décision en un éclair et de se justifier clairement et avec pertinence par la suite. Un rien sardonique, il aime à se fendre de quelques remarques ironiques, délivrées dans l'écrin doucereux du respect de pure forme. Il méprise la fureur sous sa forme aveugle et brouillonne, lui préférant un penchant livide, plein de lucidité, qui peut profondément déstabiliser ceux qui en font l'objet. Pour autant, il est malaisé d'y faire plonger Hayn, empli qu'il est de cette sorte de sérénité malveillante qui le caractérise. C'est avec une précision effarante qu'il évalue la valeur d'un homme en égard aux services qu'il rend à l'Empire... Empire auquel lui-même voue un dévouement sans borne, que soutien une intelligence poussée jusqu'à la cruauté aux yeux de ceux qui n'ont pas compris que ce défaut était, dans bien des situations, un gage d'efficacité.
Hayn se plie sans broncher à l'autorité mais tolère le doute de ses propres subordonnées, déclarant que celui-ci n'est, au fond, que la preuve de leur faiblesse et la justification de leur manque de valeur. Néanmoins, s'il autorise que l'on puisse hésiter une seconde à exécuter un de ses ordres, il prohibe absolument qu'on détourne ou refuse son commandement, attitude qu'il châtie froidement en priorité dans la douleur, ensuite dans la mort. Là encore, il n'y prend guère de plaisir sinon le sentiment glacé d'accomplir son devoir - car l'Empire est desservi par les lâches et les traîtres.
Il s'agit là d'un allié loyal, d'un supérieur calculateur et d'un serviteur efficace. En guise d'adversaire, Hayn constitue un formidable défi qui sait mobiliser toutes les ressources à sa disposition pour détruire celles de son adversaire. Lorsqu'il se lance dans une lutte, le chevalier impérial voit au-delà de son ennemi l'idéologie qu'il défend, et n'agresse pas tant le premier que la seconde. Parfois, il donnera l'impression de laisser s'éterniser une lutte, sapant et agressant en réalité l'entité qui se cache derrière ses soldats. Dans une bataille, ce n'est pas un régiment ou un officier qui est la cible de Hayn, mais bien l'armée opposée elle-même, toute entière.
Pour vaincre, il déploie d'immenses trésors de cette ruse vicieuse et aiguisée qu'il renferme, toujours surprenant, toujours imprévisible. Capable de mêler audace, traquenards et faux-semblants à profusion, il sert à merveille les principes les plus élémentaires des Sith et les intérêts à long terme de l'Empire.
Le tout dans l'humilité la plus évidente.
Hayn est un combattant de premier ordre, dans tous les aspects de son existence. Cela ne veut pas dire qu'il est sanguinaire, brutal ou d'un bellicisme enragé ; mais bien qu'il est ici pour résoudre les problèmes et qu'il s'y acharnera jusqu'à ce que toute complication ai disparu, le plus efficacement possible. Posé, calme et réfléchi, c'est une personne à même de prendre une décision en un éclair et de se justifier clairement et avec pertinence par la suite. Un rien sardonique, il aime à se fendre de quelques remarques ironiques, délivrées dans l'écrin doucereux du respect de pure forme. Il méprise la fureur sous sa forme aveugle et brouillonne, lui préférant un penchant livide, plein de lucidité, qui peut profondément déstabiliser ceux qui en font l'objet. Pour autant, il est malaisé d'y faire plonger Hayn, empli qu'il est de cette sorte de sérénité malveillante qui le caractérise. C'est avec une précision effarante qu'il évalue la valeur d'un homme en égard aux services qu'il rend à l'Empire... Empire auquel lui-même voue un dévouement sans borne, que soutien une intelligence poussée jusqu'à la cruauté aux yeux de ceux qui n'ont pas compris que ce défaut était, dans bien des situations, un gage d'efficacité.
Hayn se plie sans broncher à l'autorité mais tolère le doute de ses propres subordonnées, déclarant que celui-ci n'est, au fond, que la preuve de leur faiblesse et la justification de leur manque de valeur. Néanmoins, s'il autorise que l'on puisse hésiter une seconde à exécuter un de ses ordres, il prohibe absolument qu'on détourne ou refuse son commandement, attitude qu'il châtie froidement en priorité dans la douleur, ensuite dans la mort. Là encore, il n'y prend guère de plaisir sinon le sentiment glacé d'accomplir son devoir - car l'Empire est desservi par les lâches et les traîtres.
Il s'agit là d'un allié loyal, d'un supérieur calculateur et d'un serviteur efficace. En guise d'adversaire, Hayn constitue un formidable défi qui sait mobiliser toutes les ressources à sa disposition pour détruire celles de son adversaire. Lorsqu'il se lance dans une lutte, le chevalier impérial voit au-delà de son ennemi l'idéologie qu'il défend, et n'agresse pas tant le premier que la seconde. Parfois, il donnera l'impression de laisser s'éterniser une lutte, sapant et agressant en réalité l'entité qui se cache derrière ses soldats. Dans une bataille, ce n'est pas un régiment ou un officier qui est la cible de Hayn, mais bien l'armée opposée elle-même, toute entière.
Pour vaincre, il déploie d'immenses trésors de cette ruse vicieuse et aiguisée qu'il renferme, toujours surprenant, toujours imprévisible. Capable de mêler audace, traquenards et faux-semblants à profusion, il sert à merveille les principes les plus élémentaires des Sith et les intérêts à long terme de l'Empire.
Le tout dans l'humilité la plus évidente.
Alignement : Coté Obscur de la Force
Ordre : Chevaliers Impériaux
Combat au sabre-laser :
- Connaissances innées par retranscription de la mémoire du sujet d'origine, puis perfectionnées, dans la cinquième forme Shien [Acquis - Prédilection]
- Formé par un maître Sith à la deuxième forme Makashi [Acquis]
- Montre une tendance à se servir du Dun Möch, par compatibilité caractérielle [En cours d'apprentissage]
Maîtrise de la Force :
- Télékinésie et Saut de Force (bagage académique)
- Réseau de vie
- Persuasion (SPECIALITE : [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
- Méditation de combat (future spécialité du pouvoir universel, une édition sera signalée quand le RP correspondant sera effectué)
- Etreinte (future spécialité du pouvoir Obscur, une édition sera signalée quand le RP correspondant sera effectué)
- Autres informations :
Clone d'un chevalier Jedi formé par un maître Sith, le second doutant à cause du premier du libre-arbitre que lui laissait l'utilisation du côté Obscur de la Force. Afin de tirer la vérité au clair, le sombre Avakarm décida de créer un tout nouveau guerrier, tiré de la chair même d'un grand Jedi mais initié par ses soins aux arts noirs et mis en garde contre la dévotion absolue à l'un ou l'autre des aspects de la Force.
Disponibilité du joueur : Très variable. Le soir, notamment.
Inventaire :
- Sabre-laser de couleur blanche, confectionné sous les directives de son ancien maître Sith
- Armure de Chevalier impérial. A noter qu'il arrive à Hayn, lorsqu'il souhaite incapaciter un adversaire, de frapper à l'aide de ses semelles métalliques les genoux de son opposant. Il a donné à ce geste la précision que procure l'habitude.